robyn · full dark, no stars

Mer 10 Mai - 21:56

robyn mallory kaplan
ft. zoë kravitz - (vocivus)

trigger warnings // langage grossier, négligence parentale, substances illicites, addiction aux jeux, décès, anxiété.

âge, naissance née le 7 mai 1989 à lafayette, en louisiane. trente-quatre ans, déjà. l'impression que sa vingtaine s'est envolée en un claquement de doigts.

origines, nationalité les papelards américains à jour. un cocktail coloré sous la carne, afro-américaine, afro-bahaméenne et créole de louisiane du côté de sa mère. juive ashkénaze aux racines européennes par son père. pas que ça change quelque chose à sa life mais bon.

genre femme cisgenre.

occupation inspectrice de police, un peu par défaut et inspirée par son grand-père paternel. d'abord tentée par la brigade des stups, a fini à la criminelle. fouille-merde professionnelle, rottweiler qui tire toujours la gueule pour se donner un genre et se faire respecter.

situation financière $$$$$, aurait vraiment dû faire dentiste plutôt que flic pour s'en mettre plein les poches. mais elle ne se plaint pas, ça lui a toujours suffit.

statut civil en couple depuis le 2 mars 2024 avec @Leif Sundström, après des mois à se tourner autour; à apprendre comment s'apprivoiser et surtout s'aimer, sans jamais oser officialiser. la crainte de tout faire foirer. et pourtant elle a le coeur qui déborde d'un amour éthéré pour lui, ne pensait pas que ce serait possible d'aimer autant. d'aimer tout court en réalité, car elle n'y a jamais cru à l'amour. comme quoi, il y a vraiment que les cons qui ne changent pas d'avis.

orientation sexuelle hétérosexuelle. robyn a toujours été attirée par le sexe opposé bien qu'elle ait déjà fait croire le contraire, juste pour qu'on lui lâche la grappe.

situation familiale fille unique d'un couple bancal, ses parents se sont séparés avant même qu'elle ne pointe le bout de son nez. des parents trop jeunes, qui n'auraient jamais dû le devenir. la gamine récupérée entièrement par son père lorsque sa mère n'y arrivait plus. la gamine fourrée aux parents dudit père, lorsque celui ne pouvait, ne voulait plus assumer ses responsabilités. pas la bienvenue dans un premier temps, ses grands-parents paternels ont fini par se faire à l'idée d'élever la jeune robyn.

à oceanside depuis mai 2022, deux ans déjà. elle a quitté san francisco pour raison personnelle avant tout, l'occasion de changer d'air mais pas tout à fait — toujours aussi proche de l'océan pacifique, qu'elle aime tant.

les quelques mots ;
discrète, débrouillarde, sarcastique, désabusée, loyale, bornée, perspicace, a l'humour douteux, franche, froide aux premiers abords, chill quand on la connaît, téméraire, à l'écoute, vulgaire, minimaliste, solitaire, brusque, galère à accorder sa confiance, rigoureuse dans son travail, vulnérable, rancunière, bienveillante, provocante, toujours à l'heure.

les vibes ;
long story short: i survived.
when trust is broken, sorry means nothing.
sarcasm and orgasm, my two favorite 'asms'.
we can't giggle, it's a crime scene.
because fuck you that's why.
maybe i've always been more confortable in chaos.
kinda hungry kinda horny kinda tired kinda wanna get a new tattoo.
- i'm fine.
- you don't look fine.
- then stop looking.
please never leave.
i don't stalk, i investigate.
i love silence. no talking. no noise. just shhh shhhhhhhh. love that.
good heart, bad temper.
i was quiet, not blind.
i want to ki-- you. (answers may vary)

perso irl

I want you to hold out the palm of your hand

i. bébé débarque trop rapidement dans les bras de callie alors que nick s'est déjà tiré. gosse de vingt-et-un ans qui avait planifié autrement son avenir qu'en devenant maman. planifié son futur dans les cachetons. a déjà tenu le coup loin de ces merdes lors de la grossesse, grâce à nick. mais nick n'est plus là et callie est complètement seule, dépassée par les pleurs et l'attention que demande sa fille. cette dernière qui passe plus de temps chez la voisine que chez sa propre mère. callie abuse et perd pied, la blanche plein le nez. avec son doudou orange dans les bras, la fillette quitte définitivement sa mère pour rejoindre nick. rencontrer son père pour la première fois. « when am i going to see mummy again? » nick ne prend pas la peine de répondre alors qu'il l'installe à l'arrière de sa caisse. la réponse est simple : never.

(« quand vais-je revoir maman ? »)

ii. traînée de villes en villes, à travers les états, robyn n’a pas le temps de s'acclimater aux différentes écoles et de se faire des camarades. elle voit plusieurs nanas défiler aux côtés de son père, qui se demandent toutes l’une après l’autre ce que fout cette mioche dans les pattes de nick, lui, blanc comme un cul. il y a bien que melissa dans le lot qui s’attarde à s’occuper de robyn, à lui acheter de jolies frippes pendant que nick se noie dans les jeux de cartes, à la recherche du gain. et le pire, c’est qu’il y arrive ce con. il y a des hauts et des bas, et pouvoir jouer à vegas est une opportunité en or. melissa aidant robyn à remplir son cahier d’exercices, dans un nevada estival étouffant mais supportable grâce à la clim de l’hôtel. melissa disparaissant de temps à autre dans la salle de bain, jusqu’au bam final. robyn la découvre inerte, une aiguille logée au creux du coude. la gamine a huit ans et fait face à la mort pour la première fois. la petite main secoue l’épaule de l’adulte à plusieurs reprises, sans succès. elle comprend doucement. elle range son cahier et ses crayons, récupère son doudou orange et range le tout dans son sac à dos. le bob enfoncé sur sa tête, elle quitte l’hôtel seule, marche seule, pour retrouver le bâtiment au néon en forme de flamant rose. la sécurité refuse l’entrée du casino à la fillette . elle rétorque qu’il faut aller chercher nicholas kaplan. « he’s my dad, it’s very important » ajoute-t-elle, peu à l’aise. nick la retrouve, furieux, qu’elle l’ait dérangée en plein milieu de sa partie — de ses conneries. robyn pleure mais ne dit rien. il lui attrape la main et ils retournent à grands pas à l’hôtel. tombe des nues en trouvant melissa raide morte, nick ne réfléchit pas plus longtemps et fait immédiatement ses bagages. « we can’t leave her here. » « of course we can robyn and that’s what we’ll do. let’s go. » ils se tirent sans faire le check-out de leur chambre. nick est pâle au volant de sa ford, robyn à l’arrière ne dit rien. ne dira rien tout le long du trajet jusqu’en californie. she was quiet, but not blind. she knew it was wrong.

(« c’est mon père, c’est très important. » - « on peut pas la laisser là. » - « bien sûr qu’on peut robyn et c’est ce qu’on va faire. allez on y va. » - elle était silencieuse, mais pas aveugle. elle savait que c’était mal.)

iii. « are you kidding us, nick?! » richard kaplan aux côtés de son épouse hilda, (re)découvrant non seulement que leur fils est une cause perdue, qu'il a eu une gamine avec dieu-sait-qui et qu'il compte la leur refiler. robyn en retrait, observe les adultes se disputer. après sa mère, après melissa, c'est au tour de son père de la laisser sans se retourner. parce qu'ils n'ont pas vraiment le choix, les kaplan l'accueille sous leur toit à san francisco. l'impression d'être un fardeau ne la quitte pas vraiment. doucement mais sûrement, robyn se fait à cette stabilité. a beaucoup de lacunes scolaires mais hilda s'efforce de l'aider à faire remonter ses notes. si sa grand-mère semble plus compatissante avec le temps, son grand-père l'est beaucoup moins. ancien militaire, travaille depuis plusieurs années au commissariat de la ville. lui fout les jetons parfois, autant qu'elle a une certaine admiration pour lui. l'envie de faire mieux pour qu'il puisse la considérer, la réelle motivation de le rendre fier, ne serait-ce qu'une once d'elle.

(« tu te moques de nous, nick ?! »)

iv. l'éducation rigide des grands-parents a de quoi faire grincer les dents de robyn au fur et à mesure qu'elle grandit. elle ignore les appels occasionnels et ridicules de son père. refuse que sa mère reprenne contact avec elle. when trust is broken, sorry means nothing. qu'ils aillent tous se faire foutre avec leurs excuses. les bancs de l'école sont derrière elle, ce n'est presque sans surprise qu'elle débarque à l'école de police, sans vraiment trop quoi faire d'autre de sa peau. rigoureuse dans ses bottes, robyn apprend vite et évolue rapidement, bien que dans l'ombre de son grand-père. elle change de service pour s'en défaire, finalement peu souciante des remarques qu'elle a déjà pu recevoir et de cet environnement bien trop masculin. un cancer finit par emporter sa grand-mère hilda, divorcée de richard depuis plusieurs années maintenant, et robyn prévoit de quitter la ville. ça lui prend des mois à se décider, à s'organiser et surtout à trouver un poste d'inspectrice ailleurs. ne se fait pas de soucis pour son grand-père, tenace comme il est et surtout épaulé par sa nouvelle épouse de vingt ans de moins que lui. elle descend plus au sud de la californie, à oceanside, toujours proche de l'océan pour sa beauté et le surf. et bien déterminée à rendre justice aux affaires criminelles sur lesquelles elle travaillera.

(quand la confiance est brisée, les excuses ne signifient rien.)

à savoir ;
ceinture noire et premier grade de deshi en judo, même si son kimono est depuis quelques années rangé au placard, robyn maîtrise le combat rapproché. — lilliputienne ou presque, tout juste un mètre soixante. on lui demande souvent si elle n'est pas trop petite pour son taff, mais non, elle dépasse largement la taille minimale exigée. donc faites pas chier les haters. — accro à la nicotine mais elle prétendra que non, si elle veut, elle peut arrêter dès demain. le souffle qui part en couilles pendant ses séances de footing. — des aventures d'un soir occasionnelles, elle se moque bien que le gars soit célibataire ou même en couple, amante pour une nuit, ça n'ira de toute façon pas plus loin que ça. elle préfère les hommes plus âgés qu'elle, plutôt que l'inverse. — sa règle d'or : ne jamais mélanger boulot avec vie privée. et pourtant si elle la tient au commissariat, elle ramène du boulot quand elle rentre chez elle. — a plus d'une cinquantaine de tatouages sur la peau, a arrêté de les compter. pas besoin de lui demander leur signification, la plupart d'eux sont juste là par esthétisme. — s'est faite cambrioler lorsqu'elle habitait à san francisco, pendant qu'elle dormait. une anxiété trop importante les semaines suivant l'incident, elle a fini par déménager. a désormais l'habitude d'abuser des serrures, quitte à s'enfermer à triple tours. — pas intéressée à fonder une famille, ni adopter un labrador baveux au nom de max, un blocage pour s'engager. aussi fou que ça puisse paraître, son travail représente sa stabilité. sans ça, elle partirait à la dérive.

rps en cours/full
www ‧ @bran higgins (2)
www ‧ @leif sundström (8)
www ‧ @leif sundström (9)
www ‧ @leif sundström (10)
www ‧ @Tabitha Knox (2)
www ‧ @cleo kaplan

à venir -- none.

rps terminés/abandonnés
www ‧ @Tabitha Knox (1)
www ‧ @leif sundström (7)
www ‧ @leif sundström (5)
www ‧ @leif sundström (6)
www ‧ @bran higgins (1)
www ‧ @asani king
www ‧ @oceanside p.d.
www ‧ @omari reed
www ‧ @leif sundström (4)
www ‧ @tyler kane-sheperd
www ‧ @leif sundström (3)
www ‧ @leif sundström (2)
www ‧ @leif sundström (1)
www ‧ @martin barlow

yo

je n'ai jamais d'idées en terme de liens prédéfinis mais j'aime brainstormer en fonction des personnages. niice

Mer 10 Mai - 21:56

répertoire des liens

@Leif Sundström ★★★★★
first boyfriend ever. elle lui a (apparemment) pété le dos quand il s'est invité chez elle sans sa permission. a finalement dû aimer ça car depuis, ils ne sont plus quittés.

@omari reed ★★★★☆

@Bran Higgins ★★★☆☆

@wolf baxton ☆☆☆☆☆

@cleo kaplan ☆☆☆☆☆
half-sister, two strangers.

@elea williams ★★★☆☆

@tabitha knox ★★★★☆

@svea sundström ★★★★☆