we can't be friends (ari)
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we can't be friends (ari)

MODO wildest dreams
Eden Vander
Eden Vander
messages : 336
pseudo : rollercoaster
id card : seo in guk
(unravelgraph)

multicomptes : anton (cha eun woo) + jungwoo (kim young kwang) + soobin (lee dohyun) + mingi (wi ha joon) + franklin (nam joo-hyuk)
triggers : maltraitance animale
warnings : relation libre, fake dating, manipulation
we can't be friends (ari) 259
âge : thirty-seven yo.
occupation : interprète à la voix de velours qui ajoute l'acting à son arc, les publicités et les sitcoms s'éloignent pour laisser place aux longs métrages et aux contrats d'égérie.
statut civil : une renommée synonyme de célibat, incapable de laisser sa relation -libre- voir le jour, préférant laisser sa compagne dans l'obscurité.
orientation : autant à l'aise au bras d'une élégante sauterelle que d'un bel étalon, bisexuel qui se joue parfois du lobby lgbt pour servir sa popularité.
pronom ig : he/him
infos rp : 350-800 mots environ, troisième personne, ok pour l'anglais dans les dialogues, les sms et les réseaux sociaux
en vrac :
   
 

「 we can't be friends 」
∙ feat. @Ari Leóz
tw: langage grossier

Observateur des petites mains qui s’occupaient de sa mise en beauté, l’acteur ne quittait pas le miroir des yeux tandis qu’il s’engouffrait sa barquette de poulet accompagné de riz blanc, apport nécessaire pour celui qui s’était récemment découvert une passion pour la musculation. Gobant la nourriture comme un goinfre, il se contentait de sourire ou de grommeler selon les propositions des professionnels, refusant la laque pour préférer la cire, faisant non de la tête face aux extensions de cil, puis oui lorsqu’on lui proposa plutôt du mascara.
Pas de ça, fit-il en repoussant la tentative d’approcher un baume de ses lèvres.
- On nous a demandé d'attirer l'œil sur les bouches, on se doit de respecter la direction artistique et d'appliquer au minimum un gloss.
- C'est pas mon problème, chérie, rétorqua-t-il en toisant l'employée. Tes trucs-là, ça va juste me casser les couilles pendant que je dis mes répliques ou que je galoche ma co-star. Alors tu vas dire que j'ai mis leur connerie et moi je vais me mordre les lèvres avant chaque prise pour les rendre plus gourmandes, déblatéra-t-il sans la quitter du regard. Compris ?"
L'accord convenu, la vedette exigea que l'on insiste ensuite sur son teint afin de gommer les quelques cernes qui empiétaient sur son délicat visage, prenant plaisir à expliquer qu'il n'avait pas eu l'occasion de beaucoup se reposer la nuit dernière, certainement trop occupé à satisfaire sa dernière amante - lorsqu'il n'avait, en vérité, que passer la soirée à parfaire l'accent de son personnage.

Une fois préparé, Vander fit un rapide passage par le département réservé aux costumiers, appréciant la garde-robe du vampire qu'il allait devoir interpréter. Du costume fourni de dentelle et de soie, à la chemise blanche bouffante en passant par le plus simple appareil, ces quelques semaines de tournage s'annonçaient prometteuses. Un sourire en coin, Eden porta son choix sur un pantalon sombre accompagné d'un veston imprimé, convenant que l'ensemble suffirait pour cette première journée. Si les caméras allaient tourner, les prochaines heures n'étaient pourtant destinées qu'à parfaire les détails avant les fameuses premières prises. Jeux de lumière, angles et prise du son, tout se devait d'être vérifié, au même degré que l'alchimie entre les partenaires.
"Leóz, le fameux ! S'exclama-t-il en remarquant la silhouette du jeune homme, véritable professionnel déjà présent sur le plateau. J'vois que t'es déjà passé par l'étape du maquillage, complimenta-t-il faussement en lui imposant une étreinte à la politesse très américaine. À moins que ces yeux de biche ne soient naturels..."
L'air moqueur, Eden se fit couper dans son élan par l'arrivée de son manager, visiblement pressé d'expliquer aux acteurs le déroulé des prochaines heures.
"Vous pouvez vous placer, on va commencer les réglages et en parallèle, le coordinateur d'intimité va passer, annonça-t-il presque fier d'avoir optimisé le temps des deux vedettes sur le plateau. Pas d'inquiétude, c'est la routine : les questions habituelles sur vos limites, vos zones safe, vos préférences...
- Ça devrait le faire, assura Eden en invitant son nouveau collègue à prendre place dans le somptueux décor digne d'un manoir gothique. C'est pas comme si on avait jamais vu Ari Leóz dans son plus simple appareil auparavant, lança-t-il piquant, en référence aux précédents projets de son pair."
MOON up all night
Ari Leóz
Ari Leóz
messages : 384
pseudo : hel (elle)
id card : fernando lindez (av) hel ; (gif) ellieluncgifs
multicomptes : mal, andy, levi, orion
à contacter : ari

warnings : dépression, crise d'angoisse
présence : réduite
we can't be friends (ari) 5950554ec6b8094b4d6d52f7a98b75178606b473
âge : vingt-cinq années à consumer ton existence sous les flashs des paparazzis, à te brûler les ailes sous le feu des projecteurs et devoir en assumer le prix.
occupation : star de cinéma, acteur et mannequin, t’as été découvert sur les réseaux sociaux par une agence de mannequinat sans te douter que leur proposition te propulserait au sommet.
statut civil : célibataire, t’enflammant que pour des étreintes éphémères, sans risque ni emprise, ta dernière idylle ayant fait suffisamment de bruits sur les tabloids pour que tu n'veuilles renouveler l’expérience de si tôt.
orientation : pansexuel, le cœur a toujours été séduit par la beauté de l'âme plutôt que de se plier aux conventions.
habitation : #08 loft south oceanside
pronom ig : il/lui
disponibilités : 0/3 rps de disponible

infos rp : nombre de mots : variable, selon l'inspiration (généralement 500/800 mots) ;; dialogues : FR/ENG, je m'adapte selon vos préférences ;; fréquence de réponses : variable, au minimum 1/2 par mois, plus si le temps et l'inspi sont là ;; je peux écrire aussi bien à la troisième et deuxième personnes, au présent ;;
en vrac : RP
ongoing : anton, eden
incoming : you?

SMS : eden

closed : elrik, elrik (sms), angel (sms), camilo, archie

   
 

「 we can't be friends 」
∙ feat. @Eden Vander
tw: /

Les phalanges crispées et le cœur battant, l'acteur agrippe ses cuisses durant le trajet menant aux studios, les yeux rivés sur le paysage qui défile à la fenêtre. La voix de John, son manager, lui rappelant pour la énième fois l’emploi du temps prévu pour la journée, atteint à peine l’esprit angoissé. Le dos raide et les nerfs à vif, Ari a très peu dormi de la nuit, le ventre noué d'appréhension et d'incertitudes, la tête polluée de questions. Est-ce qu’il sera à la hauteur ? Est-ce qu’il arrivera à s’entendre avec l'équipe du tournage et les autres acteurs ? Est-ce qu’il parviendra à redorer sa réputation grâce à cette opportunité ?... Est-ce que le public lui aura pardonné et l'aimera de nouveau ? Puis il y a une autre question plus pressante, qui le taraude depuis qu’il connaît l'identité de sa co-star : est-ce qu’il parviendra à s'entendre, et jouer la comédie avec l’insupportable Eden Vander ? Car de toutes les personnes avec qui il aurait pu donner la réplique, le sort veut qu’il tombe sur lui, celui qui n’a jamais dissimulé son mépris à son égard depuis quelques années, et dont Ari ne supporte même plus la présence lors des soirées. Et maintenant le destin veut qu’ils tournent dans le même film ? Tout chez lui, de son air suffisant à ses propos vulgaires, le débecte et l'exaspère, et qu’il soit devenu bien plus populaire dernièrement ne fait qu'accroître l'hostilité qu'il ressent à son égard, provoqué par la jalousie cette fois. Il ne sait pas comment il va pouvoir supporter sa présence au quotidien, encore moins prétendre que son personnage devient amoureux du sien. Certainement le plus gros défi de sa carrière, et comme John le lui a rabâché ces dernières semaines, son unique salut. Il n’a pas le choix, s’y prépare psychologiquement depuis des semaines. Il doit juste prétendre qu’il l'apprécie, qu’ils sont amis pour éviter les rumeurs sur le plateau.
Ça ne devrait pas être si compliqué...

Un frisson désagréable lui court l'échine en reconnaissant la voix familière. You can do this. Just play the part. Ari placarde un sourire convaincant avant de se retourner pour lui faire face. Il a à peine le temps d’enregistrer l'ensemble de son partenaire que ses bras sont déjà autour de lui, le forçant dans une accolade à laquelle il n'était pas forcément préparé. — Vander… Un plaisir de te voir, s'efforce-t-il d'un rire contraint, le souffle légèrement coupé par l'étreinte — T’as l’air… en forme, qu'il se contente de répondre poliment, notant cependant que le costume et le maquillage lui sied un peu trop bien. Urgh. Une main sur son torse, il rencontre une imperceptible résistance jusqu'à ce que le bougre accepte finalement de le relâcher. Show off. Déjà le manager d’Eden apparaît à leurs côtés pour donner des directives, et prévenir notamment que la coordinatrice d'intimité allait prendre le relais. Évidemment Eden ne peut s'empêcher une remarque déplacée sur ses projets passés, ce qu'Ari, mâchoire crispée, préfère éviter de relever, travaillant sur lui même pour ne pas réagir au quart de tour à la moindre provocation. Don't take the bait, Ari. Even if you feel like punching him in the face, don't let him get to you. Ils sont guidés vers une salle somptueusement décorée, où se dresse au centre une longue table de banquet, drapée de nappes à velours pourpres et dressée de couverts en argent étincelant. — Ah vous voilà ! Je m'appelle Stacy, je serai votre coordinatrice d'intimité durant le tournage ! Enchantée Eden, Ari, on peut se tutoyer ? Il ne sait pas si c'est sa paranoïa qui lui joue des tours, mais il ressent une certaine froideur lorsqu'elle s'adresse à lui. Son ventre se noue aussitôt, et il doit se faire violence pour ne pas déjà tourner les talons et fuir. Il laisse Eden faire son m'as-tu-vu, appréciant pour une fois de ne pas être le centre de l'attention. — Avant de commencer, je vous propose de vous guider à travers quelques exercices afin d'établir une connexion et créer une atmosphère de confiance entre vous. Good luck with that, qu'il songe avec aigreur, se positionnant face à Eden suite aux instructions de Stacy qui les guide sur leur respiration pour les synchroniser. — Très bien, maintenant rapprochez vous progressivement, explorez les limites de votre espace personnel et trouvez un équilibre entre la proximité nécessaire pour la scène et votre confort individuel. Si Eden a des limites, il n'a pas l'air d'en avoir beaucoup vu la manière dont il ne se gêne pas pour les rapprocher presque avec impatience, envahissant son espace personnel d'un clignement de paupière. — Doucement, qu'il gronde à demi-mot, de sorte à ce qu'Eden soit le seul à l'entendre. — Essayez différentes positions qui semblent naturelles pour vos personnages, en vous assurant de rester à l'aise physiquement. Je vous encourage à vous plonger pleinement dans l'émotion de la scène. Laissez vos personnages guider vos actions, tout en restant conscients des besoins de votre partenaire. Ça fait plusieurs mois qu'Ari n'a pas laissé quelqu'un l'approcher et le toucher de cette façon, et il a dû mal à rester parfaitement indifférent lorsqu'Eden l'agrippe aussi possessivement. Il regrette la tenue de cuir qu'il a aperçu en coulisse et que le chasseur porte au début du film, troqué dans le château par un pantalon moulant et une chemise presque transparente à manches longues et évasées, ornée de délicates broderies, que le vampire lui a choisi. — Je pense que ça suffit pour les exercices... qu'il finit par lâcher brusquement en se détachant d'Eden et calmer les battements erratiques de son coeur. This is Elijah. Not Eden. You are Ales. Se glissant dans la peau de son personnage, qui heureusement n'est pas encore au stade d'accepter totalement son attraction pour le vampire, il se dirige vers le bout de table pour tirer la chaise et inviter Elijah à s'y asseoir, comme le veut la scène du banquet où il doit se faire passer pour un calice asservi et éviter les soupçons des autres vampires déjà suffisamment suspicieux depuis leur arrivée. — Mon seigneur...
MODO wildest dreams
Eden Vander
Eden Vander
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(unravelgraph)

multicomptes : anton (cha eun woo) + jungwoo (kim young kwang) + soobin (lee dohyun) + mingi (wi ha joon) + franklin (nam joo-hyuk)
triggers : maltraitance animale
warnings : relation libre, fake dating, manipulation
we can't be friends (ari) 259
âge : thirty-seven yo.
occupation : interprète à la voix de velours qui ajoute l'acting à son arc, les publicités et les sitcoms s'éloignent pour laisser place aux longs métrages et aux contrats d'égérie.
statut civil : une renommée synonyme de célibat, incapable de laisser sa relation -libre- voir le jour, préférant laisser sa compagne dans l'obscurité.
orientation : autant à l'aise au bras d'une élégante sauterelle que d'un bel étalon, bisexuel qui se joue parfois du lobby lgbt pour servir sa popularité.
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infos rp : 350-800 mots environ, troisième personne, ok pour l'anglais dans les dialogues, les sms et les réseaux sociaux
en vrac :
   
 

「 we can't be friends 」
∙ feat. @Ari Leóz
tw: aucun

Satisfait par cette étreinte imposée, Vander libéra son tout nouveau collègue - un peu trop tôt à son propre goût - faisant mine de ne pas remarquer la gêne certaine qui s’était inscrite sur le visage de ce dernier. Sa petite surprise semblait avoir fait son effet, cette carrure récente qu’il avait acquise à force de travail, bûchant sur la transformation de son corps sans s’en vanter sur les réseaux sociaux, un exploit pour celui à l’orgueil exacerbé. Et comme si cette musculature lui offrait un tout nouveau pouvoir, ses piques restèrent sans réponse. Intrigué, l’acteur leva un sourcil, sans quitter Leóz du regard, écoutant à peine son propre manager. Depuis quand était-il devenu si raisonnable ? Autrefois, ils ne s’étaient jamais cachés pour se critiquer mutuellement, maîtres des messes basses et des phrases à double sens, mais aujourd’hui, l’ancien mannequin semblait bien silencieux et pondéré. Un simple scandale, une flopée de commentaires défavorables, une réputation partiellement ruinée et il ne restait presque plus rien du feu qui l’animait par le passé, de quoi piquer l’intérêt de celui qui allait incarner le vampire de cette trilogie, inéluctablement attiré par cet air de biche égarée.

À l’arrivée de la coordinatrice d’intimité, Eden s’empêcha de lever les yeux au ciel, exaspéré par la nécessité de ce genre de professionnel. Une partie de lui préférait fonctionner à l’instinct avec ses partenaires, quitte à gâcher quelques prises jusqu’à trouver ce qui semblait le plus naturel, tant que cela permettait de construire un semblant de relation et de crédibilité entre les acteurs. Seulement, pour se protéger des scandales et des dérives, les productions imposaient désormais ce genre de présence, ces exercices et cette bien-pensance qui l’irritait.
Une connexion et une atmosphère de confiance, répéta-t-il en faisant mine d’être un bon élève, alors que son sourire mesquin était réservé à son partenaire. On ne devrait pas avoir trop de mal à faire ça, hein, Leóz ?
S’approchant avec aise, il ne prêta pas attention aux mises en garde, s’amusant avec cette proximité nécessaire pour leurs futures scènes. Sur les conseils de la coordinatrice, il attrapa l’interprète du chasseur par la taille, puis par la nuque, interrogeant l’avis de la professionnelle sur quelle prise semblait la plus adéquate.
Détends-toi, souffla-t-il en retour, son pouce et son index appuyant sur les nerfs cervicaux qu’il sentait tendu sous sa prise. J’pense que c’est ce qui ressemble le plus à Elijah, mon personnage, conclu-t-il à voix haute, relâchant sa prise. C’est plus dominant, ça lui permettra d’affirmer sa supériorité.
La femme se contenta d'hocher la tête avant de poursuivre :
Surtout, s’il y a des zones que vous ne souhaitez pas dévoiler, des parties de votre corps qu’il ne faut pas toucher, il faut absolument en discuter avant de débuter.
Le sourire amusé de l’artiste s’évanouit soudainement, réalisant que ce projet allait exiger un dévouement et une implication qui flirtait avec ses propres limites.
On ne touche pas mes cheveux, exigea-t-il sans s’étendre sur le sujet, incapable d’avouer qu’une simple caresse imprévue sur son crâne suffisait à réveiller des souvenirs qu’il préférait garder enfouis. Mais bon, si on suit le scénario, c’est plutôt l’inverse qui risque d’arriver, ajouta-t-il pour camoufler ses difficultés par une pointe d’humour malvenu. J’peux tripoter tes bouclettes ou c’est outrepasser ta safe zone, cher collègue ?

En observant sa co-star déguerpir en direction du set, Vander récupéra son petit sourire avant de le rejoindre, espérant profiter des essais de lumières et de sons pour tenter quelques lignes de dialogue. Dans la peau de son personnage, il s’installa à la table sans remercier son calice, véritable maître des lieux qui se contentait de discutailler avec les autres représentants de sa race. Si les caméras changèrent quelques fois d’angles, l’acteur resta concentré, exigeant que son sujet remplisse son verre de vin, alors qu’il le mangeait du regard - émotion attribuée à Elijah, mais qui témoignait aussi des intentions d’Eden.
Incapable, pesta-t-il en observant le manque évident de qualité de son calice pour le service, lui qui ne prenait même pas le soin de camoufler son mépris et sa nonchalance. Recommence, avec application.
Discrètement, il jeta un coup d'œil au retour caméra, vérifiant que l’ensemble lui convenait, avant de s’éloigner du script en attrapant brusquement le poignet d’Ales, faisant sursauter son partenaire de jeu. D’un air théâtral, il écrasa son serviteur la face contre la table, nichant son nez dans son cou, tel un animal, là où son personnage avait l'habitude de se nourrir.
On passe bien à l’écran, lui susurra-t-il à l’oreille, le bassin contre les fesses du jeune homme. Il faudra remercier le directeur de casting.
Amusé, l’artiste se jouait de cette information qu’il était le seul à posséder : le rôle n’avait pas été proposé à Ari au hasard, tout n’était que le résultat des exigences et des manipulations du chanteur de ballades romantiques.
D’ailleurs, ne les laisse pas t’imposer ça, fit-il en passant son pouce sur la lèvre du garçon, retirant le gloss d’une pression. Ça gâche vraiment tout.
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