the underside of power ft. leif (XI)
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the underside of power ft. leif (XI)

STARS burning in the skies
Robyn Kaplan
Robyn Kaplan
messages : 2538
pseudo : spf. (she/her)
id card : kravitz | ethereal (aes), timus (sign).
warnings : langage grossier, négligence parentale, tabagisme, affaires criminelles (violence, homicides et tutti quanti).
the underside of power ft. leif (XI) D0c227b77ae97266171a512a696a8ee2d8871013
âge : trente-cinq ans, l'impression d'être assurément too old for this shit.
occupation : inspectrice de police à la criminelle du district 18, vaut mieux l'avoir en peinture qu'en face à face lors d'un interrogatoire.
statut civil : amoureuse et en couple pour la toute première fois. leif partout autour d'elle; de ses pensées à l'intimité de son coeur.
orientation : hétérosexuelle, les hommes ont toujours attiré son regard.
habitation : petit appartement du south oceanside.
pronom ig : she/her.
disponibilités : dispo

leifyn VIII ✧.* leifyn IX ✧.* leifyn X ✧.* tabitha II ✧.* leifyn XI ✧.* cleo II


infos rp : je réponds généralement sous deux/trois semaines, selon l'inspiration et l'irl.
-- de 400 à 800+ mots par réponse
-- 3ème personne du singulier, au présent
-- dialogues en français ou anglais
-- code couleur : mediumpurple

   
 

the underside of power
tw/ sexisme, préjugés, drogues (mention),
enquête policière, jeux d'argent

@Leif Sundström

friday, may 24 — 7:24 p.m.
debout sur des talons aiguilles, robyn se demande encore pourquoi elle a accepté. because she had no other choice. désistement de torres au dernier moment pour jouer la belle, wilkes avait dû se tourner vers kaplan de la criminelle pour pouvoir l'accompagner ce soir-là. faut dire qu'au commissariat, les trentenaires du sexe féminin ne courraient pas les rues. « that's funny, my name's robin and yours is robyn. » remarque wilkes à ses côtés tandis que kaplan scanne la grande salle se remplir petit à petit. « so funny, indeed. » répond-t-elle sans y croire une seule seconde; qu'est-ce qu'elle en a à foutre qu'il porte le même prénom qu'elle. le connait pas plus que ça, robin wilkes. l'a déjà croisé quelques fois, sait qu'il travaille pour le département des stupéfiants et ça s'arrête là. quoique. sait également qu'il y a une rumeur qui court sur lui et foster. pas que ça la regarde, robyn, mais en supportant le spécimen depuis maintenant presque une heure, la rumeur pourrait s'avérer réel – il en serait capable. brouhaha ambiant, la crème de la crème d'oceanside et des alentours, foulant le sol en marbre du thunder valley casino resort. le directeur avait fait son speech pour cet évènement spécial; gala de charité, dix pourcents des gains seraient reversés à une association humanitaire. briefé la vieille pour le lendemain, robyn savait que monsieur le directeur et ses associés étaient soupçonnés d'être à la tête d'un trafic de poudre blanche, loin du sucre glace, et potentiellement de blanchissement d'argent. c'était bien la deuxième fois de sa vie qu'elle se retrouvait au coeur d'une mission d'infiltration et la première fois où elle ne porterait aucun dispositif technologique. trop de risques de se faire cramer une fois à l'intérieur du casino accolé au resort, leur système de sécurité étant trop sophistiqué. première mise-en-bouche de cette enquête, où kaplan ne pourrait compte que sur ses yeux et ses oreilles pour la pêche aux informations. espérait quand même que torres serait de nouveau sur pieds la prochaine fois, préférait dealer avec des cadavres plutôt qu'avec de la coke. et puisqu'elle avait besoin de toute sa tête pour la soirée, elle refuse aussitôt un verre proposé par un serveur tandis que wilkes se sert. « you're pregnant? » elle tourne son visage vers lui, croit rêver. « huh? no. i mean, we're working or not? » « well, a drink never killed anybody. » ne prend pas la peine de répondre et se contente de soupirer avant de le planter là, pour rejoindre l'attroupement vers l'entrée du casino. « you coming? » interpelle wilkes par-dessus son épaule pour qu'il finisse enfin par se bouger, les yeux captivés.

les bras croisés contre sa poitrine, l'avait plus l'air d'un agent de la sécurité qu'une nana prête à faire flamber plusieurs dollars au blackjack ou dans les machines à sous. hall exceptionnellement réservé à cette populace, le flyer en guise de ticket d'entrée – qu'elle avait bel et bien évidemment oublié chez elle, elle était donc passée pour la +1 de wilkes. les talons déjà en vrac depuis deux heures, la dentelle noire qui lui gratte les cuisses plus qu'autre chose. préférait rentrer si elle avait vraiment le choix, journée interminable, pourrait conduire jusqu'à l'appart de leif pour s'écrouler dans son canapé. mais elle est là. dans un décor qui l'écoeure, lui rappelant de vieux souvenirs et entourée d'une classe sociale qui lui file des boutons. à taper la discute à trois clampins et n'a rien récolté d'intéressant, si ce n'est que oh, apparemment elle avait des airs d'une latina et l'interlocuteur en question s'était demandé si elle pouvait bouger ses hanches aussi bien qu'une latina – retourne te coucher francis. robyn repère wilkes de loin et l'oublie, mais repère surtout un des bons copains du directeur du resort qui vient de s'installer au bar. maintenant ou jamais, sa chance d'aller flatter l'égo d'un old white guy pour lui soutirer des informations. slalomant entre les machines à sous, elle rejoint l'homme en costard. s'installe, non sans peine à cause de sa tenue louée, au comptoir à ses côtés – comme si de rien n'était. commande un strawberry virgin mojito puis élabore un instant dans sa tête une phrase d'accroche. lui faut que quelques instants avant de s'exclamer avec enthousiasme : « oh my god, you're harold price? i'm such a fan of yours! » le presque sexagénaire tourne aussitôt sa tête, ravi de voir les yeux briller de robyn, la génialissime comédienne.
et même qu'il la lui paye, son virgin mojito.
et qu'il commence à parler de lui, même beaucoup de lui, sans que robyn ne puisse un instant se présenter sous le blaze emprunté à sa mère, miss dumas.
et qu'au final, elle n'a aucune chance de pouvoir en caser une alors se contente d'écouter en hochant la tête et en picorant des cacahuètes.
après tout, elle est là pour ouvrir ses oreilles alors elle les ouvre.
et ses yeux également, qui s'écarquillent même lorsqu'elle pense croiser un visage familier tandis qu'harold leur commande deux manhattan.
robyn pense halluciner en découvrant sundström à l'extrémité du bar. son mec. en chemise et veste impeccables.
fatal error 404.
what
the actual
fuck?
robyn mortifiée, robyn mutique. les yeux rivés sur lui qui lancent tous les points d'interrogation possibles sur terre. oublie carrément harold et ses anecdotes de merde à ses côtés, oublie pourquoi elle est là et le travail, oublie tout; il n'y a plus rien qui compte si ce n'est leif.


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vill du gå på dejt med mig?

MOON up all night
Leif Sundström
Leif Sundström
messages : 1634
pseudo : thalestris. (she/her)
id card : kinnaman | rorolove (av)
triggers : les tiens seront les miens.
warnings : langage grossier, substances illicites, alcool, violence physique et verbale, abandon, sexe.
âge : fatigue à l'âme, [quarante-quatre] ans filés de mauvais coton.
occupation : [chauffeur livreur], loin du job de rêve par excellence mais ça paie les factures et personne ne vient l'y faire chier.
statut civil : [ en couple] depuis le deux mars, [robyn] comme seule étincelle capable de raviver le cœur dont elle est maître.
orientation : seules les courbes [féminines] pour lui faire courber l'échine et battre le myocarde.
habitation : petit appartement du south oceanside, [#28] zone de guerre où il réside avec [svea], sa nièce.
pronom ig : he/him.
disponibilités :
dispo
leifyn Vwolfieleifyn VIIleifyn VIIIsage IIjesus.

infos rp :
je m'adapte en fonction de ma/on partenaire.
- - de 300 à 1000+ mots selon l'inspiration et les préférences.
- - paroles en suédois, anglais ou français.
- - fréquence rp variante selon la motivation et l'irl, répond généralement en moins de deux semaines.
dialogues: #7d5256

   
 

the underside of power
tw/ jeux d'argent, vulgarité, plaies
@Robyn Kaplan

main chanceuse ce soir;
pas l'habitude. présenté aux tables de jeux à défaut de trouver celle qu'il espérait voir briller. l'aurait aidée à se préparer pour... quoi? permettre à d'autres de la mater pendant qu'il n'en aurait plus une miette ? et puis quoi encore. une poignée de billets en poche, svea plus rapide que l'éclair à tapoter sur son écran de portable et une adresse trouvée plus tard; vendeuse avait marqué un temps d'arrêt en voyant le colosse cabossé entrer dans son magasin - et ne s'était d'ailleurs pas priée pour le dévisager. I know, I know. n'a pas la dégaine de ces types qu'elle côtoie probablement chaque jour que dieu fait. « cheapest ? » répondu au classique `can i help you?` pas le langage adapté non plus. s'est offusqué deux ou trois (ou douze) fois des prix affichés sur les étiquettes, tout ça pour un pantalon et une veste noirs. l'est déconnecté de la réalité le suédois. à force de porter les mêmes fringues usées depuis des décennies, de se fournir dans les friperies. « well, not that cheap. » ressemblerait à son vieux père dans le costume qu'elle lui présentait; des bretelles serrées sur les épaules et un motif à gerber. on finit par trouver un compromis (miracle). sans doute davantage du au fait qu'elle voulait vite le voir dégager et plus jamais revenir. sentiment partagé. sûr qu'elle avait, comble de tout, tenté de le pigeonner avec l'une de ces paires de chaussures trop bien cirées - « yeah, no. » pourrait payer les deux prochains mois de cours de piano à svea pour ce prix là.
suédois acceptait déja de ressembler à un pingouin mais sa patience avait des limites.

rentré,
saut à la douche avant d'enfiler ses toutes nouvelles sapes flambant neuves. svea sur ses talons pour l'accompagner dans les préparations - rafraîchir sa coupe de cheveux, raser sa barbe de quelques jours pour ne pas avoir l'air débraillé. joues aussi imberbes que celles d'un bébé. s'était agacée de ne pas pouvoir mettre de "pont de teint" (où quel que soit le mot qu'elle employait) sur la plaie de son pif tandis que leif, lui, s'en satisfaisait. « maybe they'll let me win cause of this. » la gamine avait rigolé à en chialer - et lui ça l'a un peu vexé. « because you look like a freak ??? » - « exactly. your old man still have some lessons to teach ya! » elle avait rigolé encore, lui s'en était contenté pour conclure la conversation. (presque sept heures). l'heure d'y aller.
montre sans grande valeur s'était accrochée au poignet et quelques pincées de gel étaient venues parsemer ses mèches blondes jusqu'alors désordonnées. fin prêt. n'ose pas se regarder dans le miroir avant de se marrer - aurait trop envie de se moquer. svea ne l'a pas fait non plus et cela l'a touché plus que ça n'aurait dû; lui a même dit qu'il avait "la classe". une première. une dernière. heureusement. le fait déjà chier de galèrer à bouger dans la veste qui embrasse juste assez ses épaules carrées et ses biceps. l'impression que tout finirait par craquer s'il faisait un geste trop brusque.

voilà qu'il se retrouve là, au casino;
joue l'argent qu'il n'a pas (vraiment) pour passer le temps et se surprend à rentabiliser sa mise. c'est truqué ? première pensée. serait pas une première, ça non plus. faire croire aux gens qu'il peuvent gagner puis les inciter à jouer plus jusqu'à les priver de tout ce qu'ils ont eu le malheur de miser; pas pour rien que des centaines de pauvres types se font avoir chaque jour. finissent par vendre leur caisse, leur baraque (ou pire). a quand même glissé une cinquantaine de dollars supplémentaires à la table de blackjack qu'il est parvenu à tripler. fait plaisir. servira à régler les frais de dossier pour l'adoption de svea, même si elle ne le sait pas. suédois n'a pas eu le cœur de lui en parler - peut-être parce qu'il a peur qu'elle veuille retrouver sa mère lorsque celle-ci sera libérée. presse le pas jusqu'au bar pour oublier et a le plaisir de l'y retrouver. deuxième miracle de la soirée. salle immense (et bondée) n'aurait pas cru la retrouver ricanant comme une dinde au bras d'un vieux (meaning, plus que lui) en inventant s'appeler dumas. quel genre de nom, ça encore ? profite qu'elle ne l'ait pas raquer pour commander et se rincer les mirettes - quand bien même est-ce étrange de la voir sans mouver sans la cinquantaine de tatouages qui habillent sa peau au quotidien. sublime dans sa robe. dans sa façon de sourire (même si rien de tout ça n'est vrai). il se la taperait bien, miss dumas.

d'autant plus hilarant lorsqu'elle finit par le remarquer et que ses yeux s'ecarquillent comme des billes. oops ? semble pas du tout désolé, leif, verre levé où il noie le sourire carnassier pour trinquer à distance. l'a bien eue. « miss dumas. never thought I would be lucky enough to see you there tonight. » lance pour s'accaparer un peu plus son attention. s'en fiche complètement de son opération. un peu trop à l'aise, un peu trop conquis. « if I may, you're absolutely dazzling. » pince les lèvres (de désir) mais aussi et surtout pour s'empêcher d'ajouter quoi que ce soit - l'émeraude échauffée fait bien assez de commentaires sans que cela n'ait à être mis sur des mots.


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