something about your eyes (anton)
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

something about your eyes (anton)

STARS burning in the skies
Jung Ludmila
Jung Ludmila
messages : 582
pseudo : tsukinoos, elle
id card : moon gayoung. ava: tsukinos, gifs: keetika
multicomptes : josh, natty
sadie

à contacter : ludmila
triggers : tout type d'agression, sur humains ou animaux. grooming.
warnings : maladie, cancer du sein, polyamour
présence : ralentissement en mars. bientôt terminé.
something about your eyes (anton) 89b6c3bd25f00786006297676c1c8f89e9367600
âge : vingt-six ans
occupation : étudiante en art qui aide ses parents avec leur café pâtisserie
statut civil : dans la friendzone, elle préfère être seule. mais éperdument amoureuse de son meilleur ami, anton.
orientation : demisexuelle, hétéromantique.
habitation : nouvellement en colocation avec anton. #87 south oceanside
pronom ig : elle, she/her
disponibilités : fermé. (10/10 rps) ||

― · en cours · ―
anton
new year tc
checkmates plage
ellie
rama
aiden
yunseo
suki
checkmates parc attraction
aiden + isy + anton

infos rp : entre 500 et 1000 mots. troisième personne.
en vrac :
something about your eyes (anton) 342c56321d0cc56f1b7b9d232fef01c374b99449

⋅˚₊‧ ୨୧ ‧₊˚ ⋅

Pour se faire pardonner, elle cuisine des biscuits de toutes les formes et de toutes les sortes, si on ose critiquer sa cuisine, elle se met à râler. – Elle a mit exactement 2 ans pour réussir à reproduire le kimchi de sa mère, ce qui dit à quel point elle est perfectionniste mais aussi acharnée. – ESTP est son MBTI. – Elle est pescétarienne, ce qui signifie qu'elle s'abstient de se nourrir de viande, que ce soit bœuf, porc ou poulet, mais pas de poisson et/ou fruits de mers, aussi appelé pesco-végétarien. – Ses sports préférés sont le tennis et le patin sur glace. Elle fond devant toutes les sortes de fleurs. – Sa saison préféré est le printemps, même si aucune des quatre ne peut équivaloir celles de son pays natale avec la neige féérique et les arbres de cerisiers dont les feuilles roses remplissent les rues. – Sa fête préféré est Chuseok et Seollal, soit le Thanksgiving et Nouvel an coréens. Ses parents ont gardé la tradition de revêtir des Hanbok lors de ses fêtes, laissant le choix à leurs enfants. Luda le fait par passion pour ses origines. – Elle n'a jamais visité la Corée du Sud, mais souhaite le faire un jour. – Insupportable lorsqu'elle a faim, s'abaisse à faire de l'agyeo, soit des yeux suppliants, des cœurs avec ses doigts ou ses mains, ou une main sur son front simulant souffrir. – Le meilleur cadeau à lui faire est un objet fait main par un artiste ou une peinture. Tout ce qui est artistique. – Bien qu'elle ne tolère pas la caféine, elle prend au moins un americano tous les jours. – Manie fâcheuse de croquer dans la glace, tout ce qui est complètement gelée. – Adore faire des blagues idiotes, digne d'un père de famille. – Ne loupe aucun Poisson d'avril. – Elle avait pour habitude de se rendre près d'un puit à souhait pour y jeter une pièce et faire le vœux que son meilleur ami tombe amoureux d'elle. La ville a décidé de retirer le puit pour construire un immeuble. Elle prend cet événement comme étant la raison de leur amitié platonique.

   
 
There's something about your eyes tell me these feelings are mutual
'Cause feelings are so hard to fight

∙ feat. @Anton Lowe
tw: maladie, alcool

[outfit] -- La soirée passée en compagnie de son amie lui a fait le plus grand bien, pensant enfin à autre chose que les études, ou ce que la maladie l'empêche d'effectuer au quotidien. Une sorte d'au revoir temporaire à tout ce qui est alcool et fête. La Jung fin prête à rentrer, marche à pas feutré dans le couloir menant à l'appartement, ne souhaitant pas réveiller ses aïeux ou les voisins par sa maladresse. Les dents serrés, elle ferme un oeil en entendant un couinement. Doucement, un pas à la fois. Sa clé fait un boucan infernale dans la serrure, ses yeux se plissant de peur lorsqu'elle ouvre la porte. La lumière feutrée lui permet de voir son meilleur ami les yeux bien ouverts dans le sofa qu'il n'a pas encore mit en position lit. Sa subtilité n'aura servit à rien au final. Elle pousse un soupir, sachant que l'interrogatoire allait commencer. Ce trait protecteur qu'il a toujours eu envers elle et qui s'est multiplié depuis l'annonce de cette fichue maladie qui l'empêche de vivre comme tous les autres. Que ce soit pour une futilité, il est toujours prêt à l'assaut.
J'ai pas trop bu, promis.” À peine plausible, vu comment elle se retient de s'esclaffer en entendant le son de sa propre voix. Elle balance ses talons dans la pièce, grogne en avançant jusqu'à lui, se jetant à ses pieds, exténuée. “Ce que tu peux êtres long à la détente. Faut savoir relaxer.” Luda regarde droit devant elle, l'alcool lui donnant le courage qui lui manquait depuis plusieurs semaines. Abordant des sujets qui auraient dû rester enterrés. “L'autre fois à la plage, j'ai rien dit. Je sais que tu fais semblant de pas te souvenir de ce qui s'est passé.” À nouveau, elle pousse un soupir, se retourne pour lui faire face, levant un doigt accusateur vers lui. “C'est pas bien! Tu me fuis comme la peste. T'es pas gentil.” Elle fait la moue, sa tête venant se poser sur les genoux d'Anton, sa main se posant sur sa cuisse. La vérité sur le bout des lèvres, elle doit se retenir de tout déballer, d'avouer ce qu'elle cache depuis trop longtemps pour qu'un peu d'alcool vienne rompre cette promesse secrète qu'elle s'est fait à elle même. La confiance gagnée, il n'est pas au bout de ses surprises.
MODO burning in the skies
Anton Lowe
Anton Lowe
messages : 1533
pseudo : rollercoaster
id card : cha eun-woo (true love)
multicomptes : jungwoo (kim young kwang) + soobin (lee dohyun) + mingi (wi ha joon) + franklin (nam joo-hyuk) + eden (seo in guk) + merlin (byeon woo seok)
triggers : maltraitance animale
warnings : adoption, harcèlement
something about your eyes (anton) Ac3f0a106958bdfa595953860a056eefedfca1a2
âge : twenty-seven yo.
occupation : des études en obstétrique qui s'éternisent, il raconte que les stages sont rémunérés pour taire son job au sein d'un pub miteux
statut civil : adepte de la douceur, non de la bestialité, plutôt seul qu'accompagné
orientation : pansexuel
habitation : un mini deux pièces au #87 south oceanside
pronom ig : he/him
infos rp : 350-800 mots environ, troisième personne, ok pour l'anglais dans les dialogues, les sms et les réseaux sociaux
   
 
There's something about your eyes tell me these feelings are mutual
'Cause feelings are so hard to fight

∙ feat. @Jung Ludmila
tw: maladie, alcool, hot léger

[outfit] -- L'air contrarié, l'étudiant échangeait quelques messages avec celle qu'il considérait comme coupable de cette petite escapade nocturne improvisée, la téméraire Suki qui avait certainement entraîné Luda dans ses combines, s'assurant que sa meilleure amie n'allait pas tarder à rentrer, en toute sécurité. S'il avait préféré raconter qu'il partait se coucher, faisant mine qu'il n'était pas dérangé par l'absence de la brunette à son domicile, la réalité était toute autre. Anton s'était contenté de prendre sa douche, refusant de s'alimenter, de se mettre au lit ou même de se divertir en zieutant la télé. Il n'avait fait que guetter son téléphone en baillant, calculant le temps de route entre le club et l'appartement afin d'être certain que les demoiselles n'avaient pas fait de mauvaises rencontres. Aussi, lorsque la porte d'entrée se déverrouilla dans un sacré boucan, le jeune homme se redressa sur le sofa, soudainement bien éveillé.
"Te moques pas de moi, tu sens le mojito d'ici, constata-t-il légèrement agacé. T'es vraiment sorti fringuée comme ça ? S'enquit-il en observant la petite robe qui mettait la jeune femme en valeur. T'as dû cailler, c'est pas très sérieux."
Peu motivé à lui faire la leçon tandis qu'elle gloussait, il opta pour une discussion plus sérieuse au petit matin, bien décidé à lui rappeler les dangers de ces comportements à risque dans sa délicate situation. Si le futur médecin en lui ne voyait que les risques, l'ami - qu'il s'efforçait d'être - était heureux qu'elle ait profité de sa vie de jeune femme, mais, au fond, l'homme ne pouvait qu'éprouver une petite pointe de jalousie à l'idée qu'elle se soit trémoussée en son absence.
"De quoi tu parles là, Lulu, tenta-t-il en sentant tout à coup sa gorge se nouer lorsqu'elle aborda le sujet de cette étrange nuit sur la plage. T'as trop bu, laisse tomber... On devrait se coucher, il est tard."
Le crâne de la jeune femme sur ses genoux, Anton ne pouvait plus bouger, oubliant instantanément sa tentative de fuite au prétexte de devoir se brosser les dents ou de prendre un verre d'eau. Il se contenta alors de caresser la chevelure de celle qui l'accusait, espérant que les langues ne se délient pas davantage.
"C'était pas mon intention, avoua-t-il en espérant noyer le poisson. Tu me trouves distant ? C'est juste le boulot, je t'assure."
Face à sa piètre prestation de menteur, Anton se mordit la lèvre, croisant les doigts pour que la Jung - qui lisait généralement en lui comme dans un livre ouvert - ne profite pas de l'occasion pour creuser le sujet.
Cette dernière disait pourtant vrai, depuis ce vendredi soir, tout était devenu étonnamment gênant entre les deux nouveaux colocataires : les échanges, les confidences, et même les marques d'affection. Parce qu'à chaque fois que Luda tentait désormais de s'approcher, Anton ne pouvait que se remémorer la plage et cet instant où allongé sur ses jambes, il s'était lui-même surpris à embrasser l'intérieur de ses cuisses, fortement alcoolisé, avant de finalement s'assoupir, le nez contre la petite culotte de sa meilleure amie.
STARS burning in the skies
Jung Ludmila
Jung Ludmila
messages : 582
pseudo : tsukinoos, elle
id card : moon gayoung. ava: tsukinos, gifs: keetika
multicomptes : josh, natty
sadie

à contacter : ludmila
triggers : tout type d'agression, sur humains ou animaux. grooming.
warnings : maladie, cancer du sein, polyamour
présence : ralentissement en mars. bientôt terminé.
something about your eyes (anton) 89b6c3bd25f00786006297676c1c8f89e9367600
âge : vingt-six ans
occupation : étudiante en art qui aide ses parents avec leur café pâtisserie
statut civil : dans la friendzone, elle préfère être seule. mais éperdument amoureuse de son meilleur ami, anton.
orientation : demisexuelle, hétéromantique.
habitation : nouvellement en colocation avec anton. #87 south oceanside
pronom ig : elle, she/her
disponibilités : fermé. (10/10 rps) ||

― · en cours · ―
anton
new year tc
checkmates plage
ellie
rama
aiden
yunseo
suki
checkmates parc attraction
aiden + isy + anton

infos rp : entre 500 et 1000 mots. troisième personne.
en vrac :
something about your eyes (anton) 342c56321d0cc56f1b7b9d232fef01c374b99449

⋅˚₊‧ ୨୧ ‧₊˚ ⋅

Pour se faire pardonner, elle cuisine des biscuits de toutes les formes et de toutes les sortes, si on ose critiquer sa cuisine, elle se met à râler. – Elle a mit exactement 2 ans pour réussir à reproduire le kimchi de sa mère, ce qui dit à quel point elle est perfectionniste mais aussi acharnée. – ESTP est son MBTI. – Elle est pescétarienne, ce qui signifie qu'elle s'abstient de se nourrir de viande, que ce soit bœuf, porc ou poulet, mais pas de poisson et/ou fruits de mers, aussi appelé pesco-végétarien. – Ses sports préférés sont le tennis et le patin sur glace. Elle fond devant toutes les sortes de fleurs. – Sa saison préféré est le printemps, même si aucune des quatre ne peut équivaloir celles de son pays natale avec la neige féérique et les arbres de cerisiers dont les feuilles roses remplissent les rues. – Sa fête préféré est Chuseok et Seollal, soit le Thanksgiving et Nouvel an coréens. Ses parents ont gardé la tradition de revêtir des Hanbok lors de ses fêtes, laissant le choix à leurs enfants. Luda le fait par passion pour ses origines. – Elle n'a jamais visité la Corée du Sud, mais souhaite le faire un jour. – Insupportable lorsqu'elle a faim, s'abaisse à faire de l'agyeo, soit des yeux suppliants, des cœurs avec ses doigts ou ses mains, ou une main sur son front simulant souffrir. – Le meilleur cadeau à lui faire est un objet fait main par un artiste ou une peinture. Tout ce qui est artistique. – Bien qu'elle ne tolère pas la caféine, elle prend au moins un americano tous les jours. – Manie fâcheuse de croquer dans la glace, tout ce qui est complètement gelée. – Adore faire des blagues idiotes, digne d'un père de famille. – Ne loupe aucun Poisson d'avril. – Elle avait pour habitude de se rendre près d'un puit à souhait pour y jeter une pièce et faire le vœux que son meilleur ami tombe amoureux d'elle. La ville a décidé de retirer le puit pour construire un immeuble. Elle prend cet événement comme étant la raison de leur amitié platonique.

   
 
There's something about your eyes tell me these feelings are mutual
'Cause feelings are so hard to fight

∙ feat. @Anton Lowe
tw: maladie, alcool, sexualité

[outfit] -- Elle doit avoué que le poison de prédilection de son amie est plus fort qu'elle aurait cru. Habitué à boire des mélanges simples, fruités, elle s'est vu rapidement prendre un taux d'alcool dans le sang, se propageant à travers son corps pour laisser Luda légèrement bourrée. Les minutes passent, puis les heures, sans qu'elle ne démorde de son envie de s'éclater. Assez pour qu'elle soit dans un état véritablement second lorsqu'elle entre à l'appartement, montrant sa maladresse légendaire lorsque alcoolisée. Pourquoi ne dort il pas, celui-là? Elle roule les yeux encore, car c'est la seule manière de montrer son propre mécontentement aux agissements de son meilleur ami, beaucoup trop protecteur avec elle. Comme elle se doutait, il n'apprécie guerre sa tenue, ce qui provoque un froncement de sourcils chez elle. L'effort qu'elle a mise est réduite à néant devant ce jaloux protecteur.
Je suis sorti, tu croyais que j'allais me la jouer Sainte-Ludmila?” Un pouffement de rire faux, légèrement vexée par ce que lui dit son ami. Même pas qu'il remarque combien elle s'est fait belle, toute l'attention qu'elle a mise derrière de simples vêtements. Elle est bien assez grande pour prendre soin d'elle. Ce n'est pas quelques verres qui changerait sa condition ou qui l'améliorerait. Certes, une petite imprudence, un égarement, parmi les mois de modération aigue, ne devrait pas compter comme telle. “Tu pourrais au moins me dire que je suis canon vu comment tu louches depuis que je suis rentrée.
Elle en avait marre de devoir tout garder secret, faire comme s'il ne se souvenait vraiment pas de cette soirée à la plage. Luda n'est pas stupide au point de croire à tous les mots qui sortent de sa bouche, sachant très bien qu'il nie pour ne pas avoir la conversation dérangeante où il devrait avouer. Le courage liquide lui donne une impulsivité à faire trembler de peur ceux qui osent poser le regard sur elle, qui détiennent une raison pour elle de déclencher une vérité telle une missive atomique. Sa tête contre ses genoux, ses mains se baladent contre sa jambe, cherchant à obtenir le moindre contact pour s'assurer qu'il soit réellement présent.
Bien sûr que je suis bourrée, comme toi à la plage, pas vrai?” Son corps se met vers l'avant lâchant son emprise sur l'homme, réfléchissant à ce moment rien que tous les deux, où elle a cru que son coeur la lâcherait dû à l'emballement de la situation. Parce qu'elle a toujours pensé être celle qui devrait faire le premier pas, Luda, mais cela n'a pas été le cas, Anton le premier à établir un contact. Elle peut toujours sentir ses lèvres contre son épiderme, les frissons la parcourant sans trop savoir comment réagir, une tristesse lorsqu'il a nié tout acte. Mais elle voit plus clair dorénavant, elle le sait qu'il ment, qu'il tente de préserver leur amitié, ou sa fierté masculine. “J'ai pas envie de dormir Nini, je suis pas fatiguée.” Sa tête se baisse pour regarder ses mains, sa tête se posant de nouveau contre ses jambes, cherchant de nouveau ce contact. Incertaine, insécure, elle se demande bien trop souvent s'il pourrait disparaître d'un claquement de doigts.
Ouais, le boulot, les études, ce mec avec sa moto.” Ludmila se met à rire, son culot grimpant en flèche, bien décidée à ne plus faire semblant d'être aveugle, de ne pas remarquer qu'il passe beaucoup de son temps au téléphone cet homme qu'elle lui a conseillé de donner une chance, sans se douter une seule seconde qu'il prendrait ses mots à la lettre, négligeant parfois leur amitié, comme il y a plusieurs semaines. “Avant que t'apprennes pour le cancer, c'était silence radio. Depuis, tu es là, mais tout est bizarre, c'est plus pareil.” Elle rigole pour mieux faire passer la confession qui manque de se bloquer dans sa gorge, coincé par les émotions et l'honnêteté un peu trop crue. “Mais je t'en veux pas. Je pourrais jamais t'en vouloir. Tu es mon meilleur ami. Mon Nini.” Le surnom qui revient, celui qu'elle n'a pas utilisé depuis ce qui semble être des années, se remémorant la journée où l'adolescente avait cherché sans fin un pseudonyme pour son meilleur ami qui puisse bien le décrire et qui soit mignon. Nini est né malencontreusement lorsque Anton avait répété les mots "non" à plusieurs reprises, montrant déjà son caractère coincé à l'époque. Toujours négatif, que nenni. Malformation du mot et de l'expression se transformant en Nini.
Tu serais prêt à te faire tester pour le cancer de la prostate pour me faire plaisir?” Parce qu'elle pense à son frère qui se serait volontiers sacrifié dans sa fierté masculine pour qu'elle se sente un peu plus à l'aise. “Je pourrais tenter de te remémorer la soirée à la plage, tiens.” Ses pensés se bousculent trop vite pour qu'elle prenne le temps de les analyser avant que ses gestes s'exécutent. Luda se retrouve assise sur lui, ses mains parcourant son torse de nouveau, comme lorsqu'elle avait masser ses muscles endolories par l'épiderme. Le contact chaud est plaisant, lui somme de poursuivre sa lancée. Ses iris se posent sur ses lèvres puis sur son cou, sa tête se posant contre le creux de son épaule, ses lippes embrassant la chair qu'elle y trouve. Une faim se développe, attire son attention pour encore plus de contact. Elle se débarrasse de sa veste qui la gardait au chaud, prenant son aise. Réalisant son plan initiale, sa grippe tire son pantalon vers le bas afin de trouver cette zone qu'il avait exploré sur son corps à la plage, sa main caressant la peau, ses lèvres décidant de se mettre à la cause.
Ose me dire que tu ne t'en rappelle pas maintenant.” Peu importe ce qu'il dirait, impossible de le nier, elle ne le croirait absolument pas. “Je peux m'endormir comme tu l'as fais aussi. C'était très frustrant.” Une moue qui apparait sur ses lèvres suivi d'un rictus, l'alcool aidant Luda a obtenir la détermination qu'elle avait besoin pour franchir cette étape à nouveau et affronter la vérité en face.
MODO burning in the skies
Anton Lowe
Anton Lowe
messages : 1533
pseudo : rollercoaster
id card : cha eun-woo (true love)
multicomptes : jungwoo (kim young kwang) + soobin (lee dohyun) + mingi (wi ha joon) + franklin (nam joo-hyuk) + eden (seo in guk) + merlin (byeon woo seok)
triggers : maltraitance animale
warnings : adoption, harcèlement
something about your eyes (anton) Ac3f0a106958bdfa595953860a056eefedfca1a2
âge : twenty-seven yo.
occupation : des études en obstétrique qui s'éternisent, il raconte que les stages sont rémunérés pour taire son job au sein d'un pub miteux
statut civil : adepte de la douceur, non de la bestialité, plutôt seul qu'accompagné
orientation : pansexuel
habitation : un mini deux pièces au #87 south oceanside
pronom ig : he/him
infos rp : 350-800 mots environ, troisième personne, ok pour l'anglais dans les dialogues, les sms et les réseaux sociaux
   
 
There's something about your eyes tell me these feelings are mutual
'Cause feelings are so hard to fight

∙ feat. @Jung Ludmila
tw: alcool, sexualité

En l’observant rouler des yeux, le jeune homme devina qu’il agaçait sa nouvelle colocataire par son comportement paternaliste - une crainte qu’il avait fondé lors de leur dernier échange de sms en pensant lire entre les lignes, persuadé qu’il lui gâchait presque la vie. Plus les jours passaient, et plus il se demandait si l’idée de cette cohabitation était au goût de son amie, redoutant d’être le seul à profiter d’avantages, là où Luda ne récoltait qu’une supervision non désirée. Et à ce propos, Anton avait préféré rester silencieux, refusant de la blesser par d’éventuelles paroles maladroites, là où il ne souhaitait que connaître sa vision des choses.
Non bien sûr, tu te fringues comme tu veux, assura-t-il pour se rattraper. Et t’es très jolie, j’ai juste pas pensé à te le dire.
Jolie, mignonne, lumineuse, charmante, c’était toujours le vocabulaire qu’il utilisait, reléguant la femme au statut de protégée, de douce créature que même lui ne pouvait oser toucher. Pourtant, d’autres mots parsemaient son esprit depuis quelques mois, des termes qu’il refusait d’utiliser, incapable d’avouer qu’elle était bien plus. Ce soir, en effet, la Jung n’était pas juste belle à regarder, elle est était enivrante, séduisante, désirable, mais Anton s’empêchait de porter tout commentaire sur cette chevelure légèrement en bataille, cette petite robe affriolante et cette aura affreusement sexy. Et alors qu’elle tentait de creuser, l’alcool lui retirant totalement son habituel filtre, lui se contentait de poursuivre ses délicates caresses, toujours aussi fraternel et respectueux, sans jamais franchir la limite - parce que ça avait toujours été ainsi entre eux et que cela devait le rester, parce qu’à eux deux, ils pouvaient que l’amitié homme-femme pouvait fonctionner - du moins, jusqu’à cette énième soirée sur la plage. Événement passé sous silence, l’étudiant n’avait rien trouvé de mieux que de feindre l’amnésie pour s’en sortir, incapable d’avouer qu’il s’était réveillé, le lendemain, avec encore en tête, l’odeur de la crème corporelle de Luda ainsi que la sensation des plaids, tirés sur son crâne pour camoufler ce qu’il faisait entre les cuisses de la brunette.
On peut regarder une série si t’as pas envie de dormir, proposa-t-il en espérant la lancer sur un autre sujet, la gorge serrée. Un dessin animé ?"
À la mention de Wonbin, cette nouvelle rencontre qui le perturbait totalement, le grand brun se crispa. S’il parlait de lui d’un ton sec et ne relatait que ses nombreux défauts, refusant de s’avouer charmé, sa meilleure amie semblait, elle, avoir vu clair dans son jeu. Avalant difficilement sa salive, il n’osa pas répliquer, conscient que cette nouvelle connaissance ne lui ressemblait pas le moins du monde et que cela éveillait des sensations effrayantes. Ce comportement déplacé, il le devait certainement à cet homme d’ailleurs, rejetant totalement la faute sur cet insupportable motard qui avait éveillé chez lui, des pulsions enfouies.
Qu’est-ce que tu racontes, soupira-t-il en l’écoutant s’épancher sur leur relation devenue si étrange, incapable de se justifier tant il savait qu’elle disait vrai. J’me suis déjà excusé pour l’ami pitoyable que j’étais devenu… Maintenant, j’essaye de faire de mon mieux, d’être présent pour toi, ajouta-t-il en déposant un baiser dans sa chevelure, dépassé par le fil des pensées de la jeune artiste qui passait d’un sujet à un autre. La prostate ? Hm hm j’imagine, oui.
Se croyant tiré d’affaire, Anton resta bouché bée lorsque Luda s’installa sur lui, au prétexte de raviver sa mémoire, se retrouvant quasiment le nez dans son charmant décolleté. Il la laissa se nicher dans son cou et embrasser sa peau, crispé, n’osant ni la repousser, ni la sermonner. Maladroit, il refusa de poser ses mains sur la jeune femme, conscient que tout était devenu un terrain miné et qu’il ne pouvait plus l’effleurer sans être un danger. Tel un pantin, il se contenta donc d’observer, remarquant que sa robe ajustée ne pouvait s’empêcher de glisser et de remonter dans cette posture, dévoilant davantage de ses cuisses. Ainsi positionné, il ne pouvait que craindre que son entrejambe ne frôle l’intimité de Luda, conscient que ces mouvements éveillaient déjà une érection qu’il soupçonnait d’être perceptible.
Merde Ludmila, tu fais quoi là ? Gronda-t-il une première fois, sans réussir à l’empêcher d’onduler, féline et déterminée, usant de ses mains, puis de sa bouche pour lui rendre la pareille. Arrête ! L’obligea-t-il finalement en la saisissant par les épaules pour la secouer légèrement.”
L’air pincé, Anton se redressa et remonta son jogging, le cœur battant la chamade.
Évidemment que je m’en souviens, avoua-t-il dans un soupir. Je sais toujours pas ce qui m’a pris, mais j’ai pensé que c’était plus correct de pas en reparler. Je voulais pas te mettre mal à l’aise, expliqua-t-il en peinant visiblement à organiser le fil de ses idées. Mais c’était pas… Une invitation à quoi que ce soit.
Regrettant immédiatement ses mots, Anton s’efforça de conserver un regard noir pour appuyer ses propos, espérant que ces paroles assassines suffiraient à éteindre le feu qui animait sa meilleure amie. Un simple petit écart ne pouvait pas venir gâcher leur lien, il le refusait.
T’es ma Lulu, j’suis ton Nini, et c’est tout, articula-t-il en prenant soin de détacher chaque syllabe. Et ça ne changera jamais…
Une affirmation qui sonnait presque comme une question à laquelle il n’avait pas de réponse - autant effrayée qu’elle s’éloigne dans les bras d’un autre, qu’à l’idée de voir leur lien évoluer d’une autre façon.
Je suis désolé, ça ne se reproduira plus.
Si le futur médecin la priait d’accepter l’évidence, son corps, lui, ne semblait pas collaborer et plus il la repoussait par ses mots, plus son corps s’approchait. Pour la première fois de sa vie, Anton ne posait plus un regard innocent sur Luda : elle n’était plus la gamine à qui donner la main, ni la confidente qu’il fallait consoler de son chagrin, et encore moins la cohabitante bonne cuisinière. Luda était une tentation, Luda était une poitrine qu’il souhaitait suçoter, des fesses qu’il voulait saisir, et surtout, des lèvres auxquelles il désirait arracher un baiser.
Contenu sponsorisé