I don't wanna wait (ozan)
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I don't wanna wait (ozan)

SUN wildest dreams
Kemal Solak
Kemal Solak
messages : 149
pseudo : same.
id card : Tütüncü. (fassylovergallery)
multicomptes : al (niney) - lip (keery) - blaise (carter).
à contacter : le compte concerné
triggers : cruauté animale, inceste, viol + je ne joue pas de scène de sexe explicite.
présence : (+/-) présente, l'irl avant tout.
I don't wanna wait (ozan) Looney-tunes
âge : trente ans sinon rien. Est-ce que tu les assumes ? Moyennement. As-tu le choix ? Pas vraiment. Tu ne cesses de dire que l'âge qui compte le plus c'est celui dans la tête et toi dans la tienne tu as l'âge de bugs bunny.
occupation : clown, est le mot qui te définit le mieux, malheureusement ça ne paye pas des masses. Tu es animateur dans des centres, bénévole dans les hôpitaux, donner du bonheur aux enfants, c'est ça qui t'enrichit le plus.
statut civil : 404. error.
orientation : les courbes féminines t'ont toujours émoustillés. (hétéro)
habitation : au dernier étage, sans ascenseur, ayant une vue improbable et ça te plaît. moins quand il s'agit d'héberger ton poto de toujours.
disponibilités :


yelizhavenozan ༶ aylin.

infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable ⇝ code couleur : #9966ff.
   
 
「  Let's make tonight the weekend
I don't wanna wait
Got no reason not to celebra-ate  」

∙ feat. @Ozan Eker ; avril 2023 ∙
tw: ras for now.

Longue journée. Très longue journée. Par moment tu te dis que ton métier est dur. Pourtant tu dois juste faire le clown, amusé les gens, surtout les enfants. Sauf qu’aujourd’hui, tu as été confronté à des patients qui t’ont touchés. Des gamins que tu t’attendais voir et qu’au final non. Alors oui, ça t’a touché, ça t’a ramené à des souvenirs enfouis au fond de toi. Pas que tu les taises, au contraire, tu essaies juste de panser tes plaies. Tu vis avec au quotidien, tu continues de sourire, car c’est ce qu’il aurait voulu. Secouant ta tête, tu essaies de penser à autre chose. Ce n’est pas le moment. Ce soir, tu as besoin de soufflé, d’oublier cette journée. Est-ce que tu le peux vraiment ? Pas sûr. Sauf que l’espace d’un instant, tu vas mettre ta journée de côté. Ce soir, tu te consacres à ton ami. Grincheux a accepté d’aller boire un verre, pas chez lui. Il ne faudrait pas que l’histoire se répète et tu sens que si ta sœur débarque à nouveau. Ça sera la fin. Toi, tu aimerais bien qu’ils s’entendent, mais tu fais avec, parce que tu n’as pas le choix. Ce n’est pas maintenant que tu vas les changer, ils sont sacrément têtus. Et pas qu’un, les deux sont têtus. Cette pensée te fait sourire, tu ne sais pas pourquoi, mais tu souris. Peut-être parce que tu vas retrouver ton second frère. Celui que la vie t’a offerte ? Éventuellement.

Ce soir, tu viens à pied. Tu n’as pas envie de tenter le diable et puis tu n’as surtout pas envie de conduire. Pas que tu comptes te mettre la tête à l’envers, juste qu’un taxi fera l’affaire ou marcher pour enlever l’alcool de son système. Ton sourire qui ne s’estompe pas, tu ne comptes pas l’enlever. Parce que c’est ta marque de fabrique. Tu es comme ça, même si tu souffres, tu souris. Tu ne montres pas tes blessures. Plus simple. Tu rentres dans le pub, es-tu le premier ? Apparemment. Tu t’approches du comptoir, commande deux pintes. Ce qui lui laissera le temps de venir. De rouler jusqu’à toi comme tu aimes si bien le dire. Un billet et tu attrapes les deux pintes que tu amènes vers une table. Un peu à l’écart, ça sera mieux pour ronchon en chef. Tu meurs d’envie d’attaquer, la journée fut longue, mais non. Tu tiens bon. Le plus beau fait enfin son entrée, un peu bras que tu lèves pour lui indiquer ta présence. « Tu sais que Professor Xavier va plus vite que toi. Bon ok il a un super fauteuil qui vole, on devrait te trouver ça ou alors te raser la tête. » grand sourire, tu lui tends la pinte. Vous trinquez. « alors tu préfères quelle option ? » toujours à faire chier ton entourage c’est là ta marque de fabrique. Il n’a plus besoin de lever les yeux au ciel, ce n’est pas la première fois que tu lui fais ce genre de blague. « alors comment va ? T’as vu j’ai trouvé un pub ou ta sœur ne viendra pas tout gâcher ! J’ai envie de passé une soirée avec mon poussin. » rien que vous deux, comme avant, la belle époque.

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You're a troublemaker
You had me hooked again from the minute you sat down.The way you bite your lip got my head spinnin' around. After a drink or two I was putty in your hands. I don't know if I have the strenght to stand
MOON up all night
Ozan Eker
Ozan Eker
messages : 1172
pseudo : sweet poison (anaïs, elle).
id card : boran kuzum (sweet poison@avatar ; minasgifs@gif)
multicomptes : ashton, jake, avràn & diego.
triggers : cruauté animale, inceste, viol + pas de rp sexe.
warnings : violence familiale ; suicide ; guerre ; blessures ; homophobie.
I don't wanna wait (ozan) 956e781d525f2afee6cc7f4c5d98fecd091e85bc
âge : trente-et-un ans, nouvelle dizaine tout juste entamée.
occupation : soldat, marine corps, actuellement démobilisé, pas certain de pouvoir un jour retrouver son poste.
statut civil : célibataire, il n'a jamais été très doué pour s'engager dans des histoires d'amour.
orientation : pansexuel, pas toujours assumé, armée américaine oblige ; préfère de toute façon garder privé ce qu'il se passe dans son lit.
habitation : appartement à peacock, en collocation avec yeliz.
pronom ig : il
disponibilités : dispo
yeliz
kemal
asena

   
 
「  i don't wanna wait. 」
∙ feat. @Kemal Solak ; avril 2024 ∙
tw: blessures.

Lentement, mais sûrement, il retrouvait un peu sa mobilité, Ozan. Ça faisait plus d’un an maintenant, que cet accident avait eu lieu et la rééducation commençait à être vraiment efficace. Tant mieux. Il espérait pouvoir rapidement recommencer à travailler, repartir sur le terrain, parce qu’être coincé à Oceanside, ce n’était clairement pas quelque chose de positif pour lui. Il avait pris l'habitude de quitter la ville dès que possible Ozan et ça avait toujours été pour lui un bon moyen de s’éloigner de son passé et de toutes les choses qu’il voulait oublier. Il s’était toujours senti plus libre en dehors de la ville, Ozan. Il s’était engagé dans l’armée dès qu’il avait pu, avec cette volonté de s’éloigner de son père. Ça faisait des années maintenant qu’il ne l’avait plus revu et c’était très bien comme ça, mais il avait l’impression que rester aussi longtemps à Oceanside, ça ne faisait qu’augmenter les risques de le croiser par hasard. Il ne savait même pas comment il réagirait s’il devait tomber nez à nez avec son père. Il n’avait pas envie de savoir. Alors, il espérait pouvoir rapidement quitter la ville à nouveau, même si ses médecins n’étaient clairement pas d’accord pour l’envoyer de nouveau sur le terrain.

Tant pis. Il n’avait pas envie de penser à ça pour l’instant. Surtout pas ce soir. Il avait des projets plutôt sympas pour ce soir, alors autant ne pas laisser les choses négatives venir lui pourrir l’esprit. Ce soir, il devait passer du temps au bar avec son meilleur ami et ça, clairement, ça lui faisait plaisir. Cette fois, Yeliz ne devrait pas venir à l’improviste gâcher leur soirée. Quoi qu’elle était capable de tout, la brune. Il devrait peut-être se méfier d’elle. Il avait pris une douce rapide avant de sortir, avait indiqué à sa colocataire qu’il sortait, sans donner plus d’informations, de toute façon, ils n’étaient que colocataires, alors il n’avait pas besoin d’entrer dans les détails. Puis il avait rejoint le pub dans lequel il avait rendez-vous avec Kemal. Pas très loin de l’appartement, il avait pu y aller à pied. Il n’avait plus besoin du fauteuil depuis quelque temps, il pouvait marcher, mais avec encore parfois besoin d’une béquille pour s’appuyer, parce que sa jambe gauche avait encore du mal à fonctionner convenablement. Puisque la marche était un peu longue, il l’avait prise, histoire d’éviter de se faire trop de mal. Il avait mis un petit peu de temps, mais il était arrivé à bon port et malgré ce que sous-entendait Kemal, il n’était pas tant que ça en retard. « J’utilise mes pieds maintenant, donc laisse tomber le fauteuil et ne touche pas à mes cheveux. » Il répliqua après avoir trinqué avec son ami. Pas question de retourner dans un fauteuil, il l’avait toujours et on lui avait dit de ne pas hésiter à s’en servir s’il avait trop mal, mais il avait tendance à refuser, Ozan. De toute façon, il considérait qu’il n’avait pas assez mal pour s’y résoudre. « Ça va et toi ? » Il répondit, dans un premier temps, en haussant légèrement les épaules. Globalement, ça allait de mieux en mieux, il en était ravi Ozan, alors ne se plaignait pas beaucoup de sa situation. A part pour emmerder Yeliz, mais ça, c’était une autre histoire. « Tu sais pas, peut-être qu’elle m’a suivi, juste désireuse de venir encore nous emmerder. » Il lâcha, dans un long soupir exagéré. « J’ose espérer que ce ne soit pas le cas, j’ai vraiment besoin d’une soirée entre potes. » Yeliz n’était quand même pas folle à ce point, encore heureux. Mais il ne manquait pas une occasion de se moquer d’elle, même quand elle n’était pas dans le coin, après tout, qui aime bien châtie bien, comme on dit.


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things get heated
some nights, we're closer than ever. sometimes, we're running out of space when we're high, it can't get any better until we come down again.