city in the middle of the night ft. daniel
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city in the middle of the night ft. daniel

MOON up all night
Leif Sundström
Leif Sundström
messages : 1522
pseudo : thalestris. (she/her)
id card : kinnaman | tiktok (av) roro my queen (gif) ledtasso (gif sign)
triggers : les tiens seront les miens.
warnings : langage grossier, substances illicites, alcool, violence physique et verbale, abandon, sexe.
city in the middle of the night ft. daniel Leyfin5
âge : fatigue à l'âme, [quarante-quatre] ans filés de mauvais coton.
occupation : [chauffeur livreur], loin du job de rêve par excellence mais ça paie les factures et personne ne vient l'y faire chier.
statut civil : [ en couple] depuis le deux mars, [robyn] comme seule étincelle capable de raviver le cœur dont elle est maître.
orientation : seules les courbes [féminines] pour lui faire courber l'échine et battre le myocarde.
habitation : petit appartement du south oceanside, [#28] zone de guerre où il réside avec [svea], sa nièce.
pronom ig : he/him.
disponibilités :
dispo
leifyn Vwolfieleifyn VIIleifyn VIIIsage IIjesus.

infos rp :
je m'adapte en fonction de ma/on partenaire.
- - de 300 à 1000+ mots selon l'inspiration et les préférences.
- - paroles en suédois, anglais ou français.
- - fréquence rp variante selon la motivation et l'irl, répond généralement en moins de deux semaines.
dialogues: cadetblue // darkkhaki

   
 

「 city in the middle of the night 」
∙ with @Daniel Pérez  flower

tw: vulgarité, mention d'alcool

 allt är bra*;
et il se sent bien le suédois. les épaules un peu plus légères depuis sa dernière chope - et celle qui l'a précédée, même s'il ne s'en rappelle pas tout à fait. aurait peut-être du faire le compte avant de se lancer mais pour une fois il s'est promis que ce ne serait pas un problème. c'est que tout va un peu trop bien en ce moment alors il attend la chute avec fatalisme. parce que y'en a toujours une; avec la gamine, ce travail qui l'emmerde une fois tous les trente-six du mois ou la vie de façon générale qui s'aime à lui chier dans la gueule pour lui rappeler d'où il vient. pas de quoi perdre le nord plus de quelques heures mais sera sans doute pas plus capable d'assumer sa tournée d'ici - coup d'oeil furtif à sa montre. merde. les aiguilles tournent bizarrement, l'est pas sûr d'avoir bien lu, lui. trois heures? deux peut-être. l'empêche pas de commander une dernière en remarquant que le pub se fait de plus en plus silencieux si ce n'est pour la musique qui continue de rugir. allt är bra et pas de raison que ça change, hein? ricane un peu en terminant la gorgée de mousseux qui lui reste tandis que la petite dernière arrive pour la remplacer. remercie hochement de tête et d'un billet sur le comptoir - se sent si étonnamment généreux d'ailleurs qu'il y joint un deuxième afin d'offrir un dernier verre au compère qui, au même titre que lui, ne semble pas vouloir décoller. pas de bol pour le bartender qui semble se demander pourquoi il a fallu que ça tombe sur lui, en pleine semaine de surcroît. mais leif il a envie de profiter de cette effervescence encore un peu; l'impression qu'il a pas franchement eu de quoi se détendre souvent ces derniers temps et ça le mine, un peu - mais pas ce soir. sourit vachement plus, merci bière numéro y. « on fête ou on r'grette que'que chose? » qu'il demande par dessus la musique au gaulois qui résiste avec lui, installé quelques tabourets plus loin. pas que le fait d'avoir réglé son verre lui donnait le droit de le déranger, leif, mais il a étrangement envie de causer - une croix à foutre dans le calendrier. pas trop son truc les convo starter, aurait sûrement pu faire mieux mais c'est déjà mieux que rien à dire vrai pour tâter la température. peut-être que ce type l'enverra se faire foutre profond; ou qu'ils finiront tous les deux complètement torchés et foutus à la porte par la même occasion. serait en tout cas pas contre une soirée calme - une fois n'est pas coutume.

(tout va bien.*)


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Invité
   
 
Tu ne bois pas d’alcool, jamais, tu n’as jamais trempé tes lèvres dans un verre – trop peur de ce qui pouvait t’arriver si on te chopait à le faire, puis dégoûté de voir les autres noyés dans les effluves vaporeuses et nauséabondes de bières ou de whisky bas de gamme. Quand tu vas dans des bars, c’est généralement que tu accompagnes quelqu’un, ou que ce sont les seuls endroits ouverts tard dans la nuit outre l’endroit où tu taffe – et tu détestes voir les gens que tu côtoies au travail dans d’autres situations que … le travail. Les regards entendus, les remarques sur ce que tu prends, les réflexions entendues sur des choses qui ne t’intéressent pas – et tu sais l’image que tu renvoies, et tu essaies de donner le change en rebondissant sur certaines remarques, en pointant du doigt certains clients habituels, mais ça te met surtout mal à l’aise.

Lorsque tu n’accompagnes personne, tu y vas surtout pour profiter d’un endroit où il y a une ambiance, parfois profiter d’une cuisine encore à moitié ouverte pour commander quelque chose de chaud que tu n’auras pas à faire cuire à la colocation, au risque de croiser des insomniaques – ou de ceux réveillés par le moindre bruit. Tu te fais offrir cela dit un verre d’un jus de fruit hors de prix (tu vends les mêmes, certes pas frais, mais pour 4$ de moins) et tu tournes la tête vers le vétéran qui reste là, et tu cilles un instant à sa question. « J’avais juste faim. » Tu rétorques tranquillement, lui indiquant de la tête la chaise à côté de toi, tandis que le barman dépose devant toi la barquette de frites et de cheese sticks brûlants – t’aurais apprécié quelques pickles ou des idées de verdure sur le côté, mais vu la tronche du gars et la tienne, vous étiez en fin de service bien mérité. « Pourquoi ? Toi t’es là pour quoi ? »

@leif sundström
MOON up all night
Leif Sundström
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âge : fatigue à l'âme, [quarante-quatre] ans filés de mauvais coton.
occupation : [chauffeur livreur], loin du job de rêve par excellence mais ça paie les factures et personne ne vient l'y faire chier.
statut civil : [ en couple] depuis le deux mars, [robyn] comme seule étincelle capable de raviver le cœur dont elle est maître.
orientation : seules les courbes [féminines] pour lui faire courber l'échine et battre le myocarde.
habitation : petit appartement du south oceanside, [#28] zone de guerre où il réside avec [svea], sa nièce.
pronom ig : he/him.
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- - de 300 à 1000+ mots selon l'inspiration et les préférences.
- - paroles en suédois, anglais ou français.
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dialogues: cadetblue // darkkhaki

   
 

「 city in the middle of the night 」
∙ with @Daniel Pérez  flower

tw: vulgarité, mention d'alcool

l'aurait pu l'envoyer chier, l'inconnu;
l'a pas la dégaine de quelqu'un qui a spécialement envie de causer - mais leif non plus après tout. en dépit du demi sourire qui orne ses lèvres et de son étonnante bonne humeur. suffit de l'avoir déjà croisé pour savoir que tout ça, là, ce n'est pas naturel. fait rarement dans la détente en fait si ce n'est lorsqu'il sait svea en train de dormir paisiblement dans son lit sans qu'il n'ait besoin de s'inquiéter pour elle. pas forcément hâte d'être demain pour affronter son lot de quêtes et de dragons en tous genres - et certainement pas le profil du chevalier à l'armure blanche non plus. un vagabond tout au plus; et ce soir, personne. « ça doit être une tuerie pour qu'tu préfères t'poser là plutôt qu'à un wendy's. » lorgne brièvement sur la barquette qui vient d'être posée devant lui - accompagné d'un.... breuvage coloré que le suédois ne parvient pas à définir. la réponse lui important peu, du moment que la consommation offerte était celle qui lui convenait le plus. à chacun son poison qu'il a dit, someone, somewhere. oublie vite le mantra pour saisir sa chope d'une poigne et glisser de tabourets en tabourets jusqu'à celui qu'il a bien voulu lui désigner; c'est qu'il doit pas tant le faire chier, finalement, et ça lui faire plaisir à leif. ressent pas souvent l'envie ni le besoin de parler pourtant mais ce soir les choses semblent différentes. plus légères, plus simples aussi. deux mecs qui traînent dans un bar à parler de n'importe quoi comme s'ils étaient n'importe qui. « tu bosses? » qu'il demande sans aucune transition - ni gêne d'ailleurs. pas comme s'il lui demandait de décliner son identité et le dernier rapport de son compte en banque. « y s'fait tard mais t'as pas l'air crevé - » qu'il ajoute après un brin d'observation; a pas mentionné son haleine absente d'alcool mais n'en pense pas moins. quelqu'un d'habitué à se coucher tard - ou lever tôt, comme lui. si bien que parfois les heures incongrues ne le semblent plus tellement quand on croise d'autres oiseaux de nuit. « j'profite qu'ma gamine dorme pour souffler un peu. » ma gamine. réalise en se descendant une gorgée de bière qui vient lui gratter le gosier. weird. réfléchit pas trop non plus au fait que ses propos pourraient être mal interprétés; y'a pas de père alcoolique ici - pas de père tout court d'ailleurs. faudrait pas qu'il l'oublie, leif, qui commence un peu trop à le regarder comme la prunelle de ses yeux à nouveau. « j'suis leif au fait. » tend la main à l'ancienne; sait pas que ça se fait plus de nos jours hormis quand on a, comme lui, la quarantaine passée. un peu vieux jeu à sa façon - mais pas de son choix. n'y comprend tout simplement rien à la jeunesse et leurs nouvelles lubies ou habitudes.

nb: désolée pour l'attente due à mes vacs, j'espère que ça te conviendra. city in the middle of the night ft. daniel 908615483 coeur

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Invité
   
 
Tu observes les fritures un instant, incertain – t’as peut-être trop bouffé de fast food froid dans ton enfance pour être encore réellement difficile, ou juste que tu préfères l’ambiance locale que celle assez liminaire de la plupart des fast-foods à cette heure. « Mmmh. Vas-y, essaie. Celle la plus sur le côté. » T’es pas trop narreux – encore que – mais tu sais pas où les mains de ce mec ont trainé et tu es à peu près sûr que ce n’est pas dans des lieux très aseptisés (t’es vraiment du genre à juger sans connaitre, et après une certaine heure, tous les chats sont gris comme dit Confucius). « Bah. Non. » Tu t’essuies les mains sur une serviette en papier, soupirant face à la rugosité de celle-ci (dans ce genre de moments t’as l’impression d’être devenu quelqu’un de trop élitiste). « J’ai fini. » Tu finis tout de même par rajouter, parce que tu te sens d’humeur sociable et que tu trouves ça ultra pénible les gens qui attendent que tu poses une question pour inciter aux explications – et souvent tu joues juste au plus con à observer l’autre d’un air impavide jusqu’à ce qu’il craque et dévoile sa nouvelle ou passe à autre chose. « Toi par contre t’as l’air un peu cassé. Ca va ? » Tu te redresses, accompagnant la question d’un léger raidissement – tu te méfies des gens que tu rencontres dans les bars, surtout ceux qui t’accostent, t’as eu dernièrement le déplaisir de te faire accoster par un podcasteur que tu avais au final pris en grippe – tu n’avais pas du tout apprécié d’avoir fini dans ses histoires et d’être commenté par ses fans.

« T’as laissé ta gosse seule chez toi ? » T’es prompt à juger – mais parce que c’avait été ton quotidien, jusqu’à ce qu’on te place – tes parents profitaient de leur jeunesse, et tu ne faisais pas partie de l’équation (les rares fois où c’avait été le cas, tu avais été baladé de mains en mains, abandonné sur un canapé sur lequel tu t’étais endormi, bercé par les cris et la musique trop forte). « T’as pas peur qu’il lui arrive un truc ou qu’elle ait peur ? » Tu prends enfin une frite, profitant qu’elle soit encore brûlante pour croquer dedans, essuyant à nouveau tes doigts sur la serviette. « Ok, Leif. » Tu te frottes le nez, réessuies ta main – t’as très envie de sortir ton petit pot de gel hydroalcoolique mais ça a un peu un effet repoussoir, alors tu restes là à fixer tes fritures, avant d’émerger d’un moment de dissociation. « Oh, moi c’est Daniel. » Tu ne lui tends pas la main, tourne à peine le regard vers lui. « J’ai les mains sales, excuse. » Tu indiques sa pogne tendue. « Mais c’est cool. » Tu observes à nouveau les frites, puis le mec à ta droite. « C’est cool de te connaître, Leif. Elle s’appelle comment, ta fille ? »
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Leif Sundström
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âge : fatigue à l'âme, [quarante-quatre] ans filés de mauvais coton.
occupation : [chauffeur livreur], loin du job de rêve par excellence mais ça paie les factures et personne ne vient l'y faire chier.
statut civil : [ en couple] depuis le deux mars, [robyn] comme seule étincelle capable de raviver le cœur dont elle est maître.
orientation : seules les courbes [féminines] pour lui faire courber l'échine et battre le myocarde.
habitation : petit appartement du south oceanside, [#28] zone de guerre où il réside avec [svea], sa nièce.
pronom ig : he/him.
disponibilités :
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leifyn Vwolfieleifyn VIIleifyn VIIIsage IIjesus.

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- - de 300 à 1000+ mots selon l'inspiration et les préférences.
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「 city in the middle of the night 」
∙ with @Daniel Pérez  flower

tw: vulgarité, mention d'alcool, de meurtre (poison)

sourcil arqué;
s'attendait déjà pas à ce qu'il nourrisse la conversation lancée comme une bouteille à la mer alors l'inviter à en bouffer un ? l'incompréhension sans doute translucide sur ses traits, ce qui ne semble pas déranger le type. weird. et bientôt, le freeze laisse place à un autre de ses sourires parfaitement détendu. the kind of weird he likes. le genre de bizarrerie dont il fait partie aussi, leif, dans ses `bons` jours. pas que y'en ait peu; plutôt que la vie en général ne lui en a pas tant donnés depuis l'incarcération de sa conne de soeur et l'arrivée tempétueuse de svea. ignorait jusqu'alors le bien que lui ferait de boire une bière en tapant la discute au premier inconnu qui passe - là au bon endroit au bon moment, sans promesse inutile. sait même pas s'il le reverra un jour, ville gigantesque, mais espère lui offrir le même sentiment en retour. « merci » s'empare de l'espèce du friture sur le côté pour l'amener à son nez; le renifle comme un enfant qui essaie de deviner de quoi il est fait avant de se lancer - ou pas. sauf qu'il se lance toujours, leif. peur de rien. ou presque. plus maintenant que svea fait partie de sa vie à nouveau. serait quand même assez cocasse qu'ils tombent tous les deux, le même soir, sur un cuistot fou essayant de buter ses clients avec des sticks de fromage trempés au poison. sent pas le frais mais suffisamment bon quand même pour qu'il le foute entièrement dans sa bouche sans se poser davantage de questions, fermant un instant les yeux. fait du bien d'ingérer quelque chose de plus solide que de la bière. « pas mal pour un casse dalle! » a l'air définitivement plus goûtu que les burgers qu'il y a déjà vu être servis; steak trop cuits entre deux morceaux de salade verte fanée et morceau de tomate sans jus. peut pas vraiment se tromper avec du fromage et de la panure, si? « ah. » un petit rire qui accompagne la découverte. pas connu pour facilement cerner les gens - et pas envie non plus. plutôt du genre à leur laisser naturellement une chance..... lorsqu'ils ne ressemblent pas à des charles-henry portant un petit cardigan au-dessus d'un polo trop classieux. et il ne a pas l'air, lui. « ça va, j'suis juste usé de la semaine. » quel jour on est, au fait? probablement que mercredi. bordel. ça aussi ça lui donne un peu envie de rire - jaune. « elle a quinze ans - » commence à se justifier sans se sentir attaqué pour autant; sa faute aussi, de l'appeler à qui veut l'entendre "la gamine". dans l'imaginaire des gens svea doit en avoir dix de moins et aimer jouer à la dinette avec son doudou girafe. « et elle est bien plus intelligente que j'l'ai jamais été. j'plains ceux qui essayeraient d'la faire chier. » déjà parce qu'elle s'en sortirait probablement sans lui - deuxièmement parce que malgré tout, ça l'empêcherait pas d'y ajouter une dérouillée. même si elle n'aime pas ça. elle qui lui ressemble si peu - eux qui ne se comprendront jamais tout à fait. et daniel qui ne lui serre pas la main mais s'en excuse, agréablement surpris. lève la sienne jusqu'alors tendue pour lui faire savoir qu'il comprend et n'en tient pas rigueur avant de répondre « svea. » faille dans la matrice - ne le corrige toujours pas quant à leur lien de parenté; la naissance d'un sourire plus tendre aussi. « en vieux suédois ça signifie powerful maiden. » et powerful elle l'est, pour avoir survi aux épreuves qui lui ont fait perdre tour à tour les membres de leur famille. son père, tonton n°1 puis 2, sa mère, maintenant ses grands-parents. un mal pour un bien. mâchoire brièvement serrée en descendant deux gorgées de sa bière. « t'as des mioches daniel? » juste pour savoir s'il a aussi l'impression que sa vie peut basculer du jour au lendemain, en un souffle, selon les envies et besoins d'un autre être. plus fortement que pour n'importe quelle relation; savoir qu'elle dépend uniquement de lui désormais, qu'il fasse les choses bien ou mal. probablement que son compère n'en a pas, à y réfléchir. lui avait demandé un peu plus tôt s'il ne craignait pas qu'il lui arrive quelque chose, toute seule là-bas - signe que dans la même situation daniel ne serait certainement pas allé écumer les bars. pas con en soi. daniel a beau en dire peu le suédois en tire ses propres conclusions et il apprécie cette dynamique.


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