I'm lost, doctor. (Owen #01)
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I'm lost, doctor. (Owen #01)

STARS burning in the skies
Elias Wayfield
Elias Wayfield
messages : 442
pseudo : mary. (elle)
id card : Cillian Murphy + @truelove-crackship
multicomptes : Trinity Johnson (sara mills)
Kelia Rojas (florence pugh)
Natanael Suarez (pablo alboran)
Freja Hansen (scarlett johansson)

à contacter : le compte concerné par la demande
triggers : aucun tant qu'on en discute avant. histoire que je sache à quoi m'attendre.
warnings : décès (accident), guerre (mort), sévices physiques (cicatrices, blessures), troubles psychologiques (PTSD, Anxiété)
présence : autant que possible.
I'm lost, doctor. (Owen #01) 68f75767ea4f6f2605add7551c72ee3506b79bc2
âge :
43 ans. Né le 01/04/1981 à New York (USA). La quarantaine qui a débuté alors qu’il n’a même pas vu la fin de la trentaine s’écouler. Il a encore du mal à se dire qu’il a passé trois ans, loin de la vraie vie.

occupation :
Reporter de guerre. Cela fait plus de dix ans qu’Elias parcoure les sentiers de ces pays qui sont oppressés par des guerres civiles ou terroristes. Carrière mise en pause à cause de sa séquestration qui a duré 3 ans. En arrêt de travail actuellement.

statut civil :
Marié à Lucy depuis 21 ans. Demande de divorce amorcé en mai 2024. Décision prise pour son bien être et celui de sa famille. Elias encaisse l'information en plus de tout le reste. Il a coupé toute communication avec celle qui a toujours été sa meilleure amie, car la colère et la tristesse obstrue son esprit. Il n'est pas prêt à lui pardonner sa lâcheté. En tout cas pas pour le moment.

orientation :
Hétérosexuel. Il ne s’est jamais questionné sur le sujet. Du moins, il n’avait jamais eu à le faire. Aujourd’hui, les choses sont un peu différentes. Il se questionne sur la nature de l’attachement qu’il a pour lui, Angel, cet homme qui a partagé son quotidien au cours de ces trois dernières années.

habitation : #6184, peakcock, maison.
pronom ig : il.
disponibilités : toujours si on a une intrigue intéressante à approfondir dans un rp.
en vrac :
# a été orphelin dès ses six mois. Il a été adopté par les Wayfield dont il porte fièrement le nom. Réalité dont il a toujours eu conscience.
# a rencontré Lucy au collège. Meilleure amie, elle est la seule qui a occupé son coeur au cours de toutes ses années. Elle est sa meilleure amie, son amante, la femme de sa vie. Ils se sont toujours complété et elle a toujours été son soutien. Il cherche à la préserver autant que cela se peut.
# polyglotte. Il parle plusieurs langues : il maitrise l'anglais, le français, l'espagnol et l'arabe.
# a disparu durant trois ans. il est de retour à Oceanside depuis mars 2024.
# a été diagnostiqué avec un PTSD avec anxiété sévère.
# se déplace avec une canne. il doit subir une opération prochainement.
# a demandé le divorce à la suite de l'écart de sa femme. Il n'a pas la force de se battre et accepte autant que possible dignement la situation.

   
 
I'm lost, doctor.
「 feat. @Owen Taylor ; 17 Avril 2024 」
tw: guerre (mort), sévices physiques (cicatrices, blessures), troubles psychologiques (PTSD, Anxiété)

(Tenue). Le Doctor Taylor est le psychologue qu’il a rencontré à l’hôpital lors de son retour aux Etats-Unis. Il avait été mandaté par l’hôpital de San Diego pour une première consultation afin de définir son diagnostic. Il avait fallu plusieurs entretiens avant de poser un diagnostic clair, mais il avait été relativement simple en définitif : PTSD avec trouble d’anxiété sévère. Elias avait décidé qu’il était plus simple de suivre une thérapie comportementale et cognitive avec le même médecin. Il ne se sentait pas capable de réitérer ses confidences. C’était déjà une difficulté pour lui de s’exprimer et puis il se sentait à l’aise avec son thérapeute. En conséquence, cela faisait moins d’un mois qu’il le voyait et il se rendait compte aujourd’hui que son retour à domicile était chaotique. Tout le maigre équilibre bâtit de nouveau venait de voler en éclat, le laissant en branle et plus désemparé que jamais. Ses migraines et tremblements étaient conséquents. Il avait dû prendre un verre d’alcool au cours des deux précédentes soirées pour tenter de faire taire quelques pensées qui manquaient de lui faire perdre la tête. Il avait géré comme il avait pu, s’efforçant de garder son mal être intérieur et s’isolant au mieux dans sa bulle, car il était possédé par une envie oppressante de crier et de tout détruire, comme s’il avait le besoin de tout faire disparaitre pour tenter de reconstruire sur des bases saines. Sa respiration est difficile lorsqu’il arrive en taxi devant le cabinet du docteur Taylor. Il ne l’a pas demandé à Lucy, car il ne voulait pas la lever ci-tôt, mais la vérité était qu’il n’avait pas envie de la voir depuis deux jours. La blessure était cuisante et béante. Il lui en voulait, tout en sachant que c’était totalement injuste de sa part. Ses émotions n’avaient aucun filtre alors qu’il n’avait jamais eu de problème de cet ordre jusqu’alors. C’était si frustrant et aliénant d’être à la fois conscient et incapable d’agir autrement. Il sonne naturellement à la porte de son thérapeute. Il s’immisce dans le cabinet lorsqu’il arrive, lui serrant la main comme il est de coutume de le faire alors qu’il l’invite à prendre place sur le canapé où il accueille ses patients dans un espace intimiste, facilitant l’échange.

« Merci d’avoir accepté de me prendre aussi rapidement, Docteur. Je sais que j’ai dû modifier vos engagements. » Il lui indique en venant serrer ses mains l’une contre l’autre pour tenter de les maintenir au calme.

Il ne s’excuse plus, car il sait que ce n’est pas sain de le faire, car il s’imputerait un tort supplémentaire. Alors, il s’efforce de garder cette pensée en tête pour éviter que son mal-être accentue les parasites qui sont déjà bien présent.

« J’aurai besoin de vos talents pour trouver des clés de compréhension et de lectures de ce qu’il m’arrive, mais aussi de solutions, car j’ai le sentiment horripilant que tout m’échappe et ça m’angoisse profondément. »

Le contraire serait surprenant tant il est possible de sentir ses muscles s’agiter sous le poids de ces pensées qu’il garde secret et qui cherchent à s’exprimer, se déverser ailleurs que sur ses proches, car il est malade, détruit et plus fragile que jamais il n’a été et c’est dur de l’admettre. Surtout pour lui.

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    When you feel my heat, look into my eyes It's where my demons hide Don't get too close, it's dark inside it's where my demons hide
    (c)mars.
SUN wildest dreams
Owen Taylor
Owen Taylor
messages : 48
pseudo : Choupinette (elle)
id card : Bob Morley (choup)
multicomptes : Danny Wayfield
à contacter : Danny
warnings : Accident de voiture, décès d'un proche, deuil
présence : Présent
I'm lost, doctor. (Owen #01) Tumblr_inline_nva9j3woNI1qlt39u_250
âge : 39 ans. Owen est né le 24 octobre 1984 dans la ville de Brisbane, en Australie.
occupation : Avant tout un psychologue clinicien, spécialiste du trauma complexe et du trouble de stress post-traumatique qu’il pratique au sein de son cabinet à Oceanside. Il reçoit aussi des patients avec des pathologies moins lourdes, et accueil parfois couples et familles. Il donne aussi de son temps sur les interventions d’urgence pour la prise en charge immédiate des victimes. Au milieu de tout cela, il donne également des cours à l’université de San Diego.
statut civil : Veuf depuis un peu plus d’un an, Owen a perdu sa femme et vit à présent seul avec sa petite fille de six ans.
orientation : Hétérosexuel
habitation : #1395 North Valley, Owen vit au sein d'une maison familiale avec sa petite fille
pronom ig : il
disponibilités : Open
infos rp : En général entre 500 et plus, tout dépend de mon inspiration du moment et du contexte du rp. Narration à la troisième personne et au passé. Je réponds assez vite (sous deux semaines maximum en général), tout dépend de mes obligations irl.
   
 
I'm lost, doctor.
「 feat. @Elias Wayfield ; 17 Avril 2024 」
tw: guerre (mort), sévices physiques (cicatrices, blessures), troubles psychologiques (PTSD, Anxiété)

Owen faisait sans aucun doute partie de ces thérapeutes qui s'arrangeaient toujours pour voir ses patients en cas de besoin, en particulier quand il s’agissait d’un cas d’urgence. Il ne savait pas encore s’il pouvait qualifier ainsi son premier rendez-vous de la journée. Les messages qu’il avait reçus la veille de la part d’Elias pouvaient paraître inquiétants, mais le fait qu’il se soit senti capable d’attendre le lendemain matin pour une séance était tout de même un aspect positif. En tout cas, le brun préférait ne pas anticiper quoi que ce soit et observer le moment venu la gravité de la situation.

Il est vrai que ce rendez-vous avait un peu chamboulé sa matinée. Surtout les quelques instants qu’il passait en général avec sa fille, mais il avait la chance d’avoir un entourage compréhensif qui avait pu prendre exceptionnellement le relais. Sa fille était également habituée à ces changements de programmes de dernière minute. Elle ne lui en voulait d’ailleurs jamais, parce qu’elle savait, à la hauteur de ses six ans, que son papa aidait les autres, ceux qui en avaient besoin. C’était donc très tôt qu’il s’était retrouvé à son cabinet, bien avant sa secrétaire qu’il n’avait pas voulu déranger pour l’accueil d’un patient matinal. C’était donc lui qui avait ouvert la porte et avait enjoint Elias à s’installer dans sa salle de consultation.

« Je vous en prie, Elias. »

Owen lui avait laissé le temps de s’installer sur l’un des fauteuils de la pièce avant de le faire lui-même après avoir récupéré de quoi prendre des notes sur son bureau. Il n’avait pas eu le temps de poser sa première question, en lien avec les messages qu’ils avaient échangés hier, qu’Elias avait déjà commencé à parler. Ou plutôt à lui communiquer l’objectif qu’il voulait atteindre à travers cette séance. Il s’était visiblement trouvé face à une situation qui avait dépassé ses moyens de gestion. Ce qui n’était pas vraiment étonnant pour quelqu’un souffrant de stress post-traumatique. Les mécanismes de défense étaient souvent si bien ancrés qu’ils entraînaient un fonctionnement pathologique.

« On va tenter de trouver des solutions ensemble. Commencez déjà par me dire ce qui a entraîné votre perturbation. »

Ou même ce qui continuait à l’entretenir, d’ailleurs. Même si un événement était fini, il pouvait continuer à avoir des conséquences sur l’après. Et c’était visiblement le cas pour Elias aujourd’hui. Cet événement qu’il avait vécu au cours de ces derniers jours n’était psychiquement pas encore terminé.