save you a seat. (ronan)
Ce soir, la belle n'a pas envie de rentrer et de retrouver la solitude de son petit appartement. Parce que oui, depuis qu'elle a pris les rennes du road house, ce bar de bord de route laissé comme héritage par son paternel, elle a dû se rendre à l'évidence, qu'elle ne pouvait pas rentrer simplement comme ça. Elle y a songé, faire en sorte de vendre cet endroit mythique et simplement tourner la page, mais elle n'a pas réussie. Parce que finalement, Oceanside c'est un lieu tellement rempli de souvenirs, majoritairement des souvenirs heureux qu'elle a partagé avec lui. Elle aurait l'impression de le trahir en venant vendre ce lieu pour lequel, il s'est donné corps et âme durant toutes ces années. C'est grâce à lui et seulement lui qu'il a pu rendre cet endroit un repère incontournable pour les pompiers de la caserne 51 par exemple. Elle a terminé de mettre à jour les livres de comptes, puis elle est partie, mais elle n'est pas rentré chez elle. Elle a fait ce petit détour qu'elle connait à présent par coeur, parce que ce n'est pas la première fois qu'elle débarque à cette heure aussi tardive dans ce charmant restaurant. On pourrait même dire qu'elle est devenue avec le temps; une cliente habituée de l'endroit. Du coup, elle débarque venant à saluer certains membres du personnel qui sont en train de travailler sur le plancher. " Il est là?"
Qu'elle demande la belle brune à l'un des serveurs, ce dernier acquiesce et elle se faufile doucement prenant place directement au comptoir. Encore une fois, on ne change pas les habitudes pas vrai? Nicola sait pertinemment que la fermeture approche et que bientôt elle le verra pointer son nez et son grand regard bleu. Elle demande si on peut lui apporter une eau pétillante, raisonnable elle ne se lance pas dans un choix de vin ou cocktail, elle veut simplement décompresser et changer de décor sans nécessairement retrouver les quatre murs de son appartement qui devient de plus en plus cozy, elle ne peut pas le nier. Comme elle le croyait, il finit par sortir de derrière la cuisine et elle lui fait un léger signe de la main, un sourire qui se glisse aussi sur son visage. Évidemment, elle ne veut pas l'opportuner, elle sait mieux que quiconque c'est quoi de devoir faire rouler une business. Y'a un tas de choses qu'on ne voit pas, qui se passe en arrière scène. Des actions primordiales sans lesquels, le lieu ne pourrait pas rouler adéquatement. Nicola a rapidement vue à quel point il avait à coeur ce lieu et ses employés. Ils ont ce point commun qui les rejoint finalement. À la base, Ronan est débarqué dans son bar pour boire tranquillement et il a répété l'expérience encore et encore devenant presque un client régulier tout comme elle ici. La belle a décidé d'engager la conversation, parce que c'est ce que son paternel faisait, n'hésitant pas à discuter avec ses clients pour ainsi créer ce lien de proximité et cette impression de grande famille. Du coup, bien que Nicola soit peut-être moins bavarde que son défunt père, elle a décidé elle aussi de faire la même chose et des échanges brèves ont commencées pour finalement de fil en aiguilles devenir des échanges plus longues et moins en surface. La belle finit par recevoir son eau pétillante et au même moment, Ronan s'approche d'elle. " Salut.." Qu'elle souffle doucement se levant de son tabouret pour venir lui faire une légère accolade. " Grosse soirée?" Qu'elle ose demander après avoir repris place en regardant autour, certaines personnes sont encore assis en train de déguster leurs repas.
@Ronan Cahill
Qu'elle demande la belle brune à l'un des serveurs, ce dernier acquiesce et elle se faufile doucement prenant place directement au comptoir. Encore une fois, on ne change pas les habitudes pas vrai? Nicola sait pertinemment que la fermeture approche et que bientôt elle le verra pointer son nez et son grand regard bleu. Elle demande si on peut lui apporter une eau pétillante, raisonnable elle ne se lance pas dans un choix de vin ou cocktail, elle veut simplement décompresser et changer de décor sans nécessairement retrouver les quatre murs de son appartement qui devient de plus en plus cozy, elle ne peut pas le nier. Comme elle le croyait, il finit par sortir de derrière la cuisine et elle lui fait un léger signe de la main, un sourire qui se glisse aussi sur son visage. Évidemment, elle ne veut pas l'opportuner, elle sait mieux que quiconque c'est quoi de devoir faire rouler une business. Y'a un tas de choses qu'on ne voit pas, qui se passe en arrière scène. Des actions primordiales sans lesquels, le lieu ne pourrait pas rouler adéquatement. Nicola a rapidement vue à quel point il avait à coeur ce lieu et ses employés. Ils ont ce point commun qui les rejoint finalement. À la base, Ronan est débarqué dans son bar pour boire tranquillement et il a répété l'expérience encore et encore devenant presque un client régulier tout comme elle ici. La belle a décidé d'engager la conversation, parce que c'est ce que son paternel faisait, n'hésitant pas à discuter avec ses clients pour ainsi créer ce lien de proximité et cette impression de grande famille. Du coup, bien que Nicola soit peut-être moins bavarde que son défunt père, elle a décidé elle aussi de faire la même chose et des échanges brèves ont commencées pour finalement de fil en aiguilles devenir des échanges plus longues et moins en surface. La belle finit par recevoir son eau pétillante et au même moment, Ronan s'approche d'elle. " Salut.." Qu'elle souffle doucement se levant de son tabouret pour venir lui faire une légère accolade. " Grosse soirée?" Qu'elle ose demander après avoir repris place en regardant autour, certaines personnes sont encore assis en train de déguster leurs repas.
@Ronan Cahill
Les mains qui s’agitent avec une dextérité et une aisance qui en serait presque déconcertante, la précision au bout du couteau, la soirée n’avait pas semblé connaitre de temps mort. Les tabes retrouvaient de nouveaux clients à l’instant où les précédents quittaient, les commandes s’enchainaient, et si Ronan, tout comme le reste de son équipe, se retrouvait bien souvent claqué à la fin de soirées comme celles-là, il ne pouvait que se réjouir du succès de sa petite entreprise. Il n’allait certainement pas être le premier à se plaindre que les affaires aillent bien, lui qui savait pertinemment qu’une fois les vacances d’été terminées, le rythme effréné qu’ils avaient pu connaitre au cours des derniers mois allait être remplacé par des journées en dent de scie et des quarts de travail réduits par manque de travail. C’est pourtant avec un certain soulagement qu’il accueillit le ralentissement qu’ils vinrent à connaitre en fin de soirée, l’impression de pouvoir respirer pour la première fois en quelques heures et de pouvoir se poser un instant. Parce que non seulement se plaisait-il à se retrouver aux fourneaux, il n’en restait pas moins que c’était vers lui qu’on continuait à se tourner en cas de problème. « Ronan, la sept se plaint de la cuisson de son steak qu’il trouve trop peu cuit. » C’est pourtant bien lui qui a demandé à ce que son steak soit saignant, non? Il se passait de commentaires, et toujours allait faire face aux clients, restant respectueux et diplomatique – quand bien même il avait parfois envie de parler de façon un peu plus franche aux plus réfractaires. « La vingt-sept a mangé la moitié de son plat avant de nous dire qu’il n’aimait pas son repas. » Chaque jour apportait son lot de demandes et de critiques qui faisait que le travail était tout sauf redondant. Et s’il pouvait bien se plaindre de ces quelques Karen qui se complaisaient à laisser des commentaires désobligeants sur les diverses plateformes en ligne en omettant de décrire leurs propres comportements qui avaient menés à une décision qui ne leur avait pas plu, Ronan dirait à quiconque voudrait l’entendre qu’il ne changerait d’emploi pour rien au monde. Il était fier de l’entreprise qu’il avait créée, fier du succès qu’elle connaissait – s’assurant toujours de partager les honneurs avec son équipe à qui, il savait, il devait tout – et malgré les petits accros ici et là, il n'en restait pas moins qu’il vivait un rêve éveillé.
Le soulagement l’envahi lorsqu’il jeta un coup d’œil à l’horloge accrochée au mur, et constata que la journée tirait tranquillement à sa fin. Laissant son collègue le soin de gérer la cuisine pour le reste de la soirée, il se délesta de sa veste blanche et s’enferma dans son bureau pendant quelques minutes, tentant de veiller à ces tâches administratives qu’il préférait toujours laisser à d’autres – il se devait pourtant de garder un œil sur chaque aspect de son business malgré sa réticence – avant de se retrouver sur le plancher. Un dernier tout de table auprès des serveurs pour s’enquérir de la soirée, c’est à cet instant qu’il remarqua cette silhouette familière assise au bar. « Salut. » Lança-t-il en retour en lui faisant une légère accolade, toujours conscient qu’il n’était jamais vraiment dans un état propice pour être approché de la sorte, surtout à la fin d’une journée de travail – c’était là les aléas du travail en cuisine – hochant la tête en réponse à sa question. « Ouais, ça s’est calmé au cours de la dernière heure, mais sinon, ç’a été occupé toute la soirée. » Avant même qu’il n’ait répondu, elle pouvait sans doute déjà lire la réponse sur ses traits qu’il devinait étirés. « Et la tienne? » Qu’il lui retourna, prenant place sur le siège à ses côtés, accoudé au bar, pouvant ainsi garder un œil sur l’ensemble du restaurant tout en continuant de discuter avec Nicola, malgré qu’il soit confiant que ses employés avaient la situation sous contrôle.
@nicola aznar
Le soulagement l’envahi lorsqu’il jeta un coup d’œil à l’horloge accrochée au mur, et constata que la journée tirait tranquillement à sa fin. Laissant son collègue le soin de gérer la cuisine pour le reste de la soirée, il se délesta de sa veste blanche et s’enferma dans son bureau pendant quelques minutes, tentant de veiller à ces tâches administratives qu’il préférait toujours laisser à d’autres – il se devait pourtant de garder un œil sur chaque aspect de son business malgré sa réticence – avant de se retrouver sur le plancher. Un dernier tout de table auprès des serveurs pour s’enquérir de la soirée, c’est à cet instant qu’il remarqua cette silhouette familière assise au bar. « Salut. » Lança-t-il en retour en lui faisant une légère accolade, toujours conscient qu’il n’était jamais vraiment dans un état propice pour être approché de la sorte, surtout à la fin d’une journée de travail – c’était là les aléas du travail en cuisine – hochant la tête en réponse à sa question. « Ouais, ça s’est calmé au cours de la dernière heure, mais sinon, ç’a été occupé toute la soirée. » Avant même qu’il n’ait répondu, elle pouvait sans doute déjà lire la réponse sur ses traits qu’il devinait étirés. « Et la tienne? » Qu’il lui retourna, prenant place sur le siège à ses côtés, accoudé au bar, pouvant ainsi garder un œil sur l’ensemble du restaurant tout en continuant de discuter avec Nicola, malgré qu’il soit confiant que ses employés avaient la situation sous contrôle.
@nicola aznar