Surfacing — Lena
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Surfacing — Lena

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「 Surfacing 」
∙ feat. @Lena Sheperd-Kane ; Anaheim, Early 2006 ∙
don’t belong, don’t exist, don’t give a shit, don’t ever judge me
tw: alcool, auto-dépréciation, dépression, drogues, médicaments, précarité, thèmes sexuels, vulgarité

Il sait même pas comment il va tenir la soirée. Pas réussi à atténuer la fatigue de la route de la veille - nuit parasitée par trop de tracas. La dispute avec ses parents. Toutes les pannes, les casses, les dégâts dans son appart, à sa voiture et sa bécane qui lui sont tombées dessus d’un coup. Le coût de toutes les réparations qui l’avaient mis dans un stress financier monstre. Le désintérêt habituel des parents qui lui avaient versé une somme ridicule, leurs budget principalement investi dans leur premier enfant. Le sentiment d’humiliation d’avoir dû leur demander de l’aide. La rage de ne jamais la recevoir. Devoir se démerder seul, encore et toujours. Se casser un peu plus le dos à enchaîner les heures supp, ses collègues qui lui tapent sur les nerfs. Rentrer dans son studio sans chauffage, faire le pari sur s’il aura de l’eau chaude aujourd’hui. Le tapage nocturne du voisin. Ses muscles, ses os qui flanchent déjà à vingt-cinq ans. Assez pour offrir à Lena une autre nuit décevante, comme de plus en plus souvent en ce moment. Le tout dans une chambre d’hôtel miteuse, tout ce qu’il pouvait se payer ce mois-ci pour passer le week-end à Anaheim avec elle. C’est trop.
Plus possible d’aller chez le grand-père aller chercher un peu de réconfort, de conseil. Eliezer est parti de l’autre côté de l’Atlantique. Sentiment de trahison, d’abandon qui le ronge depuis un an, en plus des trois deuils injustes et prématurés qui le chagrinent, l'enragent encore. Alors le réconfort d’Eliezer, il le cherche autre part. Dans la weed, le shit - et quand l’argent n’y est pas, la codéine. Lena qui l’emmerde avec ça, alors que “ça va, c’est bon, c’est rien, il a toujours pas retouché à la ké”. Elle, puis cet autre pote qui lui parle de “dépression”, qui aime trop diagnostiquer les gens de n’importe quoi depuis qu’il fait sa fac de psycho. Alors que nan, tout va très bien pour lui - il n’a pas contemplé le suicide depuis quoi, une semaine ? C’est bien qu’il est “sain d’esprit”. Qu’als lui foutent la paix.

Cette chambre miteuse au matelas inconfortable, il aurait malgré tout préféré y rester plutôt que de devoir se préparer pour aller à l’anniversaire de cette pote à Lena. Une espèce de grognasse pourrie gâtée, condescendante, égoïste et arrogante - jamais compris comment elle et sa douce pouvaient être ami’es. Elle et son boug qu’il avait jamais pu blairer non plus. Fils à papa imbu de lui-même dont les yeux lorgnaient beaucoup trop sur Lena à son goût. Als faisaient bien la paire, les deux. Mais Dimples insiste pour y aller, dit que ça lui ferait plaisir. Il la contraignait à être maquée à un raté fauché, drogué et incapable de bander avec qui elle ne faisait que de s’engueuler parce qu’incapable de communiquer. Alors s'il pouvait lui faire plaisir d'une quelconque manière, il le ferait. Als rentreraient à l’hôtel après et passeraient le reste du week-end à s'échanger tendresse et boissons chaudes. Peut-être même qu’elle ne parlerait pas de son ex, cette fois-ci.

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Il avait jamais connu ça avant elle, les soirées étudiantes. Lui était habitué aux squats de punks, aux concerts de métalleuxses, aux soirées en studio improvisé entre rappeurses, à faire de l’urbex ou jouer à Halo 2 avec ses potes. Le biker fait tâche au milieu des étudiant’es en médecine et les regards le font bien savoir. (Sûrement qu’il lui fout la honte, à Lena. Sûrement qu’elle a honte de lui tout court.) Surtout celui de la princesse de la soirée, qui le dévisage de haut en bas. Il serre les dents et se tait alors qu’elle et Lena se saluent. D’habitude, il arrivait à faire sa place, à être la caution marginale qui attisait la curiosité. Des fois saine et mignonne, des fois malsaine et méprisante. Il arrivait malgré tout à passer une soirée agréable à défaut de trépidante. Mais ce soir, il le sent - il fallait qu'il reste encore plus en retrait que d'habitude.

Il reste accroché à Lena, seule oasis de familière au milieu de cet univers auquel elle est beaucoup plus ajustée que lui. Mais il faut bien qu’elle s’amuse et profite de ses ami’es aussi, alors il prend sur lui quand elle s’en va danser avec ses copines. Il l’admire amoureusement de loin. Ça lui fait tellement de bien, de la voir comme ça. Riant aux éclats, flamme folâtre partageant sa chaleur avec celleux qu’elle aime. Sa chaleur contagieuse est presque visible autour d’elle. Il est si reconnaissant, si fier d’être celui à ses côtés ici. Elle a tout pour réussir dans sa vocation. Sa présence seule apaise les âmes quand elle ne les anime pas dans une joyeuse folie.
Alors pourquoi pas la sienne ? Pourquoi c’était toujours si froid et sombre, en lui ? Pourquoi est-ce qu’il n’arrivait pas à recevoir cette chaleur ? (C’est que tu la mérites pas.) Oh, non, ça commence. (Elle est trop bien pour toi. Enfin t’es surtout trop à chier pour elle. C’est pour ça qu’elle te rappelle sans cesse à quel point c’était merveilleux avec son ex.) Non. Non. Stop. (C’est pour ça qu’elle t’as jamais dit je t’aime.)

Ça lui fait toujours le même effet, ce rappel. Celui de tomber en lui-même, d’atteindre un fond impossible à remonter. (Elle t'aime pas. Elle rêve de te tromper. Sûrement qu’elle a des vues sur d’autres mecs ici. Qu’elle va finir dans la chambre avec un d’entre eux. T’es juste son bouche-trou en attendant qu’elle trouve mieux. Tu penses vraiment qu’elle t’attend sagement pendant la semaine ?) Ses mains s’agitent nerveusement alors qu’il fixe les bouteilles de spiritueux devant lui. Envie de noyer les pensées. Mais vu l’état dans lequel il est émotionnellement, il sait que c’est une mauvaise idée. Il prendra son temps pour finir sa bouteille de bière. Il essaye de s’intéresser aux conversations autour de lui histoire de se focaliser sur autre chose. Mais vérité est qu’il s’en fout des dernières nouvelles de Brangelina et est carrément saoulé de ce qu’il entend à propos de Brokeback Mountain. Pas qu’il soit concerné, hein. Putain, pourvu que Lena veuille se casser plus tôt que prévu. Qu’il puisse arrêter de surveiller le prince de la soirée du coin l’œil. Jamais pu sentir ce gars. Qu’il mate Lena, soit, c’est une belle femme. Mais y avait quelque chose de répugnant dans ses yeux, un truc crade derrière ses airs de school heartthrob. Mais ici, en seul chien errant au milieu des chats de luxe, Zus avait peu d’autre choix que de la fermer s'il ne voulait pas un peu plus embarrasser Lena.

crédit: bernthalized (gif) Slipknot (titre & paroles)
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「 Surfacing 」
∙ feat. @Zusman Feld ; Anaheim, Early 2006 ∙
don’t belong, don’t exist, don’t give a shit, don’t ever judge me
tw: alcool, auto-dépréciation, dépression, drogues, médicaments, précarité, thèmes sexuels, vulgarité

Dès qu'elle avait proposé la soirée, elle savait que celle-ci allait être reçue de travers. Ce n'était pas le genre d'endroit que son petit ami aimait et surtout parce que l'attention principale serait portée sur une petite blonde que Zusman ne pouvait même pas voir en peinture. Dans un monde idéal, elle aurait tenté d'y aller seule, laissant le ténébreux à une meilleure vie. Dans ce même monde, elle l'aurait rejoint après les festivités, venant profiter du restant de la nuit pour s'unir de nouveau avec lui, dans une passion flamboyante. Dans un monde idéal, elle passerait beaucoup plus que le weekend à ses côtés. Mais ce n'est pas comme ça. Ce n'est plus comme ça. Elle utilise les études comme excuses, elle est bien trop occupée pour le voir et préfère se consacrer à lui au moment du week-end. Par contre, la vérité est tout autre. Ils ont du mal à communiquer, un simple choix de film devient parfois source de râlements, de roulement de yeux et parfois même de timbre de voix élevés. Leurs chemins se sont étrangement séparés et elle ne pourrait pas mettre le doigt sur la cause exacte. Elle se ment à elle-même, elle sait très bien ce qui est en train d'éclater. Petite boite précieuse gardée sous son lit, les divers clichés pris durant sa relation avec son premier amour, les petits mots doux qu'ils se passaient dans la classe. Une boîte entière consacrée aux souvenirs d'un amour perdu, le seul et unique jusqu'à aujourd'hui qui a eu le bonheur d'entendre ses aveux glisser hors de ses lippes rosées. Elle se mentirait à elle-même aussi si elle n'avouait pas qu'elle ressent quelque chose pour Zusman aussi. Elle l'aime, évidemment, mais pas de la même façon. Puis le pauvre .. Ne la même jamais su.

Un dernier coup d'oeil dans le miroir de la chambre d'hôtel, elle soupire longuement. Elle n'a pas bien dormi. Non seulement, elle avait l'impression de dormir sur une brique, mais elle avait encore ce petit malaise dans le creux de la gorge. Celui qui avait éclaté entre elle et son petit ami la veille. Elle avait envie de lui, évidemment. Elle aurait voulu lui montrer, passer ce moment pour retrouver la chaleur qu'il lui apportait. Mais .. Encore une fois, ils avaient interrompu la chose, incapable de se rendre jusqu'au bout. À ce point-ci, elle se demandait même si ce n'était pas elle qui ne lui donnait pas envie. Peut-être était-elle repoussante à ses yeux ? - By the way. Thanks to come with me. It means a lot. Parce qu'elle ne le croyait plus amoureux d'elle, il était un peu distant. Elle n'avait jamais vécu ça, Tyler ne lui aurait jamais fait ça.

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Un brin de bonheur traverse finalement le moment lorsqu'elle est entourée de ses amis. Parce qu'ils la font sentir vivante, il lui sourit .. Contrairement au regard de tristesse qu'elle ne cesse de croiser ces derniers temps. Néanmoins, son œil avisé ne quitte pas Zusman d'une semelle. Tandis qu'elle danse auprès de son groupe, elle ne peut s'empêcher de faire le commentaire qu'elle le voudrait avec elle, qu'elle aimerait qu'il s'amuse, entendre son rire ne serait-ce qu'une dernière fois. Depuis combien de temps ne l'a-t-elle pas entendu d'ailleurs ? Les semaines se sont enchaînées à une vitesse folle. À la fin de la mélodie plutôt entraînante, elle délaisse son groupe d'amis pour retourner auprès de Zus. Elle peut presque entendre les murmures derrière son dos. Ceux qui se demandent pourquoi elle reste, ceux qui font courir des bruits vilains, des recommandations stupides, et même des paris. Elle voudrait hurler à tout le monde de se taire, mais en même temps, une partie d'elle comprend leur point de vue. - Hey grumpy. Your beer is almost finished! Do you want another one?

Elle prend place sur ses genoux, entourant sa nuque de ses bras. Elle ne peut s'empêcher de se mordiller la lèvre, non pas par désir, mais parce qu'elle se retient de laisser les larmes naissantes dans le creux de sa gorge venir s'emparer d'elle. Les doigts qui galopent discrètement à la base de la nuque de l'homme, elle l'observe avec tristesse. - Im sorry .. I know you're not having fun at all right now.. Normalement, elle l'aurait entraîné avec elle dans les toilettes. Ils auraient encore une fois profité de leur petit coeur d'enfants et se seraient éclipsé du regard des autres pour s'amuser une énième fois, comme ils savaient si bien le faire. Elle en brûlait d'envie d'un sens mais elle savait bien qu'elle n'y arriverait pas, il n'a probablement plus de désir avec sa copine. Elle avait commandé une nouvelle bière pour lui et lorsqu'elle arriva, elle laissa celle-ci glisser en sa direction, petit sourire timide aux lèvres. - Tell me if I can do something to make you happy .. Parce que son visage en disait long.



crédit: bernthalized (gif) Slipknot (titre & paroles)
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「 Surfacing 」
∙ feat. @Lena Sheperd-Kane ; Anaheim, Early 2006 ∙
don’t belong, don’t exist, don’t give a shit, don’t ever judge me
tw: alcool, auto-dépréciation, harcèlement scolaire, misogynie, virilisme, vulgarité

Décidément, il ne se fera jamais à ce surnom, ni au pourquoi tant de gens l’appelaient ainsi. Mais ce soir, ouais, il veut bien croire qu’il tenait plus de Grumpy que de Zi. « … Yeah, sure. Thanks » il répond à sa proposition. S’il n’était pas une contribution bien utile à cette soirée, il pouvait au moins faire un minimum d’efforts d’intégration en suivant les autres dans leur consommation. Ses phalanges viennent caresser la joue de la brune. Il affiche un sourire faible, teinté de tristesse, de culpabilité. Il ne fait pas partie de son univers et ça ne sera jamais le cas. Sûrement qu’elle serait mieux avec un gars plus adapté à tout ça, qui saurait comment faire sa place dans cet environnement, qui rirait aux éclats avec ses ami·es. Il faudrait qu’elle les rencontre, ses ami·es à lui, il est sûr qu’elle s’entendrait bien avec elleux. Si seulement elle acceptait enfin de le suivre à Oceanside pour le week-end. Peut-être une fois l’internat fini, qui sait. Il pose une main sur sa cuisse qu’il caresse doucement du pouce, presque pour la garder là, lui rappeler qu’il l’aime, malgré tout. « I’m fine as long as you’re having fun, don’t worry. » I’m fine, don’t worry, I’m okay, I’ll manage, it’s nothing - ses formules magiques. S’effacer lui et ses émotions, ses besoins pour se focaliser sur ceux d’autrui, comme on l’a toujours fait dans son éducation. C’est bien pour ça que quand elle lui demande ce qu’elle peut faire pour le contenter, il n’a pas de réponse. Puis il n’allait pas lui déballer tout son sac maintenant, lui parler de ces deuils qui le rongent, l’enragent, ni du stress financier dans lequel il est depuis deux mois, ni du conflit avec ses parents. Il plombait déjà assez la soirée comme ça. La seule chose qu’il avait pu lui mentionner, c’était son travail épuisant. Elle n’avait pas besoin d’en savoir plus: il gère. Puis sûrement qu’elle n’avait pas envie d’entendre tout ça, quand elle voyait enfin son mec pour le week-end. Sûrement que c’est lui qui en fait des caisses, qui est trop émotif. « Watching you dance is enough. » il lui dépose un baiser affectueux.

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Il a réussi à faire sa place dans un groupe de mecs. Avec l’univers masculin et souvent masculiniste de la construction, il avait appris à s’adapter au “locker room talk“. Il prend sur lui quand il entend des choses pas terribles, place calmement une remarque quand les propos vont trop loin. Même si à l’intérieur, il s’indigne, retient ses tirades révoltées. Trop peu confiant, aucune conviction en sa prestance ou l’importance de sa voix. Alors Zus reste l’ombre silencieuse au coin de la pièce - c’est aussi pour ça que ses potes l’appelaient Zorro.
Les gars commencent à parler motos, par tentative de l’intégrer. C’est gentil. Mais le prince de la soirée ne cesse de couper la parole, d’essayer d’asservir sa position d’alpha de manière plus ridicules les unes que les autres. Sûrement qu’il sent sa masculinité menacée en présence d’un biker et cherche du coup tous les moyens de le rabaisser. Enchérit sur chaque chose que Zusman mentionne à propos de sa vie, montre qui a la plus grosse. En temps normal, les gars comme lui le désolent plus qu’ils ne l’énervent. Mais ce soir, ce mec lui fait serrer des dents, lui donne envie de lâcher une remarque assassine. De le faire redescendre, lui faire comprendre qu’il est égal à ceux à qui il s’adresse comme à des subordonnés. Mais Zusman n’a pas l’avantage sur ce territoire, dans la cour du Prince. ( Fous pas la merde. Ferme ta gueule. ) Il se répète en essayant d’écouter Prince Nothing continuer à se vanter en bombant le torse. Mais il y peut rien, son cerveau déconnecte quand les gens racontent de la merde.

C’est sûrement cette absence de réponse de la part du brun qui pousse l’autre à enchérir. À continuer à le rabaisser pour s’élever lui, à travers ses études, son éducation, ses possessions. Et parmi elles, sa copine. Les noisettes de Zusman s’assombrissent. S’il détestait entendre les mecs parler de leurs meufs comme des possessions, c’était bien pire s’il commençait à utiliser Lena comme un vulgaire accessoire à sa pathétique joute. Mais ce con le fait, en plus. Compare passivement les deux femmes, leurs résultats scolaires, leur popularité. Zus est sur le cul, a du mal à concevoir ce que ce mec a vraiment décidé de faire. Ça bouillonne sous le couvercle de sa sidération, mais quelque chose l’empêche de réagir. Le manque de confiance en lui, ou alors son aversion au conflit. Les mots des parents Feld résonnent, le ramènent à son conflit récent avec eux. Ça va, tu vas pas t’énerver juste pour ça. T’en fais des caisses, Zusman. Tu le sais bien, que t’as tendance à t’emporter pour rien, des fois. C’est ensuite les mots de sa scolarité qui le narguent. You mad, pussy? Wanna throw hands? I bet you hit like a girl. I mean, you already look like one. Puis ceux de son ex. I thought you were a bad boy, but you’re really… soft. Il fuit la conversation avant que ce soit ceux de Lena qui se mettent à résonner. Pas ici, pas maintenant. Faut qu’il se barre, avant de faire une connerie.

·

Il se trouve un coin isolé à l’extérieur de la maison pour prendre l’air, respirer un coup. ( All you ever do is flee. You should’ve stayed, said something. Defend your girl. You fucking wimp. ) Il soupire, sa paume frottant son visage. Ouais. Sûrement. C’est pas la première ni la dernière fois qu’il la déçoit de la sorte. ( She deserves better than you. ) Stop. ( That’s why she prefers her ex. ) Stop. ( That’s why she doesn’t love you. ) Les larmes lui montent. ( Oh, what, you’re gonna cry now? God, you’re so weak, all you ever do is cry. ) Pensées qui imitent les paroles de son oncle. It’s time to man up, nancy boy. Il renifle et soupire. Aller, plus que quelques heures. Ça devrait le faire.

Il s’apprête à rentrer quand il aperçoit Lena par une des fenêtres, le vantard à ses côtés. Il fronce les sourcils, se demandant bien ce qu’il foutait, si proche d’elle, comme ça.

crédit: bernthalized (gif) Slipknot (titre & paroles)
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