-- rp aléatoire : virgil & joan.

tw: aucun pour commencer.

Tu attends à l'arrêt de bus depuis quelques minutes déjà, Virgil. Tu guettes les trajets, sais que ton autobus s'en vient et que tu pourras bientôt te mettre à l'abri de la chaleur. Rentrer chez toi. Mais c'était sans compter sur Joan qui s'approche et t'accoste comme si vous vous connaissiez depuis longtemps déjà. Joan, que tu n'as jamais vu.e de ta vie, Virgil. Ça ne fait aucun sens — si ce n'est que tu remarques rapidement que quelque chose cloche. D'un regard, Joan te supplie de jouer le jeu et de l'aider.

(Possibilité d'ajouter un PNJ qui importunerait Joan. Joan peut prétendre à une relation de couple, de famille, ou simplement d'amitié. À votre guise !)

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-- Il n'y a aucun ordre défini, débute le rp qui le souhaite.  
-- Une fois le rp terminé, n'oubliez pas d'aller le faire archiver.

Le soleil ne s’est pas encore caché pour laisser place à la lune. La chaleur est toujours présente. La lumière est encore belle et bien présente et pourtant, la soirée débute. Doucement, le ciel change de couleur. Se préparant à offrir aux amateurs de couchers de soleil un spectacle des plus beaux. Certaines personnes se posent dans le sable encore chaud de la plage, alors que d’autres optent pour un banc. Ils sont prêts. Ils n’attendent que ce moment. Toi Joan, tu sors du travail. Tu as fait un peu plus d’heures, aujourd’hui. Parce que tu étais prise par ce qe tu faisais. Des analyses qui n’ont cessé de prendre tout ton temps. Tu es contente d’enfin sortir du laboratoire. Tu respires l’air frais, remarquant toi aussi, la descente lente du soleil. Tu souris délicatement avant de prendre à pied, le chemin jusque chez toi. Et il y a encore du monde dehors. Après tout, il est encore tôt. Beaucoup se préparent en cette fin de semaine à sortir dans les bars ou à aller manger un bout au restaurant. Mais tu n’as rien de prévu aujourd’hui, Joan. Tu vas simplement rentrer chez toi. Peut-être que tu ressortiras te balader, mais tu ne penses pas. T’as besoin de souffler un peu, parce que t’as la tête un peu en vrac ces derniers temps. C’est pour cette raison que tu ne remarques pas tout de suite, cet homme, un peu plus loin. Celui qui suit tes pas. Qui s’arrête lorsque tu t’arrêtes pour regarder les vitrines d’une boutique. Celui qui accélère lorsque tu fais de même s’en réellement t’en rendre compte. Tu entends qu’on appelle Mademoiselle, alors naïvement, tu te retournes. Tes yeux se posent sur lui et tu comprends vite à son geste. Tu hausses les yeux. L’ignores. Mais l’homme se rapproche un peu trop à ton goût. Tu sens sa présence derrière toi et même si tu lui demandes de te laisser tranquille, il ne le fait pas. Légère boule au ventre qui s’éprend de ton être, tu accélères le pas. T’es pas habituée à ce genre de choses Joan. Mais l’homme insiste. Alors lorsque tu approches d’un arrêt de bus, tu repères un jeune homme, là, qui attend. T’hésites pas sur le moment Joan. Tu t’approches de lui et le prends dans tes bras. Comme si tu le connaissais.

— Hey, me voilà, désolée pour le retard ! Que tu lances à cet inconnu, le regard plongé dans le sien. — S’il vous plaît, jouez le jeu. Que tu lui murmures avant de te décaler et de le regarder. Un regard légèrement apeuré. Tu finis par te retourner et tu vois l’homme marmonner dans sa barbe, mais sans pour autant partir.

tw: harcèlement de rue

tu revenais d'un long cours magistral sur le concept des prisons for profit et ça t'avais littéralement assassiné. tout ce que t'espérais en ce moment c'était uniquement de t'avacher sur ton lit et de ne plus exister pendant huit heures, en écoutant par la même occasion quelques chansons du nouvel album de lous and the yakuza. mais entre toi et ton lit, il y avait un trajet de bus que tu devais prendre. nonchalement, tu t'approchas de l'arrêt de bus puis mis tes écouteurs, pour te perdre dans ton monde. ça faisait de l'attente une expérience moins pénible. t'étais tellement dans les nuages que tu portas attention à ce qui se passait autour de toi. lorsque la dame qui attendait avec toi vint te prendre dans ses bras, tu sursautas presque, mais tu te retins alors qu'elle te chuchotas des mots à l'oreille qui te glacèrent le sang. tu levas les yeux le plus discrètement vers l'individu derrière moi. qu'est-ce qu'il faisait là ? est-ce qu'il avait des intentions plus sombres qu'il le laissait paraitre ? t'en savais rien et en vérité, tu voulais pas vraiment pas savoir. tu comptais vous sortir, toi et elle, sains et saufs de cette situation plus que malaisante, dangereuse, pour vous deux, mais surtout pour elle. jouez le jeu, dit-elle. alors t'offris ta meilleure performance.

ta nervosité fit maintenant place à de l'assurance. tu l'enlaças, encore plus fort, à ton tour, ne la quittant pas des yeux. sarah ! oh mon dieu, tu sais que si je te voyais pas dans les dix prochaines minutes, je comptais partir, t'abandonner ici ?, dis-tu d'un air faussement irrité, gardant un large sourire tout le long. t'espérais que ton petit jeu d'acteur était convaincant, et qu'elle s'appellait vraiment sarah. mes parents t'invitent à manger ce soir, ça te dit ? ma mère fait même ton plat préféré ! t'en mettais plus que nécessaire, juste pour dissuader l'autre énergumène de tenter quoi que ce soit. pourtant, en le regardant du coin de l'oeil, tu remarquas qu'il avait mainteant son regard fixé sur toi. c'était quoi son problème à la fin ?