neutron star collision ft. wolfie
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neutron star collision ft. wolfie

MOON up all night
Leif Sundström
Leif Sundström
messages : 1518
pseudo : thalestris. (she/her)
id card : kinnaman | tiktok (av) roro my queen (gif) ledtasso (gif sign)
triggers : les tiens seront les miens.
warnings : langage grossier, substances illicites, alcool, violence physique et verbale, abandon, sexe.
neutron star collision ft. wolfie Leyfin5
âge : fatigue à l'âme, [quarante-quatre] ans filés de mauvais coton.
occupation : [chauffeur livreur], loin du job de rêve par excellence mais ça paie les factures et personne ne vient l'y faire chier.
statut civil : [ en couple] depuis le deux mars, [robyn] comme seule étincelle capable de raviver le cœur dont elle est maître.
orientation : seules les courbes [féminines] pour lui faire courber l'échine et battre le myocarde.
habitation : petit appartement du south oceanside, [#28] zone de guerre où il réside avec [svea], sa nièce.
pronom ig : he/him.
disponibilités :
dispo
leifyn Vwolfieleifyn VIIleifyn VIIIsage IIjesus.

infos rp :
je m'adapte en fonction de ma/on partenaire.
- - de 300 à 1000+ mots selon l'inspiration et les préférences.
- - paroles en suédois, anglais ou français.
- - fréquence rp variante selon la motivation et l'irl, répond généralement en moins de deux semaines.
dialogues: cadetblue // darkkhaki

   
 

「 NEUTRON STAR COLLISION 」
∙ with @Wolf Baxton  flower

tw: langage fleuri, plaies, violence physique, mention d'alcool, tabagisme.

 « not gonna take long », un sourire rassurant qui ne vaut rien;
parce qu'il ne sait pas vraiment où il fout les pieds, leif, mais la gamine n'a pas besoin de le savoir. encore moins de sentir le pique d'appréhension qui commence à vrombir dans son thorax. une pensée insidieuse qui lui répète it's a bad idea. n'importe qui avec une moitié de cerveau capable de s'en rendre compte, après les étincelles de leur dernière rencontre. faut dire qu'il l'avait un peu cherché - leif aussi. le mot de trop, la posture offensive; le poing parti plus vite qu'il ne le faut pour y réfléchir. pas l'habitude de se laisser marcher sur les pieds et, quitte à prendre un risque, préfère être le premier à cogner plutôt que celui qui se fait balayer par surprise. « fuck. » sifflé entre ses dents serrées, le crissement des pneus l'éloignant de la résidence pour se rendre au diner où le rendez-vous avait été pris. un endroit neutre - comme si cela pouvait les empêcher de vriller; yeah right. serait pas la première fois qu'il se bat à coups de tabouret en bois et verres éclatés. pas son arcade sourcilière amochée ni sa mâchoire bleutée qui diraient le contraire. des bobards balancés à svea comme si elle avait cinq ans plutôt que quinze et que sa crédulité était encore entière; l'a au moins eu la gentillesse de ne pas poser davantage de question en comprenant qu'il n'en parlerait jamais avec elle. j'ai glissé chef, ici et là; j'me suis pris un carton de can de pepsi en pleine gueule. avait marché quelques fois, manque de bol que le bleu de sa mâchoire ressemblait étrangement à une marque de doigts cette fois. actionne la radio en cherchant la station la plus rock possible; besoin de souffler pour se calmer un peu avant d'y arriver. s'est énervé tout seul comme un con rien qu'en y repensant, comme si cela allait régler quoi que ce soit. observe par hasard son reflet dans le rétro et se dit qu'il a vraiment une sale gueule; pas le genre de typer qu'on s'imagine aller bouffer tranquillement en tête à tête dans un diner. puis, quoi de plus suspect que réserver une table à un diner ? comme si c'était bondé. comme s'ils voulaient pas être dérangés surtout. mauvaise idée ouais mais trop tard pour faire demi-tour, d'autant plus qu'il est sur le point de se garer. s'extirpe en refermant derrière lui et prend le temps de griller une cigarette qui finie écrasée sous la semelle de sa chaussure au bout de trois lattes. sait même pas quel nom il doit donner - s'est pas donné la peine de lui demander lorsqu'ils se tapaient sur la gueule comme de vulgaires chiens sauvages. la rage au bide, une frustration sourde que n'importe quel mot de travers suffirait ce soir à embraser. tire la porte, accueilli par une musique vieillotte à laquelle on peut s'attendre dans un diner typique comme on en voit dans les films des années 90. contrairement à ce qu'on pourrait penser l'aime bien l'ambiance, le suédois. lui rappelle un peu pourquoi il avait déposé ses valises aux states mais aussi une époque pas si lointaine où sa solitude était le maître mot de son existence loin des siens. pas le temps d'observer la salle qu'un serveur à tablier l'aborde pour lui proposer une place au bar - qu'il ne se gêne pas pour couper en plein vol « someone's waiting for me. » pas forcément conscient que ses mots sonnent étrangement - mauvaise augure. loupe pas pour autant le froncement de sourcils équivoque du serveur qui finit par regarder à la toute dernière table où quelqu'un semble installé seul. « don't mind. » le laisse planter comme un plot là où il est tandis qu'il se dirige vers la fameuse table, sa veste en cuir d'ores et déjà sur ses coudes pour se mettre à l'aise avant de s'installer. veut d'office faire comprendre à ce trou du cul qu'il n'est pas impressionné par la petite mise en scène et encore moins l'endroit où ils se trouvent - les tables étant suffisamment basses pour qu'il le chope et le traîne par-dessus. a pensé à tout ouais; tout sauf de se retrouver face au mauvais mec. « who the fuck are you » pas forcément balancé sur le ton de la véritable question. est-ce que l'autre s'est dégonflé et lui a envoyé quelqu'un d'autre ? est-ce qu'il va se pointer maintenant qu'il est installé pour le prendre en sandwich? « wait - » les sourcils froncés, se penche sur la table pour mieux l'observer. maintenant qu'il y prête davantage attention ce mec lui dit quelque chose. « your fucking face..... we've met! » saurait pas dire où et quand cela-dit; sans doute pas bon signe quoi qu'il en soit. le serveur qui décide de se repointer avec son petit bloc-notes pile à ce moment là et, sans se donner la peine de le regarder, le suédois commande : « benedict's waffles, extra canadian bacon topping and any blonde ale you got. » fronce un peu plus les sourcils. la mémoire lui joue des tours mais persuadé de ne pas l'avoir rencontré par le biais de ce pauvre type. what are the odds? de rencontrer quelqu'un qu'il connaît à l'endroit où il devait déjà régler des comptes avec quelqu'un d'autre? d'autant plus sans totalement parvenir à restituer sa gueule de con.

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MOON up all night
Wolf Baxton
Wolf Baxton
messages : 516
pseudo : shiawase (elle).
id card : jack o’connell bambi eyes (avatar), harley gifs, roro (gifs), beach boys (lyrics).
multicomptes : elea (blake lively), velvet (eva green), henry (jung sung-il).
à contacter : wolf.
triggers : rien, à priori.
warnings : violences, illégalité, langage grossier.
présence : présente.
neutron star collision ft. wolfie 826ff15155afb4ee8fe356204f09f1b6dfdb773c
âge : trente-et-un ans (7/04).
occupation : il brillait jadis en tant que danseur et cascadeur, aujourd’hui il joue les self-defense instructor, reprenant doucement sa vie en main. missions occasionnelles de bodyguard depuis décembre 23.
statut civil : célibataire, la belle s’est fait la malle à peine la condamnation a-t-elle claquée.
orientation : les femmes, elles auront sa peau. et il l’accepte volontiers.
habitation : petit appart à la déco spartiate au #89 south central.
pronom ig : il.
disponibilités : full. (6/3)
à venir : alisia, nell, kinaï, toi ?

infos rp : Je favorise les rps courts/moyens, j'écris au il, parfois tu, au passé ou au présent. Et pour ce qui est de la fréquence c'est selon disponibilités, no pressure.

en vrac : Wolf aborde des thèmes de violence, prison avec un langage très grossier, à bon entendeur.
   
 
neutron star collision
「 feat. @Leif Sundström ; December 2023 」
tw: lange grossier, mention de prison, violences... pas conseillé pour une âme sensible

Wolf enchaîne les combats, chaque coup échangé une pierre pour l'édifice invisible qu'il construit, non pas pour lui, mais pour sa mère qui a insisté pour venir visiter son appart. Un matelas à même le sol, une table branlante, une chaise fatiguée par le temps, il sait qu’elle voudra le traîner dans un magasin de meubles dans la journée. Il lui faudra aussi lui trouver un cadeau, rien n'est trop beau pour elle, mais l'inspiration, comme une allumeuse capricieuse, lui échappe. Alors il se remet à ce qu'il sait faire de mieux : encaisser les coups pour ramener le fric. Ses combats clandestins sont devenus sa messe, son corps offert en sacrifice sur l'autel de ses promesses muettes. Son corps porte les stigmates de ses batailles, les marques visibles de son engagement invisible envers elle.

Aujourd'hui, c'est une pause bien méritée, un brunch bon marché pour remplir le ventre après des jours de rationnement terne de pâtes et de blanc de poulet. Il en profite du moment, savoure chaque bouchée comme une victoire, jusqu'à ce qu'un intrus vienne poser son cul devant lui. Un putain de géant dont l’assurance le fait déjà chier. Les yeux écarquillés, une moitié de pancake dans la bouche, Wolf fulmine déjà. « Who the fuck are you? » crache-t-il avec toute la courtoisie qu'il peut rassembler, l'autre moitié du pancake avalée de travers. Il insiste sur le who, l’interroger alors que sa gueule lui est inconnue, c’est le comble.

Il lui faut un instant pour peser ses mots, pour évaluer l'étranger qui a osé briser sa solitude. Dans cet instant, Wolf se prépare à un autre type de combat, sa main se saisit de la fourchette avec plus de force alors que ses prunelles se plantent dans celles de l’intrus. Les sourcils qui se froncent davantage, signe de son irritation grandissante. Il n'a aucune envie d'être dérangé, encore moins par une personne qu’il ne connait pas. Wolf n’aime pas les nouvelles rencontres, loup solitaire qui a appris à aimer sa propre compagnie par rapport aux autres.

L'autre, imperturbable, lui lance une question, comme s'il avait toute légitimité à s'asseoir là. Wolf, sur la défensive, lui renvoie un regard glacial, reflet de son désir ardent de solitude. « What a cheap pick-up line » lâche-t-il avec un rictus sarcastique, « I don't swing that way. » Une pointe d'agressivité s'immisce dans sa voix, involontaire, mais rappelant les jours sombres passés derrière les barreaux. Les souvenirs de l’intérêt trop marqué pour son cul qui l’ont mené à s’abîmer les phalanges. « I didn't know blind dates were a thing in here, » ajoute-t-il, ses prunelles scrutant l'intrus avec suspicion, avant de se tourner vers le serveur qui a préféré battre en retraite, laissant le duo seul à leur étrange confrontation.

"So, what's your deal?" demande-t-il enfin, son regard perçant transperçant l'aura de mystère qui entoure son étrange compagnon d'un jour.

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on the edge
If you should ever leave me, well, life would still go on, believe me the world could show nothing to me. So what good would living do me?
MOON up all night
Leif Sundström
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triggers : les tiens seront les miens.
warnings : langage grossier, substances illicites, alcool, violence physique et verbale, abandon, sexe.
neutron star collision ft. wolfie Leyfin5
âge : fatigue à l'âme, [quarante-quatre] ans filés de mauvais coton.
occupation : [chauffeur livreur], loin du job de rêve par excellence mais ça paie les factures et personne ne vient l'y faire chier.
statut civil : [ en couple] depuis le deux mars, [robyn] comme seule étincelle capable de raviver le cœur dont elle est maître.
orientation : seules les courbes [féminines] pour lui faire courber l'échine et battre le myocarde.
habitation : petit appartement du south oceanside, [#28] zone de guerre où il réside avec [svea], sa nièce.
pronom ig : he/him.
disponibilités :
dispo
leifyn Vwolfieleifyn VIIleifyn VIIIsage IIjesus.

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je m'adapte en fonction de ma/on partenaire.
- - de 300 à 1000+ mots selon l'inspiration et les préférences.
- - paroles en suédois, anglais ou français.
- - fréquence rp variante selon la motivation et l'irl, répond généralement en moins de deux semaines.
dialogues: cadetblue // darkkhaki

   
 

「 NEUTRON STAR COLLISION 」
∙ with @Wolf Baxton  flower

tw: langage fleuri, plaies, violence physique, mention d'alcool, tabagisme.

 « it's your head i'm gonna swing you clown. »
présomptueux en plus d'avoir une vraie tête de con; sans parler du pancake qu'il engloutit plutôt que de le savourer, faisant hausser le sourcil du suédois. se tournerait sûrement pas vers lui, comme il dit, s'il s'intéressait aux personnes du même sexe. « must be tough being so insecure first thing you say is your sexual orientation... » sourire carnassier - bien qu'un brin amusé, aussi. leif qui n'a jamais eu ce problème; déjà parce que les gens, quel que soit leur sexe, redoutent de l'approcher ce qui règle la majorité du problème. deuxièmement parce que sa franchise désarmante fait qu'il n'y a jamais trop de doute à ce sujet. l'attention se défait quelque peu en voyant passer les plats, l'œillade lorgne, hésite même à en voler une en route pour contrer l'estomac qui grogne. surpasse tout. pense même plus à taper du poing dans la gueule du type qu'il était censé croiser avant de tomber sur lui. lui qu'il ne replace pas encore, pas assez. mémoire lui fait défaut. sait juste que leurs chemins ont du se croiser dans une situation très particulière pour qu'il ne l'ait pas totalement sapé de son existence. « weird cause pancakes are always a good option. » sait même pas pourquoi il répond à ses enfantillages; si ce n'est que ça lui semblerait bizarre, du coup, de manger face à face sans papoter au préalable. quitte à s'envoyer valser après si l'envie y était encore. suffit d'observer du coin de l'oeil la hargne avec laquelle il serrait sa fourchette l'autre, aux jointures devenues blanches. « i'm not edible. just in case you thought about it - » vraie blague cette fois, plus détendue qu'à son arrivée. sans doute parce que la bizarrerie de la situation rend les choses bien moins officielles qu'elles ne l'étaient lorsque cela se passait par échange de sms assassins. l'autre peut bien attendre pour se prendre sa déculottée. « i don't know. » aussi perplexe que le compagnon inattendu, vision ne s'attarde plus sur les plats mais les visages qui les reçoivent tour à tour. pas besoin d'un bac profiler pour se rendre compte que le pauvre type ne s'est tout simplement pas pointé - ou pas encore. « some jackass planned a meeting there to decide if i should kick his ass or not - » bon c'était pas exactement ça les termes de la conversation. plutôt on passe aux choses sérieuses ou pas? loin de considérer l'option  `on passe au-dessus et on oublie` en tant que telle; qui préfèrerait parler pour régler un problème plutôt que de taper ? simple, efficace, rapide. douloureux certes. mais la douleur est toujours plus éphèmère que les mots qui restent sur le coeur ou dans la tête. « assumed it was you since you're the only one alone in there. plus, if i may, kinda creepy. » et c'est lui qui dit ça, comme quoi tout arrive. faut dire que le mec a toujours pas relâché sa fourchette contrairement à leif qui s'empare seulement de la sienne - uniquement en voyant son assiette arriver. « thanks lovely. » la vieille serveuse à qui il a même pas balancé un regard, trop occupé à déshabiller ses gaufres du regard. l'odeur du bacon et des oeufs qui envahit ses naseaux, oublie complètement l'absurde de la situation dans laquelle il s'est (encore) fourré. « put i'm fretty sure we've met bepore ! » la bouche pleine, sa blonde en main en attendant que le reste descende pour se désaltérer. tout est parfait. « i'm leif. » l'air de dire and you are ?
also l'air de dire, u better help me remember cause i won't by my own buddy.
que deux options qui s'offrent à eux de toute façon; soit se sont déjà tapés sur la gueule, soit on du siphonner ensemble dans un bar ou à une soirée - reconnaît l'humour un peu brusque qui correspond à la sienne.

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