Freja (+) No remorse, no regret

Dim 12 Mai - 22:56

Freja Hansen
ft. scarlett johansson - stars

trigger warnings // deuil (attentats du 11/09/2001, décès père), dépression sévère (mère), relation toxique (manipulation psychologique), violences verbales (dénigrement conjugal).

âge, naissance
40 ans. Née le 12/04/1984 à New York (USA). Le début de la quarantaine signe le début d’une nouvelle vie pour elle. Après plus de dix ans passés sous l’emprise de son ex-mari, elle aspire à se retrouver, redevenir celle qu’elle était avant de tomber sous le charme et les manipulations habiles de son ex-conjoint, véritable requin politique qui a su tant lui retourner le cerveau. Aujourd’hui, elle consacre sa vie qu’à elle et à son travail et cela lui convient totalement. Elle a tenu, elle ne compte pas flancher. Jamais.

origines, nationalité
danoises du côté de son père. Juive ashkénaze du côté de sa mère. Elle ne croit plus en la religion depuis l’attentat qui a coûté la vie de son père, alors qu’elle venait d’avoir 17 ans. Américaine. Elle se sent patriote de ce pays où quiconque peut évoluer s’il s’en donne les moyens.

genre
femme. Ci-genre. Elle ne s’est jamais posé cette question. Elle embrase pleinement sa féminité, tout comme elle n’hésite pas à adopter un style plus garçon manqué quand l’envie lui en prend sans qu’on puisse avoir un doute sur son appartenance de genre

occupation
Capitaine de la station 51 depuis quelques jours. Elle vient tout juste d’arriver après deux années passées à la tête de la caserne Engine-84 à la suite du départ à la retraite de son ex-capitaine qui a vu en elle, l’étouffe d’une cheffe. Elle est respectée pour ses capacités de management, de gestion des crises et sa capacité à prendre la parole en public. Elle a demandé sa mutation à Oceanside, à la suite de son divorce, désirant débutée une nouvelle vie loin de l’emprise de son ex-compagnon, qui a cherché à la manipuler jusqu’au bout. Elle se sent prête pour cette nouvelle vie et aspire à rencontrer sa nouvelle équipe pour travailler avec eux. .

situation financière
$$$$$, le rang de capitaine d’une caserne offre un revenu plus que confortable. Elle a une situation financière très confortable, bien rentabilisée avec des placements. Le jugement du divorce lui a permis d’obtenir une bonne somme. Sans doute un don pour éviter qu’elle n’ébruite les sombres habitudes de son ex-conjoint envers ses compagnes. Elle s’en moque, tant qu’il reste éloigné d’elle. C’est tout ce qui l’importe et il semble l’avoir compris. Il s’est retiré sans faire de bruit lorsqu’il a senti sa détermination dans son regard.

statut civil
Divorcée depuis deux mois, après six mois de procédure où son conjoint a tenté de la faire changer d’avis avant de prendre conscience qu’elle ne reviendrait plus. Elle est actuellement célibataire. Elle profite de sa vie de célibat, travaillant d’arrache-pied et goutant au plaisir des rencontres lorsque l’occasion se présente. Elle a encore à l’esprit, Tyler, cet homme qu’elle a rencontré à un moment clé de son existence, qui l’a fait rire comme l’adolescente qu’elle avait pu être par le passé. Elle a retrouvé une légèreté qu’elle s’est efforcée de garder jusqu’à aujourd’hui. Une belle parenthèse dans sa vie, qui aujourd’hui, lui permet d’être parfaitement bien dans sa tête et son corps.

orientation sexuelle
Pansexuelle. Le genre de la personne n’a jamais eu d’importance pour elle. Elle a besoin d’éprouver une connexion avec l’autre avant de se laisser tenter. Elle l’a toujours su, mais ne se l’est jamais avouée. Il y a que dernièrement qu’elle est plus prompte à l’accepter.

situation familiale
Orpheline officieusement. Son père fait malheureusement partie de ces âmes qui ont péris le 11 septembre 2001. Une journée funeste qui l’a fortement marquée et incitée à changer de voie dans ses études. Ce jour-là, elle n’a pas perdu que son père. Sa mère s’est éteinte à l’annonce du décès et depuis, elle n’a jamais pu la retrouver. Sa mère souffre d’une dépression sévère, diagnostiquée et suivie. Elle a tous les soins qu’il lui faut dans l’hôpital dans lequel elle l’a transféré en arrivant à Oceanside, il y a quelques semaines. Elle semble y prendre ses marques.

Sans enfants. Elle est une femme carriériste qui est tombée follement amoureuse d’un homme qui l’était autant qu’elle. L’intensité de son métier, un manque de fertilité ne lui ont pas permis d’enfanter. Elle ne le regrette pas. Elle n’est pas certaine qu’elle aurait été une bonne mère. Avec du recul, elle se dit qu’il aurait été dommageable qu’un enfant soit également la proie de la tendance maniaque de son ex-compagnon. Alors, elle a fait le deuil d’entendre un jour « maman » sortir des lèvres d’un enfant. C’est la vie.
.

à oceanside depuis deux semaines. Elle est arrivée pour prendre ses marques avant sa prise de postes en mi-mai. Elle trouve le cadre agréable et en plus, elle y retrouve une bonne amie d’enfance qu’elle retrouve avec plaisir. Elle aussi semble vivre une étape singulière de son existence. Elle se dit qu’elles pourront se soutenir au besoin.

ESFJ

Amicale, Tolérante, Déterminée, Loyale, Organisée, Chaleureuse, Sympathique, Solidaire

perso irl

I want you to hold out the palm of your hand

Hansen. Ce nom de famille, elle le porte avec fierté depuis sa plus tendre enfance. Elle est née à New York en 1984, fille unique d’un couple éperdument amoureux l’un de l’autre. M. Hansen était le chef d’orchestre de l’opéra de New York. Chaque jour, il était le maître qui faisait vibrer les murs de ce monument. Freja a grandi avec une appétence et une affection toute particulière pour la musique classique. Elle se souvient de l’époque où jeune enfant, sa mère l’amenait à un des spectacles pour s’installer au premier rang et se perdre dans la gestuelle de son père qui s’élevait tel un fantôme de l’ombre devant une ribambelle de musiciens qui apportait une touche incroyable au spectacle qu’ils pouvaient admirer sur scène. C’est à cette époque qu’elle a nourri le doux espoir de devenir une de ses ombres, une musicienne qui ferait chanter son instrument sous le mouvement de son père.

Passionnée de violoncelle. Elle s’est naturellement intéressée aux instruments à corde, développant une affection toute particulière pour le violoncelle. Elle a toujours apprécié la sensation de sentir cet instrument imposant tout contre son corps frêle, de laisser ses phalanges glisser sur les cordes tandis que son archer les fait vibrer, sentant les reliques de ces vibrations au travers de tout son corps. Tout d’abord sous les conseils de son père, qui lui a appris les bases du solfège et de la lecture de la musique, elle a commencé à en jouer quand elle a eu 9 ans. Elle a pu bénéficier de cours de violoncelle, où elle a passé un nombre d’heures conséquents à chercher à s’améliorer, développer une technique qui pourrait lui permettre de tirer son épingle du jeu. Elle était douée, un diamant d’après son père qu’il fallait juste polir pour lui permettre de briller pleinement. Cela faisait un an qu’elle étudiait au sein de la Julliard School dans la section musique. Elle touchait son rêve du bout des doigts lorsque l’inattendu s’était produit.

Attentat. Elle avait 17 ans. Nous étions le 11 septembre 2001 lorsque l’enfer s’est abattu sur New York City. Elle était à la Julliard School lorsque des cris d’effrois et de douleur sont venus amoindrir les notes de musique distillées depuis des heures. La curiosité, l’angoisse les a fait abandonner leurs instruments pour s’intéresser à la source de tout ce raffut. La sentence tomba comme un coup de massue sur chacun des étudiants. Si les premières secondes furent empreinte de stupeur, très rapidement la panique s’installa, l’angoisse prit possession de chaque membre. L’horreur était en train de se dérouler à 40 min d’où ils se trouvaient. La panique générale régnait. Personne ne savait comment réagir. Très rapidement, on les invita à se regrouper, à évacuer au cas où, à suivre le protocole d’évacuation, mais tout était brouillon. Freja s’efforçait de suivre le mouvement, résolument désorientée, perturbée par les images qu’elle voyait à la télévision. Elle voyait l’horreur sous ses yeux sans réellement en prendre conscience. Ces deux avions qui s’étaient crashées sur les deux tours emblématiques de la ville, des centaines de vie détruites, peut-être des milliers. A ce moment-là, elle était loin d’imaginer qu’elle allait être une des victimes de cet enfer de Dante vivant. Elle envoya un message à son père et à sa mère pour leur dire qu’elle allait bien. Lorsque son père l’appela, elle n’imagina pas la moindre seconde qu’il était au milieu de l’enfer. Elle le comprit lorsqu’elle entendit sa voix, rauque, légèrement difficile s’extirper du combiné. Il était dans la tour. Il ne savait pas s’il pourrait sortir. Il était dans une partie supérieure de la tour, au-dessus de là où le premier avion s’était crashé. Cette pensée lui retourna les tripes. L’angoisse se renforça alors qu’elle paniquait. Il essaya de la rassurer, de lui dire que les pompiers arrivaient, qu’ils allaient trouver une solution, mais elle n’en croyait pas un mot. Elle voyait bien que les flammes prenaient de plus en plus de place sur la façade du bâtiment touché. Il allait mourir. Elle en était sûre. Il le savait. C’est pour cela qu’il l’appelait. Elle se mit à pleurer de douleur, de détresse alors que son père tentait de la consoler. Elle se rappellera à jamais de ses derniers mots. « Quoi qu’il arrive ma chérie, je suis fier d’être ton père. Je t’aime. » Elle aussi, elle l’aimait et elle allait le perdre. « Ta mère va avoir besoin de toi. » Il lui murmura dans une voix empreinte de douleur à l’idée de ne plus être là, pour celle qu’il aimait comme au premier jour. « Je serai là, je serai toujours là pour elle. » Elle le lui promit avant que les cris des personnes présentes dans la tour ne couvrent totalement le son de la voix de son père. Il raccrocha juste après alors qu’elle s’effondrait dans des pleurs inconcevables, soutenues par quelques amis qui venaient de la prendre dans ses bras.

Vocation. Elle découvrit plus tard que sa mère était également sur les lieux au moment de l’incident. En état de choc, elle était restée là devant la tour, attendant désespérément que son époux sorte de la tour comme tous ceux qui sortaient. Elle n’a pas songé un instant à aller se protéger. Elle a attendu patiemment, durant des dizaines de minutes avant que les pompiers n’arrivent à plusieurs casernes sur les lieux et l’en extirpent contre son gré. Ils l’avaient mis en sureté lorsque la première tour s’effondra. Freja a dû attendre des heures interminables pour savoir ce qui était advenu de sa mère. Elle l’avait appelé trop de fois au cours de la journée. Elle était terrifiée à l’idée qu’elle aussi été morte. Quelqu’un avait fini par décrocher. C’était agité autour de la personne. Très rapidement, elle comprit que c’était une infirmière, que sa mère était en état de choc, incapable de se rappeler ni son nom, ni son prénom. Elle lui donna toutes les informations nécessaires. On l’informa qu’il était préférable qu’elle attende le lendemain pour venir la retrouver. Freja développa une curiosité maladive sur cet évènement. Elle regarda la chaine d’information toute la journée et la nuit, voyant ses tenues rouges tentaient de souvent des vies qui pouvaient encore être sauvées sous les combles des tours. Elle tomba sur l’interview d’un chef de caserne. « Nos équipes sont mobilisées et tourneront autant de jours qu’il le faudra pour sauver ceux qui peuvent être sauvés et rendre à leurs proches ceux qui n’y auront pas survécus, afin qu’ils puisent reposer en paix. » Elle avait fondue en larmes. Malheureusement, son père fit parti de ceux qu’on ne retrouva jamais. Son âme est partie dans un cercueil vide alors que de ses mains et corps tremblants, elle jouait son dernier morceau de violoncelle, the sound of silence, devant une assemblée aussi ébranlée qu’elle. Son rêve ne pouvant plus se réaliser, elle abandonna sa vocation, cette passion qu’elle partageait avec son père pour changer de voie. Ils n’avaient pas pu le sauver, mais elle voulait s’assurer de pouvoir sauver autant de pères qu’il lui serait possible de le faire, en adossant à son tour l’uniforme rouge.

Reconversion. Dès qu’elle eut 18 ans, elle demanda à intégrer les pompiers en qualité de sapeur-pompier volontaire. Elle changea ses plans pour faire ses demandes à l’université, se plongeant corps et âme dans les études, cet objectif aliénant qu’elle voulait atteindre coute que coute. Elle put entrer à l’université de New York dans les sciences du feu où elle y fit une licence et un master. L’argent n’était pas un problème en soi. Son père avait contracté une assurance vie. Elle pu compter sur le soutien de son oncle et de sa tante maternelle et ses cousins à distance, qui lui permirent de garder la tête hors de l’eau alors qu’elle était obligée d’hospitaliser sa mère dans le cadre d’une dépression sévère. Sans cette détermination, elle se serait écroulée et elle savait qu’elle n’avait pas le droit à l’erreur. Alors, elle s’est forcée à avancer, même les jours où c’était compliqué. Elle ne s’est pas laissée le temps de réfléchir. Elle s’est plongée corps et âme dans cette vocation qui avait pris naissance au cœur de l’enfer. Elle a réussi brillamment ses études, alternant les études et son poste en tant que pompier volontaire. Elle a passé les examens pour devenir professionnel, intégra la caserne qui devint sa demeure de longues années. Elle était déterminée, mais raisonnable sur le terrain. Elle avait une capacité à estimer et analyser les risques et de prendre les bonnes décisions. Elle continua à se perfectionner par des petites formations très spécialisées pour monter encore plus en compétence. Elle est devenue cette beauté glaciale, cette femme que rien ne peut ébranler, à l’humeur toujours égale. Elle avait un seul but : sauver ceux qui pouvaient l’être et rendre à leurs proches, ceux qui n’étaient plus de ce monde. C’est tout ce qui l’importait.

Carriériste. Il a été très vite évident que la demoiselle cassée les codes de la féminité. Elle était sûre d’elle, déterminée à mener à bien tous ses projets, gérant à la fois sa carrière et les soins apportés à sa mère, qu’elle surveillait avec une attention très particulière, sans jamais perdre son sourire et sa joie de vivre, car elle avait conscience de la chance qu’elle avait d’être vivante. Pourtant, malgré cette façade à l’apparence irréprochable, elle se sentait particulièrement seule. Elle voulait pouvoir se reposer sur une autre âme, autre que ses amis qui étaient toujours là pour elle et qu’elle chérissait. C’est lorsqu’elle monta en grade dans la hiérarchie, qu’elle du suivre à plusieurs occasions son capitaine sur des soirées mondaines, qu’elle rencontra la trajectoire de Philip. Philip était un politicien en devenir, avec son diplôme à la poche et son réseau qu’il devait à des années de bénévolat dans son parti politique. C’était un homme sûr de lui, très consciencieux, à l’intelligence réelle et au charisme enivrant. Il était un très beau parti et il lui donnait de l’attention, l’a charmé et séduite. Elle est tombée amoureuse, assez naturellement, se laissant enivré par cette affection qu’elle a commencé à développer pour lui. Peut-être qu’elle aussi allait vivre cet amour si magnifique qu’elle avait pu voir avec le modèle de ses parents. Ils en prenaient le chemin. Fiançailles, un an après la rencontre et Mariage au bout de deux. Tout semblait être tracé. Le bonheur était là. Elle savait qu’il y aurait un enfant et au moins un second. Du moins, c’était ce qu’ils avaient envisageaient lorsqu’ils évoquaient cette vie de famille. Elle ne voulait pas que d’un enfant unique, car elle avait vécu une enfance assez solitaire et s’était sentie seule pour partager la peine éprouvée lors de la perte de son père. Elle ne voulait pas que leurs enfants aient à vivre la même chose et il en convenait. A cette période de son existence, elle vivait un comte de fée. Philip était tout ce dont elle pouvait rêver. Du moins, elle en était persuadée. La première grossesse arriva tardivement malgré les efforts fournis. Ils ne perdirent pas espoir. Ils réitérèrent durant de nombreux mois avant qu’un test positif leur offre cette joie d’apprendre qu’ils allaient devenir parents. Une nouvelle qu’ils gardèrent pour eux, en attendant le premier trimestre pour être certain. Malheureusement, ils n’eurent jamais la chance de le voir naitre ou même de partager cette joie. Première disconvenue, première déception et premiers pleurs, car ce n’était pas anodin. Philip se montra prévenant et soutenant. Une deuxième tentative eut lie quelques mois plus tard, suivant le même rythme d’attente avant qu’ils aient une lueur d’espoir. L’âge de Freja commence à avancer, les risques également. Ils s’accrochent. Une nouvelle fois, elle le perd, tout juste après la première échographie. Cette fois, la pilule est plus difficile à passer. Le couple tente de comprendre ce qu’il leur arrive. Il est décidé de faire des tests de fertilité. Quelques mois de tests pour arriver à un diagnostic : risque accru d’infertilité due à une adénomyose de la part de Freja, mais pas impossible si une AMP ou FIV est envisagée. Le couple accuse la nouvelle. L’annonce fait mal et une certaine frustration est perceptible dans les réactions de Philip. Ses propos sont plus cassants, car il ne sait quoi faire. De fait de ses convictions, de son parti d’appartenance, s’aventurer dans cette voie est impossible. Ses plans se retrouvent mis en branle et il a du mal à accepter que les choses ne se déroulent pas comme prévu. La pression grimpe également sur le plan professionnel. Le couple connait des perspectives qui font qu’ils mettent cette perspective de côté. Lui gravit des échelons dans son parti, dans le visage politique de la ville. Freja, elle est envisagée comme une potentielle future capitaine pour prendre la relève de son supérieur actuel. Chacun se lance pleinement dans ces voies offertes. Les retrouvailles sont toujours intenses, notamment sur le plan intime, mais les échanges deviennent plus froids et mesurés. Ils évitent de parler du sujet tabou, mais pas les autres qui les questionnent sur le manque d’enfants dans leur foyer. Sourire de circonstance, mais qui masque une frustration et une peine sous-jacentes. Philip devient plus dominant, manipulateur. Il réclame plus qu’elle n’est en possibilité de donner. Elle se soumet à ses volontés, car elle l’aime. Elle se sent petit à petit étouffée, mais elle ne dit mot. Cette quête vers une grossesse réussite semble improbable lorsqu’elle atteint l’âge de 38 ans. Un échec. Fait insupportable pour Philipe qui l’oblige à se mobiliser avec lui pour accroitre sa population, elle qui est devenue capitaine de la caserne de son district. Elle y consent, s’implique plus dans la vie mondaine, malgré des responsabilités importantes, mais elle lui doit ça. C’est du moins ce qu’elle suppose. Elle apprend l’existence d’une autre, d’une assistante avec laquelle il couche pour satisfaire des pulsions et se décharger de cette rage qu’il ressent à son égard. La nouvelle l’ébranle, la met hors d’elle et elle envisage de le quitter, mais il la retient, lui rappelle ses devoirs vis-à-vis de lui, le fait qu’elle ne lui a pas donné d’enfant et que ça lui porte préjudice. Il lui rappelle qu’il l’aime et qu’il compte bien qu’elle reste sagement à sa place, car il refuse de la perdre. Paroles percutantes sous des mots doux, qui la font baiser la garde. Du moins quelques mois jusqu’à qu’elle prenne des vacances avec des amies. Elle s’absente durant une semaine et c’est la libération. Enfin, elle respire. Elle respire tellement que ça en est douloureux. A son retour, elle prend rendez-vous avec une avocate. Elle prend ses affaires et quitte leur foyer pour se louer un appartement. Un an de procédure s’engage avec Philip pour qu’il signe ses papiers de divorce. Plus d’une fois, il essaye de la convaincre de revenir, mais elle ne flanche pas, malgré la sécurité qu’il lui apporte, elle veut pouvoir respirer, faire comme elle le souhaite. Il finit par signer les papiers en décembre 2023, ce qui signe la fin d’un chapitre et le début d’un nouveau.

Renaissance. Elle va fêter naturellement son divorce en prenant quelques jours à la montagne avec une bande de copines. Elle est là pour se changer les idées et profiter de cette liberté retrouvée. Elle y rencontre un homme, Tyler, plus jeune qu’elle, mais avec la tête sur les épaules. Très bel homme, il a cette aisance à lui arracher des sourires et des rires. Elle se sent bien en sa compagnie et elle retrouve une insouciance qu’elle a perdu et elle s’en rend compte. Le fil entre eux se déroule naturellement durant ces quelques jours où leurs routes se croisent. La soirée du nouvel an les rapproche significativement. Une soirée où elle lâche les rênes, profite de l’instant présent et laisse la tension grandir entre eux. Une tension qu’ils ont consumés durant une nuit d’ivresse qui lui a permis de s’apprivoiser de nouveau en tant que femme. Tyler l’ignore, mais il lui a offert une véritable bouffée d’air, lui a permis de se retrouver et elle lui en est reconnaissante, même si elle ne sait rien de lui et n’a rien attendu de ces quelques jours passés ensemble. A son retour à New York, elle demande à être mutée. Elle souhaite refaire sa vie ailleurs. Elle songe naturellement à la Californie, car Lucy y vit. Elle postule naturellement dans les casernes de l’Etat, est finalement contactée par une caserne dont le capitaine part à la retraite. Elle signe naturellement et prépare son départ pour Oceanside où elle intègre une des casernes. Aujourd’hui, elle débute une nouvelle page de son existence, prête à découvrir ce que la vie lui réserve.

prénom, pseudo marianne, mary. âge 36 toujours. pays france. personnage pré-lien de @Tyler Scott et pré-lien de @Austin Williams. type de personnage () premier compte () multicompte normal () multicompte gratuit (x) multicompte facile ; rama, trinity, elias, kelia, natanael. origine‧s de la célébrité danoises et juive ashkénazed'où viens-tu je le connais comme ma poche maintenant. crédits @lunaspacks + @all-souls . autre je vous aime.

i don't wanna talk about the way that it was

bottin des avatars

Code:: <aa2>Scarlett Johansson</aa2> @"Freja Hansen"

registre des emplois et logements
quartier peacock
lieuOCEANSIDE FIRE STATION 51

Code:: <aa2>capitaine des secours</aa2> @"Freja Hansen"

quartier south oceanside
type d'habitation Maison.
autres habitants

Code:: <aa2>#0412</aa2> @"Freja Hansen"

répertoire des personnages

Code:: <ac>@"Freja Hansen"</ac> <aa>40 ans, divorcée, célibataire, pansexuelle, capitaine des secours d'oceanside fire station 51</aa>

multicomptes
Merci d'indiquer via un astérisque (*) vos comptes gratuits et vos comptes faciles.

Code:: <ac>@"Rama Ratanaporn"</ac> @"Trinity Johnson"*, @"Elias Wayfield"*, @"Kelia Rojas", @"Natanael Suárez"*, @"Freja Hansen"*

Dim 12 Mai - 23:02

La voilà la belle et douce cousine d'amour ! kissluv

Courage pour le reste de ta fichette, je sais déjà qu'elle va être incroyable !

Lun 13 Mai - 1:56

(re)bienvenue avec ce choix incroyable de pl et de fc. drama

Lun 13 Mai - 4:46

(re)bienvenue parmi nous. Freja (+) No remorse, no regret 3827413925

Lun 13 Mai - 8:19

je trouve que scarjo comme hyper bien au rôle et charisme qu'on attend d'une cheffe de caserne. aon

rebienvenue et bon courage pour ta fiche. rainbow

Lun 13 Mai - 12:14

Ree

Avec ce beau choix de PL, et ce fc qui lui va si bien Freja (+) No remorse, no regret 3116843944

Hâte d'en savoir plus, et de voir les aventures rp Freja (+) No remorse, no regret 3116843944

Bon courage pour ta fiche coeur

Je te réserve scarlett pour 7 jours. coeur

Lun 13 Mai - 18:32

ScarJo en blonde, je valide si fort 1998006903

Rebienvenue chez toi et bon courage pour la suite de ta fiche Freja (+) No remorse, no regret 3513915865

Lun 13 Mai - 20:47

re-bienvenue coeur

Lun 13 Mai - 23:11

(re)bienvenuuuuue. flower

Freja (+) No remorse, no regret 1915553615

_________________

— ; c’est au cœur de mes sentiments les plus sombres que j’ai trouvé des perles de lumière.

Lun 13 Mai - 23:19

Re-bienvenue chez toi Freja (+) No remorse, no regret 1491900633

Quel choix de fc, j'adore cette Scarlett cheveux courts !
Hâte de voir le lien avec Tyler heart1

Mar 14 Mai - 21:52

@Lucy Wayfield : Merci beaucoup cousine d'amour coeur

! J'espère que la suite plaira tout autant coeur

. Elle traine, car la reprise est dure les amis mdr

!

@Nicola Aznar ,@Charlize Hendriks, @Baek Kihyun,@Aela Cardona : Merci à vous les amis coeur

!

@Leif Sundström : Je trouvais aussi qu'elle calait trop à ce qu'on pourrait voir comme profil pour une cheffe de caserne de pompier. Elle a cette aura et cette aisance qui colle totalement à l'emploi, je trouve coeur

! Merci à toi !

@Margot Wheeler : J'espère que la suite te plaira tout autant Freja (+) No remorse, no regret 1198334161

! Merci à toi coeur

!

@Hope Charpman : Merci la miss coeur

!

@Moon Jungwoo : Idem, je suis trop amoureuse d'elle quand elle a cette coupe là. Elle est juste PARFAITE Freja (+) No remorse, no regret 1698360513

! Merci à toi !

Je me dépêche de pondre l'histoire quand mes neurones accepteront de se connecter en mettant de côté la fatigue mdr

!

Mer 15 Mai - 16:44

C'est bon pour moi Freja (+) No remorse, no regret 3827413925

j'avais encore oublié pour le côté cousin d'Ace JPP mdr

Mer 15 Mai - 16:58

J'adoreeeeeee le prénom !!
Rebienvenue parmi nous coeur

Mer 15 Mai - 19:23

Re Bienvenue parmi nous 1998006903

Mer 15 Mai - 19:24

Merci à vous trois coeur

!

Mer 15 Mai - 23:52

Je passe un peu en vitesse tout est bon pour moi coeur

Bon re parmi nous et très bon choix de PLs I love you

Jeu 16 Mai - 9:00

félicitations, te voilà validé·e

Un petit souffle frais qui débarque à la caserne, cela va faire du bien aux deux équipes, cela promet avec l'autre capitaine. heearty

Te voilà maintenant validé·e et prêt·e à rentrer dans le jeu. Afin de t'y retrouver au mieux, tu trouveras ci-dessous les divers registres (tu peux également vérifier si tu y as bien été ajouté·e). coeur

bottin des avatars emploi/logement répertoire des personnages

Mais également d'autres sujets importants pour le bon lancement de ton personnage et pour décompresse et t'amuser grâce à la zone flood et jeux. flower

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Nous te souhaitons un très bon jeu parmi nous. heart2