a perfect all-american bitch (aribaby)
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a perfect all-american bitch (aribaby)

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「 a perfect all-american bitch 」
∙ with @Ari Leóz

tw: anger, vulgarité.

« - i need you to pick ari at the airport for me, next thursday...
- ari ? you mean, ariel ? why me ???
- pretty pleaseeee ?
- ugh
- don't look at me like that, i know you love him
- fine, i'll go, you owe me one »

et c'était tout que t'avais à savoir, d'après le grand frère de ari. ce dernier pouvait pas se rendre à los angeles parce qu'il bossait ce jour-là, parce que toi tu bosses pas peut-être??? il a de la chance de faire parti de tes meilleurs amis, sinon t'aurai refusé, aller chercher le petit frère de quelqu'un à l'aéroport... t'es pas un taxi. pourtant t'as accepté, sans trop faire d'histoire, parce que c'est ariel et que t'as envie de le voir malgré tout, t'as envie de le confronter, lui demander pourquoi il répond quasiment jamais à tes messages ou tes dms instagram, pourquoi il réagit pas à tes stories alors qu'au fond t'en postes peut-être pour lui, comme si tu voulais qu'il voit que tu fais la fête, que tu t'amuses bien sans lui et qu'il te manque pas du tout dans ta vie. tu passes ton temps à essayer de te convaincre, à faire comme si son absence t'atteignait pas, parce qu'elle le devrait pas, parce qu'il a vingt cinq ans et toi presque trente deux, parce que c'est juste le petit frère de ton meilleur ami.

ça te fait bien rire en tout cas, t'es là planté comme un poteau au milieu de l'aéroport de los angeles, t'es venu. comme un con, tu l'attends. toutes les deux minutes à checker son numéro de vol et à quelle heure il est supposé atterrir, pas de retard, c'est déjà ça, t'as une heure d'avance. t'as explosé la caisse du boulot en reculant un peu trop vite dans ce foutu parking souterrain, les radars de reculs te prévenaient pourtant, t'as freiné quand t'as entendu le boum. tu sirotes un café dégueulasse dans une tasse en carton, un expresso qui t'a couté cinq dollars, mais merde, pourquoi t'es énervé à ce point ? une clope, vite. tu sors, tu cherches ton paquet partout, il était juste dans la poche arrière de ton jean, par contre impossible de mettre la main sur un foutu briquet, tu grognes, putain. t'écrases le gobelet de la boisson caféiné dans ta main, ça te fait un bien fou, mais tu te rends compte qu'il en restait à l'intérieur et t'as maintenant la main peinturlurée du liquide marron. t'écrases la cigarette que t'avais même pas allumée dans le cendrier et tu cours aux toilettes. là, tu laves tes mains avec vigueur avant de relever la tête pour te regarder dans le miroir. qu'est-ce que tu fous, elrik ? t'as pas à être si nerveux.

tu respires, plusieurs fois, comme pendant ces quelques séances de méditation à la con où tu te fais traîner parfois, tu te d'mandes si t'as pas des anger issues, c'est n'importe quoi. tu retournes au panneau d'affichage, l'avion arrive bientôt alors tu décides d'aller au numéro de porte indiqué. y'a déjà pas mal de monde qui déjà, la plupart sur leurs téléphones, d'autres qui tiennent des feuilles avec écrit le prénom de celleux qu'ils attendent, c'est mignon. t'aurai peut-être dû en faire un aussi ? et s'il te reconnaissait pas ? toi y'a pas de doute, tu pourras pas le manquer, t'as liké toutes ses derniers photos sur insta, tu sais toujours à quoi il ressemble, dans les moindres détails... frisson quand t'y penses, tu te racles la gorge.

les premiers voyageur.euses débarquent enfin, valises à la main ils passent devant toi et la frénésie commence, les retrouvailles, les pleurs, les rires, toi tu soupires, ça fait plusieurs minutes qu'il devrait être là lui aussi, qu'est-ce qu'il fout ? tu regardes tout autour, anxieux de l'avoir manqué mais non, toujours pas de ari. t'étais prêt à dégainer ton téléphone pour l'appeler mais voilà que l'acteur décide enfin de pointer le bout de son nez dans la salle, lui aussi semble chercher quelqu'un. tu lèves la main et t'avances sans plus faire attention autour de toi. « ari- oh shit, i'm sorry ! » t'avais cogné dans quelqu'un, une jeune femme, tu lui fais un sourire avant de reprendre ta route mais le voilà déjà volatilisé ! wtf??? tu tournes ta tête dans tous les sens jusqu'à poser de nouveau les yeux sur lui, tu portes tes mains à ta bouche pour amplifier le son de ta voix, tu cries.  « ARIEL !!! HERE ! » tu lèves la main de nouveau en lui faisant signe, tu pensais pas être si heureux de le revoir, il est beau, il a grandit, il est impressionnant, magnifique. il dessine un grand sourire sur tes lèvres qui laisse apparaitre toutes tes dents, t'espères au moins un câlin de sa part maintenant.
MOON up all night
Ari Leóz
Ari Leóz
messages : 384
pseudo : hel (elle)
id card : fernando lindez (av) hel ; (gif) ellieluncgifs
multicomptes : mal, andy, levi, orion
à contacter : ari

warnings : dépression, crise d'angoisse
présence : réduite
a perfect all-american bitch (aribaby) 5950554ec6b8094b4d6d52f7a98b75178606b473
âge : vingt-cinq années à consumer ton existence sous les flashs des paparazzis, à te brûler les ailes sous le feu des projecteurs et devoir en assumer le prix.
occupation : star de cinéma, acteur et mannequin, t’as été découvert sur les réseaux sociaux par une agence de mannequinat sans te douter que leur proposition te propulserait au sommet.
statut civil : célibataire, t’enflammant que pour des étreintes éphémères, sans risque ni emprise, ta dernière idylle ayant fait suffisamment de bruits sur les tabloids pour que tu n'veuilles renouveler l’expérience de si tôt.
orientation : pansexuel, le cœur a toujours été séduit par la beauté de l'âme plutôt que de se plier aux conventions.
habitation : #08 loft south oceanside
pronom ig : il/lui
disponibilités : 0/3 rps de disponible

infos rp : nombre de mots : variable, selon l'inspiration (généralement 500/800 mots) ;; dialogues : FR/ENG, je m'adapte selon vos préférences ;; fréquence de réponses : variable, au minimum 1/2 par mois, plus si le temps et l'inspi sont là ;; je peux écrire aussi bien à la troisième et deuxième personnes, au présent ;;
en vrac : RP
ongoing : anton, eden
incoming : you?

SMS : eden

closed : elrik, elrik (sms), angel (sms), camilo, archie

   
 
「 A PERFECT ALL-AMERICAN BITCH  」
∙ feat.  @Elrik Kane   ; octobre 2023 ∙
tw: aucun.

You have a new voicemail. Yesterday, at 11:43pm. Biip.

Hermanooo ¿Cómo van las cosas? Okay I'm sooo sorry, I won't be able to pick you up at the airport on Thursday, BUT I asked Elrik to do it. It's fine, he's pleased to see you, so don't worry, you're in good hands! I'll give him the keys to the flat, alright? I might be away for a couple of weeks, but make yourself at home, obviously. There's some food in the fridge, but you can have groceries delivered. I left you some cash and the number of the next-door neighbor just in case. He's a fan by the way. I told him you'd sign an autograph for him haha. Gotta go, I'll make it up to you, promise. Be nice to Elrik. Te echo de menos.


Fuck no.

Tu laisses retomber le téléphone sur le matelas, les yeux écarquillés rivés au plafond. Elrik vient te chercher à l'aéroport. Urgh! Tes mains recouvrent ton visage, un grognement étouffé, frustré, émanant de tes lèvres alors que tu bascules sur le côté. Emilio, cabrón!! De toutes les personnes à qui il pouvait demander ce service, il fallait que ça soit lui. Toi qu'étais presque content de quitter ce appartement qui te rappelles Beverley en permanence, t'es plus certain de vouloir faire tes valises si c'est pour te retrouver face à une autre de tes déceptions amoureuses. À croire que t'es abonné. Tu songes un moment à lui écrire pour lui dire que tu commanderas un taxi, mais y a moyen qu'Emilio te prenne la tête, et t'as pas le cœur assez solide pour te disputer avec lui, ou même Elrik d'ailleurs. Tu soupires. C'est juste le temps de quelques heures, ça devrait le faire non ?

...
Who are you trying to convince?
It's going to be awful.


L'avion a atterrit, et tu peux déjà sentir ton ventre se tordre d'appréhension. L'hôtesse te propose s'il faut te sortir en premier, mais tu secoues vivement la tête, un faible sourire aux lèvres. Tu as le temps que tu lui réponds. En réalité t'es surtout pas pressé de le voir lui, mais ça, c'est pas quelque chose que tu vas révéler à une parfaite inconnue. Alors t'attends dans ton siège que tout le monde sorte avant de suivre le reste des passagers. Dans ton hoodie à capuche, le visage à moitié dissimulé derrière tes lunettes de soleil, t'espères pouvoir passer un minimum incognito. Le trajet jusqu'aux bagages se fait trop rapidement à ton goût, et même après avoir récupéré ta valise, tu restes dans un coin, scrutant ton téléphone dans l'espoir d'y voir un message d'Elrik pour te dire qu'il n'a finalement pas pu se libérer. Tu essuies tes mains rendues moites sur ton jean, inspirant une grande bouffée d'air pour te donner du courage. Just pretend he's an old friend. For whom you certainly haven't had a crush nor a broken heart. Easy, right?

Ton regard scrute la foule, l'coeur battant, mais tu ne le trouves pas. Il a peut-être du retard ? Et s'il a oublié ? Tu t'écartes de l'attroupement joyeux qui s'est formé, à te dire que toi aussi, tu aurais bien aimé ce genre d'accueil à ton arrivée. T'es vraiment déçu qu'Emilio n'ait pas pu se libérer, finalement tu aurais peut-être dû retourner en Espagne pour rejoindre le reste de ta famille. – ARIEL HERE! Tu te pétrifies, l'endocarde bondissant dans ta poitrine. Le souffle un peu plus court, tu te retournes dans la direction de sa voix. Et il ne t'a pas oublié, il est bien là, à quelques mètres, avec sa barbe de quelques jours et les cheveux plus longs, encore plus beau que dans tes souvenirs. Et il rayonne, comme s'il était vraiment heureux de te voir, and your stomach is going all silly at the sight. Son sourire est contagieux, et tu sens tes lèvres frémir avec l'envie de le lui retourner, une douce chaleur se répandant dans ta poitrine. Tu étouffes aussitôt le sentiment, te rappelant à l'ordre. Tu réduis la distance, bourdonnant de nervosité mais malgré toi, et ça t'énerve un peu de l'admettre, content de le voir. Il t'a manqué. – Hi, Elrik. Tu t'arrêtes en face de lui, mal à l'aise et distant. Tu ne sais pas trop comment te comporter. Avec ton frère, tu ne te serais pas posé la question en te jetant dans ses bras. Avec Elrik c'est différent. Ce dernier reste toujours un peu plus grand, et plus irrésistible que ce que ton cœur peut supporter. Damn you, Elrik Kane. – Can we go? Que tu demandes, pressé, jetant quelques regards inquiets autour de toi. Tu voudrais encore pouvoir profiter d'un moment de tranquillité avant d'être harcelé par les paparazzis. Tu le laisses te prendre ta valise, et le suit silencieusement jusqu'au parking, incapable de détacher tes yeux de sa silhouette lorsqu'il ne te regarde pas en retour. T'aurais peut-être dû faire un effort vestimentaire, conscient que tu ne ressembles à rien dans ton hoodie trop large. Arrivé devant la voiture, tu le laisses sortir le véhicule pour accéder au coffre, et remarques quelque chose à l'arrière, fronçant des sourcils. – Er.. I think one of your taillights is dead?
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ouch. pincement au cœur quand t'aperçois la frimousse qui se retourne après ton appel. le magnifique minois a bien changé, a muri, s'y dessine quelques traits nouveaux et peut-être une légère virilité naissante sur les joues, toujours les mêmes lèvres pulpeuses, brillantes à en être presque agaçante tellement elles attirent tes pupilles. peut-être que tu t'étais perdu un peu trop longtemps, à regarder en détail chaque partie de sa peau hâlée qui faisait surface, peut-être qu'il remarquera ce regard insistant que tu as sur lui, tant pis. tu l'admets, au fond, il t'a manqué. tu lui diras pas, parce que tu lui en veux à ce petit con, d'avoir mis de la distance entre vous, de ne plus être qu'une connaissance qui répond de temps en temps aux messages et qui t'en envoie un pour ton anniversaire, parfois avec un jour de retard, mais ça te rendait quand même foutrement heureux. t'as envie de le prendre dans tes bras, de les serrer bien fort, de l'étouffer contre ton torse, comme font toutes les personnes qui se revoient à l'aéroport, mais à part une main dans le dos qui le caresse tendrement, y'a rien. ton sourire s'efface plutôt rapidement lorsque tu t'aperçois que le jeune espagnol est loin d'être aussi heureux que toi de te revoir, tu t'y attendais. t'as envie de l'insulter. dit moi merci petit con. t'oublies souvent qu'il a que vingt cinq ans, que c'est bien plus un gamin que toi, et pourtant t'es loin d'être mature. « sure. follow me. my car is in the parking lot. » tu t'affaires à prendre sa lourde valise à roulettes d'une main et de l'autre, son maigrichon poignet que tu ne sers pas loin de là, tes doigts viennent seulement s'y poser pour qu'il te suive, mais s'il ne souhaite pas de ta prise il pourra s'en défaire facilement. la voiture sortie et la valise mise dans le coffre, il t'interpelle pour te remémorer le léger accident que t'avais causé sur la voiture du boulot. ah oui, merde. ta main vient frotter le plastique, puis tu finis par te retourner de nouveau vers le jeune homme. tu le fixes. encore et encore, pendant une longue minute. rien ne bouge, seul le moteur de ta caisse résonnait dans le parking souterrain. tu viens mettre ta main doucement sur le côté de son visage et de là, tu abaisses la vilaine capuche qui te gâchait tout le spectacle, un peu plus tôt. les lunettes de soleil ne reste pas non plus, tu te doutes qu'elles doivent couter chère alors tu prends sa main sans le lâcher du regard et les fourre dedans. « better. hi, ariel. » que t'avais prononcé d'une voix presque irréelle tellement elle était grave. doucement tu t'approches encore un peu plus de lui, le retenant par la taille pour ne pas qu'il recule, il devra subir cette étreinte. ton visage s'avance dangereusement près du sien et un sourire machiavélique s'y dessine. t'as l'intention de lui faire croire que t'allais l'embrasser, dans tes rêves ari, tu effleures sa joue contre la tienne et tu finis avec le front sur son épaule. son corps collé au tien, extase intérieure et furieuse qu'il faut éviter de montrer. « i missed you. » après cette étreinte forcée, tu l'avais libéré sans rien dire d'autre, parce qu'il n'y avait rien à dire. si ari se posait des questions, tu lui répondrai que ce n'était que par pure courtoisie, comme deux frères qui s'étaient retrouvés, comme si c'était emilio à ta place. tes réelles intentions ? tes pensées honteuses à son égard ? tout au fond, bien rangées, dans le placard.
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occupation : star de cinéma, acteur et mannequin, t’as été découvert sur les réseaux sociaux par une agence de mannequinat sans te douter que leur proposition te propulserait au sommet.
statut civil : célibataire, t’enflammant que pour des étreintes éphémères, sans risque ni emprise, ta dernière idylle ayant fait suffisamment de bruits sur les tabloids pour que tu n'veuilles renouveler l’expérience de si tôt.
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L'regard qui se perd sur sa nuque tandis qu'Elrik se penche en avant pour inspecter le pare-choc arrière. S'aventure sur les épaules larges, puis glisse sur son dos - que tu sais musclé pour l'avoir admiré sans vergogne sur ses photos. Tu te retiens de te mordre la lèvre d'envie, de laisser tes pensées s'engager sur un terrain glissant et te trahissent. Tu t'attends à ce qu'il te dise de grimper dans la voiture, mais il ne fait rien de la sorte. Se contente de se relever pour te fixer avec cet air beaucoup trop sérieux. Avec cette intensité qui pourrait te faire rougir si tu n'étais pas si désespéré à ne rien laisser paraître. Quoi, t'as été encore moins discret que ce que tu pensais ou…?Elrik? Tu l'interpelles d'une voix qui se veut indifférente mais sonne un peu faux à tes oreilles. Tu retiens une grimace, t'humectant les lèvres de nervosité, ta main gauche agrippant ton bras droit dans un geste instinctif de protection. Il n'a pas besoin de dire grand chose pour te troubler, et ce salaud le sait. Tu lui as déjà avoué à quel point son regard te déstabilisait. À quel point tu étais faible pour ses beaux yeux bleus. Tu rougis malgré toi, en te remémorant toutes vos discussions par le passé. Révélant tout ce que tu aimerais lui faire si tu l'avais sous la main, n'épargnant aucun détail, enhardi par la distance qui vous séparait à l'époque et te rendait bien trop audacieux. Comme tout ce que tu voudrais qu'il te fasse en retour, dévoilant au meilleur ami de ton frère toutes les cartes pour t'atteindre. Ton cœur s'affole alors qu'il lève une main vers ton visage, mais t'es incapable de reculer, les pieds cloués au sol malgré la panique qui t'étreint. Tu sens ta capuche basculer en arrière, et un frisson te parcourir l'échine. Puis c'est au tour de ta paire de lunettes de disparaître, qu'il glisse dans ta main, et tu espères que ton expression ne révèle pas l'agitation interne que tu ressens. – better. hi ariel. Sa voix rauque t'envoie une véritable décharge straight to his lower belly, et tu entrouves bêtement les lèvres avant de les refermer, incapable de sortir le moindre son. Il ne s'était pas senti aussi désarmé face à quelqu'un depuis longtemps. Elrik se rapproche, tel un prédateur, et en proie acculée tu n'as pas l'occasion de t'échapper (le veux-tu vraiment ?), qu'il t'attrape par la taille pour te ramener contre lui. Son visage est si proche que tu peux te noyer dans ses yeux océans avec l'idée certaine de ne pas en sortir vivant. Il a ce sourire redoutable, et ces maudites fossettes qui t'ont toujours fait craquer. Et il sait, l'enfoiré, l'effet que ça te fait. This man is too handsome for his own good. Tes doigts s'ancrent au bras d'Elrik, l'cœur tambourinant alors que tes yeux, malgré toi, glissent sur les fruits défendus qui se rapprochent dangereusement. Oh. Oh!! Ton cœur est en arrêt, l'esprit court-circuité rien qu'à l'idée. Sauf qu'Elrik n'en fait rien, dévie au dernier moment pour poser son front sur ton épaule et te serrer étroitement. Bastard. – i missed you. Ari pourrait pleurer tant la situation le déchire intérieurement. À la fois blessé et amer pour ce qu'il t'a fait, mais heureux et fébrile de le voir après tout ce temps. Cependant qu'il te dise que tu lui as manqué, en sachant pertinemment que tu n'étais qu'une jolie distraction comme une autre, fait mal. Tu te refuses de lui dire qu'il t'a manqué, que tu as bien trop souvent pensé à lui, te sentant déjà beaucoup trop vulnérable pour te faire encore plus de mal. Elrik est un électron libre, incontrôlable et fougueux, pas prêt de se faire dompter par qui que ce soit. Pas même pour tes beaux yeux. Il te relâche sans mot dire, comme si ce qu'il venait de se passer était naturel entre vous. Tu le regardes contourner la voiture, encore troublé de ce qu'il vient de se passer. Il te faut quelques secondes supplémentaires pour apaiser ton cœur douloureux, à essayer de relâcher la tension dans tes muscles. Une fois revenu à toi, tu jettes un regard machinal autour de vous pour t'assurer que personne n'a assisté à cette scène, puis pars t'installer à ton tour sur le siège passager. T'as encore son odeur qui te chatouille les narines, peux encore sentir la chaleur de son corps contre le tien. Craving for more. Comment tu vas survivre plusieurs heures en sa compagnie s'il se décide à te torturer de la sorte ? Tu attaches ta ceinture avant que lui prenne l'idée de le faire à ta place, préférant garder une distance raisonnable à partir de maintenant. – Ready to go. Vous sortez enfin du parking souterrain, et tu t'efforces de ne pas trop repenser à ce qu'il vient de se passer juste avant. Tu tournes ton visage vers la fenêtre, faisant mine de t'intéresser au paysage plutôt qu'à l'homme qui obsède tes pensées depuis la première fois que tu l'as vu. Mais le silence est un peu trop pesant, même pour toi. – Thank you for coming all this way to pick me up… I'm sorry that Emilio had to ask you to do this, que tu t'excuses, maudissant encore Emilio pour te faire un coup pareil. C'est clair qu'il va en entendre parler. Tu tournes ton visage vers lui pour lui offrir un faible sourire, triturant la paire de lunettes entre tes doigts agités, anxieux et stressé. Il y a tellement de choses que tu voudrais savoir. Que t'as peur de savoir aussi. – So... How have you been lately?
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tw: y'en a po

alors que tu venais de lui faire subir cette douce étreinte familière, tu te rendais enfin compte à quel point ari était crispé, tes gestes qui se veulent pourtant tendres sont comme des couteaux contre son corps tendu entre tes bras. alors que tu te demandes un instant quel est le problème, tu comprends sans détour que c'est toi. tu le sais bien, que ari a quelque chose à te reprocher, sinon vous ne vous seriez jamais éloigné l'un de l'autre depuis ces dernières années. il ne répondait plus à tes appels, il fallait que tu insistes sur les messages pour obtenir un semblant d'intérêt de sa part, tes réactions à ses stories instagram devenait invisibles. ari et sa notoriété grandissante, lui devenait une star et t'oubliait sous les feux des projecteurs tandis qu'il avait toujours cette place de choix dans un coin de ta tête, où il accompagnait toutes tes journées jusqu'au jour où, tu allais le revoir en chair et en os. aujourd'hui. t'étais heureux jusqu'à présent, mais désormais les émotions parasitées par tes pensées, ton sourire s'efface, ton étreinte se dissipe et tes yeux le fuient. il s'installe, tu t'installes à ton tour et dans un instant d'égarement tu repenses à ariel qui était contre toi quelques minutes plus tôt, t'aurai voulu rester comme ça encore quelques temps, savourer l'odeur du parfum luxueux dont les effluves remontaient de la peau de son cou et toucher un peu ses doigts agiles. pas le bon endroit pour ça. et si un paparazzi le reconnaissait ? ari n'a sans doute pas envie que les tabloïds lui inventent une amourette avec un homme, ou juste avec toi, elrik. tu allumes la radio pour contrer avec le silence agaçant de la voiture et tu reprends enfin le chemin de oceanside, en direction de chez son grand frère. « don't be sorry. i'm happy emilio asked me, as i'm happy to be the one who picked you... i know you didn't want to see me but, » peut-être que lui dire qu'il t'avait manqué l'avait déjà fait assez grincer des dents, lui dire en plus que t'étais heureux de venir le chercher pour justement, pouvoir le revoir, c'était peut-être un peu trop ? t'as pas envie de faire le forceur, t'aimerais juste que ari te dise ce qu'il a sur le cœur et que s'il te déteste, qu'il te le dise franchement, que tu puisses passer à autre chose. « emilio and i are close friends, maybe like brothers now. he'll repay me for sure, so don't feel guilty or else. it's not your fault. » tu réfléchis un instant alors que tu essaies de rester concentrer sur la route, mais tes yeux un peu sauvage se perdent parfois sur ce que tu peux apercevoir de ari, les quelques centimètres de peau, ses longues et fines jambes, ses bras musclés et sa peau dorée par le soleil, tout ça faisait vibrer une corde que tu tentais de ne pas écouter. « good, » tu ne sais pas si le jeune homme tente une approche ou s'il essaie simplement de combler les silences pour ne pas que l'heure de route ne paraisse trop longue et gênante. « still working at airbnb, still free as a bird. and you, why are you back ? you missed me ? haha. » tu n'épilogue pas plus sur ta vie monotone, peut-être n'a t-il pas non plus envie de savoir que t'es marié depuis quelques temps à ta meilleure amie, même si ce n'est qu'une union factice, que tu enchaines les partenaires et les soirées arrosées et que t'as cette envie de changer de boulot qui t'obsède au point d'avoir déjà préparé ta lettre de démission.
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∙ feat.  @Elrik Kane   ; octobre 2023 ∙
tw: dépression.

On pourrait penser qu'après avoir tout fait pour l'oublier, tu aurais enfin tourné la page, clôturant ce chapitre navrant de ta vie sentimentale. Ce n'est pas comme s'il y avait quelque chose à manquer, vu le peu qu'il s'est passé. Ce ne sont pas des messages échangés et des vocaux pendant plusieurs mois qui devraient avoir autant d'impact. Elrik, visiblement, le vit très bien, plaisante même là-dessus allègrement. Pourquoi faut-il que de ton côté, ça t'attriste toujours autant ? Le visage tourné vers la fenêtre, tu tentes pourtant de faire un effort en relançant la conversation, espérant réussir à te détendre. Elrik a toujours été une personne avec qui c'était simple de discuter, pourquoi c'est devenu si compliqué. Il te dit qu'il est content qu'Emilio lui ait demandé de venir te récupérer, quand bien même tu n'avais pas envie, et tu te sens aussitôt coupable. S'il savait à quoi tu pensais, il saurait à quel point c'est faux. Parce que même si tu lui en veux toujours, que t’as été blessé et était en colère contre lui, l'attachement est toujours là, a toujours été là. D'aussi loin que tu te souviennes, t'as toujours eu un béguin à sens unique pour Elrik Kane, t'es juste déçu sans doute que ça soit resté comme avant. T’aimerais être capable de le contredire à voix haute, mais ta gorge reste nouée, et tu aurais trop peur d'en dévoiler un peu trop, pas certain d'être en mesure d'avoir cette discussion. Un silence s'installe alors que vous quittez la ville pour rejoindre l'autoroute. Encore deux heures de route. Ça risque d'être long. Ton cœur bat un peu plus vite tandis que tu demandes les nouvelles, la peur de découvrir des choses qui te déplaisent, ou au contraire, éveillent une lueur d'espoir qu'il ne serait pas bon d'avoir. Surtout lorsqu'il t'envoie autant de signaux perturbateurs. — Good… Still working at Airbnb, still free as a bird. And you, why are you back ? You missed me ? Haha. Toujours célibataire alors. L'information se glisse malgré toi dans tes pensées, le palpitant ravi de l'entendre. Tu ne devrait pas t'emballer, mais toute logique semble se perdre quand Elrik se tient à côté de toi. — Maybe I did…, que tu concèdes à mi-voix, le bout de tes oreilles prenant une légère teinte rosée à la confession. Ton regard glisse brièvement sur Elrik avant de te tourner vers la route. — Mamá wanted me to come back in Spain but I don't think I can face them right now. Tu grimaces, t'enfonçant un peu plus dans le siège, glissant tes lunettes et tes mains dans les poches de ton sweat pour dissimuler les doigts légèrement tremblants. Tu vas pas lui parler du calvaire de ces derniers mois. Que tu te laissais dépérir entre les murs de ton appartement, refusant de voir et parler à qui que ce soit, à lire les commentaires odieux à ton sujet sur les réseaux, et chialer comme une merde dans ton lit jusqu'à t'en rendre malade. Que ta famille et ton manager craignaient que tu fasses une connerie et qu'ils ont exigé que tu ne sois plus seul. Non, t'as pas envie qu'il le sache, tu ne veux pas qu'il te regarde différemment. Tu te racles la gorge, poursuivant. — The only safe place I could think of was here. Car tu te souviens des bons moments que tu as passés à Oceanside chaque été où tu as pu t'y rendre. À quel point tu étais à chaque fois impatient d'y retourner. T'essayes de te convaincre que c'était les moments avec ton frère qui te manquaient, mais ce n'est pas toute la vérité. Tu te mords la lèvre un instant, avant d’ajouter d'une voix faussement détachée. —  Guess you heard all about my scandalous affair… Est-ce que toi aussi tu me trouves méprisable pour ce que j'ai fait ? Il rit, amer. — Who would have thought I would become such an awful person, huh? J'imagine que ça a dû te réjouir, Elrik, de me voir misérable. — Do you despise me?
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「 a perfect all-american bitch 」
∙ with @Ari Leóz

tw: langage fleuri, conduite dangereuse, mention de flirt dans le passé

malgré ta peine à trouver une station de radio adéquate, qui passe une musique d’ambiance agréable, un énorme silence s’installe entre vous deux pendant plusieurs minutes. tu t’en retrouve gêné, cela pouvait se ressentir sur ta conduite, un peu moins fluide qu’habituellement, peut-être un peu stressé, peut-être un peu agacé parce que tu ne trouvais pas de sujet de conversation qui soit assez bien pour ariel, comme s’il était au dessus de toi maintenant qu’il était devenu une star et que lui parler de la vie de tous les jours à oceanside n’était pas assez bien pour lui, parce que c’est sans doute ennuyeux pour un gars d’hollywood de revenir à la campagne, t’as presque l’impression d’être un bouseux face à lui et ses vêtements de grandes marques, son parfum qui pu l’aisance financière, sa peau toute douce grâce à ses skin care “on fleek”. t’es pas à plaindre, t’as un bon salaire, t’as un toit au dessus de la tête, tu n’envies pas ari pour la vie qu’il mène puisque c’est ce qu’il avait toujours désiré, t’as juste l’impression de plus le reconnaître, il est métamorphosé et même si tu avais pu le voir évoluer grâce à son contenu instagram, ça te fait bizarre de voir ça en vrai, comme s’il n’était pas réel, presque comme un inconnu. t’essaies de te concentrer, sur la route et pas sur lui, mais tes yeux sauvages sont difficilement contrôlable quand l’objet de certains de tes désirs interdits se tient si près de toi. tu repenses d’un coup à quelques messages échangés lors de soirées torrides. ça venait comme ça, d’une plaisanterie, et puis la conversation pour messages interposés prenait toujours une tournure beaucoup plus sérieuse, t’as toujours voulu ce que tu ne pouvais pas avoir et putain ce que c’était bon de lui envoyer des salaceries tout en sachant pertinemment que ce que tu faisais était mal… t’es du genre à vouloir te taper le petit frère de ton meilleur ami. si emilio le savait, il te casserait sans doute la gueule, peut-être? parce qu’il sait très bien comme t’es avec tes partenaires ; jamais d’attaches, jamais d’amour, jamais de projets à longs termes. seulement de l’amusement, t’as pas envie de faire souffrir ari juste parce que t’es un connard qui ne souhaite pas s’engager.

coup de volant lorsqu’il te dit que tu lui avais sans doute manqué un petit peu, tu te remets en place sur ton siège tout en te râclant la gorge. oh ?? si tu lui avais vraiment manqué, alors pourquoi il répondait si peu à tes sollicitations, hein ? ça te fait froncer les sourcils, t’as l’impression qu’il te ment juste pour te faire plaisir… “désolé pour la conduite, j’ai des soucis au travail,” ce qui était faux bien évidemment, c’était ariel qui te mettait dans tous tes états. “hm, t’es pas obligé de te forcer à dire que je t’ai manqué. t’as dû être pas mal occupé, j’imagine que t’as pas dû penser beaucoup à moi, mais c’est normal. j’suis content que tu sois rentré en tout cas.” tu sais pas combien de temps il a prévu de rester, t’as été mis au courant à la dernière minute qu’il rentrait donc tu sais même pas ce qu’il a prévu de faire, s’il vient juste passer des vacances ou s’il est revenu définitivement. tu sais qu’il va loger chez son grand-frère pendant la durée de son séjour, là où tu le conduis, rapidement, comme si t’avais hâte d’arriver alors qu’une fois chez emilio, tu sais même pas s’il voudra te revoir. “...comment va ta mère, d’ailleurs ? si jamais tu retournes au pays, tu me préviens, je viendrais avec toi. j’ai envie de vacances.” les yeux tellement fixés sur la route (heureusement dans un sens, t’as pas envie de créer un accident) tu ne remarques pas le mal être du jeune homme assis à côté de toi, t’as pas la moindre idée du calvaire auquel il avait survécu ces derniers mois. et puis, s’il te racontait son histoire, est-ce que tu serais mieux que les autres ? sûrement que non, tu ne saurais pas quoi dire pour le réconforter, t’aurai juste l’air débile, en train de bégayer et chercher quelque chose à lui dire. parfois le silence ça fonctionne aussi pour ce genre de chose, pas besoin de grandes phrases toutes faites, juste écouter, ça tu sais faire. “t’as bien fait de revenir ici… emilio va bien s’occuper de toi. mais si tu veux qu’on aille faire un tour tous les deux un de ces quatre, s’il travaille et que tu t’ennuies chez lui, moi je suis dispo.” enfin, plus ou moins. t’avais ton lot de travail aussi, t’étais pas payé à te tourner les pouces chez airbnb, t’as juste un emploi du temps qui te permet d’être plutôt flexible, tant que tu rends des comptes en temps et en heure, mais généralement personne ne t’embête de toute façon, t’as toujours fait du bon travail et puis ton boss t’adore, t’es son préféré dans la compagnie, ça aide. “j’ai… vu ta photo dans un magazine oui.” tu l’avais acheté justement parce qu’il y avait ari dedans, au départ t’avais pas fait attention au scandale écrit dessus, t’étais juste fier de connaître le p’tit mec qui faisait le première de couverture. sauf qu’en lisant… tu t’étais rendu compte dès le premier paragraphe que ce n’était pas pour des éloges qu’il apparaissait sur plusieurs pages. t’as pas continuer ta lecture, préférant rester dans le déni plutôt que de lire des vérités falsifiées par les médias. d’ailleurs cet hebdomadaire traînait encore sur la table basse de ton salon, en rentrant tu pensera à le jeter. “je ne te méprise ni te déteste ariel. enlève toi cette idée de la tête. je ne sais pas vraiment ce qu’il s’est passé entre toi et cette… femme. je n’ai fait que lire les gros titres et quelques lignes. tout ce que je sais c’est que toi, je te connais, je pense savoir que tu n’es pas ce que raconte ces bouts de papiers, si t’as envie de te confier un jour, je serais là pour t’écouter.” tu seras simplement son oreille attentive, tu ne prendra pas partie (enfin, tu essaiera) et tu restera neutre face à cette affaire délicate.
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