rp aléatoire : preeda & naomi
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Il fait beau aujourd'hui à Oceanside et tu ne travailles pas. Un jour de congé comme tu les aimes,
-- Il n'y a aucun ordre défini, débute le rp qui le souhaite.
-- Une fois le rp terminé, n'oubliez pas d'aller le faire archiver.
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Il était rare que Preeda prenne une journée de congé. Véritable femme de carrière, l'avocate aimait consacrer la plupart de son temps à son boulot. Ses clients étaient importants et ils pouvaient compter sur elle, quoi qu'il arrive. Preeda n'aimait pas les laisser de côté, afin de se reposer. Toutefois, son patron lui a clairement demandé de prendre au moins une journée pour elle. Malgré les protestations, elle n'a pas eu le choix. Preeda se retrouve donc en congé. Heureusement, il faisait beau et plus chaud qu'à l'habitude. Preeda allait pouvoir en profiter en sortant se promener et aller faire quelques emplettes. Elle enfila une tenue décontractée. Du moins, pour elle, une robe fleurie et des souliers blancs était une tenue décontractée. Elle quitta sa villa et se mit en route. Le soleil était de la partie, ce qui était une bonne chose. Si Preeda avait été en congé, alors qu'il pleuvait, elle aurait été de mauvaise humeur. Elle s'arrêta au café du coin pour se commandé un latte glacé. Elle paya et se remis en route. L'avocate arriva rapidement au parc. Il y avait plusieurs personnes. Elles avaient eu la même idée qu'elle. Preeda arriva près de la zone à pique-nique. Sans savoir pourquoi, une dizaine de pigeons s'approchèrent d'elle. Preeda sursauta, surprise par ce qu'il se passait. Prenant peur, elle bougea dans tous les sens, afin de les faire partir, mais en vain. Ils semblaient amusés par la situation. Alors que l'avocate ne l'était pas du tout. — Lâchez-moi! Preeda aurait dû rester chez elle, en fin de compte.
rêveuse, admiratrice du monde qui t'entoure, puisant ton inspiration dans chaque instant de la vie, l'idée étant de raconter des belles histoires, tristes ou heureuses, tant qu'elles parlent, qu'elles émeuvent, touchent ceux qui osent bien s'arrêter un instant pour écouter. gamine insousciante, arpentant les rues de cette ville que tu connais par cœur, sourire aux lèvres, casque vissé sur les oreilles, à regarder tout autour de toi, c'que le monde veut bien t'apporter.
pas qui te guident en direction du parc, les premiers signes du printemps qui s'éveille, se réveille, la douceur de l'hiver qui s'échappe alors qu'les premiers rayons d'soleil réchauffent les corps, rougissent la peau. premières fleurs qu't'admire, l'sourire est franc, l'admiration est présente.
jusqu'à qu'des cris t'sortent de cette bulle, regard qui dévie vers leur provenance et t'la vois cette fille, qui se débat comme elle peut, qui s'dépatouille avec ces pigeons qui semblent vouloir élire domicile sur l'haut d'sa tête. t'aurais pu en rire, t'moquer de la situation, mais t'vois bien qu'elle est bien loin d'en rire. qu'elle aurait sans aucun doute besoin d'ton aide, ou bien d'une de celles de tout ceux qui observent la scène sans bouger un petit doigt.
« – partez, partez !! laissez la tranquille !!!! » qu'tu lâches en secouant les bras une fois arrivée à son hauteur. tu cris, remuent dans tout les sens, l'idée c'est d'effrayer. tu sautes comme tu peux, tendant absolument chacun d'tes membres comme pour gagner en grandeur.
souvenirs d'vieux gâteaux dans ton sac, tu t'en saisis rapidement avant d't'éloigner d'la jeune fille. appater les volatiles, les amener plus loin, c'était ça l'but de la manœuvre. c'est suffisamment loin d'elle qu't'étale un tas de miettes au sol, et il en faut pas plus pour les occuper un temps.
une fois revenue à son hauteur pour t'assurer qu'tout aille bien.
« – normalement vous allez être tranquille l'temps qu'ils aient fini leur festin... vous devriez peut-être vous éloigner encore un peu l'temps qu'ils sont encore occupés » pas envie d'te dire qu'une fois les miettes englouties, ils puissent revenir à la charge.
Ce café latte était probablement une mauvaise idée, quand Preeda essaya de faire partir les mouettes. Ils voulaient avoir sa boisson glacée, celle qu'elle préférait. L'avocate ne trouvait pas cela drôle du tout. Elle n'allait pas garder un beau souvenir de cette journée de congé. Non. Preeda va désormais se méfier des mouettes, quand elle va en croiser sur sa route. Elle essayait de les faire partir, mais en vain. Les gens autour semblaient trouver cela amusant. Preeda aimerait bien leur dire sa manière de penser, mais elle devait rester polie en tout temps. Les apparences étaient importantes. Surtout pour ses parents. La demoiselle commençait à en avoir marre de devoir rester droite en tout temps. Il ne fallait pas qu'elle fasse une erreur. La perfection était trop importante pour sa famille. Même si l'avocate savait que ça n'existait pas. Bref. Une inconnue décida enfin de l'aider avec les oiseaux de malheur. Preeda lui en était reconnaissante. L'inconnue donna des morceaux de gâteau, afin qu'ils lâchent Preeda. — Merci beaucoup. Sincèrement. Elle sourit et s'éloigna un peu. — Je ne sais pas ce que j'aurais fait sans votre aide. Vous devez sans doute croire que je suis idiote de réagir ainsi. Et elle aurait raison de le penser.