magdalena · parce que c’était lui, parce que c’était moi.

Ven 19 Avr - 16:28

magdalena jinx
ft. candice king-accola - sun -

prettygirl

trigger warnings // rejet, adoption, maladie, décès et dépression.

âge, naissance née le 18/05/89 au Norfolk & Norwich University Hospital, Angleterre.

origines, nationalité des origines norvégiennes, suisses et anglaises. De nationalité anglaises.

genre femme cisgenre.

occupation gérante de TBCR.

situation financière plutôt bonne, $$$$$.

statut civil célibataire.

orientation sexuelle hétérosexuelle.

situation familiale son père adoptif, son oncle ainsi que sa cousine sont les derniers membres de sa famille.

à oceanside depuis déjà 20 longues années.

Ecrire ici le caractère de votre personnage sous le forme que vous souhaitez (tiret, texte, ...).

perso irl

I want you to hold out the palm of your hand

Petite fleur sauvage née au Norfolk & Norwich University Hospital, entourée de sa mère et de son père. Rentrez chez eux à Norwich quatre jours plus tard. Tous les voisins sont venus les féliciter et couler un regard curieux dans le berceau dans lequel dormait généralement le petit angelot. Pourtant, les parents n’ont pas vraiment montré d'engouement ce jour-là mais personne ne l’a remarqué, tous étaient trop préoccupés à craquer devant les joues rondes et roses de la petite Magdalena. Sa vie aurait pu être prospère à Norwich. Vie tranquille, calme si ce n’est des parents qui s’occupaient d’elle sans réel entrain. Juste par obligation et certainement pas avec plaisir. Alors pourquoi personne ne s’en ai jamais rendu compte ? Maggie, elle, était trop jeune, petite fleur ne s’en rendait pas compte, pensait juste que c’était ça, la vie familiale. Des parents blasés qui faisaient le stricte nécessaire pour subvenir aux besoins de la blondinette.

Un jour, c’est arrivé comme ça. Elle avait dix ans, la douce petite fleur sauvage. Rentrant de l’école, sac au dos, sourire aux lèvres grâce à l’innocence qu’elle portait comme le plus bel habillement. Elle ne se doutait de rien, ne s’imaginait certainement pas tout ce qui se tramait derrière cette porte de leur maison. N’avait même pas vu cette voiture inconnue garée dans l’allée. Porte poussée, surprise qui se lit très vite sur le visage enfantin de Maggie. Question soufflée, emprunt d’une timidité soudaine face à cette femme aux airs sévères qu’elle ne connaît pas. Maman, c’est qui la dame ? Seul le silence lui a répondu. Celle qui, jusqu’à ce jour, devait être la femme qui l’aimerait de manière inconditionnelle, celle qui protègerait la petite fleur de tous les dangers, se retourna sans même un regard. C’était fini. Bonjour, Magdalena. Je m’appelle Amy. Tu veux bien que l’on discute un peu dans ta chambre ? Magda a acquiescé même si elle n'en avait pas envie. C’est comme ça qu’elle a appris qui était Amy et ce qu’elle venait réellement faire : l’aider à prendre quelques affaires et partir de cette maison. Définitivement. Les parents de Magdalena venaient en réalité de signer les papiers pour renoncer à leurs droits parentaux. Ils l'abandonnent. Elle ne reviendra plus.

Magdalena est devenue silencieuse. Elle ne se fait jamais remarquer, c’en est presque étrange. Mais alors qu’elle se pensait invisible, eux l’ont vu. Monsieur et Madame Jinx. Amy, sa plus grande confidente, lui a expliqué à plusieurs reprises qu’ils étaient gentils et qu’ils l’aimaient déjà. Derrière ses airs stricts et ses manières de l’ancienne époque Amy est l’unique amie de la petite fleur. Lui lit des histoires le soir quand elle ne trouve pas le sommeil. Lui apprend quelques mots de français pour qu’elle puisse parler avec le couple Jinx, eux qui viennent voir la blonde si souvent. Enfant qui reste muette devant les deux inconnus. Maggie apprend à aimer la langue de Molière ainsi que les livres. Les belles histoires. Les grands écrivains qui maîtrisent cette langue. Moïra Jinx, douceur dans l’âme quand elle a fini par lui annoncer : Ma belle petite fleur, c’est la dernière fois que l’on repart sans toi. Avec Arsène, nous avons encore quelques petites choses à terminer dans ta future chambre. Mais la prochaine fois, on vient vraiment te chercher. Ma fleur, tu t’appelleras Magdalena Jinx. On t’aime très fort. Ah, ça lui a fait bizarre à la blondinette. Personne ne lui avait encore jamais dit ces mots. Peut-on vraiment aimer quelqu’un comme ça ? Elle ne l’a jamais demandé. Elle a pourtant dit vrai. À la visite suivante, Amy lui a fait préparer son petit sac d’où la tête de son doudou dépassait, la prise une dernière fois dans ses bras en lui murmurant de ne jamais laisser quelqu’un la faire pleurer. De toujours garder la tête haute et surtout d'être fière d’être une Jinx, à présent. Magda n’a rien compris mais elle a hoché la tête.

Elle a fini par comprendre. C’était juste un mauvais départ et Moïra et Arsène sont des parents en or. Et ils l’aiment. Maggie n’a pas su rester silencieuse pendant très longtemps. Quelques jours tout au plus. Leurs regards n’a pas changés. Elle échange régulièrement des lettres avec Amy, garde contact avec sa première amie, même si elle n’est plus en Angleterre. Magdalena vit désormais en France, à Paris. Ville bruyante et vivante, mais magnifique. La petite fleur lui décrit sa vie à la française, et surtout : elle lui fait découvrir quelqu’un : sa cousine. Anna. Si personne n’y voit un rapport, Magdalena, elle en voit un. Amy et Anna, deux prénoms plutôt proches, deux personnes qui ont su l'aimer. Tel qu’elle est. La blondinette s’estime chanceuse avec ce nouveau départ, cette deuxième vie qui lui est offerte. Une lettre à Amy, où elle lui parle des livres qu’elle lui, de cette passion qu’elle lui a transmise. Une lettre à Anna pour lui dire combien elle a hâte de la voir pour pouvoir discuter avec elle. Elle les aime.

Ma petite fleur, j’ai un cancer. l’annonce est brutale. Ses épaules tressautent sous ses sanglots. Maggie ne veut pas y croire, elle refuse. Ce n’est pas vrai. Elle écrit une longue lettre à Amy, lui explique combien elle a peur. Elle a quatorze ans, l'adolescente. Comment peut-elle faire face à tout ça ? Comment tout surmonter ? Le corps humain peut être fascinant par moment. Et décevant, à d'autres moments. Madga, ma toute belle... Maman est partie. Crier. Ce n'est pas l’envie qui manque, mais aucun son ne sort de sa bouche. Cordes vocales comme nouées, coupées. Seuls les sanglots assourdissant d’Arsène lui font comprendre le poids des mots. Partie. Mensonge. Irréel. Les mots et les sons se mélangent dans sa tête, tout se bouscule et s’entrechoquent. Une dernière lettre à Amy avant de se refermer comme une huître, trois petits mots griffonnés sur une page arrachée de l’un de ses cahier de cours : Maman est partie. Ces mots passent en boucle jusqu’à ce qu’elle tombe de sommeil. Et le lendemain, tout recommence. Magdalena ne s’estime pas chanceuse. Elle regarde impuissante Arsène sombrer tout doucement vers les tréfonds de la dépression. Ils étaient la définition même de l’Amour. Celui qui donne envie d’aimer à son tour.

Nouvel aéroport, nouveau pays, nouvelle vie. Arsène a fini par regarder Magdalena pour tout lui avouer : Je t’aime si fort, ma toute belle et c’est pour ça que je dois le faire. Ton oncle va s’occuper de toi. Tu seras avec ta cousine, tu ne seras pas seule Magda. Maman t’aimait et c’est pour ça que je ne peux pas te faire subir ce que tu as déjà vécu. Elle a compris, la petite fleur. Au revoir la France. Bonjour les Etats-Unis. Pas par choix, par dépit. Elle a eu du mal à laisser son père derrière elle mais il paraît que c’est mieux pour elle. Alors elle n’a rien dit. Le silence revient. Sauf avec Anna, à qui elle livre tous ses maux, ses peines, ses pleurs. Elle l’aime bien au-delà d’une simple cousine. C’est comme une sœur pour Magdalena. Écrit tous les jours à son père, n’a des réponses que quelques fois, l'appelle de temps en temps et l’écoute pleurer sans savoir quoi dire. Ça ira papa. On ira bien. Elle non plus n’en est pas convaincue mais espère le convaincre, lui.

Jour sans. On en a tous connus, Magda un peu plus que certains et moins que d’autres. Dans son malheur, elle a eu de la chance. La blondinette était quand même bien entourée, soutenue. Aimée. Mais elle avait mal. C’est à cause de cette douleur qu’elle s’est retrouvée dans la forêt, à la sortie de la ville. Assise sur une souche d’arbre, le visage baigné de larmes caché dans ses mains. Besoin d’être seule pour décharger tout ce qu’elle avait sur le cœur. Crac. Elle s’est figée quand une jeune homme s’est arrêté vers elle, sac au dos. Ah. Merde. Euh… Bonjour j’veux dire. Mh… Ça va ? Ça n’a pas l’air ? Le silence. Puis les sanglots que la petite fleur n’arrive plus à arrêter. La panique qui travers le regard du jeune homme. Woow. Tu.. Est-ce que quelqu’un t’as fais du mal ? Hochement de tête en guise de réponse, garçon fébrile. Merde… Tu veux que j’aille les taper ? Gloussement retenu et tête secouée. Tu parles pas ? Haussement d’épaules. Bon… Laisse-moi cinq minutes, et après je vais t’aider à aller mieux. Elle l’a laissé faire. Elle ne le regarde pas, au début. Puis la curiosité prend le dessus, des bouteilles vides, des boîtes de conserves, blondinette fronce les sourcils en reniflant. C’est quoi tout ça ? Sourire vainqueur flottant sur le visage de son nouvel acolyte, main tendue vers elle. Tu vas choisir le caillou de ton choix et viser. L’objet que tu veux. On ne croirait pas mais ça fait un bien fou. Elle hésite à lui rire au nez. Mais il l’écoute. Septique, elle lance mollement un premier caillou. On a l’air cons à faire ça. Un éclat de rire et un caillou qui fuse sur une bouteille qui éclate. On s’en fou, on est tous les deux. Vas y, lâche-toi ! Alors Magdalena obéit et recommence. Plus fort. Encore. Avec plus de rage. Si bien que le jeune homme s’écarte pour ne pas risquer d’être blessé. Petite fleur termine sur les genoux, pleurant et hurlant à plein poumons. Lui reste là, caressant son dos dans des mouvements circulaires qui se veulent réconfortants.

Un nouvel ami qui a su comprendre ses silences, qui a su entendre ses cris. Le seul qui ne les a jamais entendues. Devenu confident et source d’inspiration. Elle a vingt-six ans, la première fois qu’elle parle d’ouvrir une rage room. Un lieu qui serait secure, pour éviter à toutes les personnes avec eux, de se retrouver dans une forêt, au risque de se blesser. Le projet mûrit, il fait son bonhomme de chemin pendant que la blondinette parcourt les rues à la recherche du local idéal tout en réfléchissant à un nom. Un nom qui marque. Un nom qu’on oublie pas. Rassemble les finances tout en surnommant son projet “mon bébé”. Elle a trente ans quand the break & crash room naît. Premiers clients aussi sceptiques qu’elle au début, puis conquis. Met rapidement en place quelques tables pour que ses clients puissent avoir un retour dans la vraie vie en douceur, accompagné d’une boisson chaude qu’elle leur offre volontiers. La fierté de son projet.

TBCR fête ses cinq ans cette année. Elle n’en est pas peu fière. Prend régulièrement des nouvelles de son père, n’a plus aucune nouvelles d’Amy et s’en mord les doigts. Voyons ce que la vie a encore dans le ventre.

rps en cours
www ‧ @"prénom nom"
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rps archivés
www ‧ @"prénom nom"
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www ‧ @"prénom nom"

(m/nb) he/il › entre 33 et 38 ans (libre)
un frère qu’elle n’a jamais eu. Celui qui a su l’entendre quand elle ne parlait pas. Il est sa source d’inspiration.

(m/f/nb) be friends › tranche d'âge (libres)
Différents amis.

(m/f/nb) bff › entre 30 et 40 ans (libres)
Les meilleurs amis.

(m) end games › entre 30 et 45 ans. (libres)
Des ex. Tout est possible.

(m/f/nb) workin’ friends › tranche d'âge (libres)
2 employé.e.s, grande possibilité d’amitié également.

Ven 19 Avr - 16:28

chronologie du personnage

date ‧ nom de l'événement
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Ven 19 Avr - 16:29

répertoire des liens

l’homme qui n’aime pas ne vit pas;

@Owen Taylor unknow
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@Edward Williams mari de sa cousine (wtf)
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la femme qui n’aime pas n’est pas;

@Anna Washington cousine
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@Momo Chanel amie d’enfance
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Ven 19 Avr - 16:29

& à vous les loulous coeur

Mar 23 Avr - 14:59

Hello

Je viens un peu en touriste, car j'ignore quel pourrait être le lien entre les deux, mais j'ai beaucoup aimé lire l'histoire de Magdalena magdalena · parce que c’était lui, parce que c’était moi. 1915553615

magdalena · parce que c’était lui, parce que c’était moi. 1915553615

Penses-tu que nous pourrions trouver un petit quelque chose ? magdalena · parce que c’était lui, parce que c’était moi. 1706034852

_________________

You're welcome.

Mar 23 Avr - 15:40

Coucou toi coeur

Avec plaisir ! On va bien trouver quelque chose pour nos demoiselles (~~en détresse~~)

Mar 23 Avr - 20:13

Super

Alors tout d'abord : cherches-tu des liens en particulier ? Pearl est une personne plutôt très détestable, alors je pense plutôt à du négatif, forcément crazy

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You're welcome.

Mer 24 Avr - 20:13

Hello you ! Il semblerait qu'on soit cousines toutes les deux ^^

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keep climbing

I want to love when I'm broken. I want to love I'm only human.

Jeu 25 Avr - 6:56

@Pearl St. James partir sur du négatif ça peut être marrant magdalena · parce que c’était lui, parce que c’était moi. 3116843944

à ce niveau, j’ai pas de recherche spécifique mais si tu veux l’ajouter sur discord (vanity1476) hésite pas ! Ça sera sûrement plus simple pour en parler ! coeur

@Elisa Washington oui semblerait magdalena · parce que c’était lui, parce que c’était moi. 3116843944

comme pour Pearl, si tu veux m’ajouter pour qu’on papote c’est avec plaisir !! coeur