Can you please spell 'Gabbana'?
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Can you please spell 'Gabbana'?

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「 Can you please spell 'Gabbana'? 」
∙ feat. @Dani Rojas ; october 7.
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Normalement, elle aurait fait une crise que son vol a atterri quelques heures plus tard que la normal. Ils étaient partis de Milan deux heures après ce qu'on lui avait indiqué, ce qui mettait déjà la brune dans une colère folle. Il n'était que huit heures du matin sur Oceanside mais son fidèle chauffeur, Armand, l'attendait devant l'aéroport, tel un gentleman prêt à sauver la première dame en détresse. - Vous êtes le meilleur, vous savez ? Depuis combien de temps êtes-vous ici ? Mentionna-t-elle avant d'entrer dans la voiture. - Oh .. Vous m'aviez dit six heures du matin Madame. Je suis ici depuis six heures. Un éclair de gentillesse s'afficha dans le visage de la brune, quelque chose que très peu de personnes avaient eu la chance de voir depuis très longtemps. - Que ferais-je sans vous Monsieur Armand. Allons au boulot maintenant, histoire d'éteindre tous les feux durant mon absence.

- - - -

Lorsqu'elle avait mis le pied dans le bureau, elle fut forcée de constater que les choses se passaient plutôt bien. Heureusement, tout le monde semblait à leurs affaires et elle n'en était pas moins heureuse. Dans la voiture, quelques minutes plus tôt, elle avait envoyé un message à sa nouvelle assistante pour lui dire qu'elle serait bientôt là. Depuis l'arrivée officielle de Dani, elle ne l'avait pas rencontré encore en face. Seulement quelques sms, beaucoup de courriels et des conversations vidéos pour apprendre à la connaître un peu, mais sans plus. Probablement que la jeune femme avait un peu appris sur le caractère de sa patronne, lorsqu'elle recevait des emails tard dans la nuit. Ce n'était pas directement elle qui avait engagé Dani. La décision appartenait à l'équipe des finances qui en avait marre que la brune vire tous les gens qui avaient osés se présenter comme assistants dans la dernière année. Cette fois, ils avaient dit que le pouvoir leur appartenait et qu'elle devrait s'en contenter. Elle était passée face à elle, la saluant d'un vaste coup de menton sans même trop la reconnaître. Après tout, elle l'avait vu uniquement en conversation vidéo. Trouvant le chemin de son confortable fauteuil, elle l'appela à voix haute, lui faisant signe de s'approcher. - Rojas c'est ça ? Mentionna-t-elle en la regardant entrer dans la pièce ? - Je ne t'imaginais pas comme ça. Bien sûr, son commentaire laissait place à plusieurs interprétations et c'est ce qu'elle voulait. Elle se contenta simplement de laisser placer le mystère, mais dans ses pensées, elle voulait simplement dire ; pas aussi grande. Elle se releva, venant se mettre face à son bureau pour s'accoter sur celui-ci, les deux paumes à plat contre l'arête du bureau. - Il parait que tu es une perle. C'est ce que la direction m'a dit. Permet moi d'en douter tant que tu n'auras pas fait tes preuves avec moi. Alors .. Dis-moi. Qu'est-ce qui t'as poussé à venir chez Vogue ? Des idées de grandeurs pour une petite fille ? 
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「 Can you please spell 'Gabbana'? 」
∙ feat. @Tully Milanov ; october 7.
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Armand a écrit:- On arrive - Send at 8h03
(outfit) Il n’en fallait pas plus pour que le cœur de Dani se mette à s’affoler, derrière son comptoir, elle avait reçu le message du chauffeur de mademoiselle Milanov qu’ils venaient tout juste de quitter l’aéroport en direction du centre-ville d’Oceanside ou se trouvait les bureaux de la prestigieuse revue de mode, sinon la plus prestigieuse. Elle serait là d’ici quelques minutes, trente minutes tout au plus et l’étrange mélange d’angoisse et d’appréhension l'étourdissait. C’était sa première semaine de travail dans ce nouveau bureau et elle avait l’impression d’en avoir travaillé déjà le double. En réalité, ce n’était pas une impression. Si elle avait appris une chose sur mademoiselle Milanov, c’est qu’elle n’avait pas peur de travailler et malheureusement pour Dani, elle se devait de se plier aux horaires aléatoires de sa patronne qui n’avait pas peur de la déranger, peu importe l’heure, pour ce qui lui apparaissait être des futilités. Les emails nocturnes et les textos aux aurores n’étaient déjà plus une incongruité et Dani était devenue un véritable agenda sur patte. Dès qu’une petite pensée traversait l’esprit de sa patronne, elle était tenue au courant par le billet de son nouveau téléphone qu’elle avait reçu dès son premier jour afin d’être joignable en tout temps (emphase sur le tout). C’était loin d’être ce qu’elle s’était imaginé, mais elle gardait la tête haute en essayant de se rappeler qu’elle avait de la chance de ne serait-ce que d’avoir dépassé le hall d’entrée. Elle avait une passe maintenant, lui donnant accès aux bas-fonds de la mode, une caverne d’Ali Baba pour la jeune créatrice en herbe.

À l’arrivée immanente de sa patronne, elle avait fait passer le mot aux autres employés à la demande de ses collègues afin qu’ils puissent se préparer à son arrivée. Les petites abeilles ouvrières s’étaient misent à courir d’en un sens comme dans l’autre pour remettre les bureaux en ordre tandis que Dani les regardait d’un air complètement désemparer. Rapidement, elle retourna derrière le bureau de sa patronne pour ouvrir son ordinateur, taper son mot de passe et replacer sa chaise de manière à ce qu’elle n’ait pas à la tirer vers elle pour y déposer son popotin royal. Elle retourna comme une flèche à son bureau, droite comme un piquet devant sa chaise puisqu’elle entra au même moment. Mademoiselle Milanov avait une prestance qui prenait toute la place lorsqu’elle entrait dans une pièce, tous les regards étaient portés sur ses longs cheveux bruns et si lisses qu’elle soignait précieusement. Elle passa devant Dani, menton relevé, pour aller s’asseoir dans son bureau. C’est là qu’elle entendit son nom, Rojas agrippa son petit calepin qu’elle trainait sur le coin de son bureau, histoire de ne pas oublier ce que sa patronne allait lui demander. — Oui mademoiselle Milanov, c’est bien ça. Lui fit-elle savoir, nerveuse de s’adresser de vive voix à sa patronne pour la première fois. Puis elle termina avec une phrase poignante qui semblait pratiquement être une insulte à la bouche de Tully. Dani fit semblant de ne pas l’entendre, peut-être parce qu’elle ne savait pas quoi répondre à cette remarque, peut-être parce qu’elle n’allait pas s’insurger contre sa supérieure la première semaine.

Puis, Dani sentit une pointe de bonté avant d’être ramené sur terre abruptement par une autre réplique sanglante. Décidément, elle allait devoir s’y faire. — Je vais me montrer à la hauteur de vos attentes mademoiselle. Elle ne savait pas si elle devait s’appeler mademoiselle, madame ou Sa Majesté … donc elle préférait y aller au plus simple jusqu’à ce qu’elle se fasse reprendre. C’était une marque de respect comme une autre. Dani répondit à sa question directement, comme si elle avait pratiqué cette question des centaines de fois, sachant pertinemment que les ressources humaines lui demanderaient. — Parce que Vogue, c’est l’épitomé de la mode, une bible en soi. Je prenais tout mon argent de poche pour m’acheter cette revue chaque mois, c’est un rêve de travailler ici … avec les plus grands... comme vous. Le regard plongé dans celui de Milanov qui semblait si indifférente, Dani essayant tant bien que mal de bien paraître et de montrer son excitation tout en essayant de ravaler la bille qu’elle menaçait de cracher sur les Louboutin de sa patronne, par un trop-plein de nervosité.
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∙ feat. @Dani Rojas ; october 7.
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S'il y avait une chose qui insupportait la brune, c'étaient les phrases toutes faites et bien écrites pour les ressources humaines. Celle qu'on aimait dire devant les grandes personnes pour se sentir plus haut, plus remarquables. Les deux mains bien appuyées contre l'arête de son bureau, la brune ne put s'empêcher de laisser un rire s'échappe d'entre ses lippes rouges, avant de venir croiser les bras contre sa poitrine. - Une bible ? Ma pauvre chérie, ça, c'est du n'importe quoi ! Peut-être qu'effectivement, pour la jeune femme devant elle, c'était la raison de sa présence ici, mais elle en doutait fort. Même elle, à ses débuts, elle avait usé de ces phrases pré-écrites pour faire plaisir à quelqu'un de la haute et paraître bien, mais un jour .. Elle était tombée face à un directeur difficile, un véritable mur. Il voulait la vérité, il voulait des gens différents dans son équipe et non une bande de moutons qui allait presque faire la révérence en le voyant arriver. Laissant un long et lourd silence planer, elle contourna son bureau avant de venir s'asseoir sur la chaise parfaitement tirée par son assistante avant de venir farfouiller dans divers papiers. On lui avait soigneusement remis le curriculum vitae de Dani, même si elle n'avait pas eu le choix sur la personne. Jusqu'à aujourd'hui, elle n'avait même pas pris le temps de regarder, mais elle trouvait que l'occasion était maintenant parfaite. - À en juger par ce qui est écrit ici .. Je dirais que ta réelle présence ici est sûrement parce que tu veux cette place un jour. J'ai tort ? Oh .. Peut-être est-ce que tu confectionnes des vêtements ? Que tu penses pouvoir t'inspirer ici et en apprendre plus sur le métier pour que ... Peut-être, si tu en vaut la peine, que tes créations se retrouvent en première page. Elle s'interrompt, venant glisser le bout de sa langue contre ses lippes, fière de sa remarque et du petit ton cynique qu'elle n'avait pas lâché depuis le début. - Vous êtes tous pareils, ce n'est pas étonnant.

D'un geste de la main, elle désigna la chaise à sa jeune assistante. Étant donné qu'elles se rencontraient officiellement, il y avait plusieurs choses dont elles devaient discuter. - T'as de la chance, je ne te collerai pas les enfants sur le dos, ni même d'aller promener mon chien ou de faire l'entretient de ma voiture. Non seulement je n'ai rien de tout ça mais tu n'es pas ici pour ça et de toute manière, personne ne le ferait aussi bien que moi-même. Elle se redresse, venant tendre son agenda à la jeune femme. - Non seulement j'ai besoin que tu gères le format papier mais il faut aussi que ce qui apparaît dans mon calendrier de téléphone ainsi que celui de l'ordinateur soit impeccable. J'ai tellement de rendez-vous, je ne sais pas plus par où commencer. Je ne dois pas manquer un seul de ceux-là, c'est compris ? Je n'ai jamais eu de seconde assistante et je ne voudrais pas devoir engager quelqu'un pour faire ce que tu n'arrives pas à ! Elle se laisse tomber dans le fond de son fauteuil, venant appuyer sur ses tempes à l'aide de ses doigts, la fatigue du voyage qui commençait déjà. Par contre, elle savait que la journée n'était pas terminée et qu'elle allait devoir faire le tour du bâtiment avec la blondinette pour lui faire visiter. - Des questions peut-être avant de continuer ?
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∙ feat. @Tully Milanov ; october 7.
tw: suicide


(outfit)À la merci des lances poignantes de sa patronne, la jeune Dani restait debout sans bouger, les épaules bien droites et le menton au carrée, une posture qui lui semblait plutôt forcée. La pauvre s’efforçait de vouloir faire tellement bonne impression qu’elle avait complètement oublié d’être elle-même. Instinctivement, elle voyait bien que le combat était perdu d’avance. Dans l’espoir d’éviter les coups, elle avait positionné son calepin contre elle, à la hauteur de son ventre. Il faut dire que c’était sa première vraie impression de sa patronne et même si ont lui avait dit qu’elle serait ainsi, Dani avait eu de la misère à le croire. Elle comprenait enfin les ragots quelle avait attraper à la cafétéria lorsqu’elle avait surpris des collègues la branche artistique racontant les mesquineries de Mademoiselle Milanov. Préférant, faire sa propre idée, elle n’y avait pas trop porté attention, mais maintenant elle comprenait ce qu’elles voulaient dire. Lorsqu’elle revient à elle, elle remarquait sa patronne qui fouillait sur son bureau. Elle en sortit une page dactylographiée qu’elle connaissait trop bien. Sur l’entête, elle pouvait lire son nom, elle devina donc qu’elle était en train de lire son curriculum vitae. Elle gloussa une seconde fois avant d’essayer de trouver une réponse qui ne l’enflammerait pas une nouvelle fois. — Je n’ai pas l’envie de vous remplacer, le monde de l’édition ne m’intéresse pas plus que ça à vrai dire. Elle marqua une pause de quelques secondes, calculant si ce qu’elle venait de dire avait été suffisant à apaiser la dame qui se trouvait devant elle. Lorsqu’elle fronça les souris, elle remarqua qu’elle se devait de poursuivre puisqu’elle s’attendait certainement à plus d’information. — Mais oui, je me considère comme une couturière et j’ai encore besoin d’apprendre davantage en ce qui concerne la mode en général. Ne voulant pas lui donner la joie d’écraser ses rêves de premières pages, elle décida d’ignore ce dernier volet dans la question. Il était très clair que Mme Milanov n’avait qu’un seul désirer, détruire psychologiquement ses assistantes pour en faire des petits robots exécutants ses moindres caprices sans même poser une seule question. Malheureusement, pour elle, Dani n’était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, mais elle comprenait cependant l’importance de cet emploi et surtout de la hiérarchie au-dessus d’elle.
Lorsque sa patronne lança d’une manière nonchalante la feuille qui se déposa tranquillement sur le coin de son bureau, elle comprit que l’interrogatoire était terminé, mais elle restait tout de même sur ses gardes. Lorsque sa patronne commença à lui expliquer ses tâches, elle reprit rapidement son calepin et son crayon agencé, trouva pratiquement un page au hasard afin de ne pas perdre de temps et commença à griffonner les indications que sa patronne lui lançait. — Format papier, téléphone et celui de l’ordinateur. Quelle répétait en essayant d’écrire aussi vite que — C’est compris Mme Milanov, vous ne manquerez aucun rendez-vous, vous avez ma parole. Peut-être est-ce que c’était trop tôt pour promettre des choses alors qu’elle ne venait que de commencer, mais elle comprenait l’importance que l’agenda de sa patronne soit toujours impeccable, qu’elle soit organisée comme si elle était la présidente des États-Unis. Lorsqu’elle termina d’écrire, Milanov lui demanda si elle avait des questions. Prise aux dépourvues, elle n’avait même pas réfléchi si elle avait des questions en fait. Tout se déroulait tellement vite. Elle ne trouva qu’une chose à lui demander — Qu’est-ce qui est arrivé à celle qui était à ma place juste avant ? Mais après, elle se rendit compte qu’elle ne préférait même pas le savoir. Les chances qu’elles lui disent que celle avant avait été promue étaient beaucoup plus minces qu’elle lui réponde qu’elle s’était lancée en bas du 10e étage de l’édifice. Puis à vrai dire, ce n’était peut-être même pas de ses affaires. Elle dû ravaler sa salive et redéposa son calepin de notes contre elle pour une nouvelle fois, éviter les missives qui allaient probablement fusée d’ici quelques secondes.

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∙ feat. @Dani Rojas ; october 7.
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Des stagiaires, elle en avait eu des tonnes. À travers ses années dans le monde de l'édition et de la mode, elle avait elle-même commencé au poste de la jeune Dani, il y a bien des années. Elle avait cependant des attentes bien trop élevées sur la personne qui viendrait combler ce poste. On lui avait reproché à plusieurs reprises. Elle était trop demandante, trop difficile. Voir .. Méchante à quelques moments. Cependant, devant elle, cette jeune femme avait l'air bien, pour le moment. Évidemment, elle n'avait pas eu son mot à dire parce que tant que le curriculum vitae ne ressemblait pas à celui de la reine Elizabeth, elle ne l'aurait pas choisi. - Le monde de l'édition t'avalerait tout cru. Tu sembles bien trop .. Gentille pour le rôle ! Elle laisse échapper un rire satisfait, avant de venir poser ses doigts sur son propre menton, comme si elle réfléchissait à quelque chose. Peut-être bien une idée maligne qui augmenterait la motivation de la jeune femme. - Tu sais quoi .. Si tu réussis à satisfaire au rôle pendant trois mois, je pourrai peut-être te trouver un stage auprès de la boîte .. Yves Saint-Laurent, pourquoi pas ? Elle avait finalement indiqué ses tâches. Enfin, tout cela ressemblait beaucoup plus à des ordres déguisés, mais n'empêche que la jeune assistante avait tout écrit avec volonté sur son petit carnet et c'était plutôt satisfaisant à voir cette volonté de faire. Assise dans son fauteuil, elle tentait de faire passer le début de mal de crâne qui s'emparait d'elle mais la question de Dani sembla accélérer le processus. - Oh .. Ouais ! Elle se releva de son précieux trône, venant contourner son bureau pour finalement faire face à la blondinette devant elle. - Elle a rencontré un chroniqueur ! Dit-elle en laissant tomber ses bras de chaque côté d'elle, venant s'appuyer contre son bureau. - Un joli brun de l'étage du dessous ! Elle avait de bons goûts, je dois l'avouer ! Non seulement, il était mignon mais aussi très doué au lit ! Elle s'interrompt, laissant un petit rire malicieux s'échapper de ses lèvres. - Quoi ? Disons simplement qu'il avait croisé mon chemin .. Avant ! Elle se dirigea vers la porte de son bureau, faisant un signe de menton à son assistante de la suivre. Il fallait qu'elle lui fasse découvrir le bâtiment. Les locaux dont elle se servirait et surtout, présenter celle-ci aux autres. Avant de poursuivre son chemin, elle se retourna face à la jeune femme, tout en arquant un sourcil. - Quoi ? Tu t'attendais peut-être à une histoire glauque ? Je ne suis pas Barbe Bleue, tu sauras. Il n'y a pas une pièce avec diverses assistantes décédées quelque part dans les locaux. Alors ! Tu viens ?
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