freddie · indélibile
Inspirateur (ENFP-A) ; gémeau ascendant capricorne, signe lunaire en bélier
fonceuse - imprévisible - intuitive - change tout le temps d'avis - instable - romantique - souriante - solaire - rêveuse - désorganisée - bordélique - possessive - jalouse - sincère - fidèle - s'en fout du regard des autres - artiste - observatrice - parle souvent en référence de film - peu rationnelle - déconcentrée - compatissante - a du mal à se concentrer - passe plus de temps à peindre des gens qu'à leur parler réellement - sélectionne ses amis avec beaucoup d'intention - indépendante - étincelle de folie à son paroxysme - danseuse sous les lunes - inspectrice des nuages mal finis - dévoreuse des mondes - Fred Astaire dansant dans un ciré jaune, mélange de Pennywise et de Gene Kelly - exploratrice des sentiments oubliés dans les coins de sourire impétueux. o v e r l o a d les fleurs sauvages écrasées sous tes doigts, la chlorophylle qui s'échappe alors que tu danses sous les mondes à l'envers, que tu viens de finir le lycée, que tout ça se dégage, que tu lui tiens la main, la boussole tournant dans tout les sens, toi perdue dans les landes rocailleuses, les genoux écorchés par tout les ressentiments d'avant, aujourd'hui tu oublies tout, tout sauf son regard, diamantine reflétant les astres, t'es là, tu te noies sous les tempêtes, tu bois la tasse sous toutes les responsabilités qui s'offrent à toi, alors que tu crèves de trouille, essayant de trouver la grande ours, seule chose qui t'obsède tu vas faire quoi toi, maintenant que le lycée c'est fini ? la phrase qui te bousille, parce que lui part, loin, qu'ils ont tous un chemin tout tracé, toi, toi tu restes là, dansant sur les pavés jaune à cloche-pied, essayant toujours de trouver ton équilibre. Ta main dans la sienne, si chaude quand toi tu te les gèles, sous l'altitude des monts venteux, à te prendre tout dans la gueule, alors qu'une larme solitaire coule sur ta joue, essayant de sauvegarder un maximum de souvenir, essayant de conserver la moiteur de sa main sur la douceur de la tienne. A jamais, à jamais lui. C'est ce que tu te dis avant l'adieu, alors que son corps soulève le tien, que ses mains se posent sur tes hanches, le baiser d'adieu, la rancœur qui se mélange au désir, le gout salé de sa langue à jamais ancré.
s h e' s l i k e t h e w i n d le papier peint délavé qui fait lumineux en cette belle journée de juin. Le polaroid qui passe de main en main alors que tu t'approches de Marty, mettant tes mains autour de son cou, caressant sa barbe du bout du pouce, un sourire éclatant, un de vos nombreux attraits communs, une des raisons qui font que tu l'aimes le plus, depuis toujours. et sinon Frédérique, ce nouveau job à la boulangerie ? tu regardes ta soeur avec des yeux éclairs, belle saloperie qui te sort du Frédérique à tout va pour te faire enrager, alors que tu restes ancrée sur cette petite cicatrice présente sur l'aile de son nez, preuve de ta surpuissance lorsque vous vous battiez, tu envisages une autre alternative d'ajouter une symétrie de l'autre côté de sa face de rat. je parie quinze dollars qu'elle aura démissionné avant la fin du mois que ton frère sort alors que ton majeur se soulève, franchement, toi tu aurais au moins parié cinquante dollars, alors que ton sourire se fait innocent quand tu vois l'inquiétude dans le regard de tes parents, toi l'enfant perdu qui ne trouve toujours pas son chemin, qu'on voit encore trop souvent sur les plages, courant sous les tempêtes, les cheveux délicieusement emmêlés un jour, je serai une grande peintre, soyez en sûrs comme une promesse à toi-même, un jour tes portraits ressortiront du placard, un jour la douce gamine recroquevillée se déployera, un jour, un jour, tu t'envoleras avec les yeux affamés, la boussole indiquant enfin une bonne direction.
Brève description du lien recherché.
L'écosystème qui se ressemble depuis la maternelle pour la plupart. pour toujours, oui, oui, alors que tout gravite, que l'amour vous transcende. Invincibles, des super-héros jusqu'à ce que tout s'effondre, que les menottes mordent la chair de cet ami que tu pensais parfait, qui vendait de tout, de tout. Le groupe qui explose alors que chacun est brisé à sa propre manière, que la confiance n'existe plus, que finalement vous étiez tous si différents.
La discussion sur cette petite colline, la forme des nuages, le monde dans d'autres univers, toute cette discussion pour finalement dormir à la bonne étoile, ta tête dans son épaule, sans connaitre son nom. Lui parti à ton réveil, un rêve, juste un rêve surement (à faire en rp, lien à évoluer)