aliska ⤏ pêché mortel
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aliska ⤏ pêché mortel

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Le minable résidu que t'es déplace sa carcasse infâme de ta voiture à ta maison. Le soleil s'est couché depuis un moment... t'as manqué le dîner. Bien sûr, t'as complètement évité de dire un mensonge à Laska. T'as juste pas écris que tu serais absent pour le repas. En fait, t'as évité de lui écrire aujourd'hui. Évidemment... tu reviens de chez l'autre. Et c'est pénible comme retour. Tu t'es bien pris la tête avec elle. Elle veut plus, toi tu veux rien savoir. L'escalade c'est faite, à ton grand désarrois. Alors t'as même pas été en mesure de terminer ce pourquoi tu y était aller de base. T'avais pas envie au fond. Tu l'observais et t'arrivais pas à donner une chose que tu appréciais vraiment chez l'autre. Tout était l'inverse de ta femme. Parce que tu ne la recherche pas en les autres. impossible. Il n'y en a pas deux comme ta Laska. Pas même un soupçon d'infime grain. Rien. Nada. Mais tu te sens quand même comme le pire des chiens. Un clébard qui rentre dans sa niche. T'es pas fier de toi. Tu l'es jamais, les quelques fois au't'y vas. C'est pas souvent... parce que justement, t'as pas la langue pendue, assoiffée. T'as pas envie d'entretenir ce faux semblant. T'es pas le genre à apprécier l'infidélité. Ça n'a jamais fait partie d'tes valeurs. Pourtant, here you are. Revenant de chez l'autre, la queue entre les jambes et la langue dans ton gosier.
Par la fenêtre, tu peux voir Alice qui court de ses petites jambes autour de la table pour attraper Adrien. Tu ne rate jamais la routine du dodo. T'es attaché à ta famille par le coeur. Par les entrailles. Tu sais que dans quelques secondes... ta femme te regardera avec ses yeux déçus. Parce que vous n'en avez jamais parlés... pourtant tu sais qu'elle sait. Elle te connaît Alix. Elle te connaît si bien qu'elle peut dire ce à quoi tu penses à la seconde qu't'y pense. Et tu t'fais jamais à son regard déçu. Elle essais toujours de le cacher par un sourire fané. Pourtant, toi aussi tu l'a connait. Tu prends ton courage et tu entres chez toi.
-J'suis là ! que tu chantonnes comme à ton habitude. T'as beau avoir l'coeur dans les souliers, tes enfants ont l'habitude de te voir arriver en chantonnant, heureux de rentrer. Et c'est pas faux dans un sens... seulement, eux ne savent pas ce par quoi papa et maman passent en ce moment. Pour eux, tout est normal et c'est exactement ce que vous voulez. Tu retires tes chaussures, soufflant alors qu'Alice court vers toi pour te sauter dans les bras. Tu l'attrapes en tournoyant avec elle. Putain t'as peur de voir le visage de ta femme... t'en es malade d'avance Alix. Mais sur ton faciès, un sourire étire tes lippes pour éblouir les traits de ta fille de 2 ans. À défaut de rendre les yeux de ta femme triste... t'espère ne jamais voir la déception dans ceux de ta fille à ton égard...

@Alaska Morgan aliska ⤏ pêché mortel 1915553615
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tw : évocation infidélité

T’as mangé avec tes enfants le coeur lourd mais tu n’as rien montré quand ils ont demandé où était papa, t’as simplement dit « il travaille mes poussins.. » que voulais tu dire d’autre ? Papa est entrain de chercher ailleurs ce que maman n’est plus capable de lui donner ? Évidemment que non laska, tu ne diras jamais rien sur Alix qui pourrait faire que vos enfants le vois différemment du papa merveilleux qu’il est avec eux.
Tu aimerais être capable d’être une bonne épouse… mais t’as plus cette faculté alors tu seras toujours la meilleure amie.. la maman…
Tu souris à tes enfants, t’es assise à coté d’alice qui a besoin de plus d’aide qu’adrien fier de te montrer qu’il est un grand garçon. Lucky you.. tes enfants ressemblent à l’amour de ta vie, deux petits blonds aux grands yeux dorés. Tu caresses la natte d’alice doucement elle te raconte sa journée de crèche avec la passion d’une enfant de deux ans. Tu essayes de ne pas montrer ton coeur à la dérive..
Une fois le repas finit c’est le moment du bain et de se mettre en pyjamas, tu sais qu’il va rentrer ton Alix, il ne loupe jamais le couché de vos enfants. c’est un rituel que vous avez depuis Adrien…
Comment vous en êtes arrivés là .. lui qui va se soulager ailleurs pour rentrer dormir avec vous. T’as le coeur lourd… tout est de ta faute laska; tu le sais… tu as étirer la patience de ton mari jusqu’à ce que l’élastique craque.
Tu le sais depuis un moment déjà… t’es pas stupide.. tu le connais si bien, t’es presque plus insultée qu’il pense pouvoir te cacher quelque chose que l’action en elle même.
Tu lui trouves toutes les excuses du monde en réalité
Tu lui trouves tellement d’excuses que tu t’en trouves ridicule, t’es plus capable de fierté alaska. T’étais passionnée avant, t’étais jalouse parfois, tu lui faisais la tête adolescente quand il souriait aux filles. Tu faisais la tête jusqu’à ce que vous fassiez l’amour des heures. Mais t’es plus capable de ça non plus.
T’as envie d’une clope, t’étouffes un peu ce soir. Tu observes tes enfants qui jouent quand la porte s’ouvre.
La voix d’alix, tu le sens d’ici. Tu serres la machoire pour reprendre constance, tu tournes la tête pour tomber dans ses yeux dorés. L’amour de ta vie. Qui reviens de chez sa maitresse… jamais tu n’aurais pensé cela possible un jour. Pas ton mari.. pas ton Alix.. et pourtant. La déception est amer. Elle te plonge un peu plus vers le fond. Tu perds ton sourire quelques secondes avant de te reprendre, affichant sur ton visage le sourire commercial qu’il mérite. Mes tes yeux hurlent ta peine. « papa est rentré pile pour le câlin du dodo. » tu souris à tes enfants plus tendrement avant de prendre la main de ton fils.
T’as envie d’une clope peut être même d’un verre.

@Alix Morgan aliska ⤏ pêché mortel 3513915865
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tw : évocation infidélité

Ce serait mentir de dire que ça t'fais rien quand elle plonge ses grands yeux, auparavant brillants, dans les tiens. Maintenant, ils sont ternes ses yeux. La flamme qui y valsait n'y est plus depuis un moment. Et pire quand certains soirs... tu reviens plus tard que le dîner. Elle n'est pas idiote, tu ne pourrais pas lui dire que t'as une réunion... parce que tu bosses pour son père. Et puis, pourquoi tu mentirais à l'amour de ta vie, Alix ? T'as aucune raison de lui faire plus de mal encore. Alors, quand de ses grands yeux tristes, elle fond dans les tiens honteux... tu sens tout ton être dégringoler. Sourire amer qu'elle te sert. Le genre de sourire pour une pub de dentifrice. Tu le savais, tu l'as connais. Elle te sourit pour les enfants. Si d'ordinaire elle te sourit sincèrement, ces quelques soirs de chiens... tu l'as déçoit. Avec raison, Alix. Tu te déçois toi-même en réalité. Vous n'êtes pas ce genre de couple. Tu ne va pas ailleurs pour le plaisir. Enfin, théoriquement si, mais c'est pas le mot que t'emploierais. Parce que outre le plaisir éphémère quand tu termines... y'a que l'amertume. Que le dégoût. Exactement ce que ta femme ressent probablement à ton égard. Tu avances honteux avec Alice dans les bras. Tu l'a dépose pour retirer ton veston et ta chemise. Peu importe... elle le sait. On va pas s'mentir plus longtemps. Alors tu vas éviter de mettre du parfum cheap sur tes enfants. Puis tu te dirige vers la chambre de ta fille pour la cajoler un long moment. Elle te raconte sa journée, avec les yeux pétillants... tu rentres pour ça Alix. Pour la joie de tes enfants. Pour l'amour qu'ils te donnent sans prix à payer. Tu te berce un peu avec Alice contre toi, sa bouteille de lait et ses grands yeux dorés. Tu ne raterais pas ce moment pour tout l'or du monde Alix. Ces moments précieux qui s'envolent déjà bien trop vite à ton goût. T'aimes ton rôle de papa. T'aimes ta vie Alix. C'était ton rêve... ta propre famille. Des enfants... t'en voulais au moins quatre. Disons que tu te contente des deux que ta femme t'a donner au péril de sa vie et de votre amour. Tu lui en es reconnaissant éternellement. Et quand la poupée dort, tu la couche dans son berceau et tu vas faire un peu de câlin avec ton fils. Mais ta femme est déjà avec lui... et son regard, purée ! Tu n'peux pas. La marche de la honte jusqu'à ton bambin que tu viens serrer contre toi. Et après un bisou, tu sors pour te diriger vers la cuisine. T'as faim, bien sûr... et ta femme... elle t'a laissé une assiette au chaud. Tu te sens encore plus coupable au final Alix... pourquoi c'est devenu si compliqué Alaska et toi ? Réchauffant le plat, seul le bruit du micro-onde résonne dans la cuisine... et ta honte qui t'accompagne comme une ombre ce soir.
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tw : évocation infidélité

Quatorze ans d’amour, dix ans de mariage… tu le connais tellement que t’as pas besoin qu’il te raconte. Et ton coeur vide ne fait que s’assombrir; un peu plus chaque soir ou il ne rentre pas manger avec vous. Tu te sens tellement vide… comme d’habitude Alix fait un gros câlin à Alice et toi à Adrien c’est plus simple pour toi comme ça tu profites de ton fils, puis tu vas faire un bisous à ta fille qui pour une fois veut que tu lui chantes une chanson, c’est papa qui fait ça d’habitude. Mais tu le fais, tes enfants ils te feront tout faire.
Puis tu files quand elle dort.
T’as pas tellement envie de parler tu sais qu’il va manger l’assiette que tu lui as laissé et qu’il fera la vaisselle. Comme d’habitude. Tu passes par la cuisine murmurant un « bon appétit.. » est ce que c’est un peu cruel ? Même pas, t’as de la peine, t’es déçue, mais tu l’aimes.
Tu sors en attrapant la première veste sur le porte manteau pour aller fumer une clope.
Tu t’assoies sur la terrasse tu fermes la veste
Et l’odeur te saisi ..
c’est celle d’alix; vous vivez ensemble mais depuis qu’il dort au sous-sol tu ne le respires plus comme avant.
Tu fermes les yeux, tu humes les arômes épicés de ton mari, les mêmes qu’à seize ans. Car il n’a jamais changé de parfum.
Et quand derrière les épices tu sens l’overdose de vanille de sa… tu retires la veste comme si elle te brulait la peau. Tu ne sais pas comment tu deales avec ça..
Vous avez prêté serment … serment de fidélité et il … tu fais rouler ton alliance autour de ton doigt… c’est de ta faute laska … ta faute…
Tu ne le rends plus heureux… peut être qu’elle … elle le rend heureux..
Ça te donne un coup de poignard dans le coeur, t’en as le souffle coupé. Il faut que tu te reprennes alaska. Ton Alix.. Alix.. il.. tu fumes pour essayer de te remettre les idées en place mais même la nicotine ne calme pas tes tremblements, tu vas devoir prendre ton cachet pour te calmer … tu sais plus remonter la pente alaska.. t’es meme pas capable de gueuler sur ton mari qui va voir ailleurs. L’amour de ta vie qui … tu serais même pas capable de lui rendre l’appareil laska, parce que t’as plus de désir.. puis si t’en avais tu sais pertinemment qu’il en serait l’objet.

@Alix Morgan aliska ⤏ pêché mortel 3513915865
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tw : évocation infidélité

L'assiette chaude que tu déposes sur le comptoir. Tu t'assois sur le tabouret parce que tu ne peux pas manger à une table où ta famille n'est pas, alors tu préfères le comptoir et le tabouret. De toute façon... c'est ta faute tout ça. Les mots de ta femme te font lever le nez... mais tu ne vois que son dos tellement elle disparait vite. Pourtant, tu regardes ses cheveux bruns tomber en cascade sur ses épaules. La courbe de ses côtes qui reviennent en butte sur ses hanches. Le galbe de ses fesses sur lequel tu lorgnes trop longtemps. Tu baisses le regard sur ton assiette. Tu n'as pas souffler un mot Alix, t'es pas capable. Et même si tu lui disait que ça t'fais pas tant de plaisir que ça... que cette fille t'y trouve rien d'intéressant... le mal est dans l'acte. Parce que cette fille, tu n'la pas cherchée. T'as pas parcourus Tinder ou tu ne sais quel réseaux de rencontres bidon. Cette fille... tu la rencontré durant un contrat. Et c'même pas que tu l'a regardée parce que non. T'es pas c'genre-là. Oui c'est facile de dire que s'est elle qui a flirté avec toi... et pourtant c'est ça la réalité. Là où c'n'est pas la faute d'la fille c'est que t'as embarqué dans l'jeu. C'est au't'y es aller la première fois. Elle voudrait que tu quitte ta femme... elle voudrait d'toi tout le temps, mais pas toi. T'peux pas Alix. Tu l'aime pas c'te fille. Pas laide, mais pas ton style. Ton style s'est Alaska.
Tu termines de manger. L'air autour est lourd. Tu fais la vaisselle du dîner, rangeant la cuisine avant de quitter pour te rendre vers la terrasse. Tu restes figé là un instant... hésitant. Puis, tu souffles un coup en sortant. Tu t'allumes une clope, t'appuyant le rebords des fesses sur la rambarde. T'as les opales sur tout, sauf sur ta femme qui semble avoir mit ta veste pour la retirer ensuite... mauvaise veste. "Merci trésor... c't'ai bon. Ça faisait longtemps qu't'avais pas fait des asperges sautées." T'avais pas mieux à dire Alix. Ta voix trahis même ta honte. Elle te suit comme une ombre accrocher à toi ! Tu mords le dedans de tes joues avec force. T'es un idiot. Le pire.
Tu grilles ta clope nerveusement.
Y'a plus rien à dire c'soir, n'est-ce pas ?
Tu baisses les yeux une seconde avant de les tourner sur elle. Tu cherches les siens. Tu cherches son regard. Comme pour te valider qu't'es un idiot. C'que tu sais déjà en fait. Ne trouvant pas l'objet qu'tu convoites... tu jettes ta clope avant de tourner les talons lentement "J'vais aller prendre une douche..." qu'tu marmonnes tristement avant de disparaitre de nouveau dans votre maison. Faut qu't'arrête ça Alix. Ça peut pas continuer, mais ta femme doit t'revenir aussi... putain elle te manque ! T'crèves de sa peau. T'es comme un camé en manque d'elle. D'son odeur. D'son goût. D'la douceur d'sa peau porcelaine. D'juste d'ses baisers... 2 ans qu'ta femme n'est plus ta femme et pourtant ton coeur l'aime comme au premier jour. P't'être même plus.
Les valves ouvertes, l'eau est bouillante. Comme pour nettoyer ton corps de la vanille. C'est ironique mais tu détestes l'odeur de vanille depuis tout petit. Et c'pas pour être cute, tu détestes vraiment c't'odeur. Et ça arrange rien qu'l'autre sente la vanille. T'fais ça pourquoi au fond Alix ? Juste te vidé ? Non. Sentir d'la peau. D'la chaleur humaine. T'as besoin d'sentir un autre coeur qui bat contre toi. Mais t'es déçu chaque fois parce que... c'pas ta femme. Et c'est elle que tu veux. C'd'elle que ta b'soin... et plus elle te manque... plus tu n'sais plus quoi faire. Plus elle t'manque... plus tu manques d'air. Et elle est là sous ton nez. Chaque jour... et c'comme un suicide en direct.
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tw : évocation infidélité


Les yeux dans le vide, tu ne regardes rien de précis, t’analyses votre chute.. votre dégringolade vers l’enfer de votre mariage. Oh non la compagnie de l’autre est toujours chaude et chaleureuse, oh non vous vous aimez toujours, mais entre vous l’amour n’est plus signe d’étreinte charnelle. Vous avez découvert ça ensemble, vos premières fois à seize ans et vos dernières pendant la grossesse d’Alice.
À l’inverse de celle d’adrien… rien n’a repris entre vous. T’as juste plus jamais eu envie, t’as plus envie de grande chose en réalité alaska, tu joues plus de piano, tu ne fais plus de yoga, tu vis juste pour tes enfants. Ton mari à coté de toi.
Parfois tu attends qu’il te quitte.
Le soir où tu as compris qu’il allait voir ailleurs … tu n’as même pas pleuré, ni hurlé, ni cassé sa maudite voiture pour lui faire comprendre ton intense douleur. Non t’as rien fait parce que t’es anesthésiée.
T’as l’impression ne ne plus ressentir.
Te venger? T’es pas comme ça alaska, t’es pas le genre à faire pire. Est ce qu’il y a pire que la trahison.
Et là sur la terrasse, tu l’imagines pour la première fois, tu l’imagines contre cette nana qui empeste la vanille. Tu l’imagines, tu songes à vos ébats et tu les transpose avec une autre.
T’en as la gerbe.
Et c’est la première fois que ton corps réagit.
Il te rejoint, tu ne le regardes pas, t’as peur de dégobiller sur ses pompes.
Tu ressens pour une fois alaska et ce n’est que de la douleur..
Mécaniquement tu réponds « oui… t’en as besoin j’imagine…» et c’est certainement la première fois aussi que tu fais une allusion à son infidélité. Tu le laisses partir, tu l’observe quand il est de dos. t’observes celui qui t’appartient.. enfin qui t’appartenait.
Tu as un nouveau haut le coeur et tu cours comme une dératée; tu cours jusqu’aux toilettes ou tu vides le contenu de ton estomac.
Le dégoût.
La trahison.
Il ne t’aime plus laska. C’est évident maintenant. Ça te saute aux yeux et ça te convulse l’estomac. Tu te vides de ton repas avant de te relever. Tu t’observes dans le miroir.. t’es plus rien laska.. t’es plus que la mère de tes enfants. Tu renifles. Toujours pas de larmes.. mais cette fois la douleur n’est pas édulcorée.
T’as tellement mal. Ça te comprime la cage thoracique. L’odeur de la vanille qui d’embaume le nez et c’est reparti pour un tour. T’as plus rien à vomir, ton estomac qui spasme et tu te laisses tomber contre le mur. Tout ça pour quoi.
Tu sais plus comment faire.
Tu te noies alaska.
Ton mariage comme le titanic prend l’eau et toi t’es jack… tu vas sombrer dans l’eau alors qu’Alix s’accroche à un radeau.. un radeau qui empeste la vanille et qui doit lui faire ce qui avant était ton privilège, celui de petite amie, de fiancée, d’épouse, d’amoureuse…
Tu te lèves difficilement pour te trainer jusqu’à ta chambre. T’es une loque ce soir.

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Sous le jet de la douche, tu fixes le drain. L'eau qui coule en cascade sur toi. Dans ton sous-sol... comme le paria de cette famille. Dans le sous-sol parce que c'est là qu'il y a une chambre d'ami, une salle de bain supplémentaire. Et chaque fois que tu vois tes choses là, tu t'sens comme ailleurs. Dans une maison qui ne t'appartiens plus. Enfin si... mais toutes tes choses sont en bas. Tu sors de la douche, une serviette autour des hanches et tu foules le plancher jusqu'à "ta chambre"... froide et terne. Tu n't'es pas vraiment installer. Ton linge est partout, le lit est pas fait...
T'enfiles un sweat et un bas de pyjama. Tu remontes à l'étage et c'est le silence complet. Tes pas te mènent de nouveau dans la cuisine où tu fais réchauffer de l'eau. C'est fou mais, t'as beau regarder partout... c'est vous. La maison tu l'as rénové de tes mains, Alaska l'a décorée. Comment tout ça peut s'envoler ? Vous étiez parfaits. Vous étiez heureux. Tout était parfait... et un bonheur ne vient jamais seul, à c'qui parait. Tu verses le contenu de l'eau dans une tasse et tu y trempe un sachet de thé menthe et gingembre. T'es pas con Alix... tu l'a entendu ta femme, courir dans la maison jusqu'à la salle de bain de l'étage. Enceinte elle faisait la même chose... alors tu lui infuse un thé.
Plein de petites choses que tu sais d'elle. Qu'elle sait de toi. Tu sors des petits craquelins et muni de la tasse tu te diriges vers votre chambre... enfin, sa chambre maintenant. Tu toques doucement et tu pousses la porte. "hey... j't'ai fais un thé menthe et gingembre... et j't'ai apporté des craquelins..." que tu dis d'une voix basse, la regardant comme un clébard désolé. T'voudrais quoi d'autre Alix ? Elle te regarde plus avec du désir. Y'a bien longtemps qu'il a quitter ses rétines et son coeur, l'désir ! T'peux pas lui en vouloir... même si ça fait un mal de chien d'se le dire. Parce que toi, tu l'as désire encore et fort en plus ! T'approchant doucement du lit, tu déposes le contenu de tes mains sur la table de nuit près d'elle. "Mange un peu de craquelin pour pas avoir mal à l'estomac..." que tu bredouilles comme un idiot. T'veux dire quoi d'autre ? T'excuser ? Ce serait parler de ta frasque... ce serait la blesser. La briser. Oh tu es désolé... tellement désolé. Mais lui dire c'est avouer... et avouer c'est la déchirer. C'est d'lui remettre dans la face qu'elle te désire plus. Et c'pas sa faute à ta femme. Ce le sera jamais.
Alors, d'un sourire faible et triste, tu tournes doucement les talons pour sortir de cette chambre qui te manque. Tu retrouves la cuisine... mais en fait t'sais même pas pourquoi t'es là. Tu t'fais donc un verre de lait que tu réchauffes préalablement... c'est toujours réconfortant. T'sors un morceau de gâteau qu'à fait Alaska et retournant sur ton tabouret d'la honte, tu commences à manger dans l'silence de la maison familiale.
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tw : évocation infidélité


Tu ne sais plus comment être heureuse laska
Tu ne sais plus comment rendre heureux ton mari. Il fait avec toi. Parce que t’es la mère de ses enfants mais ça ne suffira pas .. un soir .. il ne rentrera pas et ça te retourne l’estomac .. tu pleures toujours pas laska t’es putain de brisée il faut quoi ? Que tu te jettes par la fenêtre pour que tu pleures ? Que ton mari .. le tien putain.. ton mari te quitte .. l’amour de ta vie.. l’homme de ta vie … ton Alix … il faut qu’il parte pour que tu aies des émotions ?
Tu es en petite boule dans ton lit
Dans votre lit où il n’est plus.
Tu lui as demandé , c’est ta psy qui dit que créer le manque ça peut être bénéfique. T’en sais rien en réalité laska… il va voir ailleurs en quoi c’est bénéfique … en quoi tu créer le manque vu qu’il va se satisfaire ailleurs .. c’est tellement ridicule …
Quand tu entends la porte s’ouvrir tu sais que c’est ton mari tu reconnais sa démarche, ses pas sur le sol, son odeur après la douche.. et sa voix qui te réveille des abimes .. sa tendresse… la douceur quand il s’occupe de toi .. comme lors de tes grossesses, Alice t’avais rendu plus malade qu’Adrien mais vomir ça avait était ton quotidien pendant 9 mois.
Tu te tournes pas tu murmures simplement « merci mon coeur. » tu ne bouges pas car t’es pas prête à voir ses yeux désolés.. il vient de coucher avec une autre femme et une douche ça suffit pas à laver ta peine .. tu l’entends repartir et tu te redresses difficilement tu observes le thé .. silencieuse …
T’es qui putain Alaska …
Et si tu partais toi …
Puis Adrien et Alice comme les anges sur ton épaules te rappellent que tu ne peux pas .. tu ne pourras jamais vivre sans tes enfants .. même si ce soir t’aurais envie de hurler .. ton corps trop moue .. trop faible lui ne bouge pas. Ton âme elle est en pièces …
Tu te redresses et tu bois ton thé ça te faisait du bien pendant ta grossesse tellement de bien.. Alix te massait les pieds et le crâne à chaque fois c’était comme votre moment à vous. Tu finis ton the tu grignote mais sans envie.. tu sens que tes idées peuvent à nouveau te replonger dans le chaos.
Tu sors de ton lit tu files à la douche puis tu mets ton pyjamas, un teeshirt qui t’appartient pas qui t’arrive mi cuisse et une culotte.
Tu rejoins la cuisine
Ton mari est là certainement avec un lait chaud.
Tu viens doucement dans son dos et tu viens coller ton nez à sa nuque ton corps contre son dos et tu le respire doucement t’en as besoin
Tu charges tes batteries
Tu prends ta dose
Tu parles pas juste tu le respires
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tw : anatomie et descriptif

Tes pensées sont partout et nulle part à la fois. Elles vagabondes sur des souvenirs, puis reviennent sur le vide de la maison. Tu manges ton gâteau, lentement. T'es pas pressé de retourner dans ta chambre à vrai dire. T'es juste perdu dans tes pensées quand tu sens une chaleur dans ton dos.
Tu sursautes pas, tu la sens avant même qu'elle colle son nez dans ta nuque. Ça t'fais frissonner... ça t'rends émotif. Sa chaleur vient directement touché ton corps, t'en laisse échapper toute la tension qu'tu savais même pas qu't'avais accumulé. Tes paumes viennent se poser sur ses avant-bras pour les caresser doucement. Tu tournes le nez lentement pour tenter de capter son front. Front que t'embrasses tendrement avant de poser le côté d'ta tête sur la sienne. Elle parle pas... t'sais qu'elle a pas envie d'parler en faite, elle a plutôt envie de rester-là en silence.
Ça t'fais tellement de bien juste ce contact. T'peux même pas dire quand était la dernière fois qu'elle t'a touchée. Et son corps contre ton dos... tu peux sentir ses galbes contre tes omoplates. Elle ne porte pas de soutiens-gorge, tu l'sens. Ta main quitte son bras pour venir tout doucement sur sa cuisse nue. Juste se posée sur le côté sans évocation sexuelle. Tu l'sais que c'pas ça qu'elle vient chercher. Tu l'sais parce que... elle ressent plus rien. Mais l'affection ça... t'es surpris. T'vas pas chialer. Enfin, p't'être parce que ça t'rends émotif qu'elle vienne chercher chaleur auprès d'toi. Tu pivotes lentement sur le tabouret, venant passer tes bras autour d'elle. Un câlin que t'as b'soin d'lui donner. Que t'as b'soin d'obtenir. Et comme elle a ouvert la porte... t'espères qu'elle te le rende. T'as l'coeur lourd Alix... comment pouvez-vous en être rendu à marcher sur des oeufs pour vous cajoler ? Vous votre love language c'est ça... c'est le touché. Maintenant c'est de se sourire poliment et de se demander comment la journée c'est déroulé.
Tu te redresse pour la prendre longuement contre toi. Tes bras autour de ses reins. Tu la colle contre ton corps, enfouissant ton nez dans ses cheveux bruns soyeux. T'as rien a dire toi non plus Alix... juste de la tenir contre toi, ça t'rend en émoi. Tu sens son coeur battre contre le tien... t'veux pu la lâcher... t'veux sentir son coeur battre encore un peu.
Juste un peu...
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tw : évocation infidélité


Tu le respires en fermant les yeux
L’odeur de ton mari, tu as l’impression que ta douleur s’apaise. Tu frottes légèrement ton nez à sa nuque
Ton corps qui ne ressent rien collé à son dos, il te réchauffe.. t’as tout le temps froid Alaska .. comme si ton prénom était prémonitoire.
Tu le laisses te toucher ça te fait du bien. Des mois que vous ne vous touchez plus alors qu’avant vous voir l’un à côté de l’autre sans que vos corps se touchent impossible.
Il te manque ton mari
Il te manque en permanence
Même dans la même pièce
Mais ce soir, tu te loves dans son dos. Tu oublies où il était tu ne veux pas y penser tu ne veux penser à rien… juste à cette douce sensation de chaleur qui t’envahit totalement laska. Elle te réchauffe les os, elle enveloppe ton cœur de douceur. Il se lève en se tournant et il te serre contre lui. Tu rechignes pas laska, tu l’aimes ton mari. Il est toute ta vie… tu le perds en chemin.. Dans ta chute vers les abysses tu perds l’amour de ta vie.
Tu viens passer tes bras autour de sa nuque pour rester contre lui, ton nez contre sa peau, la vanille a disparu … tu embrasses tout doucement la peau de son cou. Un baiser plus léger qu’une plume. Ça te fait chaud dans le coeur. Tu l’aimes .. oh que tu l’aimes.. tu l’aimes comme le soleil aime la chaleur, comme la lune aime les étoiles. Tu l’aimes au delà de l’amour.
Tu caresses doucement la peau de ton nez, tu le respires à t’en cramer les poumons. Tu n’as pas envie de le lâcher. T’es bien là. Pour une fois depuis des mois t’es bien au chaud contre ton mari. T’as créé le manque et il te manque. Tu viens doucement murmurer à son oreille « veux tu … venir dans notre lit ? » dormir contre ton Alix. Le respirer, l’entendre ronfler, râler parce qu’il s’est glisser sous ton pyjama pour écouter ton coeur battre. Tu veux un peu de votre normalité, de votre vie, de vous…
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Ce serait mentir que de dire que c’est pas un peu douloureux. Autant qu’ça fait du bien… autant qu’ça percute l’myocarde de pleins fouet. De l’eau après des mois d’sécheresse… de la tendresse après des mois d’solitude. T’veux pas bouger d’contre elle, t’veux fondre dans sa peau. Et c’pas possible qu’tu la lâche, surtout quand elle s’enroule à ta nuque pour t’enlacer. Le manque est flagrant. Elle te manque comme personne Alix. Pourtant vous vivez dans la même maison. Vous vous voyez chaque jours ! Pourtant le froid s’est installé dans votre union. Les sourires discrets, les questions banales… les petits surnoms qui perdurent, seul vestige de votre amour. Les petits gestes au quotidien, comme faire la vaisselle ou encore lui servir un thé… c’est tout c’qui reste de vous. Vous qui jadis étiez… indécollable. Inséparables. Vous étiez les deux doigts d’une même main.
Son baiser délicat sur ta nuque… tu frissonnes fort. Tu serres ses reins en la collant contre toi plus près. Comme si elle pouvait entrer sous toi. Et à ses mots… ton palpitant défaillit. T’as rêvé ? Elle vient vraiment d’te demander ça ? Tu la ramasse sur ton épaule d’un coup en gloussant avant de prendre la direction de la chambre. Putain oui tu veux ! Tu veux tellement. T’as pas b’soin d’dire, tu t’rends jusqu’au lit avant de tout doucement la déposer dedans. Tu sautes comme un gamin à côté d’elle en riant.
Un long soupire d’aise qui s’échappe bruyamment de tes cordes vocales "ahhhhhhh ce lit !" il est non seulement confortable, mais il sent ta femme aussi. Tu t’fais pas prier pour t’glisser sous les draps confortable, tirant ta belle brune contre toi. Oh qu’tu vas pas lever le nez sur une nuit collée avec elle ! Nope. Impossible. Tu viens la prendre en cuillère, au chaud au creux d’tes bras et tu soupires longuement. Ça c’est la vie !
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tw: dépression

Tu t’enfonces chaque jour laska, t’es jamais pleinement heureuse, t’as toujours des émotions édulcorées .. depuis la naissance d’Alice après la surprise de la grossesse, cette grossesse qui comme une punition fut si difficile pour terminer avec un accouchement ou t’as failli y rester. Ta poupée est née, elle ressemble tellement à son père et heureusement tu l’aimes ta poupée mais elle a causé ta chute. Et depuis tu dégringoles sans filets jusqu’à pousser ton mari loin de toi, jusqu’à devenir sa colocataire.. plus de tendresse, plus de marques d’affection..
puis t’as décidé de te reprendre en mains, de te faire aider.. toi la fière Alaska qui affronte la vie .. tu vas tous les jeudis chez ta psy.. ton mari étant souvent le centre de tes discussions parce que l’amour que tu lui portes est infini. Et la ce soir, t’as envie de te lover contre ton mari, t’as besoin de te serrer dans ses bras. Te sentir son odeur partout…
Tu embrasses son cou et tu sais plus la dernière fois où tu l’as embrassé. Quand tu lui proposes de venir dormir dans votre lit, il ne perd pas de temps t’es embarqué sur son épaule et tu souris idiotement parce que ce genre de réaction … t’es tombée fort pour ça .. si fort.
Tu tapotes ses fesses avant de glousser légèrement. Tu te glisses dans le lit et quand il saute dedans tu te mets à rire, si naturellement.. qu’Adrien lui ressemble. T’as le coeur qui se gonfle parce que tes enfants sont des minis copies de ton mari ce que tu es chanceuse laska.
Il vient se glisser sous les draps pour te serrer en cuillère, tu soupires de plaisir. Et depuis des moins tu te sens enfin à ta place laska. Tu viens caresser ses bras doucement. Puis tu te tournes pour te lover bien contre lui, tu le respires soupirant contre sa peu. Ta psy a raison il faut savoir où on est bien laska, chercher une zone de bien être pour recharger ses batteries, et toi t’as trouver ta zone … cette zone qui est la tienne depuis que t’as seize ans. Ton amoureux. Tu viens doucement caresser sa joue tendrement. Tu le regardes, il est beau ton mari .. si beau.. tu viens tout doucement poser tes lèvres sur les siennes pour un baiser tendre, tu murmures contre ses levres « tu me manques .. » tu l’embrasses à nouveau avant de te blottir bien serrer, t’as le coeur qui s’accélère «  bonne nuit amour… » tu fermes les yeux.
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C'est spécial ce moment. Non seulement t'es avec ta femme dans votre lit, mais elle se retourne pour s'coller contre toi un peu mieux. Ton bras qu'tu passes sous le t-shirt pour venir caresser son épiderme. Épiderme chaude et délicate... douce. Elle a tellement la peau douce ta femme... elle sent la pêche... ses doigts qui caresse ta joue. Ça t'fais tellement de bien de sentir sa peau sous tes doigts... ta peau sous les siens.
C'est comme avoir constamment froid... et ce soir c'est tout chaud. Tu t'en fou de ne rien faire de plus... mais ça... ça, ce moment vaut tout l'or du monde Alix. Ce contact. Cette douceur. De l'amour à grosses gorgées et ça remplace n'importe quel moment charnel. T'as jamais été amoureux d'Alaska pour le lit... c'était juste un plus de vous découvrir ensemble. Alors tu peux patienter des années... tant que ça, ce touché d'elle puisse parcourir ta peau.
Et de ses lèvres douces, elle vient t'embrasser. T'as une envolée d'papillon dans l'estomac. Tendrement... un baiser aussi délicat qu'une plume. Tu lui manque. Purée, elle te manque aussi tellement fort... et de nouveau, elle t'embrasse. Tu soupires longuement et quand elle se blottit contre toi, tu viens embrasser son front chaudement en la serrant contre toi. "Tu m'manque aussi mon trésor... tellement fort." que tu murmures en venant embrasser sa tête brune. Elle est toute ta vie. La première et la dernière. T'vas t'saigner pour la garder... même sans intimité. Lentement tu t'mets à flatter son dos du bout des doigts. "Bonne nuit mon trésor." Et ça t'fais tellement de bien d'être là, dans votre lit douillet contre la femme de ta vie. Rien ne bat ça. Rien, surtout pas du sexe lambda avec une fille qu't'aimes même pas.
Alaska Morgan sera à jamais la tienne. Ta meilleure amie, ta copine, ta confidente, ta femme, la mère de tes enfants. T'peux pas passer ta vie sans elle... et ce même si tu devais. T'pourrais pas. Elle est ton hier et ton demain. Ton passé et ton futur. Elle est surtout ton présent et elle représente toute la beauté dans c'monde. Elle est la moitié douce, la moitié chaude, tendre et jalouse de vous deux. Elle est la maman, la femme, la fille... elle est ton bonheur, ton moment d'accalmie. Elle est celle avec qui tu juges tout et rien. Celle avec qui tu gossips sur les autres, celle avec qui... même le pire secret devient en sécurité. Tes doigts la caresser de haut en bas sans aller trop bas, pour ne pas la mettre mal à l'aise... mais tu fermes les yeux, apaisé d'être contre la femme de ta vie.
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tw: dépression; infidélité

Vos coeurs sur le même tempo ce soir, vous vous réchauffez le corps; l’âme et le coeur. Tu te sens en sécurité quand il te serre, tu sens au bon endroit, avec la bonne personne au bon moment, tu te sens chez toi alaska. Parce que Alix c’est ton chez toi. Chaque pièce de cette maison vous les avez décoré et rénover ensemble, vous faites tout ensemble depuis vos seize ans. Comme l’évidence même. Vous vous êtes mariés avant l’âge légal parce que vous saviez .. que personne d’autre ne pourra jamais vous compléter comme vous. Parce que ton mari est la moitié de ton être, la moitié drole, la moitié solide, la moitié romantique, la moitié réveuse. Vous avez réalisé vos rêves puis vous avez fondez une famille, 10 années pour vous et depuis 4 ans vous êtes accompagnés par vos petits poussins.
Tu mentirais laska si tu disais que parfois votre jeune vingtaine ne te manque pas.
Ce moment où il n’y avait que vous.
Vous et votre amour qui irradié partout.
Vous deux simplement. Des envies de voyage plein la tête, des rires et de l’amour à rendre jaloux les anges.
À cette époque votre langage amoureux était physique, vous faisiez l’amour pour un rien juste un regard suffisait.
Aujourd’hui votre langage amoureux est poli, tu lui fais à manger, tu lui lave son linge, tu l’attends toujours quand il rentre pour lui demander comment était sa journée, vos regards sont toujours amoureux mais plus passionnés, parce que la passion c’est toi qui l’a perdue alaska.
T’es froide comme une porte de prison dès qu’il te touche et c’est même pas que c’est pas agréable c’est que tu t’agaces de ne plus ressentir comme avant, de ne plus le désirer comme avant ça te rend folle en réalité. Tu te sens prisonnière d’un corps qui ne fonctionne plus. T’as plus envie de moment intime, tu ne prends plus de plaisir du tout comme si Alice l’avait emporté avec elle le jour de ton accouchement.
Tu sais plus comment faire pour que ça revienne alors t’es en colère contre toi laska.
Tu ne peux pas lui en vouloir d’aller chercher ce que tu peux pas lui donner et en même temps une part de toi s’est brisée.. une part qui avait tellement confiance en ton mari, une part qui pensait impossible qu’il te trompe .. pourtant il le fait. Et tu le dis pas au passé laska parce qu’il en vient. Et que surement il y retournera.
Tu te serres bien contre lui et tu fermes les yeux
Tu le respires et tu te sens mieux
Tu chasses de ta tête, la déception, la douleur de la trahison, la colère…
Tu veux juste être la laska de 24 ans .. celle qui n’avait pas de problème, celle qui aimait pleinement..
Tu pousses sur ta jambes pour venir te grimper sur lui.
Damn.
Votre position de toujours, toi sur lui, tu sais pas comme il fait pour accepter que tu dormes comme ça, pour pas étouffer non plus parce que t’es tout ton poids dessus … tu soupires de bonheur.
« to the moon and back… » que tu murmures contre sa peau, ton oreille collée à son coeur que t’écoutes battre en rythme.
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T'peux pas dire qu't'es plus amoureux d'elle. En réalité, t'sais même pas c'que c'est de ne pas l'aimer. C'comme l'aimer depuis toujours. C'comme apprendre le vélo... ça n'se perd jamais réellement. Alaska c'est ça... c'est de l'aimer depuis tellement toujours qu'tu sais même pas c'que c'est d'ne pas l'aimer. T'veux pas non plus, le savoir. T'es heureux Alix, même si vos problèmes intimes minent le moral et jouent sur votre confiance en soit. T'sais que t'es pas correct d'aller voir ailleurs, même si c'est rarement et qu'c'est au maximum 1h... t'sais que t'es pas gentil d'le faire. Tu t'en veux constamment Alix, t'es pas comme ça. Tu l'aimes ta femme. Tu l'aimes ta famille. T'échangerais pas contre rien au monde. Surtout pas contre une fille lambda qui ne t'apportes rien de gratifiant. Elle est gentille... mais y'a pleins de gens gentils sur terre et pourtant, tu n'les veux pas dans ta vie pour toujours. Par contre, Alaska, elle c'est pour la vie.
Elle te pivote pour venir se coucher sur toi, alors tu t'laisse faire. Elle faisait toujours ça avant, d'te dormir dessus... bien que rare était les fois que ça en restait ainsi... maintenant t'sais qu'tu lui fait plus envie. T'essais fort d'ne pas le prendre personnel, parce que t'sais qu'elle désire personne tout simplement. Son corps est brisé.. du moins il est dysfonctionnel depuis la naissance d'Alice. T'viens doucement passer tes mains sous son t-shirt, flattant son dos tendrement. "To the Moon and back oui..." T'embrasses sa tête avant de la serrer contre toi, au chaud.
T'sais pas vraiment de quoi demain sera fait. T'sais pas si un jour elle va retrouver le goût d'avoir de l'intimité avec toi... et bien que ça devienne lourd au bout d'un moment, tu n'te vois pas avec une autre qu'elle. Alors, t'espères juste qu'elle retrouve un jour l'envie d'toi. L'envie d'avoir d'l'intimité. Que vous vous retrouviez, un jour, vous deux comme vous étiez. Comme vous avez toujours été. T'espères juste qu'c'est pas pour toujours... mais si ce l'est, t'feras avec. Vous trouverez une solution pour vous satisfaire tous les deux... mais jamais tu n'vas partir. T'préfères crever que d'quitter ta femme et tes enfants. T'préfères la chambre d'ami à n'importe quelle autre chambre au monde. Tu la serre contre toi, caressant son dos tendrement jusqu'à entendre son souffle ralentir. Son coeur bat moins vite... et ça t'calmes de tous tes démons des derniers mois... juste de la sentir contre toi ainsi... c'est suffisant pour te faire patienter encore des mois.
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