We're the middle children of history, man.

Mer 11 Oct - 23:04

「 We're the middle children of history, man. 」
∙ with @Ari Leóz

tw: none, so far.
Oceanside, la cité qui ne dort jamais, devient le théâtre d'un événement aussi inattendu que joyeux : l'arrivée de l'inimitable Archie chez Ari.

En proie à l'inquiétude après le récent scandale qui a secoué la ville, Archie, ce personnage haut en couleur, a décidé de rendre visite à son ami Ari, mystérieusement disparu des radars. Après un échange de SMS empreints de préoccupations et de dramaturgie, Archie s'est lancé dans une mission : s'assurer que son ami va bien, malgré le silence radio.

Archie se tient maintenant devant la porte d'Ari, une trottinette électrique fraîchement acquise à ses côtés, le carrosse étant, semble-t-il, momentanément hors service. Il presse la sonnette, puis la presse à nouveau, ajoutant ainsi une touche de théâtralité à cette visite surprise. La porte s'ouvre enfin, dévoilant le visage d'Ari. Avec une entrée digne de noblesse, Archie s'exclame, "Ton prince est arrivé !", mimant même le geste de retirer un chapeau invisible. Il présente ensuite sa monture du jour, la trottinette électrique, avec l'assurance d'un véritable maître de cérémonie. "J'ai décidé de faire une descente surprise. J'ai même pensé à apporter des fleurs, mais j'ai eu un petit moment de distraction, tu sais comment c'est," explique Archie sans mentionner ses allergies au pollen, un clin d'œil complice et un sourire espiègle sur les lèvres. "J'ai quand même le droit d'entrer ?" L'air taquin dans le regard, il attend la réponse, prêt à déployer tout son arsenal de convivialité.

Restez à l'écoute pour les prochains épisodes de cette rencontre hilarante dans les rues animées d'Oceanside !

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golden

Time keeps movin' on, friends they turn away. I keep movin' on but I never found out why I keep pushing so hard the dream, I keep tryin' to make it right.

Ven 20 Oct - 9:15

we're the middle children of history, man
「 feat. @Archie Winstead ; octobre 2023 」

tw: aucun

Allongé dans l'canapé du salon, un bouquin ouvert entre les mains, tu relis, pour c'qui doit être la sixième fois maintenant, la même satanée phrase. D'un grognement agacé, tu lâches le livre sur ton ventre, excédé. C'est mort, tu vas jamais y arriver. Impossible de te distraire alors que les mots de l'agent tournent en boucle dans ta tête. La promotion du dernier film, pas encore sorti sur les écrans, est en cours, et on t'a gentiment fait comprendre qu’il valait mieux pour toi (mais t'es certain qu'il parlait surtout de la promotion) ne pas y participer. Le temps que ça se calme, t'a répété Mickael. Sauf que ça va se calmer quand, au juste ? Tu plonges la main dans la poche de ton jean, y sortant le mobile. Tu t'étais juré de ne pas retourner sur les réseaux, mais les pulsions sont fortes, seul avec tes démons vu qu'Elrik est encore au travail. Tu ouvres instagram, ignores les notifications pour aller sur sa page. Beverley a posté une dernière photo d'elle et son mari, "plus soudé que jamais" raconte-t-elle, et t'as envie de gerber. Comment as-tu pu t'laisser embobiner, tu n'arrives pas à te le pardonner. Ton doigt glisse sur l'écran pour faire apparaître les messages. Les commentaires sur sa photo sont majoritairement positifs, mais t'en repères quelques-uns moqueurs et te réjouit intérieurement de voir que tout le monde n'est pas dupe. C'est pourtant pas assez. Tu soupires, bascules sur la page d'Elrik cette fois. Mais avant que tu puisses te perdre dans ses beaux yeux bleus, la sonnette te fait sursauter. Le visage tourné vers la porte, tu te demandes si tu peux faire semblant d'être absent. Mais ça insiste. Lourdement. Tu te lèves pour aller vers la porte. Une fois devant, tu ouvres timidement, prêt à la fermer brusquement si besoin, ne laissant visible que la moitié de ton visage. Sauf que ce n'est pas un journaliste qui se tient devant toi. Ouvrant la porte en grand, l'regard écarquillé et la bouche entrouverte, tu t'exclames. – Archie ! C'est impossible de ne pas sourire en le voyant, impossible de ne pas rire à son entrée abracadabrante. L'regard dévie sur la trottinette, t'retenant de te facepalm à la vue de la machine. Le con, il est vraiment venu jusqu'ici sur ce truc ? – Heu oui, bien sûr, vas-y rentre ! Que tu invites après un bref moment d'hésitation, t'écartant de la porte pour le laisser entrer. – Je suis désolé de pas avoir répondu à ton dernier message… En ce moment ton humeur fluctue, et y a des fois où tu te renfermes tellement que même une massue n'arriverait pas à briser les murs que tu construis tout autour. Et il doit bien voir à ton apparence fatiguée et négligée que t'es pas au meilleur de ta forme. Tu baisses les yeux, gêné qu'il te voit comme ça. Tu te racles la gorge, avant de te diriger vers la cuisine américaine, ouverte sur le salon. – Tu veux boire quelque chose ? Au fait, elle sort d'où cette trottinette ? Une nouvelle lubie ?
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Mar 7 Nov - 22:48

「 We're the middle children of history, man. 」
∙ with @Ari Leóz

tw: none, so far.
Archie ne peut s'empêcher de sourire en voyant Ari ouvrir la porte, l'expression surprise sur son visage valait son pesant d'or. Et bien sûr, la première réaction d'Archie a été de soigner son entrée, théâtrale comme lui. Une entrée parfaite ça se soigne, on ne le dira jamais assez. Il ne perd pas de temps et demande à entrer, parce qu’il a un plan Archie, un plan peu développé et qui n’annonce pas une carrière dans le kidnapping professionnel mais un plan tout de même. Une fois à l’intérieur, Ari lui présente des excuses pour le silence radio et Archie, toujours en mode décontracté, lui adresse un sourire compatissant. « T'inquiète pas va, je sais que ta vie est un cirque en ce moment » absence de délicatesse ou maladresse évidente, il parait que ça fait son charme… parfois. « Du coup je suis venu à toi, j’aurais peut-être dû prendre à bouffer à la place des fleurs ? » manière détournée pour suggérer qu’il doit sauter quelques repas en ce moment… cette fois, c’est fait avec finesse, presque. On applaudit l’effort.

Mais autant Ari ne semble qu’à moitié surprise par sa présence aujourd’hui, autant sa monture flambant neuve semble le rendre curieux. « Ah, cette merveille de technologie ? C'est ma nouvelle monture du quotidien. Fini les bus et les cartes que j'oublie tout le temps. L'autonomie, mon ami, c'est la clé ! » Archie répond sur un ton pompeux, entrant avec enthousiasme non sans présenter la bête qu’il lui a coûté près de mille deux cent dollars alors que ça en valait moins de la moitié, raison pour laquelle on le laissait rarement aller acheter des trucs. Le pigeon parfait. Bien sûr il s’épand sur les options disponibles, sourire fier aux lèvres comme un gamin qui a construit son premier château de sable tout seul -ce qu’il n’a jamais fait de sa vie mais passons. « Et puis une vie sans lubie, c’est comme un film sans pop-corn salé » il se redresse, fixe son regard dans le sien « avant que tu te lances, les popcorns salés sont supérieurs aux sucrés » son visage se peint d’un air sérieux, un de ceux que l’on prête à des professeurs émérites sur le point de partager une théorie qui va révolutionner le monde. « Et pour la boisson, si tu as du coca, je suis partant ! Oh, et devine quoi ? J'ai arrêté de boire depuis... hier ! » annonce Archie avec un clin d'œil complice. Nous sommes tous curieux de savoir jusqu’à quand une telle résolution va être tenue. Archie change subitement de sujet avec son habituel manque de filtre. « Dis-moi, Ari, depuis combien de temps t'as pas vu la lumière du jour ? Et tu sais, ma trottinette est prête à conquérir le monde extérieur. Ça te dirait un tour ? » Le super méga génial plan est lancé.

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Ari Leóz aime ce message

Dim 10 Déc - 10:25

we're the middle children of history, man
「 feat. @Archie Winstead ; octobre 2023 」

tw: aucun

L'énergie débordante, un tact quasi inexistant, du Archie tout craché, mais c'est ce que tu apprécies le plus chez le compositeur. Il n'y a pas de faux-semblants, pas de non-dits, et même si toute vérité n'est pas toujours plaisante à entendre, qu'il faut parfois un moment à la digérer, tu aimes la sincérité dont il fait preuve en toutes circonstances. Tu sais qu'Archie ne cherchera pas à te faire du mal comme d'autres avant lui, qu'il ne te mentira pas, et c'est ce qui fait de lui un ami rare, notamment dans ce milieu où tout est souvent superficiel et hypocrisie permanente. T'as l'impression de ne pas avoir été à la hauteur cependant, et tu t'en veux d'avoir négligé l'une des rares personnes génuines, en dehors de ta famille, à se soucier vraiment de toi. Un rire bref vient secouer ton poitrail sur ce qui résume bien ta vie en ce moment, te détachant de la porte pour l'accueillir à l'intérieur de la villa d'Elrik, l'emmenant vers la cuisine ouverte sur le salon. Tu grimaces légèrement au second commentaire mais ne relève pas, esquissant un faible sourire. Profitant de l'excuse de la nouvelle acquisition flambante neuve d'Archie pour te pencher en avant, tu observes la bête. T'es plus amusé de le voir s'extasier comme un gosse sur son nouveau jouet qu'impressionner par l'achat, mais plus rien ne t'étonnes sur les extravagances de ton ami, et tu ris à sa métaphore et son air un peu trop sérieux contenu du sujet. — Je ne jugerai pas tes goûts douteux. Ou pas. Au moins tu sais que dans une salle de cinéma, aucun ne viendra chiper dans le paquet de l'autre. — Faut pas un permis pour conduire ce truc ? Tu imagines un peu trop bien sans doute ton ami sur la route, et le danger ambulant qu'il doit être. T'espères qu'il reste sobre au moins. — Laisse donc ta nouvelle monture à l'entrée, je vais voir si on a du coca, que tu ajoutes d'un ton amusé, te dirigeant vers le réfrigérateur. Tu roules des yeux, claquant la porte du frigo avec dans chaque main, une bouteille de coca et du jus d'ananas. — Félicitation ? Tu lui donnes pas plus de la soirée pour replonger dans ses vieux travers. Lui servant un grand verre avant de te verser du jus d'ananas, tu t'installes sur l'îlot central. D'un geste de la main, tu l'invites à te rejoindre sur les tabourets hauts. Tu savais déjà avant même qu'il pose la question, qu'il n'avait pas fait tout ce chemin simplement pour prendre des nouvelles. Ton rire sonne légèrement faux, buvant une gorgée avant de reposer ton verre. — C'est gentil... Mais je n'ai pas trop envie de sortir aujourd'hui. Aujourd'hui. Demain. Ou même toute la semaine. Pour le moment t'es très bien terré dans ton coin, à l'abri du monde extérieur. Même si ça veut dire voir Elrik tous les jours, et ses sourires qui affolent et transpercent ton cœur tout à la fois. Ne voulant pas blesser ton ami, tu fais une contre-proposition, espérant faire oublier à l'ami borné ses plans initiaux. — Mais si tu veux tu peux passer la soirée ici ? On peut mater un film, critiquer les musiques d’Harrisson… Tu feints un enthousiasme que tu ne ressens pas vraiment, pas parce que tu ne veux pas passer du temps avec Archie, mais plus parce que tu ne veux pas confirmer ce qu'il soupçonne déjà. — Sinon on pensait revoir Beetlejuice, paraît que le 2 sort l'année prochaine. Dommage que j'étais déjà engagé ailleurs, j'aurai bien aimé un rôle dans celui-ci ! Ton portable vibre sur le comptoir, et tu l'ouvres pour lire le dernier message envoyé par Elrik, t'informant qu'il rentrerait tard ce soir et qu'il valait mieux reporter. Tu soupires, une ombre sur le visage. — Je ne pense pas que ça dérangera Elrik que tu restes, il n'est pas prêt de rentrer de toute façon… Je peux commander du popcorn salé. Ça te dit?icons pinterest

Henry Yung aime ce message