insane, inside the danger gets me high (adrian)
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aventureux
╰☆╮
on dit que la famille est un pilier vital pour tout un chacun, le socle de toute chose et le fondement d’une éducation, et dans la vie d’adrian, ça se retrouve. proche des siens, sans doute que le décès de son père, alors qu’il n’était que tout gosse, y a beaucoup fait. orphelin d’un repère masculin, a grandi proche de sa mère. cette dernière a beaucoup sacrifié pour maintenir leur petite famille déséquilibrée à flot, elle qui s’est retrouvée veuve beaucoup trop tôt. pourtant elle le savait, qu’en épousant un militaire, cela faisait partie de ce qu’on appelle «
dans leur malheur, leur chance a été d’avoir oncle joe sous la main, juste à côté. oncle joe, le frère de sa mère, et sa famille si bienveillante et soucieuse de pallier à tout ce qui leur manquait désormais. oncle joe le pompier, qu’il a toujours connu dans sa tenue d’homme du feu, et jamais autrement. oncle joe, qui lui a appris à faire du vélo, à cracher comme un homme, à faire de l’escalade, à conduire pour passer son permis. oncle joe, qui l’a accompagné à sa première séance de ciné, qui lui a payé sa première bière, son premier paquet de clopes, qui l’a amené pour la toute première fois dans un bordel parce que, fiston, ça fait partie des p’tits plaisirs de la vie qu’un homme doit s’accorder. oncle joe qui lui a même prêté sa sacro-sainte et rutilante chevrolet pour accompagner stacey à leur bal de promo du lycée. oncle joe, qui, finalement, a été le père qu’il n’a jamais eu, et qui a élevé ce fils qu’il n’a jamais eu, lui qui n’a été bon à faire à sa femme que des filles.
mais à grandir hors des sentiers battus, parfois l’on pousse un peu de travers, pas toujours tout droit. sans doute pour ça qu’il s’est naturellement tourné vers les chemins de traverse, adrian, et que très tôt, il s’est rebellé. contre l’autorité, d’abord, celle de sa mère, à bout de laquelle il venait toujours trop vite, celle de son oncle, car aussi cool qu’il soit, c’était pas son père, et il avait parfois du mal avec le fait qu’il agisse perpétuellement comme tel. puis d’une façon générale, contre toute forme d’autorité, et aussi ceux qui travaillaient pour la faire respecter. petits délits mineurs, qui l’ont parfois conduit jusqu’au poste, mais heureusement sans jamais trop de conséquences derrière. quelques réprimandes des agents, des petits travaux d’intérêt général pour la forme et l’exemple, de grosses frayeurs pour sa mère, surtout. ce qui l’a vraiment sauvé, et aidé, c’est d’avoir eu la chance d’être compris, et que son entourage soit tolérant, mettant ces écarts sur le compte d’une enfance pas évidente, d’un manque cruel de figure paternelle. nombre de fois, il a été à deux doigts de franchir la ligne la fois de trop, nombre de fois il s’est retrouvé dans des situations franchement border-line, sans pourtant franchir la limite décisive. et nombre de fois, oncle joe a été là pour veiller au grain, et rectifier le tir avant qu’il ne soit trop tard.
car quoi qu’il en dise, c’est sans doute à ce bon vieux joe qu’il doit son salut. et si tout a commencé par un soi-disant « besoin d’un coup de main » à la caserne, puis de soi-disant « stages d’observation pour se faire une idée du métier » et enfin une plaquette de la caserne entre les mains quand il s’est agi de se projeter dans la vie future, la vie réelle, et le monde du travail une fois la fac terminée, c’est grâce à lui qu’il a trouvé sa vocation. à baigner depuis tout jeune dans cet environnement et la camaraderie qu’il a toujours connue à la caserne, il n’a plus été question de faire autre chose de sa vie que de servir parmi les rangs des
changement radical d’état d’esprit et de mentalité, ça l’a aidé à mûrir d’une traite. exit la petite frappe à tendance racailleuse, peut-être avait-il enfin atteint l’âge de raison, celui qu’on fixe sans doute à tort à l’âge de sept ans. habitudes et hygiène de vie qui tournent à plus mature, garçon rebelle est devenu homme solide et mature. plus posé, plus serein, a fait de toutes ses incertitudes de gosse ses plus grandes forces. considéré comme le gai-luron de la caserne, jamais le dernier à déconner ou jouer au pitre de service, mais désormais avec la tête sur les épaules et à agir de façon réfléchie. n’en déplaise qu’il a gardé un certain côté tête-brûlée qui semble persister au gré du temps qui passe, et une fâcheuse tendance à grincer des dents lorsque l’on éprouve l’acier de ses nerfs à lui imposer trop d’autorité. manque de bol pour lui, le métier de pompier impose une discipline de fer et un besoin vital de suivre les règles établies, pour sa propre sécurité, comme celle de ses coéquipières et coéquipiers. il y travaille encore aujourd’hui, mais dans l’ensemble, les choses paraissent être en bonne voie.
car s’il a appris à tempérer ses humeurs fougueuses et ses vieux démons, il n’empêche que contrairement à ce qu’il laisse apparaître, le cap de la trentaine n’a pas été si facile à passer et digérer. maturité et sérénité adoptées font la part belle à ce sentiment toujours plus douloureux qui enfle, tout au fond de lui. incomplet, et peut-être serait-là le meilleur mot qu’il puisse choisir, en toute honnêteté et lucidité, pour se décrire. car il le sait, il le sent, aujourd’hui, il lui manque quelque chose. pourtant sur le papier, toutes les cases de la to-do sont cochées ; diplôme en poche, sécurité de l’emploi, un toit sur sa tête, un salaire qui tombe tous les mois, une santé de fer, du côté de la famille également, et même une femme dans sa vie. mais peut-être est-ce là tout le fond du problème.
car s’il a indubitablement grandi dans l’amour, peut-être que c’est là que réside le nerf de la guerre. élevé dans une famille à la vision et aux mœurs très hétéronormés, il ne lui a jamais été appris ni permis d’être différent. loin d’être une question d’homophobie, ou alors peut-être que cela résulte d’un déni profond, l’idée qu’un homme et une femme soit une norme lui a toujours été inculquée, d’aussi loin qu’il s’en souvienne. oui mais voilà ; sa jolie petite gueule plaît à ces dames, autant que son sourire vaurien et ses yeux cristallins, et c’est tout réciproque. mais si seulement cela pouvait être aussi simple... se déteste tout au fond de parfois ressentir un petit truc en plus pour ses homologues masculins. voudrait faire taire cette petite voix intérieure, ces spasmes au fond de ses tripes qui se tordent, parfois, pour des membres de la gent masculine. alors, a toujours enchaîné les conquêtes, toutes féminines, sans exception, rechignant sans cesse à vouloir voir aboutir une relation sur du sérieux et du long terme. les femmes se succèdent entre ses bras et dans ses draps, comme une excuse, comme une parade. pire ; comme s’il avait quelque chose à se prouver à lui-même. comme s’il voulait éteindre ces quelques étincelles qui couvent comme un brasier, trop effrayé d’allumer un feu que lui, le pompier, ne saurait éteindre. se complaît alors dans le rôle de l’insupportable lourdingue qui ne manque jamais une occasion de mettre les pieds dans le plat ou de sortir des blagues potaches et pas très fines qui tombent à plat, voir offusque la communauté lgbtqia+ dont il est si secrètement effrayé. peu instruit en la matière, s’évertue à passer pour l’homophobe lourdingue, pour autant qu’il se convainc lui-même d’être totalement hétéro. situation intenable qui, jour après jour, le ronge un peu plus de l’intérieur, comme une véritable dissociation de deux être qui habiteraient le même corps. jusque-là, les apparences sont sauves, mais il le sait : le masque ne tiendra pas encore bien longtemps, la crise existentielle vient à peine de pointer le bout de son nez…
d’ici là, garde ses œillères farouchement vissées sur son visage, enfoui dans le déni jusqu’au sommet du crâne. partage sa vie depuis deux ans et demi (record !) avec une femme, de quinze ans son aînée. leur relation semble solide, leur relation est belle, mais leur relation ne peut pas être tout à fait qualifiée de « vraie ». car cette relation est avant tout très
en vrac ;;
déteste le désordre, maniaque assumé, aime quand tout est bien rangé, son surnom à la caserne c’est monsieur proprex déteste aussi les choses inachevées, ne passe jamais à une autre tâche sans avoir terminée la précédente. par extension, ne supporte pas d’avoir des notifications non lues sur son téléphone - qu’elle que soit l’appli, faut pas qu’il reste de petit chiffre en rouge à l’écranx fou de rétro et de vintage en tout genre, que ça passe par les films, la musique, la déco ou même les fringues, sont truc c’est la récup’ et le seconde-main, pas matérialiste pour un sou il déteste acheter et adore faire du neuf avec du vieuxx il déteste les réseaux sociaux, traîne rarement sur son téléphone à part sur des sites d’actu car il adore se tenir au courant de beaucoup de choses, déteste se faire prendre en photo. typiquement, lui, dessus, c’est le mec qui tire la gueule quand tout le monde souritx ne passe pas un jour sans faire du sport, capable de sortir de chez lui vider sa poubelle en faisant des squatsx sans parler de culte du corps, aime s’entretenir et à l’aise avec son image ou même une quelconque notion de nudité ; il n’ira jamais se foutre à poil dans un lieu public, mais n’est pas gêné outre mesure par un peu d’impudeur. faut dire que les douches et les dortoirs collectifs à la caserne, ça aide pas à trop se cacherx bouffe comme quatre, picole comme cinq, court comme six et garde une pêche d’enferx c’est faux, les pompiers ne fument pas comme des pompiersx c’est vrai, le mythe du pompier existe, l’uniforme fait un effet de dingue. true fact ; il a déjà joué le jeu pour l’enterrement de vie de jeune fille de l’amie d’une amie à jouer les strip-teaser enflammé en tenue et avec sa lance. et non aucun accident n’est arrivéx adepte du vélo, le normal comme l’électrique, c’est devenu pour lui un véritable mode de vie, jamais vous ne le verrez arriver à la caserne en voiture. et pour les mauvaises langues qu’on sent arriver de loin : non, il n’habite pas à côtéx mauvais perdant, un poil compétiteur, n’hésite jamais à tricher dans les jeux, faut le garder à l’œilx accro à l’adrénaline et aux sensations fortes, dans sa vie de tous les jours mais surtout dans son métier ; jamais le dernier à se porter volontaire pour les missions périlleuses. s’il faut être suspendu dans le vide, monter haut à l’échelle, grimper sur un toit ou quoique ce soit de ce genre, c’est l’homme de la situation.
- Code:
<aa2>oliver stark</aa2> @"Adrian Cox"
- Code:
<aa2>pompier</aa2> @"Adrian Cox"
- Code:
<aa2>#117</aa2> @"Adrian Cox"
- Code:
<ac>@"Adrian Cox"</ac> <aa>31 ans, célibataire, hétéro(bi)sexuel, pompier.</aa>
Merci d'indiquer via un astérisque (*) vos comptes faciles.
- Code:
<ac>@"Felicia Duarte"</ac> @"Adrian Cox"
@Phoebe Keating ma petite abeille préférée merci pour ces compliments, tu sais que tout est réciproque
@Skylar Lund afghkskfhtyzd faut pas être aussi adorable en fait ?? je rejoins le club des fans de 911, et jespère aussi que les feels seront au rdv (même si j'en doute pas trop ) merciiiii ^^
@Skylar Lund afghkskfhtyzd faut pas être aussi adorable en fait ?? je rejoins le club des fans de 911, et jespère aussi que les feels seront au rdv (même si j'en doute pas trop ) merciiiii ^^
@Andrew Lewis
il m'veut quoi encore celui-là... :damn:
fiche express livrée sur un plateau d'argent parce que ce pl du feu de dieu m'a inspiré tant de feels et de drama en arrivage ???
trop hâte pour tout ce qu'on va se prévoir, merciii
il m'veut quoi encore celui-là... :damn:
fiche express livrée sur un plateau d'argent parce que ce pl du feu de dieu m'a inspiré tant de feels et de drama en arrivage ???
trop hâte pour tout ce qu'on va se prévoir, merciii
Cette jolie tête, pompier, toi en plus! WOW! J'adore!
Re-bienvenue parmi nous. Je viendrai forcément laisser une petite place pour un futur lien :)
En plus ils ont le même âge!
Tu n'aimerais pas rejoindre la bande de pote par hasard
Je le présente juste ici au cas ou
Re-bienvenue parmi nous. Je viendrai forcément laisser une petite place pour un futur lien :)
En plus ils ont le même âge!
Tu n'aimerais pas rejoindre la bande de pote par hasard
Je le présente juste ici au cas ou
cet accueil que vous réservez à chaque fois, c'est tellement chou omg
@Scott Keating avalance de kindness, j'étais pas prête merci pour tout, je vais me pencher avec attention sur la petite bande de potes oui, ça peut coller
@Aika Tsuji toujours cute dans tes messages, merci !!
@Wolf Blackthorn depuis le temps que je voulais en jouer un, je suis contente avec plaisir, je viendrais t'embêter pour un lien alors
@Leonora Morales merci à toi
@Alec Pearson mais ?? c'est trop gentil, merciiiii
@Scott Keating avalance de kindness, j'étais pas prête merci pour tout, je vais me pencher avec attention sur la petite bande de potes oui, ça peut coller
@Aika Tsuji toujours cute dans tes messages, merci !!
@Wolf Blackthorn depuis le temps que je voulais en jouer un, je suis contente avec plaisir, je viendrais t'embêter pour un lien alors
@Leonora Morales merci à toi
@Alec Pearson mais ?? c'est trop gentil, merciiiii
Ohhhhhhhhhhhh!!!!! Tu fais ma journée si tu rejoins la petite bande de potes du lycée qui jouait au foot. En ce moment je crois qu'il y a seulement mon petit Scott et peut-être @Logan Hepburn mais il était plus baseball que foot. :think:
Du coup Logan fait parti du groupe quand même parce que on l'aime bien. Il a une bouille trop adorable @Logan Hepburn (même s'il préférait le baseball) - après tout plus on est de fou, plus on s'amuse. (et je cesse de flooder par ici promis)
@Scott Keating @Logan Hepburn vous vendez du rêve tous les deux rien que pour ça, l'idée de la petite bande me tente bien
@Blake Martin merci
@Blake Martin merci
messages : 951
pseudo : borealis · she/her.
id card : raven, ethereal (av) · hauteadore (gifs).
multicomptes : aela & haven.
triggers : cruauté animale, violence infantile, viol, inceste, pédophilie.
warnings : consommation d’alcool, relation différence d’âge (10 ans).
présence : absente.
âge : twenty-six.
occupation : paramedic & part-time barmaid at the local tap house.
statut civil : falling, deeply for him.
orientation : bisexual.
habitation : 11, south oceanside.
pronom ig : she ‧ her.
infos rp : rythme variable (chill & relax) · fr/en · 300/1200 mots · couleur : #cc99cc.
oliver, il était tellement détestable dans into the badlands.
(re)bienvenuuuuue sur aiw.
encore une fois, tu nous fais une pépite.
(re)bienvenuuuuue sur aiw.
encore une fois, tu nous fais une pépite.
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we’re not star-crossed, but we can still wrap ourselves in the seams of a quilted universe that we didn’t stitch, bathe in the glow of the sun that doesn’t shine for us.
félicitations, te voilà validé·e
oliver en pompier, la base. fan du personnage et de ta plume. amuse-toi bien ici.
Te voilà maintenant validé·e et prêt·e à rentrer dans le jeu. Afin de t'y retrouver au mieux, tu trouveras ci-dessous les divers registres (tu peux également vérifier si tu y as bien été ajouté·e).
Mais également d'
Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter l'équipe administrative composée de oliver weiss, ilsa könig, lee ryung, noela barnes.
Nous te souhaitons un très bon jeu parmi nous.
@Andrew Lewis
@Majolica Vargas on va faire en sorte qu'il le soi moins sur aiw merciiiii
@Oliver Weiss merci beaucoup pour cette validation express
édit. je crois que c'est bon du coup pour la résa d'avatar, y a toujours marqué 06/05 si je ne m'abuse
@Majolica Vargas on va faire en sorte qu'il le soi moins sur aiw merciiiii
@Oliver Weiss merci beaucoup pour cette validation express
édit. je crois que c'est bon du coup pour la résa d'avatar, y a toujours marqué 06/05 si je ne m'abuse
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