So slow it down (bashir)
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So slow it down (bashir)

STARS burning in the skies
Blaise Pascoe
Blaise Pascoe
messages : 19
pseudo : same.
id card : carter ( fassylovergallery)
multicomptes : lip (keery) - al (niney) - kemal (tütüncü)
à contacter : le compte concerné
triggers : cruauté animale, inceste, viol + je ne joue pas de scène de sexe explicite.
warnings : élitisme, rejet parental, noyade, drogues, alcool, déni de grossesse.
présence : (+/-) présente, l'irl avant tout.
So slow it down (bashir) Cb592f170f7d643d52c6aab9f2fb361ea2d2aee0
âge : le chiffre 30 approche à grand pas. (trop à ton goût) pour le moment c'est 29 ans
occupation : t'es le nain boring, il n'existe pas, mais c'est c'que tu ressens vis-à-vis de ton job. ingénieur
statut civil : célibataire à croire que c'est mieux ainsi.
habitation : au 11, south oceanside avec Majo la chieuse et Sol le charmeur.

pronom ig : il.
disponibilités :


bashir -- wren -- lyle -- pascoe

infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable ⇝ code couleur : uc.
   
 
「 Then you touch me and I come back 」
∙ with @Bashir Rojas

tw: mensonges

La folie.
Ton regard qui se pose sur ton bureau, les mains qui se posent sur tes hanches. Tu ne comprends rien. Absolument rien. Où est-ce que cette clé usb a pu se mettre, elle n’a pas pu disparaître. Tu es persuadé de l’avoir laissé là. Trois fois que tu refais ton bureau et rien. Une clé ça ne disparaît pas, donc tu perds la tête. Tu ne vois que cette solution. Tu souffles, retournes à nouveau quelques dossiers. Toujours rien. Ça commence à te prendre la tête, tu te souviens l’avoir posé ici. Sol qui souffle et s’étire. « Je t’envie, tu sais. » il relève la tête et la repose aussitôt. Oui, tu l’envies, il n’a pas à ratisser l’appartement à la recherche d’une aiguille. Un petit R2D2 ça ne se perd pas comme ça. Tel un robot, tu grattes ton crane et passes tes mains sur ton visage. Signe de nervosité, absolument. Tu ne comprends rien. Ça te rend fou. La dernière fois que tu l’as utilisé, c’était pour le projet McArthur. Tu refais le schéma dans ta tête, ce projet datte de… « Shit. Shit. Shit. » ce n’est juste pas possible. Tu ne peux pas l’avoir oublié chez lui. Non, tu n’y crois pas. No way. Tu reprends toujours tes affaires et puis pourquoi ? Peut-être parce que tu te revois bosser à son bureau un soir. Tu devais boucler ce projet avant les fêtes. Voilà pourquoi. Sauf que tu reprends toujours tes affaires, tes minutieux comme mec, alors pourquoi n’est-elle pas sur ton bureau. Pire encore, pourquoi tu ne la cherches que maintenant ? Parce que le projet a été validé et que tu dois continuer, coder la suite. Grimace qui apparaît sur ton visage, tu sais au fond de toi que tu as raison. Tu as retourné ton appartement trois fois et rien. Rien du tout. Tu serres les dents, ainsi que les poings. Tu ne vas pas retourner là-bas ? Ça serait l’occasion de le revoir… au fond de toi, tu en meurs d’envie. Tu t’es empêché ce chemin trop de fois. Tu t’es aussi empêché de penser à lui. Parce que c’est plus simple de se mentir, que d’assumer la vérité. La vérité qui est ? Qu’il te manque, mais ça tu le nieras haut et fort. Tu lui as menti, tu as gâché votre relation, point final. À présent, vous reprenez tous les deux votre vie et tout est réglé, vraiment ? « Une balade ça te dit mon gros ? » tu souffles. Tu as besoin de cette clé, il va sûrement te rire au nez, voir pire. Sauf que sans cette clé, tu ne peux pas continuer le projet. Tu as une partie sur ton ordi, mais pas tous les codes. Agis comme un adulte Blaise et va récupérer cette foutue clé avant de perdre la tête pour de bon.

« Let’s go ! » tu attrapes la laisse et direction l’enfer. Tu pourrais dire ça, vu que tu es responsable de tout ça. C’est ton enfer à toi, alors qu’avant c’était ton havre de paix. Tu mérites cette perdition. Et un manteau qui n’est pas à sa place, merci Majo. Tu ne prends plus la peine de râler, tu lèves juste les yeux au ciel et direction l’extérieur. C’est que tu deviens habitué à trouver ses affaires partout, c’est sa marque de fabrique. Tu aurais pu prendre la voiture, mais une balade te fera du bien. Vous fera du bien. « Je sais que je suis fou, je devrais pas. » que tu lâches à l’intention de Sol, qui lui se contente de sentir les odeurs. Une tonne d’e-mails l’attendent ce matin. Une main qui maintient la laisse, l’autre dans la poche, tu avances tranquillement. Une chance, ce matin le temps est de ton côté. L’immeuble se dessine doucement sous tes yeux et … tu n’es pas prêt. « On fait quoi ? » Sol qui a reconnu le chemin, veut avancer, toi non. Tu stagnes. Quoi faire. Tu souffles un coup et avances, puis recule. « non, je peux pas. » faire la conversation à Sol, ça t’a toujours fait du bien. Ça te permet de vider ton esprit, tu sais que tu passes pour un fou. Surtout que ça fait quinze fois environ que tu avances vers le bâtiment, puis fais demi-tour. Ça ne t’étonnerait pas de voir la police arriver. « Je peux pas.. il va jamais vouloir.. oui je sais, je manque de confiance. C’est facile pour toi, tout le monde t’adore. Sauf que là, je risque de faire face à un mur. Oui, je sais. » tu finis par regarder Sol, bien assis qui contemple le bâtiment, puis toi. « Il pourrait comprendre, ce n’est qu’une clé après tout. » sauf que pour ça, tu dois sonner, lui parler. Tu dois lui parler et ça, ça t’effraie plus que tu veux bien le croire. Tu ne fais pas attention aux gens qui avancent autour de toi, encore moins à la silhouette qui vient dans ta direction. « Au pire, je t’envoie, tu ferais ça pour Papa ? » oui, tu cherches tous les moyens pour ne pas affronter son regard. Un regard qui te plaisait avant, où tu t’y abandonnais volontiers. « Je vais rentrer, je trouverais un autre moyen. » trouillard. Tu regardes Sol, qui remue de la queue. « Quoi ? Qu’est-ce qui s’passe ? » ton regard part en direction de  .. « Bashir. » ta gorge qui se racle, ça tu t’y attendais pas. Tu peux toujours partir.

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Come back
Just gonna stand there and watch me burn. But thats alright because I like the way it hurts. Just gonna stand there and hear me cry. But thats alright because I love the way you lie.
MOON up all night
Bashir Rojas
Bashir Rojas
messages : 635
pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : taz skylar (sweet poison @avatar, obriy@gif profil)
multicomptes : ashton, ozan, jake, avràn, felix, basil.
triggers : cruauté animale, inceste, viol + je ne joue pas de scène de sexe explicite.
warnings : décès, alcool, drogue, noyade.
So slow it down (bashir) 4197a65d7c4fd533882c72cfcf73ac5dbef7cb33
âge : 28 ans, la trentaine en vue.
occupation : illustrateur, spécialisé dans les livres pour enfants, même s'il prend tout ce qu'on lui propose en ce moment, besoin de payer les factures. il est également auteur de bandes dessinées, depuis qu'il a publié sa première bd, il y a quelques mois.
statut civil : célibataire, peu enclin à croire en l'amour.
orientation : pansexuel sexualité assumée depuis longtemps.
habitation : uc, uc.
pronom ig : il.
disponibilités : disponible.
noa
yeliz
julian
blaise

infos rp : 600 mots en moyenne ; dialogue en fr.
   
 
「 so, slow it down. 」
∙ feat. @Blaise Pascoe ; avril 2024 ∙
tw: drogue, alcool, décès, deuil, mensonges.

Il n’avait pas spécialement envie de rentrer chez lui, Bashir. Pas envie de retrouver le calme de son appartement et de se confronter à toutes les pensées qu’il avait envie de chasser à coup de drogue ou d’alcool. Il allait mieux, ça faisait des mois qu’il était sobre, mais parfois - souvent - le chagrin qu’il ressentait quand il pensait à sa sœur, lui donnait envie de sombrer à nouveau. Tahira lui manquait. Il avait beaucoup de mal à refaire sa vie, sans qu’elle ne soit à ses côtés. Elle était sa sœur jumelle, une partie de lui sans laquelle il avait l’impression de ne pas pouvoir exister. Pourtant, il fallait bien apprendre à vivre sans elle, parce qu’elle n’était plus là et que lui, pourtant, il continuait de fouler le sol de cette planète. Il était allé à sa réunion de soutien, Bash. Il était resté discret, dans son coin. Peu désireux de s’exprimer, alors même que, la dernière fois qu’il l’avait fait dans cette pièce, ça l’avait conduit vers Blaise. Celui qui l’avait aidé, autant qu’il l’avait détruit. Pendant un moment, il avait vraiment cru qu’il pouvait s’appuyer sur lui pour se relever et puis la vérité avait éclaté. Leur relation était basée sur un mensonge. Blaise était là quand Tahira était morte et comme tous les autres ce soir-là, il n’avait rien fait.

Il n’avait plus envie d’entendre parler de Blaise. Ils avaient été ensemble pendant quelque temps. Un couple qui n’étaient pas allé bien loin et pourtant une rupture qui lui faisait encore du mal. Sans doute encore trop fragilisé par la mort de sa sœur. Ses réunions lui rappelaient Blaise, alors ce qui avait l’habitude de lui faire du bien, lui faisait plus de mal qu’autre chose, à présent. Il avait envie de rentrer dans tous les bars devant lesquels il passait, tenté d’aller noyer son chagrin dans l’alcool, comme toujours. Mais il fallait être un peu plus fort que ça, alors il s’était posé dans un café, plutôt que dans un bar. Parce que le café et les sucreries, ce n’était pas ce qu’il y avait de mieux pour la santé, mais au moins, c’était mieux que l’alcool et la drogue. Puis finalement, il était allé à la boxe, histoire de se défouler un peu. Il y était resté un long moment. Le sport était au moins un moyen sain de chasser ses démons. Plusieurs heures plus tard, il avait enfin rejoint les vestiaires, prenant une douche rapide avant d’entamer son retour chez lui. Au moins, maintenant, il se sentait un peu plus serein. Plus détendu, ça lui avait fait du bien. Il allait peut-être réussir à passer une bonne soirée. Une idée qui quitta son esprit bien vite, alors qu’il s’approchait de son bâtiment. Il était à quelques pas de son immeuble et il reconnut la silhouette de Blaise. Juste là en bas de chez lui. Qu’est-ce qu’il foutait là ? Plus il s’approchait, plus il sentait ses muscles se tendre. Il avait tout fait pour ne pas passer sa soirée à ruminer leur histoire et la mort de sa jumelle et en une fraction de seconde, ses efforts tombaient à l’eau. « Qu’est-ce que tu fous ici ? » Il demanda simplement, une fois à sa hauteur, pas besoin de s’encombrer de salutation ou de quoi que ce soit de plus formel. Il n’avait pas envie de faire preuve de la moindre diplomatie, Bashir. Pas avec lui, pas alors qu’il se sentait sur les nerfs. « Va peut-être falloir arrêter de me stalker. » Il n’exagérait qu’à moitié, puisqu’après tout, pour le retrouver dans cette réunion, il fallait bien qu’il se soit renseigné sur lui ? L’ai suivit peut-être, pour savoir qu’il se rendait à cet endroit ? Il n’en savait rien, n’avait pas les détails de son plan, tordu et ne les voulait pas. Il voulait juste qu’il disparaisse de sa vie, maintenant qu’il avait brisé le peu d’espoir qu’il lui avait apporté.



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