It had to be you w/ Miliana #1
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It had to be you w/ Miliana #1

STARS burning in the skies
Milàn Smeijers
Milàn Smeijers
messages : 39
pseudo : squad (elle)
id card : max verstappen + squad
multicomptes : jeffrey ( j. ackles )
à contacter : Milàn
triggers : maltraitance infantile et animal, agressions sexuelles
warnings : relation abusive ; violence médiatique ; accidents ; divorce ; rupture
présence : présente, conciliant condition physique et boulot
It had to be you w/ Miliana #1 I2g2
âge : ( 27 ans ) - à l'approche d'une vingtaine pas encore terminée, je n'apporte que peu d'importance à mon âge, continuant ce chemin pleinement tracé de ma vie
occupation : ( pilote de formule un ) - une passion, une vocation, ce pour quoi je suis venu au monde, monter à bord d'une monoplace et être le meilleur dans mon domaine. Un échec n'en est un qu'à partir du moment où l'on s'avoue vaincu, où l'on ne se donne pas les moyens de remonter, abandonner n'est pas dans mon vocabulaire
statut civil : ( célibataire ) - concilier une vie à mille à l'heure avec l'amour est difficile, pas impossible, mais pas dans mes projets. S'investir est une perte de temps, prendre le risque de souffrir au bout n'en vaut pas la peine
orientation : ( hétéro ) - une attirance qui se résume aux femmes, sans doute à l'opposé de l'image que je laisse refléter, je ne navigue pas de conquête en conquête, je jouie des plaisirs de la vie, sans me prendre la tête, mais sans avoir une liste aux chiffres hallucinants
habitation : ( 36 south oceanside ) - un appartement amplement suffisant pour moi, sans compter cette pièce supplémentaire où j'ai pris grand soin d'y installer une pièce de simulation, me prenant un peu trop au jeu du simracing, la compétition ne s'arrête jamais
pronom ig : il
   
 
It had to be you
「 feat. @Adriana Torres and Milàn Smeijers ; 17 octobre 2024 」
tw: claustrophobie ; langage grossier

« Je te rappelle quand j’arrive dans ma chambre et on regarde ça. » Une voix qui est en train de traverser le micro du téléphone que je porte à mon oreille, alors que je suis en train d’appuyer sur le bouton de l’ascenseur, portant un bref regard en direction du cadran présent au-dessus des portes, annonçant son arrivée imminente. Portable quittant contact avec mon visage, bien rapidement il m’est possible d’apporter mon regard sur l’écran de l’appareil, venant mettre fin à l’appel en cours avec mon père, qui ne relâche jamais rien, encore moins lors d’un week-end de grand prix, surtout lors d’une reprise après un mois de repos. Je peux sentir à mes côtés une présence faire son arrivée dans cet hôtel, qui n’a pas le moindre mal à attirer mon attention, venant porter mes iris sur la personne présente à mes côtés, faisant bien rapidement naître un sourire remplis d’arrogance. « Pour quelqu’un qui ne peut pas me voir, t’es souvent dans le même hôtel que moi. »Quel plaisir que de voir Adriana Torres présente à mes côtés, cette femme que je prends plaisir à pousser dans ses retranchements, fille de Marcio Torrres, sans doute le meilleur ennemi d’un paternel, nous ayant l’un comme l’autre emporté dans cette rivalité dont seuls eux ont la véritable raison de son commencement. Porte de l’ascenseur s’ouvrant devant nous, je suis amusé à l’idée de ces quelques secondes passée en compagnie de la jeune femme, de ce petit cadeau de fin de journée, après ces dernières heures passées en compagnie des médias, tout ce que je n’aime pas. Portable parfaitement rangé dans la poche de mon jean, je suis prêt à venir accorder le début d’une nouvelle confrontation entre nous deux, inspiration prise pour venir m’exprimer, pour être rapidement coupé en plein élan par un ascenseur qui ne manque pas de s’arrêter dans sa montée brusquement, me poussant à poser une main contre la paroie, trouvant un équilibre. « Journée de merde, conclusion de merde. » Vivement demain, une nuit de passée, une combinaison présente sur mes épaules, au volant de ma monoplace, me trouvant sur la piste, faisant parler le pilote que je suis, ce rôle dans lequel je suis le meilleur. « Je peux, je vois aucun média. » Référence à un petit jeu mis en place par la FIA, que je prends plaisir à continuer à ma manière, répondant à l’absurde à la Smeijers, Milàn, ce petit con prétentieux. « Avec toi en plus. Ça aurait été bien plus amusant avec ta soeur. » Micaela, cette jeune femme qui sort des sentiers battues d’une famille accordant beaucoup trop d’importance à cette image médiatique, elle avec qui j’ai pu à de nombreuses reprises passer des soirées que nous ne sommes pas prêt d’oublier, que son père ne supporterait pas s’il l’apprenait.

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☽☽ The smell of fuel, driving on the limit on the edge of sliding, it just gives you a lot of adrenaline

SUN wildest dreams
Adriana Torres
Adriana Torres
messages : 24
pseudo : Freyaa [elle]
id card : Kelly Piquet + squad
multicomptes : aucun (pout le moment)
à contacter : Le personnage concerné
triggers : aucun du moment qu'on en discute en amont
warnings : Pression parental
présence : Présente
It had to be you w/ Miliana #1 85b4b5ced4b6738d831a738de63f13a8b3629f39
âge : 30 ans • Les trente ans et le sois disant âge de raison derrière moi, même si je n'ai pas l'impression d'avoir gagné en sagesse ou en épanouissement durant cette nouvelle décennie qui m'ouvre les bras.
occupation : Directrice adjointe de l'agence événementiel de luxe familiale & Égérie d'une marque de bijoux •
statut civil : Fiancée depuis peu • La bague mise au doigt par un homme avec qui je m'entends certes à merveille, mais avec qui l'amour à toujours été absent.
orientation : Hétérosexuelle • N'aimant que la gent masculine, même si je n'ai pas eu l'occasion d'en profiter comme je l'aurai souhaité.
habitation : 1789 North Valley • Dans une villa moderne, mais chaleureuse que je partage avec ma fille, April et mon fiancé... Du moins quand il n'est pas aux quatre coins du monde ou entrain de s'amuser dans les club de la ville.
pronom ig : Elle
disponibilités : • 2/3 •
Milàn #1

infos rp : • Utilisation de la première personne du singulier
• Dialogue en français
• Environ 400 mots et +
• #TeamEscargot
• Utilisation des sms pour avancer les intrigues également

   
 
It had to be you
「 feat. @Milàn Smeijers and Adriana Torres ; 17 octobre 2024 」
tw: claustrophobie ; langage grossier

Regard rivé sur mon téléphone, je rentre dans le hall de l’hôtel, constatant mon retard pour me préparer à ma soirée de ce soir. Une soirée ou toutes les égéries d’une grande marque sont invitées à entrer dans l’univers cowboy chic afin de se faire voir et de se faire connaître. Un monde qui ne me plaît guère, mais lorsque papa Torres dit de se montrer dans un lieu particulier, on ne peut décemment pas lui dire non. Du coin de l’œil je vois qu’une silhouette est déjà devant l'ascenseur, m’offrant le luxe de continuer à pianoter sur mon téléphone sans même devoir toucher le bouton de ce moyen de transport.  « Pour quelqu’un qui ne peut pas me voir, t’es souvent dans le même hôtel que moi. » Un luxe qui s’avère de courte durée, lorsque cette voix au combien énervante arrive à mes oreilles. Un arrêt sur image que j’esquisse, laissant un sourire crispé me gagner avant de laisser mon regard se poser sur mon voisin qui n’est autre que cet idiot de Smeijers. “Oh, toutes mes excuses, je ne savais pas que tu avais le monopole de tous les hôtels proches d’une piste de karting.” Un dénigrement fait exprès, comparant son métier à un vulgaire kart même si je suis ô combien bien placé pour en connaître la réelle dangerosité. L’envie de faire demi-tour me prend soudainement, mais avant que je ne puisse esquisser le moindre mouvement, les portes s’ouvrent pour m’inviter dans un enfer qui ne devrait durer que quelques secondes. Dans un silence pesant, je fais claquer mes talons, poussant un profond soupir avant d’indiquer mon étage qui, heureusement, n’est pas le même que celui du pilote. C’est alors qu’une secousse se fait ressentir, lumière s’éteignant pour mieux se rallumer dans la seconde. « Journée de merde, conclusion de merde. » Un son qui résonne malgré notre proximité alors que je laisse un rictus mauvais déformé mes lèvres. “Si j’étais toi, je surveillerais mon langage.” Petit pique lancé pour souligner ses derniers déboires, même si sur ce coup là je dois bien admettre qu’il n’est pas fautif pour un sous.  « Je peux, je vois aucun média. » Une sorte de rire me gagne, signe d’une nervosité grandissante que j’essaie de masquer. “Oh tu sais, un petit micro caché par ci par là peut vite arriver avec ces vautours.” Une vérité malheureusement trop véridique car s’il y à une chose que j’ai bien comprise dans ma vie, c’est de me méfier comme de la peste de ces soi-disant médias tous plus corrompus les uns que les autres. C’est alors que mon regard commence à détailler chaque paroi de l'ascenseur, ne faisant presque pas attention à ce que dit le pilote.  « Avec toi en plus. Ça aurait été bien plus amusant avec ta soeur. »  J’ai bien dis presque pas. “Pas de chance, tu es tombé sur la mauvaise Torres. Tu veux un mouchoir pour sécher tes larmes ?” Mes iris se posent alors sur le fameux boutons d’urgence. “Ceci dit, on n'est clairement pas obligé de se parler. Me retrouver coincé avec toi est déjà bien trop pesant alors si tu pouvais t’abstenir d’utiliser tes cordes vocales, ça m’arrangerait.” Parole que je prononce  tandis que mon doigt se pose sur ce dit bouton, laissant une sonnerie retentir de longue seconde, avant d’entendre trois petits bip, signe que l’appel n’a pas abouti. “Dites moi que ce n’est qu’une mauvaise blague …” Agacée, je retente l’opération avec le même résultat, laissant un profond soupire s’échapper de moi avant de m’adosser à l’une des parois de cet ascenseur, prenant grand soin d'éviter le regard azur du blond pour tenter de garder un calme qui semble de plus en plus fragile à mesure que passe les secondes.


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Tout n'est qu'illusion
L'apparence prend toujours le dessus sur le réel, le masque sur le masqué. On montre pour cacher, mais on montre surtout pour montrer...