sugar rush ride (ari)
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sugar rush ride (ari)

MODO burning in the skies
Anton Lowe
Anton Lowe
messages : 1530
pseudo : rollercoaster
id card : cha eun-woo (true love)
multicomptes : jungwoo (kim young kwang) + soobin (lee dohyun) + mingi (wi ha joon) + franklin (nam joo-hyuk) + eden (seo in guk) + merlin (byeon woo seok)
triggers : maltraitance animale
warnings : adoption, harcèlement
sugar rush ride (ari) Ac3f0a106958bdfa595953860a056eefedfca1a2
âge : twenty-seven yo.
occupation : des études en obstétrique qui s'éternisent, il raconte que les stages sont rémunérés pour taire son job au sein d'un pub miteux
statut civil : adepte de la douceur, non de la bestialité, plutôt seul qu'accompagné
orientation : pansexuel
habitation : un mini deux pièces au #87 south oceanside
pronom ig : he/him
infos rp : 350-800 mots environ, troisième personne, ok pour l'anglais dans les dialogues, les sms et les réseaux sociaux
   
 

「 sugar rush ride 」
∙ feat. @Ari Leóz ; flashback 2021 ∙
tw: alcool

Plus les minutes passaient et plus ce besoin de respirer urgeait. La foule, les rires, les embrassades et les discussions futiles ne faisaient qu’ajouter à son supplice, en véritable introverti.
Une fois de plus, il s’était laissé avoir. On avait usé de son côté bonne pâte pour le traîner ici, où ses parents trouvaient bon de se mêler à la masse de la haute société, histoire de conserver quelques relations bien utiles. Ses frères avaient évité de faire leur devoir avec brio, comme souvent, alors Anton se retrouvait aux côtés de sa génitrice à exposer le thème de ses études à qui voulait bien l’entendre.
Mon futur petit chirurgien, plaisantait-elle en le présentant, loin de percevoir la goutte de sueur glissant sur la tempe de son fils, tant il était apeuré d’être découvert dans son mensonge.”
Cette fois, du moins, l’étudiant ne pouvait pas vraiment se plaindre de sa condition. Ce n’était pas une ridicule soirée qui les réunissait, ni un cocktail, ni une levée de fonds, mais bien une avant-première. En véritable critique amateur, le jeune homme avait même apprécié le film, convaincu par le casting et les prestations des acteurs. Il savait déjà qu’il en deviendrait obnubilé au point de le revoir plusieurs fois et d’acheter le DVD plutôt que de télécharger le fichier illégalement, comme s’il apportait ainsi sa petite pierre à l’édifice.

Étriqué dans son beau costume de couturier, soigneusement sélectionné par son cadet, Anton faisait bien plus acte de présence qu’il n’était impliqué, laissant son esprit dériver tout en enchaînant les coupes d’un champagne qualitatif.
Cela faisait de longues minutes qu’il tentait d’envoyer des signaux à ses parents, peinant à capter leurs regards pour signifier que leur taciturne de rejeton arrivait au terme de sa batterie sociale, mais le couple semblait bien trop abordé par la conversation, néanmoins ponctuée de quelques bâillements au fur et à mesure que la soirée avançait.
Il faut que je m’éclipse, on se retrouve plus tard, déclara-t-il tout à coup, profitant d’un élan de culot pour organiser sa fuite.”

Jonglant entre les convives pour trouver son chemin jusqu’aux toilettes, l’héritier Lowe souffla enfin, sentant le poids qui avait pesé sur ses épaules s’évanouir peu à peu tandis que son palpitant restait encore emballé.
Ravi de trouver le coin des hommes totalement vide et silencieux, il se passa un peu d’eau sur le visage puis dans les cheveux, faisant disparaître la cire qui asservissait ses mèches rebelles. Et une fois ses esprits retrouvés, Anton déboutonna son pantalon pour s’installer aux urinoirs. Seulement, à peine commençait-il sa besogne qu’un inconnu poussa la porte pour venir s’installer à sa gauche. Choisissant de s'ignorer, comme les codes sociaux le voulaient, Anton tenta de se concentrer pour évacuer l'alcool, en vain. Et l’affaire semblait étonnamment similaire chez son nouvel acolyte.
J’crois que c’est pas pour aujourd’hui chez vous non plus, lança-t-il sur un ton humoristique, espérant briser ce silence gênant qui s’installait.”
Sans attendre de réponse, il lança un regard dans la direction de l’étranger, se forçant à ne pas baisser les yeux vers la zone interdite, persuadé qu’un sourire aiderait à dissiper l’embarras général. Ses yeux s’écarquillèrent de manière spectaculaire lorsqu’il réalisa qui se tenait à ses côtés. Et comme un réflexe, Anton retourna fixer le mur, incapable de bouger, ni d’ajouter un mot, ni de remballer la marchandise pour fuir jusqu’aux lavabos. Ses joues, au contraire, se couvrirent d’un rose qui dénotait avec son teint de porcelaine.
Bien sûr, fallait que ça m’arrive à moi, murmura-t-il entre ses dents, conscient qu’il était forcément grillé.”
Anton ne venait pas seulement d’échanger avec l’acteur principal du film dont c’était l’avant-première, il venait aussi de discuter d’urine avec la célébrité dont il avait le poster accroché dans sa chambre depuis quelques mois. Poster torse-nu, Ari posant fièrement en couverture d’un magazine, désormais noyé parmi ceux représentant des joueurs de football, les cartes postales et les créations dont Luda s'amusait à parer ses murs.
MOON up all night
Ari Leóz
Ari Leóz
messages : 384
pseudo : hel (elle)
id card : fernando lindez (av) hel ; (gif) ellieluncgifs
multicomptes : mal, andy, levi, orion
à contacter : ari

warnings : dépression, crise d'angoisse
présence : réduite
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âge : vingt-cinq années à consumer ton existence sous les flashs des paparazzis, à te brûler les ailes sous le feu des projecteurs et devoir en assumer le prix.
occupation : star de cinéma, acteur et mannequin, t’as été découvert sur les réseaux sociaux par une agence de mannequinat sans te douter que leur proposition te propulserait au sommet.
statut civil : célibataire, t’enflammant que pour des étreintes éphémères, sans risque ni emprise, ta dernière idylle ayant fait suffisamment de bruits sur les tabloids pour que tu n'veuilles renouveler l’expérience de si tôt.
orientation : pansexuel, le cœur a toujours été séduit par la beauté de l'âme plutôt que de se plier aux conventions.
habitation : #08 loft south oceanside
pronom ig : il/lui
disponibilités : 0/3 rps de disponible

infos rp : nombre de mots : variable, selon l'inspiration (généralement 500/800 mots) ;; dialogues : FR/ENG, je m'adapte selon vos préférences ;; fréquence de réponses : variable, au minimum 1/2 par mois, plus si le temps et l'inspi sont là ;; je peux écrire aussi bien à la troisième et deuxième personnes, au présent ;;
en vrac : RP
ongoing : anton, eden
incoming : you?

SMS : eden

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sugar rush ride
「 feat.  @Anton Lowe  ; flashback 2O21 」
tw: aucun

Visage presque endolori à force de maintenir ce sourire éclatant, l’acteur s’oblige pourtant à placarder une expression joviale, quand bien même celle-ci ne reflète en aucun cas son état d’esprit actuel. Il devrait être heureux pourtant. Le film est un succès. Durant toute la durée de la soirée, il n’a cessé d’être sollicité, félicité, ses performances louées par la majorité des invités présents lors de la diffusion du film. Il est la vedette du moment. Celle que tout le monde s'arrache, avec qui on veut parler et se faire prendre en photo. Il ne compte plus les remerciements lâchés au cours de la soirée, lorgnant juste l’heure sur son téléphone dans l’espoir de pouvoir enfin s’échapper de toute cette effervescence qui le draine et l'épuise, aussi bien physiquement que mentalement. Il n’arrive pas à savourer son succès. L'cœur alourdit d'une déception amère qui l’empêche d’apprécier le moment. Elrik, this bastard. Ari le maudit de toute son âme de lui gâcher ce qui devrait être le jour le plus satisfaisant de sa carrière. Comme il se maudit d’avoir pu être si crédule à son sujet. Elrik ne s'est jamais réellement intéressé à lui. Il est comme le reste, à s'attarder uniquement sur son physique, sauf qu'il avait un atout sous sa manche que les autres n'avaient pas, et ce dernier s'en est servi sans vergogne. Jerk. Il avale sa troisième coupe de champagne, et peut sentir les bulles lui monter à la tête. Même Beverley Holmes, l'actrice la plus accomplie, et dont il admire la carrière et ses films avec passion, est venue le féliciter. Mais au lieu d'être aux anges, comme il aurait dû l'être à ce stade, il n'est pas parvenu à chasser l’étau compressant sa poitrine, assailli par la vision de l'américain en train de batifoler avec un autre que lui. Il aurait dû s'en douter. Elrik a toujours été frivole, et ce n'est pas lui qui va le changer. Le brun soupire, déposant sa coupe vide sur un plateau. Il se tourne pour rejoindre son agent lorsqu'il aperçoit une journaliste qu’il ne supporte pas, se diriger dans sa direction. Il fait aussitôt demi-tour, décidant de se réfugier dans les toilettes pour y échapper.

À l’intérieur, un seul homme semble présent, et il accueille le silence avec un certain soulagement, heureux d’échapper le temps d’un bref moment aux bourdonnements incessants des rires et gossips. De cette hypocrisie constante qu’il a parfois beaucoup de mal à supporter. Il n’ose pas perturber l’acolyte dans sa besogne, se postant directement à l’urinoir libre, à sa gauche. Yeux fermés, la tête rejetée en arrière, il attend patiemment que son corps s’accorde avec son envie de se soulager. Sauf qu'il n'est pas bien décidé à lui obéir. – J’crois que c’est pas pour aujourd’hui chez vous non plus. Pas plus que son voisin visiblement. Ari ouvre un œil, la tête penchée légèrement sur le côté, en direction de son interlocuteur qui croise son regard au même moment. Il n'a pas le temps de répondre cependant que déjà la personne rompt le contact pour regarder droit devant lui, sa réaction si surprenante et comique qu'Ari se redresse pour mieux l'observer, curieux. Au vue de ses joues légèrement rosies, et de l'embarras qui semble émaner par vague, Ari suppose qu'il a affaire à un admirateur timide, associant sa réaction à celles qu'il a pu déjà expérimenté lorsqu'il est reconnu du public. Cute. Ari détourne le visage pour ne pas l'embarasser davantage, un petit sourire amusé logé à la commissure. Venant d'un homme, c'est toujours plus rare, habitué à attirer les adolescentes que la gente masculine en général, mais il doit bien avouer que c'est plaisant. Encore plus lorsque celui-ci est un régal pour les yeux. – J'ai pourtant bu trois coupes de champagne, d'habitude il ne m'en faut pas plus, qu'il confie le plus naturellement du monde, peu embarrassé du sujet de leur discussion. – Mais je suis pas pressé. Je suis certain que cette sorcière de Jerkins m'attend derrière la porte dans l'espoir de me soutirer une interview que je n'ai pas envie de donner donc… Il hausse les épaules, le flot de mots se déversant facilement, l'alcool y aidant. Il jette un coup d'œil vers l'inconnu qui tourne son visage au même moment, arrachant un rire à l'acteur. – Je vous intimide tant que ça ? Qu'il ne peut s'empêcher de taquiner gentiment. C'est toujours flatteur de susciter de telles réactions de parfaits inconnus, mais parfois il aimerait pouvoir nouer des liens sans que sa nouvelle renommée ne soit prise instantanément en compte. Son regard glisse curieusement le long de la silhouette, remarque le costume de bienfacture et la posture naturellement droite. Il n'a pas l'impression de l'avoir déjà croisé pourtant, mais son accent impeccable lui souffle qu'il est aussi américain que lui. – Vous êtes mannequin ? Je ne crois pas vous avoir déjà vu... Compliment glissé innocemment, sincère néanmoins. Il a le physique pour faire des ravages dans l'industrie. Et parce qu'il se sent d'humeur plus joueuse, et que les réactions de son voisin sont de plus en plus distrayantes, il ajoute d'une voix plus suave, les yeux pétillants. – Je m'en serai souvenu.
crack par hel
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「 sugar rush ride 」
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tw: alcool, sexualité

En son for intérieur, l’héritier Lowe tentait de se reprendre, martelant à son esprit qu’ils n’étaient que deux hommes planqués aux urinoirs, rien de plus. La différence de popularité ne devait pas l’impressionner, ni le pousser à agir différemment. son statut de fan, non plus. Et même le fait qu’il se soit déjà caressé en zieutant le poster exposant cette gueule d’ange sur son mur, ne devait pas entrer en jeu. Personne n’était au courant, se rassurait-il en tentant de contrôler le feu de ses joues. Il n’était plus un adolescent timide, désormais, il s'approchait de la trentaine et ce genre de réaction ne devait plus venir polluer ses échanges.
C’est juste que la situation est plutôt… Gênante, justifia-t-il en refermant finalement son pantalon. Enfin, ce n’est pas ainsi que je m’étais imaginé rencontrer mon acteur favori. Je vous imagine assez mal signer des autographes en plein milieu des toilettes publiques.
Le jeune homme tenta un rapide coup d'œil vers l’acteur, toujours trop impressionné pour maintenir son regard plus de quelques secondes, puis il s’éloigna jusqu’aux robinets. Curieux, il tendit l’oreille tandis que le comédien s’épanchait sur les soucis qu’il rencontrait en tant qu’artiste avant de s’esclaffer lorsqu’il tenta de deviner son métier.
Mannequin ? S’étonna-t-il en regardant le reflet d’Ari dans le miroir, ravi de poursuivre cette conversation dos à dos. Du tout, je ne suis pas du milieu.
Le compliment le gênait presque, Anton étant totalement incapable de différencier ce qui s’apparentait à de belles paroles, de l’honnêteté ni de la tentative de séduction. S’emballait-il en imaginant qu’il pouvait potentiellement lui plaire ? Il espérait simplement ne pas prendre ses fantasmes pour une réalité.
Ma famille possède des parts au sein de la société de production du film, expliqua-t-il pour justifier sa présence. On est dans le médical, mais ça ne m’a pas empêché de réellement apprécier le film. Et votre prestation, précisa-t-il en se retournant enfin, s’appuyant sur le marbre du plan de travail. J'm'appelle Anton.
Il hésita à lui tendre la main, encore humide du lavage, mais préféra plutôt se mettre à jouer avec ses bagues et ses bracelets, faisant tournoyer celle possédant les armoiries familiales pour s’occuper.

Ça vous embête si je traîne un peu, ici ? S’enquit-il alors que quelques gouttes d’eau de ses cheveux précédemment humidifiés venaient couler sur sa chemise. J’ai peut-être pas de journalistes aux trousses, mais je fuis tout autant la foule.
Se passant une main sur la nuque, l’étudiant s’étonnait de sa facilité à mener la conversation face au populaire Ari Leóz. Ils avaient certes un âge similaire, de ce dont il se souvenait de sa dernière consultation de la page Wikipédia à son nom, mais c’était assez inhabituel pour lui d’échanger autant de mots avec un inconnu. L’alcool devait certainement avoir son rôle à jouer là-dedans.
En espérant ne pas passer pour un admirateur fanatique, le grand brun observa la tenue de la vedette, constatant que son costume blanc devait, effectivement, l’empêcher d’échapper aux photographes et à la presse. C’était certes une part importante de son job, mais il comprenait que derrière l’artiste, il n’était qu’un humain ayant parfois besoin de souffler, de retrouver sa tranquillité et surtout : de rentrer chez soi sans avoir à offrir davantage de faux sourires et de discussions superflues. C’était sûrement l’admiration qui parlait ou simplement une part d'altruisme, mais le jeune homme souhaitait lui venir en aide.

Anton décida tout à coup de glisser sa tête en dehors des toilettes, observant les alentours et les quelques groupes d’invités qui discutaient encore dans les environs. Au loin, une armée de flashs continuaient de crépiter et une femme, munie d’un dictaphone semblait filtrer les convives qui osaient passer devant son regard perçant. Le futur médecin grimaça avant de revenir à l’intérieur, refermant la porte comme s’il maintenait le danger derrière.
J’sais pas à quoi ressemble votre Jenkins mais j’ai l’impression que vous n’êtes pas sorti d’affaire, annonça-t-il la mine désolée.”
Les lèvres pincées, le descendant Lowe se remua les méninges quelques instants, dessinant l’esquisse d’un plan dans sa tête.
Est-ce que vous voulez…qu’on échange nos costumes ? Proposa-t-il en triturant le nœud de sa cravate dans un réflexe inconscient.”
Grimaçant face à la bizarrerie de sa propre proposition, Anton ajouta rapidement des précisions pour se sauver de l’embarras.
Si ça peut aider à gagner quelques secondes dans votre fuite… J’ai ça aussi, fit-il en sortant son habituel masque noir de la poche de pantalon. Enfin, c’est juste une idée comme ça.
Le sourcil arqué, dans l’attente d’un retour, il croisait les doigts pour qu’Ari ne le prenne pas pour un aliéné qui souhaitait seulement naviguer quelques minutes dans ses vêtements, pour y découvrir son odeur et l’observer en caleçon.
L’aide était mutuelle dans le fond : l’acteur évitait les journalistes et l’héritier obtenait une excuse valable pour fuir cette massacrante soirée.
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Ari Leóz
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Alors que son voisin se résigne et referme son pantalon, prenant la fuite tout en se justifiant, Ari esquisse un sourire discret, amusé. — Je n’ai encore jamais signé d’autographe dans les toilettes, mais il faut bien une première fois à tout. Il rit de bon cœur, notant, non sans un certain plaisir, la confession du brun. His favorite actor, huh? Au même moment, l’envie se débloque, arrachant un soupir de contentement à l’acteur. Une fois sa besogne terminée, il se rhabille, rejoignant son interlocuteur au lavabo, visiblement étonné de sa comparaison. Ari savait déjà, en réalité, qu’il n’était pas mannequin. Il n’avait pas cet air condescendant qu'affichent la plupart qu’il a pu croiser dans le milieu. Il pourrait néanmoins, c’est presque étonnant d’ailleurs, qu’il n’ait reçu aucune proposition. L’acteur se lave les mains, écoutant avec intérêt l’homme lui expliquer la raison de sa présence à l’avant-première. — Oh vraiment ? qu’il s’exclame, attrapant une serviette pour s’essuyer les mains. Étrangement, il n’est pas tant surpris d’apprendre que le jeune homme fasse partie de l’élite. — Enchanté Anton, Ari. Bien que son identité n’ait déjà aucun secret pour lui, c’est une manière de lui rappeler qu’il peut l’appeler par son prénom aussi. Pas particulièrement pressé de retrouver les autres convives, l’américain miroite la position d’Anton, s’accoudant au meuble. Son regard glisse sur ses mains et poignets, ornés de bijoux, remarquant avec intérêt une bague plus imposante. — M’embêtez ? Vous plaisantez, vous êtes mon excuse pour éviter d’y retourner, qu’il rétorque d’un rire, appréciant la compagnie rafraîchissante d’Anton et toute excuse pour ne pas affronter la foule au dehors.  — Alors comme ça, vous êtes médecin ? Quelle spécialité ? demande-t-il, curieux d’en apprendre davantage sur son mystérieux compagnon. Il l’imagine avec sa blouse blanche, à s’occuper des patients, et se dit qu’il aurait bien aimé que son médecin soit aussi attirant. Il rechignerait peut-être moins à se soigner quand il tombe malade. — J’imagine que dans votre beau costume, vous n’auriez pas un stylo ? s’enquit-il, ses prunelles brillant malicieusement, prêt à lui accorder son autographe si tant est qu’il en ait un sous la main.

Surpris, Ari l’observe se diriger vers la porte pour n’y passer que la tête, se demandant s’il fuyait quelqu’un en particulier aussi. C’est lorsqu’il revient, mentionnant Jerkins et les autres que l’acteur réalise qu’Anton est allé vérifier pour lui. Touché, il secoue la tête, en rigolant. — Ne soyez pas désolé, je n’en suis pas à ma première soirée de ce genre, ce sont les contraintes du métier, qu’il soupire, s’armant déjà de courage pour y retourner, déçu de ne pas pouvoir repousser le moment plus longtemps. — Merci en tout cas, remercie-t-il chaleureusement, se demandant s’il aura l’opportunité de le recroiser lors de futures soirées, l’espérant même. Mais alors qu’il se redresse, réarrangeant son costume, Anton fait une proposition qui le stoppe net dans ses mouvements. — Échanger… nos costumes ? répète-t-il, incertain sur ce qu’il vient d’entendre. Anton semble bien plus mal à l’aise malgré qu’il soit l’initiateur de la demande. Ari l’écoute lui exposer son plan, observant le masque noir qu’il sort de son pantalon. Il lui propose sérieusement. Lentement, un sourire naît sur ses lèvres, et il rit à s’en faire mal à la mâchoire. La proposition est incongrue, mais plus il y pense, et plus l’idée lui plait. Il soupèse le pour et le contre, se demandant si on lui en voudra d’être parti plus tôt, puis se dit qu’il a suffisamment fait acte de présence pour se le permettre. Il prétextera une migraine une fois dans la voiture. — Ok, je suis partant.

Alors qu’Anton semble se diriger dans un autre cabinet, Ari lui attrape le poignet pour l’en empêcher. — Qu’est-ce que vous faites, allons dans celui-ci. Le tirant vers lui, amusé par son expression presque choquée, il le pousse dans le plus grand cabinet, normalement réservé aux handicapés. — Ça sera quand même plus pratique pour échanger nos vêtements, non ? qu’il murmure innocemment à son oreille avant de s’écarter. Et si ce n’était pas pour cette unique raison, personne d’autre que lui n’en saura quelque chose. Sourire au coin, il observe de biais Anton qui ne semble pas savoir quoi faire de lui, malgré qu’il soit celui qui ait proposé ce plan audacieux. Il lui tourne le dos,  commençant par retirer son foulard qu’il suspend au crochet, puis sa veste. — On peut peut-être se tutoyer, vu la situation, propose-t-il tranquillement, sortant sa chemise de son pantalon pour la déboutonner. À mi-chemin, il se retourne finalement pour lui faire face, continuant de défaire le reste. Il remarque qu’Anton n’a retiré que sa veste. Les yeux pétillants, il enlève sa chemise, ne quittant pas son visage des yeux alors qu’il se dévoile, appréciant de voir ses yeux s'écarquiller à sa vue. S’il avait un doute sur son orientation, il n’en a plus maintenant. — Si tu te déshabilles pas, ton plan ne risque pas de fonctionner, rappelle-t-il avec une pointe de moquerie. Il ne devrait pas autant s’amuser de son désarroi, Ari peut sentir son embarras par vague, mais pas que. Y a son intérêt qu’il n’arrive pas à dissimuler, et c’est suffisant pour qu’Ari prenne les devants. Il réduit la distance, piégeant Anton contre le mur carrelé. — Ton visage est rouge, ta cravate est trop serrée ? Le regard brûlant, les doigts de l’acteur viennent attraper ladite cravate pour la desserrer, dévorant chacune de ses expressions, sentant l'excitation se loger dans son bas ventre. Gentiment, il déboutonne les premiers boutons de sa chemise. — Mieux. Bien plus une affirmation qu’une question, son regard se glisse sur les fruits défendus, avec l’envie irrésistible de braver l’interdit. —  J’ai une contre proposition à faire… qu’il souffle, les doigts enroulés autour de la cravate toujours autour de son cou, s'en servant pour le garder sous son emprise. Et sans plus de précision sur sa nouvelle proposition, qu'il pense évidente, il écrase ses lèvres contre les siennes.
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Touché par la bienveillance dont faisait preuve l’acteur, l’aîné Lowe ne put s’empêcher d’afficher un petit sourire discret, ravi de constater qu’il ne s’était pas trompé sur le compte de la personne dont il était devenu président du fan-club. Conformément à l’image qu’il s’était créée dans les méandres de son esprit, la célébrité semblait être une personne adorable, terre-à-terre et douce, une âme qu’il était bon de croiser et de célébrer, au-delà de son évident talent.
Si j’peux me rendre utile, se dédouana-t-il presque, espérant justifier qu’il ne s’attarde davantage dans les toilettes, absolument ravi de fuir un peu plus longtemps le tumulte de la foule. L’obstétrique, répondit-il ensuite, non sans mal, en s’éclaircissant la gorge.”
Cette question avait toujours le don de provoquer un certain malaise, le jeune homme peinant encore à justifier son choix face aux habituels regards interrogateurs et aux messes basses. Généralement, on se contentait de l'observer sans ajouter un mot, osant de dangereux raccourcis le catégorisant parmi les détraqués. Après tout, quoi d'autre que la lubricité pouvait bien pousser un homme dans une branche où les patients étaient exclusivement féminines ?
"C'est un domaine passionnant, tenta-t-il de justifier rapidement. Il y a encore beaucoup de questions sans réponse, de souffrances dont les femmes n’osent pas parler et puis, les naissances…
Laissant ses mots résonner contre les parois carrelées, le futur médecin se mit à tâter toutes ses poches à la proposition d’autographe, cherchant le fameux stylo gravé à ses initiales que lui avait offert son paternel. Rangé dans la poche interne de son costume, l’objet inutilisé était encore flamboyant puisque le jeune homme lui préférait toujours l’application notes de son téléphone ou le vieux bic quatre couleurs qui s’accrochait à sa blouse, plus adepte de la simplicité que des excentricités de ses riches géniteurs. S’il jeta un coup d’œil aux serviettes en papier, tenté d’en utiliser une pour recevoir la signature espérée, Anton décida plutôt de proposer la coque de son téléphone pour surface, persuadé que le souvenir n’en serait que plus qualitatif.
Merci, vous n’êtes pas obligé, vraiment, balbutia-t-il en s’inclinant, fasciné.”

Constatant que l'acteur s'était habitué à l'invasion de sa vie privée, le grand brun grimaça, réellement peiné. La pression semblait s'inviter au quotidien des célébrités de son genre, et les journalistes, tels des rapaces, n'attendaient qu'un pas de travers, qu'un scandale, qu'une rumeur pour s'attaquer à la nouvelle étoile du cinéma. Conscient qu'il avait certainement dépassé les limites de la bienséance avec une telle proposition, Anton commença à se fendre en excuses, mais le rire d'Ari le stoppa net. Les yeux écarquillés, l'étudiant resta pantois, incapable de savoir sur quel pied danser.
"Ok ? Répéta-t-il sans trop y croire, avant de se reprendre."
Attiré au sein du cabinet le plus spacieux, il peinait à garder la tête froide face à l'aisance de l'acteur, persuadé qu'il était aussi décontracté grâce à ses expériences professionnelles. Après tout, son métier lui imposait parfois la nudité, mais aussi la proximité physique, ce qui devait aider dans ce genre de situations, au contraire d'Anton et de sa légendaire pudeur. Hésitant, il retira sa veste puis tenta de s'attaquer aux boutons de sa chemise, en vain, trahi par quelques tressautements involontaires. Il devait se faire des idées, il n'y avait pas d'autres options : Ari l'avait attiré ici pour le confort et la praticité, non pas pour le stimuler.
Oui, bien sûr, tutoyons-nous, acquiesça-t-il à la proposition en détournant le regard, supposant qu'il n'était pas censé observer les abdominaux de l'artiste d'une manière aussi évidente. Si ça ne vous… ne te dérange pas. Désolé, je suis très maladroit, mais je me dépêche, s'excusa-t-il en avalant difficilement sa salive face au rapprochement que tentait d'instaurer l'apollon.”

Face à leur proximité, Anton se sentait incapable de bouger, acceptant docilement de se retrouver piégé entre le mur et l’objet de ses fantasmes, réalisant encore difficilement que celui qui avait hanté ses rêves érotiques était une véritable personne. Une personne qui se nichait à son oreille pour lui murmurer une scandaleuse proposition, lui hérissant les poils.
Hm hm, réussit-il à peine à répondre, donnant son accord.”
Les joues rougies, il s’étonna que son corps collabore aussi aisément, bien plus habitué à l’urticaire qui se déclarait au moindre frôlement qu’à l’érection qui menaçait déjà de pointer le bout de son nez. Amusé par les tentatives d'Ari, il se laissa embrasser sans résistance, appréciant la douceur avec laquelle l'acteur l'approchait. Malgré son physique avantageux et sa notoriété, l'homme conservait sa délicatesse et ses bonnes manières.
Autant perturbé qu'adouci par ce baiser inattendu, le fils Lowe fronça les sourcils, encore incapable de déterminer si la sensation lui était totalement agréable. Mais lorsque la bouche de l'acteur s'aventura sur sa peau, marquant son cou, le jeune homme réalisa que les fourmillements dans son bas-ventre lui offrait une réponse suffisante.
"Ça laisse une trace ? S'enquit-il, conscient que cette marque serait rapidement remarquée par sa meilleure amie s'il ne songeait pas à la camoufler pour le reste de la semaine. C'est encore mieux qu'un autographe, admit-il en laissant enfin un sourire presque coquin se glisser sur son faciès, jusqu'ici préoccupé."
L’esprit soucieux, l’étudiant s’interrogea, se demandant si l’homme comptait toujours échanger leurs vêtements ou bien s’il avait seulement accepté l’idée saugrenue pour obtenir cet instant bien plus intime, mais ses doutes s’évanouirent rapidement, lorsque la délicate main du comédien s’approcha de son caleçon, le forçant à regarder le plafond pour ne pas vaciller.
Pas besoin, soupira-t-il en se persuadant qu’Ari n’acceptait ce contact qu’en récompense de son aide.”
Ce dernier restant sourd à ses paroles, préférant s’aventurer au sein de son boxer, Anton se retrouva victime d’une étrange sensation, une envie, urgente et brutale, et pour y répondre, il attrapa à nouveau les lèvres de l’artiste entre les siennes. Glissant sa langue dans sa bouche, il emprisonna quelques boucles de ses cheveux entre ses phalanges, abandonnant peu à peu la passivité dont il avait fait preuve jusqu’à maintenant. Gémissant contre ses épaisses lèvres, le grand brun apprécia l'aménité avec laquelle la célébrité s’occupait de son membre, comme s’il savait qu’en-dehors de lui-même, personne ne l’avait jamais touché à un endroit aussi intime. Et s’il craignit de venir trop rapidement, ou bien d’être découvert par un potentiel utilisateur de ces toilettes publiques, le fils Lowe se contenta d’oublier ses appréhensions en observant le corps dessiné d'Ari, indécis. Il ne savait simplement pas ce qu’il souhaitait lui faire, ce dont il était capable, ce qu’il pouvait lui offrir, noyé par le respect et l’admiration qu’il lui portait.
MOON up all night
Ari Leóz
Ari Leóz
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pseudo : hel (elle)
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à contacter : ari

warnings : dépression, crise d'angoisse
présence : réduite
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âge : vingt-cinq années à consumer ton existence sous les flashs des paparazzis, à te brûler les ailes sous le feu des projecteurs et devoir en assumer le prix.
occupation : star de cinéma, acteur et mannequin, t’as été découvert sur les réseaux sociaux par une agence de mannequinat sans te douter que leur proposition te propulserait au sommet.
statut civil : célibataire, t’enflammant que pour des étreintes éphémères, sans risque ni emprise, ta dernière idylle ayant fait suffisamment de bruits sur les tabloids pour que tu n'veuilles renouveler l’expérience de si tôt.
orientation : pansexuel, le cœur a toujours été séduit par la beauté de l'âme plutôt que de se plier aux conventions.
habitation : #08 loft south oceanside
pronom ig : il/lui
disponibilités : 0/3 rps de disponible

infos rp : nombre de mots : variable, selon l'inspiration (généralement 500/800 mots) ;; dialogues : FR/ENG, je m'adapte selon vos préférences ;; fréquence de réponses : variable, au minimum 1/2 par mois, plus si le temps et l'inspi sont là ;; je peux écrire aussi bien à la troisième et deuxième personnes, au présent ;;
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ongoing : anton, eden
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sugar rush ride
「 feat.  @Anton Lowe  ; flashback 2O21 」
tw: sexualité

Étrangement, la réponse ne le surprend qu'à moitié. Il n'avait pas la moindre idée du domaine dans lequel il pouvait exercer, les filières nombreuses et pour la plupart inconnues, n’ayant aucune réelle connaissance des différents métiers en dehors de ce qu'on retrouvait généralement dans les livres ou les films et séries. Mais à l'entendre le lui annoncer d’un ton presque embarrassé, se justifier de peur de passer pour quelqu'un aux mœurs douteuses, Ari esquisse un sourire rassurant, attendri. Il trouve que ça lui correspond plutôt bien. — Je suis persuadé que vos patientes sont entre de bonnes mains. C’est vraiment admirable ! Ari a toujours secrètement envié l'intelligence de certains. Il n’a jamais été particulièrement doué pour les études, et c’est bien pour cela qu’une fois le lycée terminé, il n’a jamais songé à aller plus loin, au grand dam de sa famille qui s'inquiétait sincèrement de le voir se lancer dans une carrière de mannequinat si jeune. Sourire au coin, il l’observe fouiller dans son costume pour chercher de quoi écrire. Il attrape le stylo tendu, observant curieusement les initiales inscrites. — Joli stylo, qu’il fait remarquer, se retenant de rire en le regardant chercher maintenant un support, jusqu’à lui présenter la coque de son téléphone. Il hausse un sourcil interrogateur, hésitant. — Vous êtes sûr ? Je ne voudrais pas le ruiner. Mais le médecin l’y encourage, comme si c'était plutôt lui qui était embarrassé de ne pas avoir mieux à lui fournir. Il rit, acquiesce et s’exécute, se penchant sur le meuble pour pouvoir signer correctement, ajoutant un petit mot avant sa signature. To this very pleasant meeting, with love, Ari. Une fois satisfait, l'acteur le lui rend, et sa réaction suffit à le rassurer, son enthousiasme contagieux.

Ari est surpris de la douceur et candeur d'Anton. La plupart qu’il a pu côtoyer dans le métier n’avait aucune finesse, ni aucun respect, arrogant et brusque, rappelant régulièrement à Ari dans quel monde impitoyable il vit, et à quel point sa carrière ne tenait qu'à la simple volonté de certains. Il a vite appris à parler le même langage, trop faible pour tenir tête aux monstres détenant tous pouvoirs, n'imaginant pas sa carrière détruite maintenant qu’il se fait doucement un nom dans l'industrie. S’il n’en éprouve aucune fierté, il s’est toujours dit qu’il n'avait pas eu le choix s'il désirait continuer dans le cinéma, quitte à devoir abandonner une part de soi-même sur le chemin. Anton est différent des hommes influents qu'il a pu rencontrer. Son regard est doux, et son admiration sincère. Il lui inspire facilement confiance, et le fait qu’il soit aussi séduisant ne fait qu’ajouter à son charme. Peut-être qu'il devrait justement se méfier davantage, après tout Ari n’a jamais su trouver les bons par le passé, pourtant il veut croire qu'Anton est le genre d'individu honnête qui manque cruellement aujourd'hui. Mais sous ces battements de cils timides, il y a un regard qui ne trompe pas, et l'acteur légèrement enivré et en peine de cœur, ne refusera pas une distraction. Les pas sont mesurés, les gestes lents et attentifs. Malgré ses envies, jamais il ne voudrait imposer quoi que ce soit à Anton sans s’assurer de son consentement. C'est uniquement lorsqu’il est certain que le jeune médecin en a autant envie que lui, qu’il l’embrasse, ses doigts autour de la cravate se resserrant brièvement le temps de l'échange avant de tirer d’un côté pour l’en débarrasser, la suspendant avec le reste. Ses lèvres sont aussi douces que sa peau laiteuse, et de sa main libre, il vient découvrir la gorge du brun. Sa bouche dévie, sa bouche et sa langue traçant un chemin jusqu'au creux du cou pour venir suçoter la chair, déposant sa marque. À sa remarque, il se redresse, une lueur amusée dans le regard. — Tu en veux d’autres ?
--hide–
--hide--

Ari ? T'es là ?? Les respirations se coupent et les corps se figent au troisième protagoniste faisant son entrée. Croisant le regard d'Anton, ses lèvres murmurent à demi-mots de garder le silence, espérant que son manager finisse par faire demi-tour. —  Quelqu'un t'a vu entrer il y a 20 minutes, tout va bien ? Exaspéré, l'acteur se retient de jurer, se détachant doucement d'Anton, non sans un regard  peiné en contemplant le médecin. Il se racle la gorge, ignorant sa frustration pour lui répondre. — Je suis là, juste je me sentais pas très bien, je crois... que j'ai mangé quelque chose de pas frais... Il grimace à l'excuse fournie, mais planqué dans les toilettes, rien de plus plausible lui est venu à l'esprit.  — Merde, c'est vrai ? Et ça va mieux ? Je vais en toucher un mot à Jerry, c'est inacceptable ! Ari soupire, commençant déjà à se rhabiller. — Non laisse tomber, tu sais bien que j'ai l'estomac fragile. Est-ce que tu peux prévenir Hector de préparer la voiture, j’aimerai rentrer.  — Mais la soirée est...Tu trouveras une excuse, je rentre ! Après une bonne minute à gérer la logistique, le manager finit par sortir, les laissant enfin seul. — On dirait bien que je n’ai plus besoin de ton costume pour m'enfuir, constate-t-il en reboutonnant sa chemise, un rire dans la voix. Une fois convenable, il se tourne vers Anton, son regard n'ayant pas perdu de son intensité alors qu’il dévore le jeune homme des yeux. Frustré que ça se termine de cette façon, il finit par réduire la distance, l'attrapant par le menton pour lui voler un baiser. — Si jamais tu veux continuer ce qu’on a commencé, rejoins-moi au parking dans dix minutes... Je n’aimerai pas laisser mon fan numéro un insatisfait, propose-t-il d’un clin d'œil avant de s'écarter, espérant bien pouvoir poursuivre leur tête à tête sans être interrompu cette fois.

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Anton Lowe
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occupation : des études en obstétrique qui s'éternisent, il raconte que les stages sont rémunérés pour taire son job au sein d'un pub miteux
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Acquiesçant à la proposition, l’étudiant le pria de poursuivre l’exploration de sa peau, découvrant à cette occasion sa sensibilité lorsque l’on s’attaquait à son cou, sa nuque et ses oreilles. C’était donc cela que l’on nommait zones érogènes, songea-t-il en se mordant la lèvre, frustré de ne pas avoir fait cette rencontre bien plus tôt dans sa vie d’homme. Encore peu accoutumé au dirty talk, il n’osa pas répondre à la question, se contentant d’observer Leóz s’occuper de son intimité avec douceur, tandis que sa respiration se faisait haletante. Confus, Anton hocha pourtant la tête, avouant qu’il s’était bel et bien masturbé - de nombreuses fois même - en pensant à l’acteur, libérant un secret atrocement intime. Pouvait-il lire dans ses pensées pour en venir à lui poser une telle question ? Ou était-il simplement si prévisible ? Lui, un fan parmi tant d’autres qui se touchait en pensant à cette célébrité fantasmée, péché commun, adepte de la création de divers scénarios enjolivant l’acte sexuel.
Souvent, souffla-t-il entre deux baisers, alors qu’il sentait ses joues s’empourprer. J’imaginais ma bouche… Partout à la fois, répondit-il sans oser croiser son regard, bien plus absorbé par ce torse sculpté, véritable gourmandise à ses yeux. Tout pour te satisfaire, mais ça me semble bien ridicule, maintenant.
À la venue d'une troisième personne dans les toilettes, Anton sursauta, écarquillant les yeux d'effroi. L'espace d'un instant, il semblait avoir oublié le lieu dans lequel il s'était laissé aller et maintenant qu'il revenait à la réalité, tel un choc électrique, le malaise prenait le pas sur l'envie. Face à un Ari fort d'inventivité, usant de son talent pour mentir, manigancer et manipuler, le jeune homme resta mutin, décidant de se rhabiller lui aussi, quoique légèrement déçu. Pour autant, il se força à rester souriant et respectueux, ravi d'avoir de quoi rêvasser et fantasmer pour les années à venir. Après tout, ce n'était pas tout le monde qui pouvait se vanter d'avoir vécu un tel moment avec son artiste préféré.
"Pas de problème, assura-t-il en se rendant compte qu'il avait été sacrément culotté d'espérer davantage, comme si sa jouissance personnelle trouvait sa place sur l'agenda du célèbre Ari Leóz."
Pourtant, ce dernier s'approcha pour lui déposer un ultime baiser, ponctué d'une scandaleuse proposition et Anton l'observa s'éloigner, chamboulé.

Une fois seul, l’étudiant chercha sa respiration quelques instants, incapable de réaliser ce qu’il venait de se passer. Les minutes défilèrent sans qu’il ne quitte la cabine et tout à coup, il jeta un coup d'œil à sa montre, comprenant que l’acteur risquait de quitter le parking s’il ne le voyait pas débarquer sous peu. Allait-il oser - lui, le puceau, lui le coincé, lui l’innocent - rejoindre un presque inconnu pour un moment intime dans une voiture ? En regardant l'autographe qui trônait sur la coque de son téléphone portable, délicate attention, le descendant Lowe sembla trouver le courage qu'il lui manquait pour effectuer une telle folie.
"Je vais y aller, s'excusa-t-il en se glissant à l'oreille de sa mère, évitant de lui présenter son visage de face, sachant qu'il était un bien piètre menteur. Lulu vient de m'appeler, elle a de vilaines douleurs, je vais lui apporter du doliprane."
Conscients que la jeune fille était la personne la plus importante dans la vie de leur aîné, le couple parental lui assura qu'il devait foncer à son chevet, Oceanside n'étant pas si proche du lieu de cette soirée mondaine. Le sourire crispé, Anton les embrassa, culpabilisant déjà d'embobiner ses parents et d'user de sa meilleure amie pour camoufler la première pulsion sexuelle de son existence.

En arrivant sur le parking, le jeune homme s'alluma l'une de ses cigarettes mentholées en cherchant du regard le véhicule de l'acteur, légèrement perdu entre les nombreux engins aux allures sportives et les quelques taxis. S'il espérait ne pas se présenter trop tardivement, regrettant un instant de ne pas s'être enfilé une ultime coupe de champagne pour le courage, ce fut la lumière d'une limousine, tel un signal, qui attira finalement son attention. Et alors qu'il s'approchait, hésitant, écrasant son mégot au sol pour gagner du temps, la portière s'ouvrit pour l'inviter à entrer. Docile, Anton baissa la tête pour s'installer à l'intérieur, découvrant, surpris, le confort et l'intimité d'une telle voiture. Derrière les vitres teintées, le brouhaha de la soirée ne lui parvenait même plus aux oreilles, lui donnant l'impression qu'aux côtés d'Ari, ils n'étaient plus que dans une bulle.
"Le fan numéro un s'est fait un peu attendre, s'excusa-t-il en s'installant près de l'acteur, sur la banquette en cuir. Je vais tacher de me faire pardonner."
Légèrement gêné, il décida de retirer lui-même sa cravate et sa veste de costume afin de se mettre à l’aise, puis, et ce malgré sa timidité et sa maladresse, il l'attrapa délicatement par la nuque pour lui offrir un baiser, témoignant de ses ardeurs et de sa volonté de poursuivre ce qu’ils avaient commencé plus tôt. Le souffle s’accélérant, Anton déboutonna la chemise de la célébrité, incapable de résister à l’envie de toucher ces pectoraux et ces abdominaux qui lui faisait tant d’effet, sans pour autant avouer qu’il n’avait absolument aucune expérience.
Tu veux toujours ? S’enquit-il pour s’assurer de son consentement, alors que ses mains amorçaient le déboutonnage de son pantalon.”
Le regard fiévreux, l’étudiant préféra pour l’instant taire cette envie qu’il avait d’utiliser la bouche de Leóz et d’offrir la sienne en retour, espérant l’entendre gémir comme Ari l’avait fait dans une de ses séries dont Anton s’était repassé la séquence, maintes et maintes fois.
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occupation : star de cinéma, acteur et mannequin, t’as été découvert sur les réseaux sociaux par une agence de mannequinat sans te douter que leur proposition te propulserait au sommet.
statut civil : célibataire, t’enflammant que pour des étreintes éphémères, sans risque ni emprise, ta dernière idylle ayant fait suffisamment de bruits sur les tabloids pour que tu n'veuilles renouveler l’expérience de si tôt.
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Le cœur léger, Ari s’extirpe rapidement des sanitaires pour foncer droit vers la sortie, espérant presque naïvement que cette rencontre inattendue ne s'arrête pas sur un goût d'inachevé. Sourd aux appels de la journaliste, il accélère le pas pour la semer dans un dédale de couloirs, quitte à courir pour s’assurer qu’elle ne le rattrape pas. Il n'a aucune idée si Anton acceptera son indécente proposition, s’il le rejoindra pour prolonger la soirée, mais il a plutôt un bon feeling sur le sujet. — Oh, excusez-moi !! qu’il panique en manquant de renverser quelqu'un. Une main sur sa taille la sauve de justesse d'une chute, et pétrifié, réalise qu’il s’agit de Beverley Holmes. The Berverly Holmes. La même qui est venue le féliciter un peu plus tôt dans la soirée, l’actrice certainement la mieux payée d'Hollywood aujourd'hui. Et il vient de la percuter dans sa précipitation. — Tout va bien ? Je vous ai fait mal ? s'enquit-il la voix chargée d'inquiétude, craignant de se mettre à dos l’actrice du moment, réputée pour être une femme au caractère bien trempée et rancunière. Mais contre toute attente, celle-ci ne fait que sourire et le rassurer, apaisant aussitôt l’acteur qui continue de se répandre lamentablement en excuses. — Vous courrez comme si vous aviez le Diable aux trousses, Ariel. La façon dont elle prononce son prénom ne devrait pas être si charmante, et il reste un moment hébété, avant de se rappeler qui il cherche à fuir. Dans son dos, il peut apercevoir la journaliste qui pause en les voyant, mais un seul regard de Beverley suffit pour que celle-ci tourne finalement les talons. Ari expire un soupire de soulagement, la remerciant chaleureusement. Son rire cristallin résonne dans le couloir, et charmé Ari en oublierait presque son rendez-vous. — Nous devrions papoter un jour, j’ai adoré le film et votre performance. Il y a un projet dans lequel je vais tourner et je pense que vous seriez l’acteur parfait pour le rôle principal. Il n’en croit pas ses oreilles, pendu à ses lèvres, il se croit rêver, flottant sur un petit nuage. — A-avec plaisir, Mme Holmes.  — Berverley, qu’elle coupe d'un sourire complice. Mon manager contactera le tien. On se parle bientôt. Et aussi vite qu’elle est apparue, elle disparaît, et Ari, chamboulé mais le cœur en liesse, n’a aucune idée du tourment dans lequel il va se retrouver plongé pendant presque deux ans suite à cette rencontre. —  Quelle soirée ! qu’il se souffle à lui-même, et se rappelant qu'elle est peut-être loin d'être terminée, il s’empresse de rejoindre la voiture, espérant que le jeune médecin tout juste rencontré osera le rejoindre.

Installé dans sa limousine, après s'être assuré que personne ne l’ait suivi, l'acteur relâche la tension de ses muscles dans le fauteuil rembourré, soupirant d'aise en se remémorant la soirée. Même penser à sa récente déception amoureuse ne parvient pas à gâcher l'euphorie de l'instant, et il s'y accroche pour ne pas laisser ses pensées noires gâcher le reste de sa soirée. Il se défait de sa veste pour se mettre un peu plus à son aise, zyeutant de temps en temps à la fenêtre pour voir si Anton a décidé de le rejoindre. Il n’a pas à attendre longtemps, et un sourire naît sur ses lèvres en le voyant chercher où est-ce qu’il peut bien se trouver. Ari ouvre la portière, éclairant le bitume pour montrer la voie. Le cœur légèrement barrant, il le regarde s’installer à ses côtés, et Ari s’assure de verrouiller le véhicule de l'intérieur pour éviter toute présence non désirée. — Il n’y a pas de mal, rassure-t-il d’un petit sourire, agréablement surpris de le voir prendre aussitôt les devants lorsqu’il paraissait si peu sûr de lui un peu plus tôt. L’acteur ne va pas s’en plaindre, ayant toujours craqué pour des personnes débordant d'assurance. Il répond au baiser avec langueur, sa langue taquinant l'entrée de ses lèvres pour en demander l'accès. Il peut sentir le médecin déboutonner sa chemise, le bout de ses doigts glacés glisser sur sa peau nue, en pleine découverte. Qu’Anton lui demande à ce stade s’il souhaite toujours aller plus loin est la chose la plus charmante qu’on ait pu lui demander, et il rit, acquiesçant brièvement de la tête avant de venir réclamer un autre baiser, plus passionné. Sa bouche toujours vissée à la sienne, Ari se redresse pour se débarrasser du pantalon déboutonné, se positionnant à califourchon sur le brun, pressant son bassin contre son bas ventre, son sexe déjà à moitié durcit.Qu’est-ce que tu me faisais alors ? Avec ta bouche, je suis curieux, taquine-t-il en faisant référence à sa confession dans la cabine, mordillant sa lèvre inférieure pour ensuite la lécher, bien décidé à lui arracher un peu plus de détail.

Ari se détache pour se relever, et sans le quitter des yeux, ses doigts glissent sous l'élastique de son boxer pour le baisser et le faire tomber jusqu'à ses pieds, ne loupant aucune de ses réactions. Un petit sourire défiant au coin des lèvres, il recule jusqu'à trouver le siège d’en face, s'y installant, jambes bien écartées, son érection plus que visible n'attendant qu'une chose. — Montre-moi.
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