now or never (asena)
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now or never (asena)

SUN wildest dreams
Kemal Solak
Kemal Solak
messages : 155
pseudo : same.
id card : Tütüncü. (sweetpoison)
multicomptes : al (niney) - lip (keery) - blaise (carter).
à contacter : le compte concerné
triggers : cruauté animale, inceste, viol + je ne joue pas de scène de sexe explicite.
présence : (+/-) présente, l'irl avant tout.
now or never (asena) Looney-tunes
âge : trente ans sinon rien. Est-ce que tu les assumes ? Moyennement. As-tu le choix ? Pas vraiment. Tu ne cesses de dire que l'âge qui compte le plus c'est celui dans la tête et toi dans la tienne tu as l'âge de bugs bunny.
occupation : clown, est le mot qui te définit le mieux, malheureusement ça ne paye pas des masses. Tu es animateur dans des centres, bénévole dans les hôpitaux, donner du bonheur aux enfants, c'est ça qui t'enrichit le plus.
statut civil : 404. error.
orientation : les courbes féminines t'ont toujours émoustillés. (hétéro)
habitation : au dernier étage, sans ascenseur, ayant une vue improbable et ça te plaît. moins quand il s'agit d'héberger ton poto de toujours.
disponibilités :


yelizhavenozanasenaavràn

infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable ⇝ code couleur : #9966ff.
   
 
「  This is the last chance to make it our night.  」
∙ feat. @Asena Eker  ; octobre 2023 ∙
tw: ras for now.

Tes yeux qui regardent cette porte. Pourquoi tu es là déjà ? Son anniversaire. Très bonne excuse, mais aussi parce que tu n’as pas de nouvelles et ça depuis un moment. Tu aurais pu passer par Ozan, tu as failli lui demander la dernière fois, mais non. Tu aimes bien faire les choses par toi-même et puis vous êtes amis. Alors qu’est-ce qui t’empêche de le faire par toi-même ? Rien. Pourtant tu n’oses pas encore toquer, tu médites le pour et le contre. Pas de nouvelles, bonnes nouvelles dit-on, mais là, tu ne sais pas. Asena, ce n’est pas la meilleure des correspondantes, mais… ce n’est pas son genre de te laisser en suspend longtemps. Du moins trop longtemps. Pas que vous soyez les meilleurs amis du monde, mais vous avez des petites habitudes et là. Là tu t’es rendu compte que ça fait un moment que tu n’as pas son petit minois ou que tu aies eu de ses nouvelles. Oui, il te faut du temps pour réaliser, qu’elle ait pitié de toi, tu es plus souvent sur la lune que dans la réalité. Tu te racles la gorge, et si elle n’était pas là ? C’est une très bonne question, mais sa voiture est dans là. Ce qui ne veut rien dire, mais tu tentes, au pire tu te prends un mur. Au pire, tu as de quoi manger, mais ce cupcake n’est pas pour toi. Cadeau pour la demoiselle qui vit ici, du moins, si elle daigne t’ouvrir. Avant qu’elle t’ouvre, il faut que tu toques. Bonne idée. Tu respires un bon coup, toques. Rien. Pas de réponse. Une seconde fois. « Asenaaaaa c’est moi. » tel ma sorcière bien aimée, tu bouges ton nez. Elle est vraiment pas là ? Tu as l’impression que non. « J’ai un cadeau pour toi. Et puis si tu m’ouvres pas, tes voisins vont appeler les flics. » pourquoi ? Parce que tu as une idée derrière la tête. Et si, elle n’était vraiment pas là ? Tu as songé à ça ? Absolument pas. Pour toi, elle est là et elle refuse de t’ouvrir. Pourquoi ? C’est là, la question fatidique. « Je vais chaaaaaaaanter, » que tu dis en t’éclaircissant la gorge. Oui, tu en es capable et ça elle le sait. Tu es capable de tout, absolument tout. C’est parfois dur à supporter pour les gens qui t’entourent, mais pas à tes yeux. Tu aimes vivre dans ta bulle, faire rire les gens, n’avoir peur de rien ou presque. Tu n’as surtout pas peur du ridicule, oh ça non. « Un joyeuuuuuuuuuuux annnniiiiiversaire, à qui ? À toiiii, » et voilà, le massacre est lancé. Plus rien ne peut t’arrêter, à l’exception de ton amie. Elle te connaît depuis des années, vous n’avez pas toujours été proche, mais elle sait. Elle sait que tu peux rester là des heures, à chanter, faux, hélas ce n’est pas demain que tu comptes faire la nouvelle star. Il va bientôt pleuvoir, et tu ne comptes pas stopper ta chanson. Une revisite de la chanson du Chapelier dans Alice, à l’exception que là, il s’agit vraiment de son anniversaire. Et là, tu entends un bruit qui te séduit et c’est à ce moment-là qu’une pensée te traverse l’esprit : et si c’était son mari ? Bon il va pas te tuer, ou t’engueuler, quoique ? Il pourrait, il est dans son droit, tu fais l’abruti devant sa porte. Ses voisins ont pu le prévenir du tapage que tu fais. Tu souffles intérieurement, ce n’est pas lui qui ouvre, mais elle. « Joyeux anniversaire beauté ! » ne perdant pas ton sourire, assez fier de toi, même si tu t’en manges une dans pas longtemps. Et alors ? Ça en valait le coup. Tu tends la boîte, histoire de lui montrer que tu n'es pas venu les mains vides, et que tu n'as pas menti surtout.


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— I see how this is gonna go. Touch me, and you'll never be alone. Island breeze and lights down low. No one has to know
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「 now or never 」
∙ with @kemal solak / flashback october 2023.

tw:

Une année supplémentaire s’ajoute aujourd’hui pour Asena. Elle et son frère jumeau, Ozan, en réalité. Tous les deux gagnent une année de plus autour du soleil. Tous les deux ont maintenant trente-et-un an et Asena ne sait pas réellement comment digérer le fait que cela soit son anniversaire aujourd’hui, le réveil légèrement brutal suivant un cauchemar qui continue de revenir encore et encore. Réveil au sursaut avant de reconnaître la pièce où elle se trouve, de retrouver le certain réconfort que lui offre la présence de son mari, près d’elle. Lewis en ville pour célébrer son anniversaire ; elle apprécie son effort d’être présent pour célébrer une nouvelle année. Ne s’y attendait pas, Asena qui avait pris l’habitude de célébrer son anniversaire dans un autre pays. Par habitude, en cette journée, l’une des premières décisions qu’elle prend est d’attraper son téléphone portable afin d’envoyer un message à son frère jumeau, mais son regard remarque l’heure qu’il est — beaucoup trop tôt pour le faire et décide de remettre à plus tard afin de ne pas prendre la chance de le réveiller. Lewis dort paisiblement dans leur lit tandis qu’elle, elle se lève tout doucement de ce même lit et prend la direction de la salle de bain, arrêt rapide avant de continuer son chemin jusqu’à la cuisine où elle se prépare une bonne tasse de thé. Inconsciemment, sa main se pose sur son ventre, là où elle sait qu’il y a un enfant. Son enfant.

Puis Asena entend les pas de Lewis, quelque part dans leur maison et à partir de ce moment-là, Asena a l’impression que la journée se déroule trop rapidement à son goût. Le moment où elle se rappelle le message qu’elle doit envoyer à Ozan, son frère jumeau, Asena constate que ce dernier a été plus rapide qu’elle et c’est avec un sourire qu’elle lui répond rapidement, ses pas qui se dirigent vers une pièce quelconque. Asena ne regarde pas où elle va, se laissant simplement guider ailleurs, tombe dans une pièce qui occupe un bureau et un ordinateur, pièce qui ne sert pas réellement à grand-chose considérant les professions des occupants de cette villa, mais elle se dit, commence à s’imaginer plus les secondes passent que cette pièce peut être parfaite pour la chambre de l’enfant qui se trouve en elle. Elle commence à imaginer les couleurs, n’entend rien autour d’elle ; continue de voir des choix de couleurs dans sa vision. Son attention entière est à cette pièce, n’entend pas les coups qui se donnent à sa porte d’entrée ni la voix de Kemal, à l’extérieur. Asena ignore depuis combien de temps elle est dans cette pièce avant de la quitter, retournant au premier étage et s’arrête devant la porte d’entrée, certaine d’entendre une voix quelque part. Peut-être qu’elle commence à s’imaginer des trucs, ce serait possible avec le peu de sommeil qu’elle a, depuis un bon moment. Asena fronce les sourcils, s’approche tout doucement de la porte et patiente, quelques secondes de plus, main sur la poignée avant de tourner celle-ci et l’ouvrir. Elle tombe sur Kemal. À la vision de son sourire, Asena est incapable de ne pas sourire. « Qu’est-ce que c’est? C’est fragile? » En temps normal, Asena aurait secoué la boîte cependant cette fois, elle décide de ne pas le faire, juste pour être certaine. « Entre, entre. Tu as chanté, n’est-ce pas? » Elle se pousse du chemin avant de le laisser entrer chez elle, refermant la porte derrière lui, ses pas qui se dirigeant jusqu’à la cuisine, ouvrant la boîte, y retrouvant un cupcake. « Aaaaaawwww, merci Kemal. » Elle le dépose doucement sur le comptoir de la cuisine, s’approchant de son ami afin de l’enlacer quelques secondes et retourne au cupcake qui commence à lui mettre l’eau à la bouche.
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Kemal Solak
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occupation : clown, est le mot qui te définit le mieux, malheureusement ça ne paye pas des masses. Tu es animateur dans des centres, bénévole dans les hôpitaux, donner du bonheur aux enfants, c'est ça qui t'enrichit le plus.
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∙ feat. @Asena Eker  ; flash-back - octobre 2023 ∙
tw: ras for now.

« Qu’est-ce que c’est? C’est fragile? »  enfin. La libération. Elle a entendu tes prières, ou alors les voisins ont fini par l’appeler, lui demandant de faire cesser ce vacarme. Tu sais que tu n’es pas le meilleur des chanteurs. En tant qu’ami, tu assures, en tant que chanteur, c’est autre chose. Pourtant tu étais près à faire un concert, rien que pour son anniversaire. Tu sais qu’il te reste aussi une partie du duo, Ozan. Parce qu’aujourd’hui, ils sont deux à fêter leur anniversaire, les jumeaux. Ceux que tu connais que trop bien, bien différent l’un de l’autre, mais que tu aimes à leur manière. Ozan, c’est le frère que la vie t’a offert. Et Asena c’est ta chieuse préférée, tu aimes sa compagnie, son sourire, sa simplicité. Ton sourire ne s’estompe pas en la voyant, bien au contraire. Elle te fait rentrer et tu peux sentir le soulagement des voisins. « affirmatif, c’est tes voisins qui t’ont prévenu ? Ou t’as eu pitié de moi ? Un jour avec mes conneries, je finirais au poste. » c’est à se demander comment tu as fait pour que ça ne soit pas encore arrivé. Par moment, tu t’épates toi-même. Un miracle, ou alors ils ont pitié de toi ? Sûrement ça. Tu n’es pas si fou que ça, juste un clown qui aime donner de la joie aux gens. Tu adores les voir sourire, être heureux et si tu y es pour quelque chose, bah tu es heureux. Le bonheur des autres fait ton bonheur, voilà ton credo quotidien. Ce n’est pas pour rien que tu bosses dans un hôpital. « une chance, j’ai pas mis ma panoplie de clown, pour sûr que là, tes voisins m’auraient fiché. » ce qui fait remonter un petit sourire dans ta mémoire. Celle de ta voisine qui t’avait regardé étrangement un jour. Elle ne comprenait pas ton accoutrement, pourquoi tu étais habillé en clown, elle t’a regardé longuement ce jour-là. Tu lui as souri et elle a pris peur. Non, tu n’es pas fou et clairement le regard des autres t’importent, mais tu ne veux juste pas finir en prison. La raison serait plus que stupide, finir derrière les barreaux car tu veux prodiguer du bonheur ? Ça c’est ta façon de voir les choses, pour les forces de l’ordre ça serait sûrement un genre de trouble sur la voix publique. Truc comme ça. Tu balaies ce souvenir et te focalises sur la belle Asena. « tu crois pas que j’aurais oublié ce jour ? Et puis c’est la parfaite occasion pour prendre de tes nouvelles. » parce que ça fait longtemps que tu en as eu, à croire qu’elle a disparu. « j’viens me mettre à jour sur la vie de la trépidante Asena. » tu fais comme chez toi et t’installes dans le canapé. « Lewis est pas là ? » tu n’as pas envie de déranger. Parce que pour le coup, tu n’as pas pensé qu’elle pouvait avoir des plans et que tu déranges. Non ce n’est pas dans tes pensées ça. Toi déranger ? Et puis encore, tu es un peu comme le messie, toujours attendu. C’est une évidence. « j’espère que le parfum te plaira, en le voyant j’ai direct pensé à toi. » entre les couleurs et le goût, tu espères avoir fait un bon choix.  


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