Hard to talk (Ollis)
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Hard to talk (Ollis)

STARS burning in the skies
Stella Baker
Stella Baker
messages : 335
pseudo : Elle, she
id card : Scarlett Leithold + @mykidlady
multicomptes : Izzy (Luanna P.), Anna (A.Hathaway), Madison (B. Palvin)
à contacter : Le compte du personnage concerné.
triggers : violences physiques
warnings : Décès, secret, drogue, alcool, écart d'âge
présence : Quotidienne
Hard to talk (Ollis)  F40f06192f3e6991351e9dd76b248e279e129085
âge : Vingt-trois ans, elle a poussé son premier souffle lors d'une fraîche nuit étoilée à Oceanside.
occupation : Assistante chez D&D depuis un an, elle se plaît dans cette agence de planification et de coordination d'événements. Les weekends, on peut la retrouver en tant que serveuse au Mopa Lounge.

statut civil : Célibataire, elle savoure avec déraison les rencontres corporelles à la nuit tombée. Les regards savoureux lorsque les corps se mettent à danser et chahuter. Des moments partagés avec volupté avant de s’éclipser sur la pointe des pieds. Incapable de se mettre à nouveau en couple.
orientation : Hétérosexuelle, la question ne s'est jamais posée, l'évidence acquise au cours de son adolescence, bien qu'elle reste ouverte d’esprit en ce qui concerne sa sexualité et n’écarte pas la possibilité d’explorer d’autres horizons par simple curiosité.
habitation : 1100 Peacock, dans une chaleureuse maison mitoyenne qu'elle partage avec sa mère, mais compte bien se trouver un petit nid douillet d'ici peu.
pronom ig : elle, she
disponibilités : Disponible rp : 1/8

sms ›› Gabin, Ollister, Hestia, Rebecca, Joshua, Odrea, Tyler, Rama
appels ›› Gabin
rps à ouvrir ›› aucun
rps en cours ›› Gabin, Fawn, Rama,
rps à venir ›› Odrea, D&D Staff, Joshua
rps archivés/abandonnés ›› Rebecca & Miles

infos rp : 500 comme 1500 mots, la longueur ne me dérange pas, tant que chacun est à l’aise. Langue française, bien que les langues étrangères ne me dérangent pas, tant qu’il y a la traduction. Rédaction à la 3ème personne, autant que je peux le faire à la seconde personne si ma/mon partenaire le fait. Je passe tous les jours, sans forcément pouvoir répondre au vu de mon irl, bien que je réponde toujours dans un délai convenable.
   
 
[ Hard to talk ]
「 feat. @Ollister Monroe ; 11 février 2024 」
tw: écart d'âge, alcool


Un "il faut qu’on parle" envoyé. Quatre mots, chargés du poids de toutes les émotions et vérités non-dites, qui la tourmentent depuis trop longtemps. Une boule se forme dans sa gorge, chaque minute passée semble être une éternité, chargée d’incertitude. Le poids de l’anxiété s’alourdit sur ses épaules, comprimant son cœur, l’empêchant de respirer, et obscurcissant ses pensées. Assise dans le salon de sa mère, son regard se perd dans les flammes dansantes de la cheminée, tandis que son esprit divague entre les souvenirs de la journée précédente et les appréhensions de la soirée à venir. Si la discussion avec Gabin a laissé une empreinte sur son esprit, c’est l’image d’Ollis, qui domine ses pensées, ce soir. Ce séduisant brun tatoué aux regards ténébreux, qui fait battre son cœur bien plus fort qu’il ne pourrait le penser. Tellement plus. Cependant, Stella sait qu’elle ne peut échapper à cette conversation avec lui, aussi angoissante et douloureuse soit-elle. Raison de son message. Malgré la crainte de le perdre, de le voir s’éloigner, de le voir la repousser, la blonde sait qu’elle doit se montrer honnête avec lui. Cette conversation, Stella le sait, sera aussi difficile que la précédente. Une ironie pour celle qui déteste faire souffrir ses proches, surtout, lorsque leur présence fait battre son cœur plus fort. L’attente d’une réponse devient une torture, alors que son téléphone reste étrangement silencieux. Cela n’a jamais été le cas depuis leurs rencontres.

Pas de son, pas de vibration, juste un "vu" qui laisse un goût amer dans sa bouche. De nombreux autres messages ne tardent pas à être envoyés, quitte à en devenir pénible, jusqu’à ce dernier, "Ollis, s’il te plaît…"  Les souvenirs de leur complicité, leurs éclats de rires, les moments où ils en venaient à oublier le monde qui les entourait, se mêlent à la crainte de le perdre. Stella a l’impression que chaque seconde semble s’étirer à l’infini, alors qu’elle guette une réponse en faisant les cent pas. Rien ne vient. Finalement, elle se lève, enfile son perfecto, attrape les clés de sa moto, puis referme la porte avec une détermination palpable. Elle est bien décidée à le retrouver ce soir, peu importe le temps que ça lui prendra, ni même le nombre de lieux à explorer. La belle est prête à tout pour lui. Son périple commence à la caserne de pompiers 51, sait-on jamais. Stella prétend avoir besoin de parler à Tyler, sachant toutefois qu'il n’est pas de garde cette nuit. Un jeu de poker avec le destin. Même si, pour cela, elle se doit de jouer à ce jeu dangereux auquel ils se sont toujours interdit de participer. Devant feindre l’indifférence, lors de ses visites pour ne pas éveiller les soupçons sur leur relation. Cependant, son beau pompier n’est pas là. Elle se rend ensuite au cimetière où repose sa grand-mère, puis dans de nombreux autres lieux, avant de vérifier son téléphone. Toujours ce même "vu". Pas de colère, pas de frustration, juste une pointe de déception. Elle aurait espéré que les choses se passent autrement, entre eux.

Soudain, tout s’éclaire. Le Maxdon’s. Ce bar si cher à son cœur, car c’est en ces lieux qu’ils se sont rencontrés. En cet endroit, qu’ils ont échangé leurs premiers regards, leurs premiers sourires, que leur relation est née. Une relation, qui n’a cessé de se renforcer au fil des mois passés. Stella roule en direction du bar, son cœur battant la chamade, ses pensées ne voguant que vers lui. Quitte à dépasser la limite autorisée, encore une règle de briser ce soir, mais cela lui importe peu en comparaison de l’urgence qui l’habite. Seul compte Ollis. Arrivée devant l’établissement, Stella coupe le moteur, retire son casque avec hâte et se lève, prenant soin d’enlever la clé sur le compteur. Son regard balaye la foule devant l’entrée, cherchant désespérément sa silhouette familière. En vain. Elle pénètre alors dans le bar, avant de le voir, presque exactement là où tout a commencé. Un verre à la main. Son cœur s’emballe à nouveau alors qu’elle s’approche de lui, les papillons dans son ventre s’agitent fébrilement. La belle tente toutefois de maîtriser ses émotions, mais en voyant l’état dans lequel il se trouve, une douleur aiguë la saisit. Marquant une courte pause pour l’observer, avant de reprendre sa marche vers lui, sa détermination vacillante mais toujours présente. Elle se glisse près de lui, pose doucement sa main sur son bras, puis lui murmure à l’oreille d’une voix tendre, bien que chargée d’émotion. - Ollis… Les mots sont simples, mais ils portent tout le poids de ses sentiments, de ses doutes, de ses peurs, de ses espoirs…
MOON up all night
Ollister Monroe
Ollister Monroe
messages : 104
pseudo : vanity. (elle)
id card : stephen james (ava : paradise, gif profil : ellispeaks)
multicomptes : kinaï (d. paola), hestia (o. rodrigo), magdalena (c. king-accola).
à contacter : le compte concerné par la demande.
triggers : aucun pour le moment.
warnings : négligence, délits divers, décès, famille monoparentale, foyer d’accueil, grossièreté, alcool, écart d’âge, mention de drogue.
présence : I’m here.
Hard to talk (Ollis)  Tumblr_inline_nvoomjmHIM1tydw0x_250
âge : Il n’a pas toujours l’impression d’avoir trente ans, parfois sensation d’en avoir plus à cause des coups d’la vie. Fêtera ses trente et un ans, le quinze avril prochain.
occupation : fut un temps où il était fauteur de troubles, aurait pu être emmerdeur de première mais il a signé chez les pompiers de la fire house 51.
statut civil : S’il a cette tête blonde imprimé dans son âme, se clame haut et fort célibataire, volage même.
orientation : Tentative erronée, les hommes : très peu pour lui. Hétéro, les courbes féminines nourrissent chacun de ses fantasmes mais tout particulièrement cette jeune femme, cette blondinette chérie.
habitation : 1811, peacock, dans l’une de ces maisons mitoyennes, celle dont il a hérité de sa grand-mère, vieillotte en apparence, retaper à la sueur de son front.
pronom ig : Il
infos rp : ⦅ ♡ ⦆
Écriture
↳ en je, au présent en règle générale.
↳ couleur : 6699cc.
↳ environ 500 mots, parfois plus mais jamais moins sauf demande particulière (débutant en rp, event ou les petits rp sont demandés par ex).
↳ écriture et dialogue en français. Les dialogue en anglais et même autre langue ne me gêne pas du tout. Seulement, comme je suis une quiche merci de me mettre une traduction quelques parts.
Disponibilité
↳ présente 7j/7 mais réponse +/- 1j/7. Sauf si je m’ennuie je peux répondre plus vite.
↳ aucun problème avec l’ajout sur discord, j’aimerais juste qu’on me dise qui est qui aha.

   
 
hard rp talk.
「 feat. @stella baker ; 11 février 2024 」
tw: écart d’âge, alcool, violence (contre des meubles…).

「 playlist 」
Stella
il faut qu’on parle.
✓ vu

C’est marrant, j’ai toujours imaginé que c’est moi, qui finirait par la blesser. Pendant ces quelques mois, je me suis tellement focalisé sur le fait de ne jamais lui faire de mal, que j’ai complètement oublié que ça pourrait un jour être l’inverse. À tel point que, lorsque j’ai lu ce message, ces quatre foutus mots, j’ai pas pu prédire la boule qui se formerait dans ma gorge. Encore moins mes tripes qui se tordent dans tous les sens. L’ironie du sort, paraît-il. Heureusement, dans toute cette histoire, c’est mon jour de repos. Pas de risque de faire de conneries à la caserne, pas de prise de risques totalement inconsciente, pas d’embrouilles inutiles avec un collègue. Non, juste moi, au milieu de mon salon. J’avais prévu beaucoup de choses, mais pas ça. Pas qu’elle soit, un jour, l’auteure de ce message qui veut tout dire. Je me savais déjà très entiché de la blonde, mais j’avais pas prévu que ce soit à ce point là. Elle aurait pu me mettre un coup en plein estomac, j’en aurais eu le souffle coupé de la même manière. J’inspire et expiré de façon régulière, dans l’espoir d'annihiler cette douleur et de ne pas… péter les plombs, tout simplement. Peine perdu quand mon pied s’écrase contre la table basse et la regarder glisser contre le mur, accompagné d’un agréable “Putain !” Non, je ne sais pas gérer ces choses-là. Je balaie le salon du regard, un rien me fait penser à elle, à nos étreintes, nos fous rires, nos longues conversations. Je serre et desserre les poings pour contrôler ce besoin viscéral de taper dans quelque chose d’autre. Je fonce droit dans la cuisine, pas pour me déchaîner, juste pour sortir une bouteille de whisky et en vider un verre pour essayer vainement de détendre mes muscles bandés. Oh non, j’ai clairement pas envie de parler, ma douce. Dans notre intérêt à tous les deux. Je ne crains pas de lui faire face à proprement parler, je ne lui ferais jamais de mal, physiquement du moins. Blessé, je peux facilement dire des choses que je regretterais à la seconde où je les aurais dites. Je préfère éviter. Je dois éviter. D’un geste rageur, j’envoie valser mon verre contre un mur puis j’attrape ma veste en cuir pour sortir de la maison en claquant la porte. À vrai dire, je ne sais même pas où aller sans risquer de partir en vrille.

Stella
Ollis, s’il te plaît…
✓ vu

Je serre mon portable entre mes doigts, si je lui réponds maintenant, je vais dire quelques choses que je regretterais alors je sors des messages et appelle une seule personne capable de me voir dans cet état : Madi. Une sonnerie puis deux puis trois et le répondeur. Fais chier. Mes pas me traînent à travers la ville, un coup à la plage où le cris des marmots me donne envie de hurler. Ce que je ne fais pas, pour ne pas passer pour un fou. Puis ils me traînent jusqu’à l’appart de ma petite protégée mais la porte reste close. Elle n'est définitivement pas disponible. Tant pis. Je rage en silence, je grogne au moindre petit bruit qui m’incommode. En fait, je grogne contre le monde entier mais surtout contre moi-même. Quelle audace de croire que ça aurait pu marcher entre elle et moi. Elle, le rayon de soleil. Et moi. Toujours descendre plus bas dans les Enfers. Je passe au cimetière pour déposer quelques fleurs à grand-mère, essaie désespérément de lui demander conseil mais personne ne me répond si ce n’est un putain d’oiseau chanteur. Alors je préfère partir. J’ai besoin d’anesthésier cette douleur. Il y a des tonnes de bars dans cette ville côtière alors pourquoi je me dirige droit vers le Maxdon’s comme si j’étais prêt à y mettre le feu ? Regard sombre, quand j’y mets un pied, sourire amère, je m’installe sur la place que ma belle blonde occupait il y a un peu plus de trois mois. J’ai même du mal à m’y asseoir, comme si le siège aller me brûler d’y que mon cul entrerait en contact avec. Putain d’ironie. ›› un whisky. Double, s’il vous plaît. Lancé-je à l’attention du barman sans même le regarder. Paumes frottées sur mon jean pour calmer mes ardeurs et mes envies de détruire tout ce qui me fait penser à elle dans cette ville, mon verre apparaît sous mon nez en quelques minutes. Ah ben je suis beau, à faire croire à tout le monde que je suis le genre de mec posé et réfléchi. J’arrive peut-être à les tromper mais j’arrive toujours pas à me tromper moi. Je reste le gamin instable de New-York. Je ne suis le petit gringalet mais je ne suis toujours pas capable de gérer la moindre émotion que par le besoin de cassé. De détruire. Je vide mon verre en moins de temps qu’il n’en faut pour dire ouf. J’en commande un nouveau, nécessité de faire taire le brouhaha de ma tête. Besoin d’embrumer mes pensées, les passer sous silence quelques minutes. Je serre les dents quand une main se pose sur mon bras, voix glaciale, je commence : ›› pas int- je me fige quand c’est sa petite voix qui parvient à mes oreilles. Trop prévisible, c’était évident qu’elle finirait par finir ici. Je ferme les yeux et inspire profondément. Fallait pas t’emmerder à v’nir, Stella. Je lève la tête et mon verre dans sa direction, sourire amer au coin des lèvres. Santé, ma douce. Je vide mon verre sans la quitter des yeux, impossible d’en faire autrement devant ma déesse préférée.