Trinity # I guess I’m selfish
38 ans. La quarantaine approche à grands pas avec son lot de rides qu'elle cache sous une tonne de maquillage, car elle exècre ces marques du temps, acceptant difficilement le fait qu'elle n'est plus à la fleur de l'âge, cherchant par tous les moyens à conserver son pouvoir de séduction comme si le perdre était une mort en soit. Née le 07/02/1986 à San Diego (Californie, USA).
Elle ignore ses origines, elle n'a jamais voulu mener d'enquête pour en savoir plus, car elle a peur des réponses. Elle l'assume. De plus, pourquoi chercher à en savoir plus sur ces connards qui l'ont abandonné à la naissance. Elle n'a pas besoin de regarder en arrière. Elle est américaine. Elle a toujours vécu aux états-unis et y est toujours resté.
femme, ci-genre.
Metteuse en scène à The Pandora Nightclub. Après plus de 9 ans passé sur le devant de la scène a faire fantasmer homme et femme sur ses formes alléchantes, Trinity est passé dans les coulisses, chorégraphe ses spectacles visuels qui ont lieu dans la salle principale et forme les nouveaux aux codes pour montrer sans trop en dévoiler, aviver le désir et l'alimenter sans le satisfaire pleinement. Elle aime cette univers et n'en a jamais rougi, qu'importe ce que certains ont pu trouver à redire.
$$$$$, Elle a un salaire convenable pour une personne qui n'a jamais fait d'études. Elle aime ce qu'elle fait alors elle ne se plaint pas. Elles, elle et Dana, ont assez d'argent pour subvenir aux besoins de la petite famille. Elle peut compter sur de grosses économies qu'elle a accumulée et fait fructifier à l'époque où elle était stripteaseuse et avait un profil Only Fans où elle offrait ses formes à la vue de ces fans pour une bonne poignée de dollars. Elle n'en a pas honte. La faim justifie les moyens. Ce qui leur a permis d'avoir une bonne épargne pour l'achat de leur maison.
En couple avec Dana depuis 12 ans. Un véritable coup de foudre. Elle l'a attiré dès le premier jour sans qu'elle ne se l'avoue dans un premier temps. Elle est tombée amoureuse de Dana tout simplement. Si elle est devenue cette femme stable, au caractère bien trempé, mais gentille, c'est grâce à cette femme. Ils ont essuyé des vagues et des tempêtes, mais elles s'aiment et c'est le plus important.
Bisexuelle. Elle se pensait clairement hétérosexuelle avant sa rencontre avec Dana. D'ailleurs, elle adore plaire et charmer les hommes. Elle ne peut pas s'en empêcher, se délecte de voir ce désir poindre dans leur regard tout en sachant qu'il ne sera jamais satisfait. C'est addictif. Avec la gente féminine, elle le fait moins. Sans doute parce qu'elle considère que ça serait manquer de respect à sa compagne, mais elle apprécie que leurs regards s'attardent sur ses formes, elle ne va pas se mentir.
En couple avec Dana sans lien de mariage. Trinity n'est pas une grande partisante des coutumes. Cela ne lui correspond pas. Elle était volage jusqu'à qu'elle rencontre Dana. Elle a cessé ses aventures lorsqu'elles ont vraiment actées qu'elles étaient ensemble. Aujourd'hui, elle est une figure parentale pour Stella et trois autres enfants qu'ils ont accueilli au sein de leur foyer, après des années de lutte pour obtenir le droit. Tout simplement parce qu'elle avait un style de vie jugé "inconvenable". Bien sûr. En tout cas, ce n'est pas tous les jours faciles, mais ces jeunes peuvent compter sur elles, même quand ils font de la merde. Ce qu'elle, n'a jamais eu durant toutes ces années dans le système.
Ses vingt et un ans. Elle a vu passer une annonce comme quoi le Pandora cherchait des danseurs. Elle en avait marre de vivre que de l'escort et de petits boulots qui lui permettaient pas de s'offrir la location d'un appartement. Elle s'est dit pourquoi pas. Elle savait danser, elle avait toutes ses chances.
ESTP
Audacieuse, Originale, Positive, Enthousiaste, Charismatique, Soif de découverte, Bavarde, Sensible, Explosive, Volage, Impulsive, Détachée. Johnson. Nom commun aux Etats Unis, donné à ce petit bébé qui a été retrouvé devant les portes d’une église à San Diego. Bébé abandonné dans le froid correct de cet état des Etats-Unis où les températures restent tout de même positives. Elle ignore tout de cela. Elle n’a jamais demandé à avoir accès à son dossier personnel, à l’enquête menée par les agents de l’Etat. Elle a toujours connu ce nom, l’a porté sans réellement y donner de l’importance. De toute façon, il était toujours différent des familles d’accueil où elle a vécu et elle a toujours ressenti cette frustration de ne pas faire réellement partie de ces familles. Un nom dont elle s’accommode, à défaut d’être fière de le porter.
Système de la protection de l’enfance. Elle n’a connu que cela. Elle a passée toute son enfance et son adolescence à être ballotée de famille d’accueil à famille d’accueil. Elle a dû rester le plus longtemps, trois ans dans une famille avant que celle-ci ne déménage à l’autre bout du pays sans songer à l’adopter. Pourtant, la petite fille qu’elle était alors à toujours tout fait pour plaire. Elle était sage, souriante, charmante, bien disciplinée, cherchant à rentrer dans le moule, à accepter les conditions parfois précaires dans lesquelles elle tombait. Cela n’a pas suffi. A l’époque de l’adolescence, elle a assez rapidement compris que ses formes devenaient attrayantes pour la gent masculine. Elle pouvait sentir le regard de ses camarades de famille d’accueil se poser sur elle, tout comme le dernier « père » qu’elle a eu. C’était plaisant. Devenir le centre de l’attention, avoir un certain pouvoir pour obtenir tout ce qui lui manquait. Elle a appris à en jouer pour obtenir plus de denrées alimentaires, plus de matériels de maquillage ou de vêtements.
Danse. Elle a toujours aimé danser. La musique lui parle. Elle n’a jamais suivi de cours, pauvreté oblige, mais elle s’est autoformée aux mouvements de danse contemporaine en trainant avec des jeunes comme elle. Elle a commencé à sécher les cours. Elle n’était pas douée pour les études. Les cours théoriques étaient d’un ennui profond pour elle. Elle préférait passer ce temps là dans son quartier à danser et à créer des nouveaux mouvements. C’est avec un de ses compagnons de danse qu’elle a perdu sa virginité, par son biais à lui qu’elle s’est faite son premier tatouage sans avoir un sou en poche. Elle adorait l’idée de pouvoir devenir une œuvre vivante. Et puis esthétiquement parlant, un danseur arpentant des tatouages était tellement beau. Une passion qui ne l’a jamais quitté, pas même lorsqu’elle a été sortie du système de l’enfance à dix-huit ans. Elle a trainé chez des compagnons de danse. Elle a fait des petits-boulots par-ci par-là, à découvert que sa beauté était désirée et a repris ses vieilles habitudes pour charmer ses victimes et obtenir ce qu’elle désirait : un repas, des bijoux, des vêtements, un toit pour dormir. Elle a vécu ainsi jusqu’à ses vingt et un an, avant de découvrir un night-club non loin de San Diego, qui était à la recherche de danseurs. Elle a tentée sa chance, ce qui lui a permis de découvrir un autre univers, dans lequel elle a trouvé toute sa place et où elle est devenue Emy.
La Danse burlesque, le style boudoir. C’est au sein de The Pandora qu’elle s’est initié à cette spécificité de la danse pour en faire la sienne. Elle a adoré cet univers, la sensualité qui dépeint de chaque mouvement exécuté, le jeu des sourires, du regard, des frôlements parfois. Elle y a trouvé son compte, appréciant chaque soirée qu’elle passait au sein de l’établissement, mettant tout en œuvre pour obtenir des précieux pourboires et des admirateurs, qui ont fini par lui parler de l’interface « Only fans ». Une rencontre avec un photographe lui a permis de s’initier à un style de photo érotique « boudoir ». A cette époque, elle appréciait totalement l’attention qu’elle attirait sur elle, alors si en plus, cela pouvait lui permettre de gagner plus d’argent pour s’acheter des affaires qui ne pourraient que la sublimer, c’était parfait. Elle n’a jamais regretté ces années où elle a vit pleinement sa vie de jeune femme fatale. Elle a toujours tiré les rennes de ses échanges, du moins, c’est l’impression qu’elle en a toujours eu. C’était toujours un contrat équitable pour tout le monde. Ils payaient, ils pouvaient s’abreuvoir de sa sensualité, de la courbe de ses formes et du dessin de ses tatouages qui au fil des années ont commencé à orner son épiderme, le sublimant pour toujours plus provoquer. Son style de vie provocant allait jusqu’à sa garde-robe, qui était extravagante. Elle se pensait heureuse, sans doute l’était-elle, mais elle survivait, sans réel but que de profiter de la vie sans penser au lendemain.
Dana. Elle avait 25 ans lorsque sa route a croisée celle de cette jeune assistante sociale. Cela faisait 4 ans qu’elle travaillait au Pandora, connaissant plus ou moins les gens, mais sans réellement s’y intéresser plus que cela. Sans doute parce, qu’elle était focalisée sur l’idée de gagner de l’argent, de se sortir de la misère et que mine de rien, c’était un univers de compétition, même si ce n’était pas la guerre non plus entre les filles. Elle venait de sortir de la scène principale lorsqu’elle avait aperçu un videur échanger vivement avec une jeune femme. Intriguée, elle s’était approchée et avait vu que la jeune femme tenait une photo entre les mains. Elle était intervenue et avait laissé le videur reprendre ses activités en lui indiquant qu’elle s’en occupait. Il y avait peu de chance que cette demoiselle fasse du mal à quiconque. Elle l’écouta à son tour. C’était une gamine qu’elle suivait avec ses parents depuis quelques années. Elle avait disparu. Il semblerait que certaines personnes l’avaient vu dans le club avec un homme. Elle avait regardé de plus près la photographie. Elle n’avait pas souvenir de l’avoir croisé, mais elle lui promit d’ouvrir l’œil. Elle la regardait d’un œil curieux. Elle semblait vraiment concernée par la situation de cette demoiselle, qui venait juste d’avoir dix-huit ans. Si seulement, sa route avait croisé celle de personnes comme elle, peut-être qu’elle n’aurait pas fini dans ce club. Elle récupéra son numéro de téléphone, lui promettant de la rappeler si elle tombait sur elle. Trace de la jeune fille qu’elle sembla retrouver par son réseau de connaissance. Elle trainait pas mal avec un mec qu’elle avait déjà rencontrée. Elle prit le parti d’aller à sa rencontre, de rencontrer cette demoiselle qui semblait être aussi perdue qu’elle à son âge. Elle lui proposa de se revoir pour boire un verre, ce qu’elle accepta. Elle donna rendez-vous à Dana pour qu’elle puisse être présente, tenter de raisonner cette demoiselle, qui a défaut d’avoir une situation convenable avait des parents qui tenaient à elle. Elles parvinrent à la raisonner, à lui donner envie de rentrer chez elle. Trinity lui narra son histoire, lui indiquant que sa vie aurait pu être différente si elle avait eu la même chance qu’elle : d’avoir des parents aimants. Trinity était satisfaite d’avoir pu aider cette gamine, même si inconsciemment, elle se rendit compte que sa vie n’était pas fameuse.
Bisexualité. Elle s’était toujours pensée hétérosexuelle avant sa rencontre avec Dana. Pourtant, il lui fut assez simple de remarquer qu’elle avait envie qu’elle pose son regard sur elle, de la séduire pour arracher quelques rougeurs sur ses joues encore juvéniles. Elle la trouvait belle, adorait lorsque lors d’une de leur rencontre autour d’un gouter, leurs doigts se frôlaient par inadvertance en prenant un sucre ou le sucre glace pour accompagner leur sucrerie. Elle se sentait bien à ses côtés. Elle était si différente d’elle, malgré qu’elle aussi avait été dans le système de la protection de l’enfance. Pourtant, elle la comprenait, ne la jugeait pas sur ses choix de vie. Il lui sembla même qu’elle l’appréciait, lui plaisait au fil des rencontres. Alors naturellement, elle tenta sa chance. Elle l’embrassa à un coin de rue au moment où elles devaient se séparer. Elle ne s’excusa pas. Au contraire, elle avoua qu’elle en avait envie depuis quelques temps. Elle lui plaisait, même si elle ne savait pas trop quoi faire de ce sentiment, de cette attirance et affection qu’elle ressentait réellement pour quelqu’un depuis des années. C’était la première fois, cela l’excitait comme la terrifiait, mais elle voulait plonger quoi qu’il arrive si elle voulait bien d’elle. A cette époque, elle était loin de supposer qu’elle s’embarquait pour une histoire qui dure depuis plus de douze ans.
Trouble de la personnalité histrionique.
Transformation. Elle dura près de trois ans. A la suite de cet évènement, de sa rencontre avec sa psychologue et notamment le poids du regard réprobateur que lui offrait certains amis de Dana, elle prit conscience que si elle voulait garder Dana durablement, elle allait devoir fournir des efforts. Leur équilibre était précaire. Elle le savait. Elle adopta une garde-robe plus sombre sans pour autant diamétralement la modifier dans un premier temps. Elle opta pour des chemisiers, des T-shirts et des débardeurs plus conventionnels, moins échancrés. De même pour ses robes, jupe, pantalons ou shorts. Elle prit le parti de fermer son compte « Only fans » lorsqu’elle prit conscience que son obsession pour cet outil était due à son trouble, de même, elle opta pour changer de métier au sein du Pandora, s’effaçant de plus en plus du devant de la scène pour passer à l’arrière, pour former et créer ses chorégraphies que les danseurs mettront à l’œuvre. C’était également le timing parfait par rapport à leur souhait de devenir famille d’accueil. Après tout, pourquoi pas elles ? Elles pouvaient apporter un cadre serein et sécurisé pour des enfants, qui comme elles, avaient été ballotées par la vie. Trois ans, c’est le temps qu’il leur a fallut pour avoir l’autorisation d’accueillir des enfants au sein de la maison qu’elles venaient d’acheter. Une nouvelle Trinity, dans une nouvelle maison avec une nouvelle vie sans pour autant oublier d’où elle venait. Elle voulait croire qu’elle pouvait se défaire de ce trouble, malheureusement, il est tellement ancré dans sa construction qu’il demeure toujours présent. Elle se doit juste de le maitriser, poursuivre sa thérapie, suivre les conseils qu’on lui donne. Elle fait de son mieux. Dana le sait mieux que personne. Elle est devenue plus stable, plus maitresse d’elle-même, une présence sur laquelle Dana peut compter pour s’occuper des enfants. Son besoin d’attention est la plupart du temps maitrisé, mais demeure bien présent. Elles s’aiment, c’est une certitude. Dana sait qu’elle est folle d’elle. Elle ne peut pas concevoir une autre vie sans elle. Ce serait comme lui arracher le cœur de la poitrine. Pourtant, Trinity a toujours besoin de briller, alors elle a créé un compte Instagram où elle publie des tutos de maquillage, des astuces sur des produits de beauté, des accessoires de mode ou des marques de vêtements. Un moyen de se connecter aux autres, de les séduire autrement, car c’est malheureusement ancré en sa personne, tout comme le fait de charmer, mais en restant qu’à la surface pour éviter de blesser de nouveau. Parce que malheureusement, cela fait partie d’elle.
- Code:
<aa2>Sara Mills</aa2> @"Trinity Johnson"
- Code:
<aa2>metteuse en scène</aa2> @"Trinity Johnson"
- Code:
<aa2>#1019</aa2> @"Trinity Johnson"
- Code:
<ac>@"Trinity Johnson"</ac> <aa>38 ans, en couple avec @"Dana Rojas", bisexuelle, metteuse en scène à The Pandora Nightclub</aa>
Merci d'indiquer via un astérisque (*) vos comptes gratuits et vos comptes faciles.
- Code:
<ac>@"rama ratanaporn"</ac> @"trinity johnson"*, @"elias wayfield"*, @"kelia rojas", @"natanael suarez"*
@Dana Rojas : Merci pour ta confiance ! J'espère qu'elle te plaira jusqu'au bout !
@Tabitha Knox : Merci ! J'espère que la suite te plaira tout autant alors !
@Frankie Crane : Merci à toi !
@Sam Ashby : Merci !
@Tabitha Knox : Merci ! J'espère que la suite te plaira tout autant alors !
@Frankie Crane : Merci à toi !
@Sam Ashby : Merci !
Merci à vous trois !
Je pense que ma fiche est terminée !
J'espère que @Dana Rojas et @Seo Heesung que Trinity, vous plaira !
Je pense que ma fiche est terminée !
J'espère que @Dana Rojas et @Seo Heesung que Trinity, vous plaira !
@James Drake : C'est prévu que je vienne t'embêter . Promis, elle est folle amoureuse de sa Dana .
félicitations, te voilà validé·e
je n'étais pas passée par ici alors déjà rebienvenue avec ce très joli reboot, trop contente que tu ai craqué pour un des métiers du pandora et j'espère bien qu'elles se marieront bientôt quand même avec dana, non mais (et que heesung sera invité)
Te voilà maintenant validé·e et prêt·e à rentrer dans le jeu. Afin de t'y retrouver au mieux, tu trouveras ci-dessous les divers registres (tu peux également vérifier si tu y as bien été ajouté·e).
Mais également d'
Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter quelqu'un de l'équipe administrative.
Nous te souhaitons un très bon jeu parmi nous.