rp aléatoire : savannah & james
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rp aléatoire : savannah & james

gravity's holdin' me back
As it is
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rp aléatoire : savannah & james 3829fa12f45679aa48599c9137c11115
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rp aléatoire
「 feat.  @Savannah Pandora & @James Drake
tw: état d'ébriété.

Tu ne sais pas ce qui t'a pris, mais tu as trop bu ce soir Savannah. Tu titubes jusqu'à ton taxi pour qu'il te ramène enfin chez toi. Il fait nuit noire à Oceanside. Il est trois heures du matin après tout. Tu as passé une excellente soirée avec tes ami‧es, mais tu as un peu abusé sur la boisson. Tu montes les marches jusqu'à ton étage et une fois devant la porte, tu essayes de rentrer la clé, mais elle ne passe pas. Tu t'énerves, persuadé‧e d'être devant chez toi. James, tu dormais à point fermé avant d'entendre du bruit à la porte d'entrée. Pris‧e de panique, tu attrapes le premier objet que tu vois et que tu te diriges vers la porte, regardant par le judas pour voir Savannah essayé de rentrer chez toi.
-- Il n'y a aucun ordre défini, débute le rp qui le souhaite.  
-- Une fois le rp terminé, n'oubliez pas d'aller le faire archiver.

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MOON up all night
Savannah Pandora
Savannah Pandora
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pseudo : Faryl
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warnings : Alcoolisme - Suicide - Dépression
rp aléatoire : savannah & james 24f64ebcc15453813aa16e5c313a0f69258b6223
âge : 26
occupation : Tatoueuse
statut civil : Célibataire
orientation : Bisexuelle
pronom ig : elle
présentation : Savannah Pandora - Fiche
   
 
@James Drake
TW : état d'ébriété, alcoolisme, langage grossier


Savannah avait bu. Encore. D’un autre côté, quiconque la connaissait ne serait pas étonné de la voir dans cet état. Il se passait rarement une semaine sans qu’elle ne finisse dans un délicieux état d’ébriété. C’est ce qu’elle recherchait. Cette douce torpeur qui la prenait lorsqu’elle buvait à l’excès. Ce sentiment de flotter, que tout le monde était plus joli et plus gai. Que ses idées noires soient enfin englouties par l’alcool, ses démons noyés, jusqu’au lendemain. Lorsqu’elle se réveillerait avec la gueule de bois, l’envie de clamser, et que tout son mal être lui reviendrait en pleine poire.

Bien qu’elle s’abreuve plus que de raisons de façon très régulière, Savy finissait ses soirées de façon très variable. Assez souvent, accrochée au bras d’un.e parfait.e inconnu.e, peu lui importait qu’on profite de son état, pourvu qu’on lui offre une étreinte chaleureuse dans laquelle se perdre le temps d’une nuit. Qu’elle puisse enfin se sentir aimée, désirée pendant quelques minutes de félicité. Cela ne l’empêchait pas de disparaître en catimini au petit matin. D’autres soirs, elle n’avait pas sa dose. Petite junkie à la recherche de son fix ne possédait pas assez de billets verts pour satisfaire sa soif. Elle se contentait du peu de verres qu’elle pouvait se permettre. Quelques tords-boyaux infâmes, et faisait de temps en temps de l’oeil et du charme à de pauvres idiots pour essayer de se faire offrir un verre. Ces jours-là, elle rentrait chez elle avec un goût de trop peu, et les poches trop vides. Enfin, il y avait les bonnes soirées, comme celle-ci, où elle avait assez de flouze pour poser ses lèvres sur le goulot glacé d’une bouteille et s’enfiler rasade sur rasade de feu liquide. Alors Savannah n’avait pas regardé à la dépense. En digne pilier de bar qu’elle était, les bouteilles et les shots s’étaient enchaînés, accumulés, jusqu’à ce qu’elle manque de tomber de son siège. Les idées peu claires, la démarche titubante, la langue pâteuse, elle avait atteint son objectif. Boire plus que de raison. Dans cet état, elle risquait fort de ne même plus se rappeler de ce qu’elle avait fait la veille.

Malgré sa tendance à multiplier les décisions foireuses et à se complaire dans ce cycle d’auto-sabotage, Savy semblait encore avoir un léger instinct de survie. Dans le cas présent, son corps qui avait daigné essayer de se traîner jusqu’à son logement avant qu’elle ne se mette à comater dans un caniveau. Elle n’était pas certaine du temps qu’elle avait mis pour faire la courte distance qui la ramenait près de son bloc. Elle avait monté péniblement les marches, manquant à plusieurs reprises de trébucher dans les marches, et devant se retenir à la rampe pour ne pas dégringoler d’un étage. Finalement, elle avait fini son ascension à quatre pattes, plus stable, et s’était affalée sur le petit palier. Pendant quelques instants, elle considéra l’idée de finir la nuit là, la tête sur le paillasson rugueux, avant de se motiver à ouvrir la porte pour se jeter dans son lit. Sans aucune délicatesse ou discrétion pour ses pauvres voisins, elle commença à fouiller dans son sac, le renversant à moitié sur le sol à la recherche de ses clés. Après les avoir enfin trouvées, elle se releva, se cognant à la poignée de la porte au passage. Après avoir poussé un juron extrêmement coloré et bruyant, résonnant dans la cage d’escalier, elle entreprit d’essayer d’ouvrir la porte. Elle avait beau s’acharner, sa clé ne semblait pas vouloir rentrer, ou pas plus loin que la pointe, de plus en plus frustrée de cet obstacle, elle donna un petit coup de pied dans la porte. “Saloperie de porte. Tu vas t’ouvrir…” souffla-t’elle, sa bouche pâteuse rendant sa prononciation difficilement intelligible. Elle commença à essayer une par une chaque clé de son trousseau, les idées trop peu claires pour réaliser sa situation. Qu’elle n’était pas chez elle, et que sa présence avait réveillé l’occupant des lieux, vu le mince filet de lumière qui se glissait sous le pas de la porte;
ADMIN wildest dreams
James Drake
James Drake
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à contacter : edward
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présence : 5/7 en général ; réponse asap en fonction de l'irl
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âge : 53 ans depuis le 17 mars, le poids des ans commence à se faire sentir, surtout au réveil.
occupation : videur en chef du road house depuis un peu plus de cinq ans; psychologue de formation qui a travaillé quelques années dans l'humanitaire.
statut civil : divorcé depuis tellement d'années que l'on peut désormais dire qu'il assume son célibat.
orientation : hétérosexuel, doigts rugueux glissant sur les courbes féminines.
habitation : #1408 San Luis Rey, une maison plein pied qu'il partage avec sa petite soeur.
pronom ig : il/he
   
 
「 écrire le titre de votre rp juste ici 」
∙ with @Savannah Pandora

tw: état d'ébriété, alcool, mention de bagarre

Il a droit à une longue soirée de travail au roadhouse. Bien souvent, tout est calme, mais non cette nuit là. Un petit groupe désireux de faire la fête, qui a chahuté. Une ambiance lourde qui s’est installée à mesure que les verres se vidaient. Puis, ça a commencé à dégénérer. James et ses collègues ont du intervenir et il a fallu de très longues minutes avant que le calme ne revienne. Il déteste quand l’atmosphère tourne ainsi, et que cela dérape. À croire qu’il faut de l’alcool pour que la fête soit plus folle. Il y a eu d’autres petits incidents, jusqu’à la fin, mais rien de bien significatif. Pourtant, quand il quitte le lieu, mentalement, il est fatigué. Il n’a pas usé des poings, car ce n’est pas son genre. Préférant utiliser les mots et laissant la force brute aux plus jeunes. Il ne rentre pas chez lui, dans la maison qu’il partage avec sa sœur et sa nièce. Non, vu l’heure, il décide de dormir dans l’appartement d’un ami dont il a les clés et qui lui sert de temps en temps, quand il souhaite rester seul. Le temps de prendre une douche, de se préparer pour la nuit, une fois allongé, il ne lui faut guère que quelques minutes pour s’endormir. Sommeil venant rapidement, et profond. C’est tout ce dont il a besoin. Les années en missions humanitaires font que même s’il dort bien, son sommeil n’est pas si profond que cela quand il y a du bruit autour. C’est d’ailleurs le son d’une voix qui le sort du monde de Morphée dans lequel il venait de plonger. Sûrement un voisin, alors il se retourne dans le lit avec l’intention de se rendormir. Cet appartement est bien, sauf quand les voisins décident d’être bruyant au milieu de la nuit.

Nouveau bruit. Paupières qui s’ouvrent. Cela semble provenir de la porte d’entrée. Il se lève, simplement vêtu d’un tee-shirt et d’un caleçon, sa tenue préférée pour dormir. Davantage depuis qu’une fois, sa petite fille a dormi avec lui quand elle était bébé et qu’elle n’a rien trouvé de mieux à faire que de jouer et de tirer sur les poils de son torse. Erreur qu’il n’a plus jamais commise par la suite en gardant la petite et en la prenant avec lui quand elle est malade. Il traverse la salle à manger quand un coup est donné sur la porte d’entrée. Quelqu’un tente d’entrer. Après la soirée folle du roadhouse, voici que le destin décide de ne pas le laisser en paix et l’importune même quand il tente de se reposer. Il saisit le premier objet à sa portée, qui est une petite statue de gorille, en plastique. Arrivé à la porte, il regarde par le judas et voit une femme de l’autre côté.

Verrou retiré, il tourne la clé puis la poignet et se décide à ouvrir un peu la porte, posant le gorille sur le meuble à côté de la porte. Il n’ouvre pas en grand, n’invitant pas la personne à entrer dans cet appartement qui n’est pas le sien après tout. On ne fait que le lui prêter. – Je peux vous aider ? Demande-t-il à la jeune femme qui tient sur le pallier. Il ne lui faut que quelques secondes pour remarquer qu’elle est alcoolisée, à cause de sa façon de se tenir, mais également de la légère odeur d’alcool qui émane d’elle. Il aurait pu penser que ça venait de lui, après les heures de travail, mais il a pris une douche avant de se coucher. Il attend, de savoir ce que veut cette inconnue à cette heure indécente de la nuit.

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I've got you
if we hit on troubled water I'll be the one to keep you warm and safe and we'll be carrying each other until we say goodbye on our dying day.
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Savannah Pandora
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âge : 26
occupation : Tatoueuse
statut civil : Célibataire
orientation : Bisexuelle
pronom ig : elle
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TW : Alcoolisme, langage grossier, idées noires


La porte s’était enfin ouverte, mais Savy, dans son état, avait encore du mal à réaliser que ce n’étaient pas ses déplorables efforts qui avaient réussi l’entreprise. Il faut dire que son cerveau, encore embrumé par les vapeurs de l’alcool, était trop occupé, à cet instant, à essayer de comprendre ce qu’un homme faisait face à elle. La lumière du couloir lui faisait mal aux yeux, laissait déjà pressentir la terrible migraine qui allait suivre son intoxication. Elle cilla, semblant tenter de mettre de l’ordre dans ses idées, de comprendre la question qui lui était posée, avant de souffler de sa voix pâteuse.

“-Qu’est-ce que tu fous chez moi ?”

Savy n’avait que récemment emménagé dans une petite colocation vide. Le bailleur lui avait bien mentionné qu’il allait chercher d’autres occupants pour les chambres libres, mais elle s’était vite désintéressée du résultat et des visites potentielles. Tant qu’on ne l’emmerdait pas, et qu’on ne touchait pas à ses bières, elle se fichait de qui pouvait emménager. Au fond, ce serait probablement elle la mauvaise coloc, celle qui laisse ses affaires trainer partout, se sert abondamment dans le frigo, réveillait tout le monde à trois heures du mat’ quand elle rentrait complètement bourrée, et à qui il faudrait faire des dizaines de rappels pour qu’elle daigne payer sa part du loyer ou des courses. Elle aurait pu, en d’autres circonstances, penser qu’il était un colocataire qu’elle n’avait pas croisé, et qui venait juste d’arriver, mais elle n’avait pas les facultés en ce moment pour penser à une telle éventualité. Pour elle, il était juste un obstacle. Et elle se tracasserait de la présence de Monsieur le squatteur le lendemain matin. De toute façon ce n’était pas comme s’il y avait quoi que ce soit de valeur chez elle, et elle avait bu les dernier dollars qu’il lui restait.

Malgré tous les indices qu’elle avait sous les yeux : le paillasson différent, la décoration qui ne correspondait pas, et surtout la présence de l’homme qu’elle venait visiblement de réveiller dans le couloir, Savy était dans un état trop second pour avoir un raisonnement cohérent. Elle avait bien assez bu pour ne plus savoir marcher droit, être incapable de réciter son alphabet, et ne même plus savoir où elle habitait, après tout. Et bien qu’elle ait l’alcool joyeux, que le monde lui semble bien plus gai lorsqu’elle s’était enfilé quelques verres et pu noyer ses démons dans la gnôle, Savy restait terriblement butée. Son objectif était simple : arriver jusqu’à son lit. Et l’homme était clairement un obstacle qu’elle devait chasser pour y parvenir. Elle n’attendit donc même pas la réponse, semblant déjà se désintéresser de sa présence, et tâcha de pousser la porte et de progresser dans le couloir.  Malheureusement pour elle, l’homme n’avait pas ouvert grand la porte, et ce n’était pas son gabarit de poids plume qui allait lui permettre de l’ouvrir de force. Elle pesta donc ouvertement et lui décocha : “Ouvre, le vieux. T’es chez moi. Je veux dormir.” Faible protestation, grognement sourd, Savy poussait sur la porte comme pour lui montrer qu’elle ne plaisantait pas.
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