›› keep our secret, my dear.
messages : 117
pseudo : vanity. (elle)
id card : anna-maria sieklucka. (ava : morphine, gif profil : uc.)
multicomptes : hestia (o. rodrigo), magdalena (c. king-accola).
à contacter : le compte concerné par la demande.
triggers : aucun pour le moment.
warnings : trafic de drogue, délit, liée à des histoires de gangs par le passé, abandon paternel, famille recomposée.
présence : I’m here.
âge : uc.
occupation : uc.
statut civil : uc.
orientation : uc.
habitation : uc.
pronom ig : elle.
infos rp : ⦅ ♡ ⦆
Écriture
↳ en je, au présent en règle générale.
↳ couleur : 6699cc.
↳ environ 500 mots, parfois plus mais jamais moins sauf demande particulière (débutant en rp, event ou les petits rp sont demandés par ex).
↳ écriture et dialogue en français. Les dialogue en anglais et même autre langue ne me gêne pas du tout. Seulement, comme je suis une quiche merci de me mettre une traduction quelques parts.
Disponibilité
↳ présente 7j/7 mais réponse +/- 1j/7. Sauf si je m’ennuie je peux répondre plus vite.
↳ aucun problème avec l’ajout sur discord, j’aimerais juste qu’on me dise qui est qui aha.
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Posé en salle de pause, je fais tourner mon téléphone sur la table, attendant patiemment la fin de ma garde. Entouré des collègues, je suis autant que je ne suis pas dans les conversations, je hoche parfois la tête, quand les autres ris, je ris aussi mais je dois bien avouer que je n’ai vraiment pas la tête à ça. Pourtant, les conversations vont bon train, c’est à celui qui aura le week-end le plus chargé pour ceux qui ne sont pas à la caserne. Il y a ceux qui prévoient d’aller faire une tournée des bars, ceux qui prévoient d’essayer de réduire leur dette de sommeil (c’est mort pour eux), ceux qui songent à surfer puis, ça vient à moi. Je quitte mon téléphone des yeux pour les relever sur l’assemblée autour de la table. ›› Je ne compte rien faire les gars. Réponse simple et concise, réponse qui me ressemble finalement assez bien. ›› Et vous vous doutez bien que si j’avais des projets, vous seriez les derniers informés. Le silence répond à mes mots. Un sourire en coin et les rires gras s’élèvent dans la salle de pause. De nouveau, je baisse les yeux sur mon téléphone quand il se met à vibrer sous la pulpe de mes doigts. Sous les rires des gars, je me lève en sautant presque sur mon portable en quittant la salle de pause. Derrière moi, j’entends déjà les suppositions toutes plus idiotes les unes que les autres. Si vous saviez… Il suffit que ce prénom apparaisse à l’écran pour qu’un sourire niais se fige sur mon visage. Son prénom et il me semble que mon cœur fait des cabrioles dans ma poitrine. Un simple “ Salut ça va ? ” et ma peau se couvre de frisson, les papillons s’envolent. Putain, fais chier. Cette impossibilité à me retenir de lui répondre me rend dingue, mes doigts s’activent sur l’écran tactile, s’animent sans même que mon cerveau en ai pris une quelconque décision. Dans les vestiaires, je quitte ma tenue et mes rangers. Les habits fourrés vulgairement dans un sac de sport, mon cœur palpite à chaque fois que mon portable se met à vibrer. Des années que je contrôle tout dans ma vie. Le travail, chacune de mes paroles, mes fréquentations. Je contrôle chaque gorgée de chaque boisson que j’avale. Il suffit qu’un soir je rencontre cette tornade blonde qu’est Stella… Et je perds le contrôle. Et j’adore ça. Et savoir que, ce soir encore, je vais perdre le contrôle avec elle, je me vois accélérer le pas. Sac de sport sur l’épaule, je traverse les rues d’un pas décidé, pressé. Pressé de voir Stella, pressé de la serrer dans mes bras, de sentir ses lèvres sur les miennes, sa peau contre ma peau. Voir son sourire, entendre son rire. Un rien qui réchauffe mon âme. Arrivé dans la rue, tous mes sens sont en alerte. Oui, c’est pas comme si je connaissais un tas de monde dans ce quartier. C’est pas comme si je me rendais dans la maison d’une de mes collègues. Pour voir sa fille. Cette pensée me fait lever les yeux au ciel et je continue de regarder autour de moi avant de m’engager dans l’allée de cette maison dont je connais déjà chaque recoin. Un dernier regard derrière moi, d’un point de vue extérieur je suis le parfait coupable. Peut-être que je le suis, finalement ? Je lève ma main, ferme le poing et cogne doucement deux petits coups contre la porte. Toc, toc. Malgré la culpabilité, un sourire naît au coin de mes lèvres, mains fourrées dans les poches arrière de mon jean. Il suffit que la poignée tourne pour que mon sourire ne s’agrandisse, que le battant de la porte ne s’ouvre sur pour tignasse blonde pour que mon cœur s’emballe. ›› Salut, ma belle.
Dans l'intimité de sa chambre, les derniers rayons du soleil dessinent des ombres délicates sur les murs. Etendue sur son lit, la chevelure dorée se laisse envelopper par la musique d'un vinyle cher à son cœur. Une relique du passé. Malgré les légères imperfections qui parsèment la mélodie, chaque note évoque des souvenirs intenses, transportant son esprit dans un voyage nostalgique. Les accords de guitare couplés aux paroles envoûtantes et à la voix éraillée de Kurt Cobain, résonnent en elle, comme une invitation à l'abandon. Dans cet instant suspendu, Stella oublie les tracas du quotidien, les responsabilités qui l'attendent une fois le week-end terminé. Elle laisse simplement la musique prendre le contrôle, se fondre avec son être, créant une harmonie parfaite entre son esprit et les notes qui emplissent l'air. Pendant que la musique dégage un charme envoûtant, Stella laisse ses pensées vagabonder librement. Ses doigts glissent presque instinctivement sur l'écran de son téléphone, jusqu'à ce qu'ils atteignent la page Instagram d'Ollister. Son beau brun aux yeux profonds. Un sourire naît sur ses lèvres tandis qu'elle parcourt les photos qui défilent sous ses yeux.
Elle se laisse doucement emporter par les souvenirs de leurs rendez-vous secrets, qui nourrissent le feu brûlant de leur liaison interdite. Stella se remémore chaque étreinte volée dans ses lieux où ils peuvent être libres d'être ensemble, sans crainte. Pourtant, malgré l'intensité de leur relation, la réalité de leur situation les rattrape souvent. Ollis travaille aux côtés de sa mère qui ne soupçonne rien de leur relation secrète. Et quand elle se rend à la caserne, chaque échange de regards, chaque geste tendre doit être dissimulé derrière des masques d'indifférence, cachés sous le voile de la normalité. C'est un jeu dangereux auquel ils se livrent, jonglant entre l'excitation de leurs rencontres clandestines et la peur constante d'être découverts. Malgré tous les obstacles, Stella refuse de renoncer à cette connexion profonde qui les lie. Chaque baiser échangé, chaque étreinte volée, est une drogue douce à laquelle elle ne peut résister. Une étreinte dans laquelle elle se perd corps et âme. Ce soir encore, elle désire se laisser emporter par la passion dévorante qui consume leur relation interdite. Ainsi, un simple "salut, ça va" ne tarde pas à être envoyé par la belle allongée sur son lit.
Un simple message qui suffit à réveiller les émois en elle, en son cœur, tandis que Stella attend avec impatience la réponse qui ne tarde pas à venir. Les vibrations de son téléphone sont des frissons qui parcourent son être, l’excitation montant crescendo à mesure qu’elle guette la notification. Quand enfin la réponse apparaît à l’écran, un sourire illumine son visage. Les mots échangés sont chargés de sous-entendus et de promesses tacites. Les mots deviennent des caresses verbales qui font monter la tension entre eux. Leurs messages échangés sont un pas de plus vers l’accomplissement de leur désir ardent de se retrouver, de se perdre l’un dans l’autre, au cours de cette nuit d’extase et de passion partagée. Un “je suis en route, j’arrive” et son excitation monte un peu plus en elle. Stella trépigne d’impatience à l’idée de le retrouver, de se blottir contre lui, de sentir ses lèvres contre les siens, ses mains caressant son corps, sa peau contre la sienne. Alors que les battements de son cœur résonnent dans son être tout entier, témoignant de l’attente fiévreuse qui l’envahit.
Elle se lève d’un bon, met un vinyle qui se prête mieux à la soirée à venir, puis se lance en quête de la tenue parfaite. Une robe à la fois féminine et sexy. Désireuse de faire doucement monter la tension chez son beau pompier. Ses mouvements sont empreints d’une urgence douce, comme si le temps pressait, mais qu’elle voulait prolonger cette délicieuse attente. Ses gestes sont chargés d’une promesse de passion à venir, révélant ainsi l’intensité de ses désirs. Dans son cœur, l'excitation palpite comme une flamme prête à embraser leur rencontre, faisant monter une vague d'émotions irrépressibles en elle. Stella se rend ensuite dans la salle de bain, cherchant à créer l’atmosphère parfaite pour leur retrouvaille. Allumant l’eau pour qu’elle soit chaude, puis disposant quelques bougies stratégiquement placées pour envelopper l’espace d’une lueur chaleureuse et sensuelle. Souhaitant préparer un cadre propice à l'épanouissement de leur relation. Descendant rapidement les escaliers à son dernier message envoyé. Chaque minute qui passe semble être une éternité, mais enfin, elle attend les deux petits coups donnés contre la porte.
Son souffle se suspend, alors qu'elle se tient devant la porte qui la sépare de lui. Son cœur bat contre sa poitrine avec une intensité presque douloureuse. Chaque fibre de son être semble tendue, vibrant au rythme de l'anticipation qui la consume, alors qu'elle saisit la poignée avec détermination. Quand la porte s'ouvre, un frisson parcourt son corps à la vue d'Ollis. Elle le dévore des yeux avec un désir non dissimulé, alors que sa douce voix se fraie un chemin à travers le silence. - Bonsoir, toi, murmure-t-elle, un sourire radieux illuminant son visage, mais derrière lequel se cache une passion bouillonnante prête à exploser à tout moment. - Je t'en prie, entre, l'invite-t-elle en laissant suffisamment de place pour qu'il puisse passer, même si chaque centimètre qui la sépare de lui, semble être une éternité insupportable. Elle referme la porte derrière lui avec un geste lent et délibéré, qui résonne comme un écho de leur passion refoulée. Stella se retourne, puis s'approche lentement de lui, chaque pas résonnant comme le battement de son coeur, jusqu'à ce qu'ils se retrouvent à quelques centimètres seulement.
Stella ressent le désir brûlant en elle, une force magnétique qui la pousse inexorablement vers lui. Pourtant, malgré l'intensité de ses émotions, elle ne cède pas à la tentation qui la consume de l'intérieur. Au lieu de cela, la belle choisit de savourer cet instant de proximité entre eux, comme si le simple fait d'être ensemble, pouvait suffire à combler tous leurs désirs. Elle se sent captivée par sa présence, par la manière dont il l'attire irrésistiblement vers lui. Stella sait qu'elle ne pourra résister bien longtemps à la tentation qui la consume, mais pour l'instant, elle se contente de savourer cet instant de complicité. Cette intimité partagée qui les unit d'une manière unique, où chaque regard échangé, chaque souffle partagé renforce leur connexion. Dans ce silence chargé de sens, ils se tiennent là, deux âmes qui se cherchent, se désirent…
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Parfois, je me demande si je suis maudit. Ou un crétin. Sûrement un peu des deux. Ok, carrément les deux à la fois. Aucun doute là-dessus. Maudit parce que j’ai galéré toute ma jeunesse. Maudit parce que je n’étais jamais au bon endroit au bon moment. Alors quelque part dans ce bas monde, il y a forcément quelqu’un qui joue avec une putain de poupée vaudou à mon effigie. Maudit à vivre une vie de retenue pour ne pas craquer et redevenir celui d’avant. Pour ne pas lui faire honte. Un crétin parce qu’il y a un nombre impressionnant de femmes plus belles les unes que les autres mais la seule sur qui les yeux retombent toujours, ce sont les siens, ceux de Stella. Vers elle que toutes mes pensées vont dès que mon esprit n’est pas occupé à sauver le cul des autres. Je ne regrette aucune vie que j’ai pu aider. Le principal c’est qu’ils se rendent tous compte à la fin que la vie ne tient qu’à un fil. Peut-être ce fameux fil rouge du destin pour lequel certains se donnent corps et âme alors que moi, tel le crétin que je suis, j’ai souvent joué avec ce fil. À une époque, je me souviens même avoir tiré dessus de toutes mes forces. J’espère sûrement qu’il cède sous la pression. Ou qu’il me revienne en plein gueule. Et c’est d’ailleurs ce qu’il a fait. Revenu de plein fouet dans la tronche, portant le doux prénom d’Adélaïde. Et c’est là que je sais à quel point je suis un crétin : même avec ce retour de bâton j’ai continué à tirer dessus. Jusqu’à ce qu’il craque avec ce qu’on appelle
L’amour lui est aussi étranger, que lointain. Une étoile inaccessible dans le firmament de son existence. Captive de sa peur de l’engagement, elle se trouve enchaînée, comme un papillon prisonnier d’une toile d’araignée. Incapable de laisser parler ses sentiments. La terreur de s’abandonner à l’amour, de tout donner pour l’être aimé, de s’engager dans une relation où les sentiments règnent en maître, la paralyse. Stella endure cette angoisse depuis des années. Une anxiété lancinante qui la consume, la torture, la laisse éveillée dans ses nuits solos où celles-ci sont sombres et où les pensées tourbillonnent sans relâche. Elle est comme une naufragée sur un radeau de peur, retenant son souffle à chaque vague menaçante, trop terrifiée à l’idée de revivre les tourments de son passé. Ces tempêtes dévastatrices qui ont jadis ravagé son âme. Le spectre de perdre l’être aimé, comme elle l’a perdu à dix-huit ans, hante ses pensées, tel un fantôme qui murmure des lamentations dans l’obscurité de son esprit. Ces appréhensions l'envahissent lorsque ses pas ne croisent pas les siens, lorsque le silence de son absence résonne comme un écho lancinant dans son cœur. Terrifiée de le voir accomplir son devoir, bravant les flammes, les dangers pour sauver des vies, sans jamais le voir revenir à ses côtés.
Ollis. Son valeureux pompier. Son héros qui, par sa simple présence ou un simple message envoyé, ébranle les défenses que Stella a érigées autour de son âme. Sa tendresse, sa constance, sa fougue, sa passion parviennent à fissurer le mur de la peur qui l'entoure, à faire fondre la glace qui enveloppe son cœur. Dans ses bras, elle trouve un refuge, une île de calme au milieu de la tempête, où la belle peut enfin laisser tomber son armure et laisser les sentiments qui l’animent à son égard. Une relation qui se doit cependant de demeurer secrète en raison du métier du beau brun. Car Ollis évolue dans un monde où la loyauté prime, où chaque geste est scruté, où les liens familiaux et professionnels s’entremêlent de bien des manières. Notamment par ce lien qui les unit tous deux à Tyler, un collègue et ami pour le tatoué, un parrain et père de cœur trop protecteur aux yeux de la belle. Ainsi, pour Stella, chaque visite à la caserne est un défi. Et c’est peut-être pour cela, qu’elle n’y met plus aussi souvent les pieds que par le passé. Car sous le regard scrutateur de Tyler, elle doit dissimuler les émotions qui tourbillonnent en elle, étouffer les battements de son cœur qui résonnent comme des tambours dans sa poitrine. Ne pas laisser son regard se voiler de peur, lorsqu’elle le voit partir en intervention ou quand Stella le sait dans une intervention tendue. Devant feindre l’indifférence, lors de leurs rencontres fortuites où elle doit masquer ses émotions qui brûlent en elle, reléguant ses sentiments à l’obscurité des non-dits. Feindre l’indifférence malgré son envie de se blottir contre lui et de capturer ses lèvres en un baiser passionné. Un art subtil, une danse dangereuse sur le fil ténu du secret. Pourtant, malgré les obstacles se trouvant sur leur chemin, leur relation persiste, résiste tel un phare en pleine nuit. Une relation où chaque petit instant volé est un trésor caché dans les replis de leur clandestinité, que ce soit chez-lui, comme chez-elle où ils se trouvent en cette soirée.
Stella sent les palpitations de son cœur s’agiter à mesure qu’elle se retrouve face à Ollis, souriant à son compliment. - Merci, mais c’est difficile de ne pas l’être en ta présence, dit-elle en se mordant les lèvres en refermant la porte derrière elle, afin de faire tomber toutes les barrières qui les empêchent d’être eux-mêmes. En cet instant, c’est comme si le temps semblait s’être arrêté, pour laisser place à la connexion qui les unit. Son corps frissonne au contact de ses mains sur ses hanches, alors que son souffle se fait plus court, en voyant la distance qui les sépare se réduire de chaque millimètre. Les picotements dans ses doigts déclenchent un frisson le long de sa colonne vertébrale, lorsqu’elle caresse tendrement sa joue, tandis que l’autre se glisse sur le corps musclé d’Ollis. Son cœur s’agite sous ses mots, alors que leurs souffles se mêlent dans une danse enivrante. Chaque syllabe qu’il prononce, chaque frôlement de ses lèvres contre les siennes, envoie des ondes de chaleur dans l’être de la belle. La laissant avide de plus. - Tu es tellement sexy… Murmure-t-elle à voix basse, laissant échapper un soupir de désir. Stella sait qu’elle ne devrait pas succomber à cette délicieuse sensation, mais l’attraction est trop forte, irrésistible. - Viens… Ajoute-t-elle d’une voix sensuelle, ses mains se faufilant autour de son cou. Leurs lèvres se rencontrent dans un baiser fougueux, leurs langues dansant pendant quelques instants dans un tempo passionné, qui les laisse à bout de souffle. Et lorsque le baiser prend fin, l’écho de leur désir reste suspendu dans l’air, prêt à être ravivé à tout instant.
La belle recule d’un pas, mais son regard enflammé trahit son intention, qui laisse entrevoir une promesse de plaisir et de désir brûlant. Stella prend toutefois le temps, la soirée ne fait que commencer. Elle veut également le laisser respirer, se mettre à l’aise, s’adapter à la tempête de désir qui gronde chez la belle. Ses lèvres effleurent la peau de sa nuque avant de marquer une courte pause. - Je veux te montrer à quel point je suis prête à t’accueillir… Susurre-t-elle, ses paroles chargées de promesses brûlantes. Elle parsème sa nuque de baisers, alternant entre douceur et passion dévorante. Ses lèvres explorent chaque courbe, chaque recoin, comme si elle voulait graver sa marque sur lui, graver son territoire dans un élan de désir ardent. Sa main explore son dos avec une assurance envoûtante, cherchant à l'éveiller un peu plus encore. Pendant ce temps, son autre main s’aventure avec une détermination exquise à la limite de son pantalon, le caressant avec une tendresse brûlante. - Je veux que tu te laisses aller entre mes bras, murmure-t-elle d’une voix douce, ses yeux brûlant d’un feu intense, que tu ressentes chaque parcelle de mon désir pour toi... Puis, dans un geste audacieux, elle saisit doucement son visage entre ses mains, puis scelle leurs lèvres dans un baiser passionné, lui laissant entrevoir toute la passion et le désir qui brûle en elle.
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「 playlist 」
Je suis plus heureux d’être ici que je ne veux bien l’admettre. Pas que j’étais mal à la caserne. Je m’y suis fait ma place depuis bien longtemps et, soyons honnête une seconde, les gars sont ceux qui se rapprochent le plus d’une famille que je n'en ai jamais eu, hormis grand-mère. Donc ouais, j’y suis bien à la caserne. Seulement, depuis ce message reçu, impossible pour moi de me concentrer sur autre chose que cette touffe blonde. J’ai ri avec les gars sans savoir quelle était la blague, j’ai retrouvé mon sérieux sans savoir qui parlait de son avenir ou de sa famille. Si je fuis aussi souvent celui que j’étais avant, ça ne veut pas dire pour autant qu’il ne revient jamais. Même s’il n’est jamais convié aux festivités. La cause ? Ce mètre soixante-quinze de douceur et de passion a fait revenir le gamin qui se fout de tout et de tout le monde. On aurait pu m’annoncer une naissance comme un décès que je n’aurais pas eu la réaction espérée. Uniquement parce que la douce Stella s’est manifestée et que mon cœur et mon cerveau ont décidé de se focaliser seulement sur elle, la blonde aux grands yeux pétillants. Il ne m’a pas fallu longtemps pour que je prenne la décision de la rejoindre et encore moins longtemps pour que je me retrouve devant cette porte. Madi me ferait sûrement la leçon, une relation comme ça c’est pas sain. De toute façon, il n’y a plus rien de sain en moi. Peut-être même serait-elle vouée à l’échec mais putain je m’en contre fous. Rien n’est meilleur que la voir la, début devant moi. Rien n’est plus délicieux que de sentir la chaleur de son corps entre mes bras. Merde, c’est là sa place, nul part d’autre. Grand-mère doit bien se marrer de là-haut, à me voir autant galérer, être en proie entre ma raison et mon cœur. Rigole bien, mamie. Elle aurait su quoi faire devant l’empoté que je suis, elle aurait trouvé les mots justes, même si je lui ai toujours fait croire que je ne l’écoutais pas. Ses mots ont toujours eu raison de moi. J’éloigne le voile fugace de douleur qui m’enserre la poitrine ; ce n’est ni le moment ni le lieu pour ressasser les souvenirs. Profiter de cet instant volé au temps, aux gens et à la ville. C’est tout ce qui compte. Je volerais des instants comme celui-ci tous les jours si je le pouvais, avoir ce petit bout de femme contre moi, je pourrais bien y prendre goût, si je ne me savais porte-malheur dans la vie des autres. Chat noir incontestable, je reconnais volontiers tenir beaucoup trop à Stella pour ne pas vouloir qu’il lui arrive quelconque catastrophe. Rester dans l’ombre est certainement ce qu’il y a de mieux pour la blondinette blottie dans mes bras. Se contenter de nos moments, quelques minutes parfois, caché derrière une porte pour un simple baiser, une caresse sur la joue et repartir la tête haute, comme si je ne la connaissais que de nom alors que son prénom est gravé partout en moi. ›› Sexy uniquement parce que j’ai un trésor entre les mains. Mes doigts remontent, d’une lenteur qui m’était encore inconnu, le long de sa colonne vertébrale, comme pour graver chaque aspérités de sa peau, chaque frisson que j’ai l'honneur de lui procurer, dans un coin bien gardé de ma tête. Ses lèvres sucrées qui bougent en rythme avec les miennes, danse sans retenue, là, caché au fond du tiroir de la planète. Tiroir dans lequel je pourrais rester une éternité tant que ma blonde y reste avec moi. Sa langue caresse la mienne, trouvent leur propre tempo, indépendamment de ma raison, de la sienne aussi peut-être. Le souffle chaud, je la laisse difficilement reculer, quand on peut se permettre que tous les deux, j’admet volontiers avoir du mal de la laisser quitter mes bras, c’est presque un déchirement de ne pas sentir sa peau contre la mienne. Alors je laisse ma main sur sa taille, la dévore du regard comme un lion affamé devant sa proie. ›› Montre-moi alors… Chaque fois que sa bouche trouve une nouvelle parcelle de peau à embrasser, j’ai l’impression que mon corps s’embrase, qu’elle allume un nouveau feu à chaque baiser. Serrant le tissu entre les doigts, je ferme les yeux pour profiter des délices de ses pulpeuses, ma peau se couvre d’une chair de poule incandescente. Un grognement primaire passe la barrière de mes lèvres quand ses doigts passe sur mon épiderme brûlant, juste au-dessus de la ceinture. ›› Tu sais que tu fais ce que tu veux de moi, ma douce. Murmures soufflés, dans un dernier effort, je baisse la tête pour l’embrasser à pleine bouche, quitte à en perdre la tête, comme si ma vie dépendait de ses lèvres sur les miennes à cet instant précis. J’encadre alors son visage si précieux entre mes mains, caresse délicatement ses joues de mes pouces. Baiser fiévreux, enflammé, je la fais reculer jusqu'à cette même porte qui nous sépare du monde entier, place précautionneusement une main à l’arrière de sa tête afin qu’elle ne soit pas au contact direct du bois. ›› Je compte profiter de chaque seconde avec toi… Commencé-je en venant dévorer son cou avec empressement. ›› à t’embrasser, te serrer contre moi… Je prends le lobe de son oreille entre mes dents, toujours avec douceur et lui murmure enfin ›› Jusqu’à t’entendre gémir. Et pour finir, je passerais le reste de la nuit à te regarder dormir dans mes bras. Dessinant une ligne de baisers allant de son oreille jusqu'à ses lèvres que j’embrasse avec ferveur, ma main libre retrouve sa place sur sa taille.