Would you fall in the name of love ? (Elvia 01)
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

Would you fall in the name of love ? (Elvia 01)

STARS burning in the skies
Rama Ratanaporn
Rama Ratanaporn
messages : 1081
pseudo : mary. (elle)
id card : Nanon Korapat Kirdpan (+) tsukinos.
multicomptes :
Trinity Johnson (Sara Mills)
Elias Wayfield (Cillian Murphy)
Kelia Rojas (Florence Pugh)
Natanael Suarez (Pablo Alboran)

à contacter : le personnage concerné par la demande.
triggers : aucun tant qu'on en discute avant. Histoire que je sache à quoi m'attendre.
warnings : décès (père), accidents de la vie (grands brûlés), troubles psychiques (dépression silencieuse, légère),
présence : autant que possible.
Would you fall in the name of love ? (Elvia 01) B41dace274f865442af1ebea0e1fa0b79d5a0466
âge :
27 ans. Le sentiment d'avoir vécu une vie entière qui s'est brutalement arrêtée la nuit où les flammes ont eu raison de lui, où il aurait pu y passer sa vie (aout 2022).

occupation :
Chanteur/Compositeur du groupe "Butterfly Effect.
Auteur de romans érotiques.
Ancien sapeur pompier à la Caserne Oceanside Station 51 dans l'équipe Camion Echelle 81

statut civil :
Officiellement fiancé à Preeda. Amie d'enfance, promise dans le cadre d'un mariage arrangé entre leurs deux vieilles familles. Leur relation est purement factice. Un rôle qu'ils acceptent de tenir pour satisfaire leurs aïeuls. Ils n'attendent rien de ces fiançailles, mais ils jouent le jeu afin de ne pas être en difficulté face à leurs aïeuls.
Officieusement célibataire. Le cœur encore épris par une vénus (Elvia) et une lune (Earth), qui gravitent autour de lui sans rencontrer sa trajectoire.

orientation : pansexuel. Cela a toujours été une évidence pour lui. Il a autant d'attraits pour les courbes délicieuses des femmes que pour les traits ciselés des hommes qui s'offrent à son regard, mais c'est surtout l'âme de son/sa partenaire qui peut faire vibrer son palpitant.
habitation : #18, south oceanside (appartement)
pronom ig : il.
infos rp : en fonction de l'inspiration entre 400 et 1000 en moyenne. dialogue en français please, sauf s'il y a une traduction annotée en bas du rp. réponse en fonction de l'inspiration, mais je m'efforce toujours de ne pas faire trop attendre. ne pas hésiter à me le dire si je rp trop vite ou trop lentement.
en vrac :
Préliens :
(1F) Why do i feel like i'm about to die for loving you
(1M) you make me feel butterflies

# fils unique. a perdu son père à l'âge de 13 ans.
# est issue d'une lignée aristocratique, mais ne le porte pas du tout sur lui.
# américain d'origines thaïlandais et vietnamiennes.
# a fait du basket au lycée.
# a fait partie des gars populaires au collège et au lycée. il était le papillon social de l'établissement avec toujours un petit sourire et un mot gentil. il a d'ailleurs par son naturel calme mais franc empêché mile et une bagarre même si ça ne durait pas toujours trop longtemps.
# se déplace en moto depuis qu'il est à l'université.
# a toujours sa guitare avec lui depuis le collège. il lui arrive de faire des rifts dès qu'il sent le temps long ou qu'il attend. il a d'ailleurs un carnet où il note toutes ses inspirations.
# est abonné aux relations sur internet. Des rencontres éphémères où il use de ses mots pour enflammer les sens et s'offrir du plaisir par la même occasion.
# a des cicatrices dues à des brûlures au second degré sur l'ensemble de son dos. A la peau hyper sensible à ce niveau. Il ne supporte pas qu'on lui touche le dos désormais.
# ne porte jamais de débardeur sans chemise ou veste. Ne retire jamais son haut. Il porte même une combinaison pour aller dans l'eau.
# son style est plutôt casual, il fait toujours moins que son âge sauf lorsqu'il porte des tenues sophistiquées où son charme a la possibilité de se dévoiler.

   
 
Would you fall in the name of love ?
「 feat. @Elvia Chavez ; mars 2024 」
tw: troubles psychologiques (dépression silencieuse)


Outfit • Song. La lumière semblait de nouveau envahir son quotidien. Une forme de petite victoire. Il avait le sentiment que le creux de la vague était derrière lui, mais il savait mieux que personne qu’elle pouvait se creuser de nouveau. L’aléa de l’existence et il était bien placé pour le savoir. Il s’efforçait de se concentrer sur le positif en mettant de côté le négatif. Plus facile à dire qu’à faire certaines fois. Aujourd’hui, il s’accrochait à un espoir, celui de pouvoir reprendre l’uniforme. Pas celui qu’il avait cru porter toute sa vie, mais qui lui plairait tout autant. Il voulait le croire. Il ferait de son mieux pour s’en montrer digne s’il avait la chance de pouvoir s’aventurer dans cette voie. Les résultats des prochains tests qu’il allait passer avec sa psychologue lui permettront rapidement de le savoir. Il était impatient de rencontrer Tyler le lendemain, de pouvoir lui exposer son souhait et voir comment il pourrait le réaliser s’il était jugé apte par le personnel médical qui le suivait. C’était la première fois depuis des mois qu’il se sentait heureux, exalté à expérimenter de nouvelles choses. Un espoir auquel se raccrocher, un qui lui permettrait de se retrouver, d’être de nouveau celui qu’il demeure malgré les séquelles. Une joie de vivre qui lui permet de se sentir plus à l’aise dans son corps. Confiance fragile, mais qui met du baume au cœur. Il retrouve de vieux plaisir. Il ose retrouver les pistes de danse des boites de nuit, se perdre dans les sonorités de la musique qui bat à tout rompre en leur sein. Cela fait tellement du bien. Il parvient même à retrouver le plaisir d’échanger avec des étrangers, de découvrir ces âmes que ses ténèbres tenaient éloigné de lui. Pourtant, Rama a toujours aimé cela, être au contact de ces autres âmes, de les voir se dévoiler sous son regard bienveillant et prompt à découvrir leurs essences. Ce soir, il profite simplement de la vie, un verre de bière à la main. Il savoure cette boisson rafraichissante alors que la chaleur ambiante rend sa chair légèrement luisante d’une fine couche de sueur due à la fusion de son âme avec la musique électro diffusée. La voix de la chanteuse qui se fait entendre lui arrache des frisons. Les paroles résonnent en lui. Triste parallèle à sa propre histoire. Pourtant ce soir, cette chanson connue ne lui retourne pas le cœur. Elle résonne comme un cri du cœur, une résilience nécessaire pour s’extraire de tant de souffrance. S’ajoute à celles de ces danseurs anonymes qui scandent ces paroles. Et puis le temps s’arrête lors que son regard se pose sur une silhouette qu’il a bien trop chéri pour ne pas la reconnaitre. Pas besoin de voir le visage de cette demoiselle pour savoir qui elle est. Elle. Elvia. Cette beauté qu’il a aimé comme un déraisonné, qu’il aime encore malgré toute la rancœur qu’il a cru avoir à son égard. Plus facile de lui faire porter tous les torts que d’admettre qu’il avait les siens. La revoir l’émeut au plus profond de ses tripes. Il l’observe sans pudeur, tel un voyeur qui s’abreuve d’une vision qu’il juge exquise. Elle l’est. Elle l’a toujours été. Certains diraient qu’elle ne répond pas aux critères de beauté, mais il n’a jamais eu cure. Elle a toujours été divine pour lui. Son sourire qu’il aperçoit lui arrache le sien. Ses prunelles luisent d’un sentiment né d’une mélancolie. Ce sourire, il aurait pu se damner pour lui, quitte à faire les pires pitreries pour le lui arracher tant il l’aimait. Dans les ténèbres, il a oublié à quel point, il lui était précieux. Il n’a pas été en mesure de le conserver. Lorsqu’elle est partie, il a tout fait pour l’éviter. Il a arrêté de fréquenter les mêmes endroits qu’elle, refusant des concerts dans certains lieux d’Oceanside ou de San Diego. Ce soir, il avait fait un impair à cette règle, sans en avoir conscience et elle était là. Solaire, phare dont la lumière l’éblouie et l’émeut, l’attire comme au premier soir. L’envie d’aller à sa rencontre le possède avec tant de violence, qu’il n’a pas la décence de s’en empêcher. Sa silhouette vient naturellement se mouvoir près d’elle. Il sent le regard de ses amis se tourner vers lui. Certains qu’il connait, d’autres non. Le stress le gagne, en un battement de cœur. Il se rend compte de ce qu’il s’apprête à faire et quand son regard se tourne vers le sien, il s’arrête net. Ses prunelles noisette, ses taches de rousseur qu’il peut apercevoir malgré les spots colorés qui projettent des couleurs diverses. Il peut reculer, c’est encore le moment, mais il n’en fait rien. Il lui offre un sourire contrit, légèrement coupable, ceux qu’il lui arrivait d’avoir lorsqu’elle était fâchée contre lui, car elle trouvait qu’il était trop proche d’une autre alors que ses inquiétudes ne pouvaient qu’être caduque tant elle était l’unique à ses yeux, l’est toujours s’il veut bien se l’avouer. Il ose franchir les derniers mètres qui les séparent. Il salut, les visages connus d’un mouvement de main et un sourire qu’il rend détendu. « Hé ! » Il finit par lancer à l’objet de son attention. Ses prunelles luisent d’une fébrilité qui ne doit pas étrangère à la demoiselle. Cette agitation qui le gagnait toujours en sa compagnie. « Tu es magnifique. » Il lui indique dans un sourire qu’il souhaite rendre humble. L’idée n’est pas de la séduire ce soir. Il veut juste lui dire la vérité, rompre la distance entre eux et s’excuser par la même occasion. « Cela fait du bien de te voir ainsi. » Il ajoute, car il sait que ce sourire-là, elle ne l’avait plus à ses côtés, embourbée dans les ténèbres qui l’entourait et dans lesquels il l’entrainait avec lui. Pourtant, malgré l’ivresse de retrouver ce sentiment enivrant, il n’oublie pas ces derniers mots, ceux qui l’ont détruit. Te regarder me fait mal jusque dans mes tripes. Tu n'es plus l'homme qui m'a séduite au premier regard, au premier baisé... Et je ne sais pas si cela reviendra un jour. Ce soir, il n’escompte rien. Il ne se sent pas plus désirable qu’il y a un an et demi, mais maintenant, il se sent assez fort pour admettre ses torts, tenter de les réparer, de se faire pardonner à défaut de pouvoir être aimé de nouveau. Si seulement, ils pouvaient redevenir amis, ne pas connaitre le même destin tragique qu’il a vécu avec Earth. Cela pourrait alléger le tourment qui l’assaille à chaque fois qu’il pense à elle. Bien trop souvent depuis son départ de leur ancien appartement.

_________________
    Apologize to myself for putting me here. Thought it’d be nice to find love and to feel. But it seems this world’s cruel to me. I Sweet dream-like moments.
    (c)mars.