one step closer (joan)

one step closer (joan)

SUN wildest dreams
Al Barnes
Al Barnes
messages : 169
pseudo : same.
id card : niney (sweetpoison) - sign (zaja/allthefights/buzzcocks)
multicomptes : lip (keery) - kemal (tütüncü) - blaise (carter)
à contacter : le compte concerné
triggers : cruauté animale, inceste, viol + je ne joue pas de scène de sexe explicite.
warnings : mensonges, adultère (pensées), élitisme.
présence : (+/-) présente, l'irl avant tout.
one step closer (joan) F730fceba5728e802fed8da0ef0d0336a73f8449
âge : trente ans - l'âge de raison (oupas)
occupation : directeur - du groupe journaliste Barnes (thanksdad)
statut civil : marié - pour le meilleur et le pire (surtout)
orientation : hétéro - seules les courbes féminines le font tressaillir (sorryguys)
habitation : villa - north valley, #3028. (laclasse)

pronom ig : he/il.
disponibilités :
infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable ⇝ code couleur : #0066cc

   
 
「 one step closer 」
∙ feat. @Joan Sandberg  ; avril 2024 ∙
tw : ras for now.

Tension.
C’est le mot que tu emploierais pour définir ton couple à ce moment précis et on ne peut pas dire que tu apprécies. Est-ce que c’est vous ? À dire vrai, tu ne sais plus trop. Tu as plus l’impression que vous êtes perdus en ce moment. Vous n’êtes plus ce jeune couple espiègle, amoureux, que vous avez été. L’avez-vous été ? Tu oses croire que oui. Tu le penses. Il fut un instant ou tu aurais tout donné pour elle. Rien que pour un sourire, tu aurais décroché la lune. Aujourd’hui ?

Aujourd’hui, tout te semble différent.
Pourtant c’est pour elle que tu te rends dans ce centre commercial. Au fond de toi tu souhaites apaiser les tensions. Tu as envie de faire taire ce brouhaha dans ta tête. Est-ce que tu as envie que tout redevienne comme avant ? Peut-être ? Est-ce possible ? Tu en doutes parfois, mais tantôt tu y crois. Tu crois que ce n’est qu’une passade. Vous êtes plus fort que ça. Vous êtes amoureux. Tu en restes persuadé. Sinon tout ceci n’est qu’une mascarade et cela voudrait dire que tes parents ont raison. Et non. Non, tu ne veux pas croire ce détail. Parce que oui pour toi c’est un détail. Tu es sûr de ton choix. Tu es sûr que votre amour explique, tu ne l’as pas épousé pour ses beaux yeux. Y a forcément autre chose. Vraiment ? Tu détestes toutes ces questions qui martèlent ton cerveau. Tu as besoin de calme, d’apaiser tout ça. C’est pour ça que tu es là. Pour faire la paix. Que ça soit avec elle, mais aussi en toi. Ce n’est qu’une dispute. Une qui a crevé l’abcès, qui reste en mémoire. Vous en avez déjà connu, affronté, votre histoire n’est pas un fleuve tranquille. Bien sûr que non, c’est normal de se disputer. Seulement jusqu’ici vous avez toujours trouvé un compromis. Une réconciliation sur l’oreiller, ou autre. Vous abandonniez pas. Parce que là, tu as l’impression que vous abandonnez.

Un nouveau souffle s’échappe de tes lèvres. Tu regardes les vitrines. Rien. Rien qui n’attire ton regard. Un bijou ? Elle en a des tas, mais rien qui ne parle. Qui dit joyeux anniversaire. Et tu as envie de quelque chose de marquant. Une chose qui lui ressemble, les habits ? Non plus. Tu finis par rentrer dans une boutique, tu sais qu’elle aime cet art. Tu sais que ça lui plaît toujours, du moins tu espères qu’elle n’a pas changé. Tes yeux sont attirés vers une petite statuette, que tu reconnais. Y a des comme ça chez vous. Gotcha. Tu en attrapes une, priant pour qu’elle ne l’ait pas, passage en caisse et le tour est joué. Après deux heures d’errance dans ce centre commercial, tu peux enfin rentrer chez toi. Direction l’ascenseur, retour au bureau. Un tas de dossier t’y attendent, du boulot, encore et encore. Sauf qu’au moins, tu as résolu le cadeau d’anniversaire de ta femme. Une voix te sort de tes rêveries, une femme qui te demande de retenir l’ascenseur. Tu appuies sur le bouton, retenant la boîte en métal. Elle te remercie, sourire qui apparaît sur ton visage. Pas un mot de plus.

Une secousse. Puis une seconde.
Ton regard qui se pose sur le plafond, la lumière qui clignote. Une blague ? Voilà ce que ça doit être. Tu ne comprends pas comment ça peut-être autrement. Tout s’enchaîne, rapidement. Trop rapidement à ton goût. « C’est une blague. » que tu finis par lâcher, voyant la lumière s’éteindre d’un coup. Vous voilà plonger dans le noir et surtout à l’arrêt. Tu as autre chose à faire qu’être bloqué dans cet ascenseur.

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You spurn my natural emotions. You make me feel like dirt. And I’m hurt. And if I start a commotion. I run the risk of losing you. And that’s worse.☾☾ // par zaja.
ADMIN wildest dreams
Joan Sandberg
Joan Sandberg
messages : 321
pseudo : evermore, lucie (elle).
id card : alicia vikander ༶ lumos solem (avatar) ; earstwo (gif profil) ; saphiiiic (gif signature) ; exile, taylor swift ft. bon iver.
multicomptes : luke (d. starkey)colt (j. elordi)jane (z. coleman)joe (c. turner)wren (m. mitchell)
à contacter : joan
triggers : les requins et araignées, cruauté animale, inceste, discrimination, violences sexuelles et domestiques ; je ne joue également pas les scènes "hot".
warnings : noyade, abandon maternel.
présence : présente.
one step closer (joan) Tumblr_nuyeit35SW1s719xto3_250
âge : trente-quatre ans ༶ le peur du temps qui avance déjà bien loin derrière elle.
occupation : biologiste marine ༶ elle étudie principalement le faune des fonds marins, boulot qui la passionne depuis bien des années.
statut civil : en couple ༶ et pourtant, l'esprit constamment tourné vers une autre personne malgré son attachement actuel.
orientation : bisexuelle ༶ elle s'épanouis dans les bras de tout le monde, une préférence pour les femmes malgré tout.
pronom ig : elle.
disponibilités : ⌜en cours⌟

www ༶ noela #2
www ༶ amelia.
www ༶ kalen.
www ༶ al.

⌜terminés⌟

www ༶ noela #1.
www ༶ virgil (rp aléatoire).
www ༶ prénom.

infos rp : mots ༶ minimum 400 mots. langue ༶ français. fréquence ༶ ça varie entre 1 à 3 semaines selon l'inspiration et la disponibilité.
en vrac : Tu adores tout ce qui est casse-tête. Ton père avait l'habitude de t'en offrir lorsqu'il rentrait de ses voyages en mer. -- Gamine, il t'emmenait souvent sur son bateau. Tu es même déjà restée plusieurs jours en mer avec lui. -- Même si tu aimes rester des heures à regarder l'océan, tu n'arrives plus à mettre le moindre pied dedans. -- Tu as rencontré un homme en revenant à Oceanside et rapidement, vous vous êtes mis ensemble. Homme qui au final, n'est pas si inconnu que ça. Car c'est lui, qui des années auparavant, t'a sauvée de la noyade. -- Tu adores cuisiner et tu pourrais passer des heures en cuisine. --Tu portes des lunettes pour lire. -- Tu adores écouter de la musique, mais surtout, la musique des années 80. -- Encore maintenant, tu gardes dans une boîte le doudou que tu avais lorsque tu étais petite. -- Ta saison préférée n'est autre que le printemps. -- lorsque Noël arrive, tu adores regarder encore et encore les mêmes films. -- Tu n'as jamais ressenti le besoin d'être mère. Du moins, pas maintenant. -- Tu passes chaque année un week-end avec ton père, ta belle-mère et ton demi-frère à Disneyland. -- Tu coupes tes cheveux toi-même depuis plusieurs années déjà. -- Elle a fumé pendant deux ans à l'université avant de tout arrêter. -- Elle boit plus souvent de la bière que du vin ou des cocktails. -- Elle adore la photographie. -- Elle a récemment adopté un chien du nom de Rox. -- Même si elle est en couple, elle préfère vivre seule pour le moment. -- Elle a en horreur les grandes démonstrations d'amour. -- Elle raffole des macarons.
   
 
「 one step closer」
∙ feat. @Al Barnes ; avril 2023 ∙
tw: aucun.

L’anniversaire de ta filleule arrive à grands pas. Aria, elle aura deux ans cette année et tu es sa marraine. Tu te dois de lui faire un cadeau digne de ce nom. Elle est certes encore jeune, mais elle grandit bien trop vite la gamine. Elle se rend compte de beaucoup plus de choses et donc le choix que tu porteras sur son futur cadeau pourra jouer sur son humeur. Tu as contacté Amelia pour savoir ce qui lui ferait plaisir, mais elle n’a pas été d’une grande aide. Tu as alors passé plusieurs heures sur internet, parcourant les différents blogs et autres Tik Tok afin d’avoir une idée pour trouver le cadeau parfait dont elle se souviendra. Tu as le temps, encore, cependant. Ce n’est pas avant le mois prochain. Mais tu veux profiter de ton temps libre du moment pour aller faire un tour au centre commercial. Tu n’y vas pas souvent, alors autant en profiter. D’autant plus que pour une fois, tu y penses assez tôt. Car tu es bien du genre à faire tout ça en dernière minute, Joan. Comme pour les cadeaux de Noël. Tu es celle qui court partout le vingt-quatre décembre en fin de journée pour aller chercher les cadeaux pour tes proches. On ne te changera pas, Jo.

T’es donc assez fière de toi, pour une fois. Sac sur l’épaule et vêtue d’un jeans, d’un t-shirt blanc et d’un blazer vert kaki, tu te rends dans les deux premiers magasins de jouets que tu vois. Au loin l’idée de lui prendre quelque chose d’électronique ou avec des écrans. Tu n’aimes pas cette nouvelle génération et à deux ans, tu penses qu’Aria, elle n’a pas besoin de ça pour t’amuser. Sauf que tu ne trouves pas ce que tu veux, Joan. Tu laisses plusieurs fois échapper quelques soupirs avant de changer, une fois de plus, de magasin. Après déjà trente bonnes minutes, tu trouves enfin ce que tu cherches. Te voilà rapidement à l’extérieur du magasin, deux jouets en bois et un jeu de société précieusement emballés dans un sachet. T’es contente, Joan. Mais l’air de rien, ça t’a fatigué. Plus qu’une simple journée de travail. C’est pour ça que tu te diriges vers les ascenseurs. Et tu presses le pas lorsque tu vois quelqu’un s’engouffrer dans celui de libre.
— Attendez ! Tu parviens à te glisser entre les deux portes qui se sont rouvertes et tu souris délicatement au jeune homme. — Merci.
Tu te tiens droite, le sachant tenu par tes deux mains. Et il y a une première secousse. Suivie d’une seconde. Tu manques de tomber et tu te retiens contre les parois. Les lumières clignotent légèrement avant que l’ascenseur tout entier ne cesse de bouger. Vous voulez dans le noir. — Sérieux ? Que tu lances d’un ton agacé en même temps que les mots de l’homme à tes côtés. Les lumières de sécurité finissent par s’allumer et sans vraiment hésiter, tu appuies sur le bouton d’alarme. — Allez répondez ! Que tu marmonnes en attendant le bip retentir, sauf que personne ne daigne vous répondre.

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— exile · you're not my homeland anymore.