everybody wants to rule the world (josh)

tw: langage dur, notion de la mort.

T'sais pas vraiment ce que tu fous là Marta. T'aurais pu rester chez toi, casser les couilles à tes colocs pour le plaisir, leur faire un énième power-point sur les bienfaits du matcha et danser en petite culotte sur ton lit, à deux doigt de péter le sommier. C'est ça que t'aurais du faire de ton dimanche. Sauf que t'es de celles qui ne peuvent résister à la curiosité et aux beaux yeux d'un mec particulièrement sexy. T'as essayé de le draguer évidemment, dans ce bar, y a quelques jours. Tu lui as fait un de ces show Marta, un de ceux qui terminent par tes cuisses autour de sa taille, mais pas lui. Pas tout de suite, tu le sais pourtant, que tu l'as pas laissé indifférent, et malgré toutes les conneries que tu as pu lui balancer entre une vodka pomme et quinze shot de téquila, c'est ton métier qui a attiré l'attention. t'aurais jamais cru que laver le cul d'un cadavre t'amènerait à pécho un type. Surement un de ces bizarres qui kiffent la morbidité. T'en faut plus pour te foutre la trouille. tu trouves que tu fais un peu pitié Marta, dans tes converses, à esquiver les flaques, à esquiver les gens pour arriver devant ce même bar, où il y a quelques jours t'as cru que tu pourrais te taper Josh Gyeon. T'es sûre que ça aurait été un bon coup, fais chier. Il est déjà là quand tu rentres, l'odeur de bière collante et de cigarettes fumées dans les coins qui te met directement de bonne humeur. T'en as vécu des choses dans ce vieux taudis, bien plus que ce que t'aimerais assumer. Tu fais un check au barman, commandant une bière de plus, allant t'installer près de lui. salut toi, Josh c'est ça ? que tu sors en te rapprochant suffisament de lui, pour sentir son odeur, pour l'imaginer à poil dans ta piaule. Tu sais si t'avais envie de me revoir, tu pouvais trouver un autre stratagème. Simplement me dire que je te manquais et je serais venue en courant tes yeux le fixant, jouant ton show. On ne m'a jamais accosté pour me parler d'un cadavre en remerciant le barman qui t'apporte ta bière, buvant quelques gorgées avant de continuer J'aime l'originalité ceci dit. T'as toujours été un peu glauque Marta, faut être un peu barrée pour faire ton métier, pour aimer côtoyer la mort pendant des heures. Faut un humour tranchant, salace et un fusible de bousillé. Toutes tes qualités réunies. La plupart des gens faisaient un pas en arrière quand ils savaient ce qui te rapportait du fric, cherchant les odeurs de formol sur ta peau, te posant les questions les plus glauques sur des gens qui côtoyaient ces rues, quelques années plus tôt. La mort ça fait peur, la plupart des gens pleurent, peureux, à se pisser dessus en imaginant leur fin. Toi, t'espère juste qu'on te nettoiera bien le cul quand tout sera fini, au moins que tu partes dans la fierté. Au fond, c'est ça ton boulot, danser une valse funèbre avec des gens que tu n'aurais jamais fréquenté, et les accompagner dans le moment le plus douloureux de leur existence. T'as jamais eu un mauvais fond, et tu crois qu'il faut un sacré brin d'humanité pour faire ce que tu fais. Les gens comprennent pas ça mais lui, lui il l'a vu et c'est sans doute pour ça qu'il te plait, parce qu'au fond de son iris, t'as vu la même flamme, la même sauvagerie qui explose ton myocarde, deux âmes formés dans le même moule, brulé à blanc. Alors dis moi tout, en quoi mes talents remarquables peuvent t'aider dans ta quête ? t'imaginant dans une partie de Cluedo, dans un bouquin de l'autre Christie, rêvant finalement, un dimanche bien meilleur que ceux que tu passes à poil, à danser sur du Pink Floyd, dur de rivaliser.

tw: langage vulgaire, consommation d'alcool, mention de mort, sexualité

Clairement, il a touché le fond pour revenir dans un endroit aussi crasseux et dégoutant. Bien loin des bars qu'il a connu dans son New York qu'il chérissait tant. Sauf que Josh n'a rien de mieux à faire de sa journée, que de venir dans ce lieu et attendre assidument l'arrivé de quelqu'un d'intéressant. Il doit admettre que depuis sa rencontre avec son ex fiancé, rien ne semble être positif pour lui. Les habitants de la ville se sont tous mis sur son cas, ou dans les mêmes eaux que cela. Peu importe où il se rend, Josh reçoit des balais, retournant penaud dans ses quartiers d'habitation. Une maison qu'il a acheté sur un coup de tête, pensant qu'il pourrait construire une nouvelle vie avec son ex, que tous les deux fileraient le parfait bonheur dans ce nid. Ce qui est loin d'être le cas, la maison encore trop bancale sans le moindre décoration, comme s'il n'avait pas encore emménagé. Les fournitures disposés sans plan, certaines ayant encore leur revêtement. Il n'a pas fait l'effort de mettre en place, laissant cette tâche à un homme qui ne veut plus être dans sa vie.
Son verre de whisky se vide presque seul, comme sans fond. Il commande une bière, se dit que peut-être, elle arriverait à lui faire ressentir quelque chose d'autre que cette envie de fracasser le verre contre le mur dans un élan de colère et de frustration. L'envie de se faire sortir du bar, pas parmi ses plans de la journée, merci. La porte s'ouvre finalement sur la silhouette qu'il recherchait parmi tous ses visages différents. La seule personne dans toute cette ville qui lui ressemble un peu, qui peut comprendre cette flamme qui l'anime au fin fond de son être. Celle qui fait battre un coeur mais peu aussi tout arrêter si elle le décide. La Mort en personne, ses paroles comme faux, une arme de destruction massive. Et dire que ça ne lui fait pas effet, serait un vile mensonge. Surtout quand un seul regard suffit pour que son pantalon le serre. Cette femme qui est aussi divine que mystérieuse, angélique mais cruelle à la fois, dont les mains ont une douceur et du vécu. Sa démarche, ses lèvres. Lui qui favorise la gente masculine se voit éprit du charme de cette enchanteresse, tentatrice qui cherche à l'amener dans l'ombre sans se douter qu'il est déjà dans l'obscurité derrière les portes fermées.
“Tiens tiens, un visage familier.” À son ton, il pourrait presque croire qu'il n'est pas venu dans l'unique but de la voir de nouveau, presque. “Je suis détective privé, si je voulais te revoir, je t'aurais trouvé.” Ses lèvres forment un rictus, sachant qu'elle est tombé dans ses filets. Ceci dit, il a préféré attendre pour la torturer de l'amener chez lui, sachant que c'est ce qu'elle veut depuis la seconde où il a ouvert la bouche pour démarrer leur conversation lors de la dernière fois. Mais aussi, parce qu'il a un job à faire et qu'en bon détective, il se doit de satisfaire le client avant sa personne. Pour son meilleur intérêt et sa réputation. “Une enquête bâclé par la police, pas très surpris. Aucune autopsie, la famille veut des réponses.” Ses paupières qui se transforment en papillon, battant des cils pour charmer la diablesse face à lui, cette déesse de la mort qu'il aimerait pouvoir épouser les courbes. “Te suffit de jeter un coup d'oeil en faisan ton truc, me remplir un petit document pour que je puisse compléter le contrat. Rien de trop complexe pour toi, pas vrai?” Il sait qu'elle demandera sûrement un paiement, prêt à payé quelques billets pour les informations cruciales qu'elle lui donnera. Ou bien, peut-être que la pécheresse préfère le naturel, vu sa démarche en entrant dans ce bar, il pourrait parié des deux côtés.

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T'as l'habitude d'être un peu bourrée quand tu frôles ce parquet, d'avoir les pieds collés sur la bière qui colle partout, de déambuler entre les gens qui dansent comme des merdes, d'aller fumer une clope en cachette dans les chiottes, de draguer, un mec, deux, pour oublier qu'au fond, aucun ne peut être comparé à celui que t'as aimé entre deux confessions. T'es rarement ici en étant sobre alors tu remarques chaque défaut, les joues rouges du barman, le papier peint qui se décolle près du billard et tu remarques surtout, que lui, lui n'en présente aucun, alors que t'essaies de déterminer exactement la couleur de ses yeux, ses rêves les plus intimes, ce à quoi il peut penser quand il est seul dans des draps gelés. T'essaies de sonder son âme sans y arriver réellement et c'est ça qui t'anime le plus. Tu sais qu'à cette heure ci, personne ne rôde dans ce bar minable, que les chiottes sont plutôt propres, que tes mains sont froides et qu'elles pourraient doucement se glisser sur sa chaleur. T'imagines déjà tes jambes s'enrouler autour des siennes, sa langue se frayer un chemin, dansant avec la tienne, le grognement à tes oreilles quand il atteindrait la jouissance en un clin d'oeil, alors que ta respiration est déjà plus rapide, plus animale. je t'aurais trouvé intéressant et un brin excitant, de savoir qu'à n'importe quel moment, il pourrait être là [color=#669966Un brin de voyeurisme dans ton métier nan ?[/color] Plus une qualité qu'autre chose, se plonger dans la vie des gens, t'immiscer dans un monde qui n'est pas le tien, un de vos points communs, à vous complaire des autres univers parce que vous êtes pas foutus de vous plaire dans le votre, chacun ayant ses propres blessures et un cœur que trop brisé par un homme éloigné. Alors que pendant une brève seconde, la seule que tu es en mesure de lui accorder, tu te demandes ce que Richard ressentirait, si il te voyait à cette table, avec un autre. Stop. Il ne mérite pas, plus, que tu penses à lui. Fais ta vie, l'amour ce n'est pas pour toi, ça ne l'a jamais été, Dieu te l'a bien rappelé. Tu reviens à la réalité, reprenant ta casquette de danseuse mortuaire, de ménagère du Styx. A se demander ce qu'ils foutent de leur journée. Si tu savais le nombre de familles toujours dans le doute de savoir ce qui a pu arriver à leurs proches. C'est ça mon gagne pain, les gens malheureux que tu dis sans une once de ressentiment, pas que tu manques d'empathie, ouais, bon. T'as un dossier, un truc sur quoi je peux m'appuyer ? alors que t'imagines déjà un froid qui t'attend impatiemment, attendant que tes mains douces se posent sur son corps, prêt à te révéler tout ses secrets. Tu sais que c'est bien plus compliqué que simplement remplir un petit dossier ? C'est tellement complexe, en plus c'est mon jour de repos, où j'aurais pu passer ma journée à faire du yoga ta main qui se pose doucement sur la sienne, si brulante En plus, tu as fait appel à la meilleure. Je suis très, très douée avec mes mains. Alors je me dis que j'ai bien droit à un petit quelque chose ? Pour ce service rendu ? certainement pas de la thune, les billets verts, ça te dégoute. Après avoir terminé de bosser, je serai affamée, à deux doigts d'une hypoglycémie sévère ta main qui serre la sienne, tes yeux qui se plongent dans les siens, l'humidité qui se fait entre tes cuisses. En tant que bon collaborateur ... il sera dans tes devoirs de m'emmener manger après tout ça. Question de bienséance évidemment un clin d'oeil échappé alors que tu t'en vas payer vos boissons. Emmène moi Gyeon où tu veux, avec toi.

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Un rire cristallin s'échappe de ses lèvres quand elle pose la question sur le voyeurisme. Elle le sait très bien, est capable de répondre à sa propre question, mais c'est le genre de femme qui a besoin de tout entendre de vive voix. Sans même avoir à deviner, il connait déjà la fin de leur histoire. À baiser dans un vieux placard à la sortie de son bureau, laissant leurs peaux se toucher, entremêlant leurs membres l'un avec l'autre. Les autres alternatives sont à peu près toutes fausses, aussi bien elle que lui le savent. Dès leur rencontre, ce lien électrique qui les unis ne demande que cela.
“Un peu. Il faut regarder là où personne n'oserait.” Rien que cette phrase suffit à lui donner le sourire. Depuis toujours, Josh adore s'immiscer dans la vie d'autrui. Savoir qu'il peut, d'un simple geste, changer le futur de quelqu'un, lui donne un frisson de bonheur absolu. L'extase pour cet amateur du contrôle.
Son discours sur la police, bien que vrai, provoque un froncement de ses sourcils, lui donnant un bon cinq ans de plus de rides dans la tronche rien que par la force de son geste. L'ancien policier n'appréciait pas d'apprendre ce que la population pense d'eux et de leurs enquêtes. À ce qu'il sache, il n'a laisser aucun dossier non résolu, aucune enquête bâclée. Mais le nombre d'entre eux qui veulent le bien, est assez limité, il faut le dire. La corruption existe encore dans le métier, peu importe l'endroit. Que ce soit New York ou la Californie.
“Du yoga? Tu te fous de ma gueule?” Il se redresse sur son banc. Ouais, il le sait que trop bien que ce n'est pas qu'un petit papier à remplir, mais il a besoin de ce contrat bien plus qu'il n'ose l'admettre. Josh a cette envie incontrôlable de savoir ce qui s'est produit et de donner des réponses concrètes à ses clients. Marta ici présente, est la seule à pouvoir l'aider, croque-mort ou pas. “Ouais je sais. C'est pour ça que je te le demande à toi.” À ce moment, il se rend compte qu'elle a bien plus derrière la tête qu'un simple repas, sa main qui touche la sienne et le rictus qui apparaît sur les lèvres de Josh, beaucoup trop heureux de savoir qu'il possède encore des talents pour son métier de détective, arrivant à cerner les gens trop facilement. Le petit jeu qu'elle veut jouer, il est prêt à se lancer tête première. Littéralement. Surtout qu'elle insiste sur le fait qu'elle est douée de ses mains. Putain de bordel de merde. Comme s'il avait besoin d'une raison de plus de bander.  Il se lève, sa position devenue inconfortable, ayant besoin du surplus de tissue. “Tout ce que tu veux.” Dit-il, prenant les devants pour lui ouvrir la porte tel un gentleman afin de se rendre sur les lieux, une petite clinique où a été envoyé le cadavre.

Après quelques instants à parler avec le gardien de sécurité, il réussi à faire entrer la jeune femme, décidant de la laisser travailler en silence, observant chacun de ses gestes, le moindre de ses réactions. Elle est sérieuse, fait attention à la façon qu'elle touche chaque partie, analyse le moindre détail. Quand il remarque qu'elle lève le regard vers lui, il sourit. “Déjà terminé? C'est que t'es vraiment la meilleure.” Il a bien l'intention de la remercier de toutes les façons qui existent. “Alors, qu'est-ce qui te ferait envie comme repas? Je t'avertis, on prend un truc à emporter. J'ai des plans pour toi.” Un rictus malin sur les lèvres, sa main venant prendre la sienne, posant un baisé sur celle-ci, un préface de ce qui l'attend.

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T'sais pas où tout ça va finir Marta, tout ce que tu sais, c'est que tu crèves d'envie de savoir comment ça va se dérouler, quel chemin vous allez bien pouvoir prendre. Une douce finalité qui se terminera entre tes cuisses chaudes. t'es déjà électrisée Marta, depuis le moment où tu l'as vu. Te demandant quel gout il a, le son de ses gémissements en souffle près de ta nuque. Tu sais que ça va terminer avec ses mains dans tes cheveux t'emmenant au supplice ultime. Tu ne demandes que ça, que tu assouvisses un désir grandissant depuis qu'il a posé ses yeux sur toi chaque mot qu'il prononce comme une invitation à te rapprocher de lui. Une danse lascive entre deux êtres qui n'attendent que ça. Deux âmes ayant eu le cœur brisé, voulant le poser sur la table, un instant, le temps de tout oublier. Il faut être sacrément macabre pour utiliser un décès comme moyen d'arriver à ses fins, d'arriver jusqu'à lui, ça te plait, tu ne peux pas le cacher. alors que tu mouilles déjà, que t'es déjà prête à tout, à l'entrainer dans les chiottes, tes jambes enroulées autour de sa taille, étouffant tes cris dans ses cheveux. faut être une sacrée fouine pour faire ce métier. J'adore trouver des vieux secrets cachés sous le placard tu aimes ça, fouiller, trouver les pires tares, les choses qu'on ne dit pas, observer, ne pas comprendre des pleurs chez les gens qui n'ont jamais pris de nouvelles lors du vivant. Tu aimes voir à quel point le vice peut être pousser, voir vraiment la véritable nature du genre humain. Tu aimes te faire désirer, chaque regard pour lui qui te pousse doucement dans son monde ouais, yoga. Ca me donne une excellente souplesse que tu sors en levant un sourcil, toi bonne dans toutes les positions. Un des seuls moments où tu apprécies le silence, où tu oublies tout, les cris, les pleurs, la mort. Le yoga et la baise comme seules parenthèses.
Le jeu qui commence, toi qui place tes pions, ta main sur la sienne, comme seule ligne de conduite. Tu le sens de suite, ses pupilles qui se dilatent, la salive en plus, son regard fortuit vers la bosse de son pantalon. Il joue le même jeu que toi et tu dois le dire, ça te fait grave kiffer. Tu ne veux plus jamais arrêter. Lui qui t'ouvre la porte, toi qui ne peux t'empêcher de voir la bosse qui se crée dans son pantalon. Bientôt mûr.
Le trajet dure pas super longtemps, assez que pour vous faire redescendre un peu. Tu l'as vois, là, froide, bleue, magnifique, prête à te donner toute sa vie, tout ses secrets. Tu prends le formulaire. Tu es là, dansant avec elle, tout en permission. Chaque manipulation dans un profond respect, les hématomes sporadiques, les lèvres bleues, il s'est passé quelque chose c'est sûr. Chaque observation notée. T'en faut pas plus, elle n'est pas tombée toute seule, y a eu quelque chose, qui t'a fait ça ma douce. Chaque mot est noté, t'en faut pas longtemps avant que tu le regardes y a pas mal de choses qui se voient rapidement si on y fait vraiment attention l'invitation de sortir, d'aller manger, alors que tu sais que c'est lui que tu vas dévorer on mange coréen ? toi qui a appris cette cuisine en sortant pendant trois ans avec Soobin, la seule chose positive qui est ressortie de cette relation cataclysmique. Un truc à emporter qui laisse bien comprendre la tournure de la journée, ce qui n'est pas pour te déplaire. vraiment hâte de voir ce que tu me réserves alors sa main dans la tienne, le baiser qui t'électrise alors que tu imagines ses lèvres ailleurs qu'à cet endroit, qu'il t'électrise totalement, toi prête à t'abandonner pour lui, totalement. Le petit resto coréen qui est pas loin, assez que pour que vos plats soient rapidement pris, pas si loin de chez lui, toi qui te tend déjà, de plus en plus, à chaque mètre qui vous rapproche.