welcome to lalaland ft. leif
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welcome to lalaland ft. leif

STARS burning in the skies
Robyn Kaplan
Robyn Kaplan
messages : 2335
pseudo : spf. (she/her)
id card : kravitz | ethereal (aes), timus (sign).
warnings : langage grossier, négligence parentale, tabagisme, affaires criminelles (violence, homicides et tutti quanti).
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âge : trente-cinq ans, l'impression d'être assurément too old for this shit.
occupation : inspectrice de police à la criminelle du district 18, vaut mieux l'avoir en peinture qu'en face à face lors d'un interrogatoire.
statut civil : amoureuse et en couple pour la toute première fois. leif partout autour d'elle; de ses pensées à l'intimité de son coeur.
orientation : hétérosexuelle, les hommes ont toujours attiré son regard.
habitation : petit appartement du south oceanside.
pronom ig : she/her.
disponibilités : complet

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infos rp : je réponds généralement sous deux semaines, selon l'inspiration et l'irl.
-- de 400 à 800+ mots par réponse
-- 3ème personne du singulier, au présent
-- dialogues en français ou anglais
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welcome to lalaland
w/ @leif sundström

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il n'y avait pas plus chiant que de faire son plein. les chiffres qui défilent, le prix qui augmente bien plus vite que les litres de gazole. à défaut d'avoir une caisse de fonction, on lui paie presque la totalité des frais du carburant, c'est déjà ça. robyn fixe le compteur, tomber pile poil sur 70.00$, son petit challenge du soir – quelle vie passionnante. station plutôt calme pour ce début de soirée, mais des paroles plus loin l'interpellent, elle zieute entre les pompes, voit une gamine et un mec. la main toujours sur le pistolet, tend l'oreille sur ce qui ne la regarde pas mais qui regarde l'inspectrice quand même. besoin d'aide, passer un coup de fil, monter dans son truck. merde et même double merde pour les 70.12$ affichés. déconcentrée, elle range le pistolet dans sa pompe et referme son réservoir. elle récupère le ticket de paiement au passage, qu'elle glisse dans la poche de son jean en s'avançant vers le duo. parce qu'elle flaire la merde. alors même si elle peut parfois tourner à la paranoïa, elle a bien trop vu de sad endings au cours de sa jeune carrière. les happy endings sont réservés à hollywood et son royaume de trous duc. « what's going on here? » robyn s'invite et s'impose, découvrant bien mieux les deux protagonistes. « no one asked you. » grogne le quinquagénaire, pas franchement ravi de la voir débarquer elle, avec ses tresses et grands sabots. « yeah but i just asked you. » le timbre sec, les mirettes plantées sur lui. il souffle, ne regarde plus l'adolescente mais bien robyn et se fout même devant elle. fait deux têtes de plus qu'elle, jusque là pas de grande surprise, et est définitivement trop proche. aucun doute, un retour dans le passé et la môme kaplan se chierait dessus. « take a step back. » ordonne-t-elle, le visage levé vers le sien. le visage fermé. un léger mouvement de la main pour dévoiler sa ceinture, sous le pan de sa veste en cuir. insigne métallique de la police d'oceanside et le glock 17 calé contre sa hanche droite. aussi efficace qu'une douche glacée, l'homme fait un pas en arrière, surpris, même trois. faut dire que ça calme direct, plus besoin de parler, l'insigne et le flingue ont fait leur taff. « lil' bitch. » comme une douce poésie redondante jusqu’à ses oreilles. elle ne s'attendait pas à mieux d'un fucking moron, presque pris dans de sales draps – du moins ça en avait eu l’air. robyn roule les yeux, pas la peine de réagir, ni à son insulte ni à son crachat devant ses pieds. she’s used to it. les bras désormais croisés sur sa poitrine, elle l’observe s'éloigner et retourner à son truck, la démarche nonchalante. « why didn't you reply? » demande la voix à ses côtés dont elle relève un subtil accent. « no need for a two-neuron brain. » qu’elle rétorque en haussant des épaules. son focus se défait enfin de l’homme, pour rencontrer la petite blonde – pas si petite que ça en passant – à ses côtés. « but anyway, what are you doing here alone? » elle semble embêtée et robyn l’invite à se décaler du passage pour les voitures, se trouvant à deux pieds de l’entrée du magasin. « somehow i lost my phone and… was searching for help. » l’inspectrice déjà en train de farfouiller dans ses poches, captant que son portable est resté dans sa voiture. « ’kay, give me two secs. » retournant à sa chevrolet malibu à grands pas, elle en profite pour dégager la voie de devant la pompe et se garer un peu plus loin, à côté du coin de nettoyage. d’ailleurs, elle ferait bien de passer un coup d’aspirateur dans sa bagnole. mais pas maintenant. elle retourne vers la jeune fille, portable en main. « here, take my phone and call your mom. » « my uncle. » « or your uncle. » ou même la concierge, qu’importe. elle pose son sac à dos à ses pieds et attrape le portable. robyn se retient d’ajouter de ne pas jeter un œil à sa galerie. ça ne ferait qu’attiser sa curiosité, et par malheur cliquer dessus, après s’être imaginée qu’elle possédait toute une collection de photos de cul sur sa carte mémoire. alors que non, pas du tout même. un contenu dégueulasse qu’une ado n’avait quand même pas à voir. l’inconvénient de ne pas avoir deux téléphones différents : un pro et un perso. pourtant ça avait été sa décision, elle avait toujours fonctionné ainsi les années passées, pourquoi s’emmerder avec deux téléphones quand tu peux en avoir un seul ? robyn fronce des sourcils à l’écoute de la langue parlée de la jeune fille. elle piaille au téléphone dans un charabia incompréhensible. un truc d’europe qu’elle s’imagine. des pays balkans ? pas de l’allemand en tout cas. blonde aux yeux bleus, pourrait être de scandinavie ou russe, mais ça serait un putain de cliché. ou afrique du sud, tiens. l’envie de s’allumer une clope dans l’attente, faut dire que ça ne serait pas l’idée du siècle avec les cuves de gazole et autre carburant sous les pieds. « he’ll be there in fifteen minutes. » elle récupère son portable, qu’elle range dans la poche intérieure de sa veste. « cool, i’m staying with you until he comes. what’s your name? » « svea and you? » « robyn. » les deux échangent un sourire et robyn l’invite à la suivre un instant à l’intérieur du petit magasin.

les minutes défilent et s’étirent. les quinze minutes sont passées, les vingt aussi, elles en sont à trente minutes d’attente. toutes les deux assises par terre à côté de la voiture de robyn, sur l’espèce de trottoir. deux cannettes de coke zero entre les mains. l’air est frais mais encore agréable, le soleil vient tout juste de disparaître, laissant le ciel s'assombrir. « where are you from actually? » autant continuer de taper la causette à l’adolescente puisqu’elle est encore là. « sweden and you? » la suède, donc le cliché total. « from here, shithole called the united states of america. » svea se marre, tandis que robyn passe une main dans ses cheveux, en jaugeant les voitures qui viennent et partent de la station de service. « are swedes usually late? » « not at all, only my uncle. he is always lat- oh here he is! » elle bondit à ses côtés en faisant de grands gestes. elle met un temps à capter de quelle voiture il s’agit, puisqu’il s’agit en réalité de la camionnette qui se gare devant elles. se lève à tour, en frottant la poussière de ses jean d’une main, pendant que l’autre tient sa cannette pratiquement vide. s’attend bêtement à voir un viking apparaître, presque déçue de ne voir que des cheveux courts d'un blond foncé et non de longues tresses. il y a bien un air familier entre les deux et plus elle le scrute, plus elle le trouve intéressant, l'oncle. « are you on swedish time zone or somethin'? » ça sort un peu trop naturellement de sa bouche et ça craint comme première phrase d'approche. pour insinuer qu'il est à la bourre, sans lui dire directement qu'il est à la bourre.


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MOON up all night
Leif Sundström
Leif Sundström
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pseudo : thalestris. (she/her)
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triggers : les tiens seront les miens.
warnings : langage grossier, substances illicites, alcool, violence physique et verbale, abandon, sexe.
welcome to lalaland ft. leif Leyfin5
âge : fatigue à l'âme, [quarante-quatre] ans filés de mauvais coton.
occupation : [chauffeur livreur], loin du job de rêve par excellence mais ça paie les factures et personne ne vient l'y faire chier.
statut civil : [ en couple] depuis le deux mars, [robyn] comme seule étincelle capable de raviver le cœur dont elle est maître.
orientation : seules les courbes [féminines] pour lui faire courber l'échine et battre le myocarde.
habitation : petit appartement du south oceanside, [#28] zone de guerre où il réside avec [svea], sa nièce.
pronom ig : he/him.
disponibilités :
dispo
leifyn Vwolfieleifyn VIIleifyn VIIIsage IIjesus.

infos rp :
je m'adapte en fonction de ma/on partenaire.
- - de 300 à 1000+ mots selon l'inspiration et les préférences.
- - paroles en suédois, anglais ou français.
- - fréquence rp variante selon la motivation et l'irl, répond généralement en moins de deux semaines.
dialogues: cadetblue // darkkhaki

   
 
「 welcome to lalaland 」
∙ feat. @robyn kaplan  flower
tw: langage fleuri, mention d'alcool.

« det här är illa*. » téléphone qui retrouve la surface collante du comptoir et pas de la plus délicate des façons;
ignore le regard interrogateur du poivrot qui, même s'il s'était donné la peine de parler anglais, n'y aurait sans doute rien compris compte tenu de son état d'ébriété. se lève de son tabouret et enfile sa veste tandis que l'autre se met à se marrer dans le vide à côté. « lucky bastard. » cinquante balais passés, complètement arraché sur un tabouret duquel il avait manqué de se planter deux/trois fois sans que personne ne vienne pour autant le faire chier. regrette surtout l'époque où il pouvait rentrer du boulot et se mettre une murge sans craindre qu'un numéro de téléphone inconnu le ramène à la réalité. putains d'obligations. même pas eu le temps de descendre sa bière - fierté suédoise l'obligeant à se la faire en une fois avant de prendre la route, quand même. aimerait rouler suffisamment sur la thune pour pouvoir la dépenser sans que ça l'inquiète. s'empêche pas pour autant de glisser son dernier billet froissé sous la chope vide de son camarade afin de régler sa prochaine consommation; histoire de le remercier de pas avoir tenté de lui causer en dépit de son état et de lui avoir foutu la paix le temps que ça a duré. parfois il a besoin de rien de plus que ça le suédois: être putain d'invisible. et si svea avait pas eu besoin d'aide il aurait pas craché sur la possibilité de le rester toute la soirée. lui a dit qu'il serait là d'ici quinze putain de minutes alors qu'il lui en avait déjà fallu six pour trouver la poche contenant ses clefs, retrouver la camionnette de fonction sur le parking et prendre la route. se donne bonne conscience en appuyant sur l'accélérateur sous prétexte que c'est pour elle qu'il se dépêche, passant un feu rouge comme s'il avait une étoile multicolore de mario kart dans le coffre en cas de pépin. sait déjà quoi dire si on l'arrête en cours de route - ma nièce m'a passé un coup de téléphone depuis une station essence, elle est mineure et seule j'suis fou d'inquiétude vous comprenez ? à mi  chemin entre mensonge et réalité. qu'est-ce qu'elle fout là-bas, svea, déjà ? à croire que y'avait pas de bonne réponse avec cette gamine. d'abord trop dur en lui imposant un couvre feu à 19h et maintenant si laxiste qu'elle se pommait en pleine ville, sans parler du téléphone qu'elle pouvait se foutre au cul. encore un truc pour lequel leif allait devoir casquer - quand bien même n'était-il pas un exemple sur le sujet; comme de nombreuses autres choses. du haut de ses quinze (ou seize?) ans svea était sans doute déjà catégorisée comme moins conne que le restant de la famille; aurait aussi bien fait de la placer en foyer qu'avec lui qui n'était pas foutu de s'auto-gérer au quotidien.
---------
coup de klaxon à en faire criser le trentenaire devant lui dont la jugeotte devait égaler celle d'une crevette cuite et le volant braqué au maximum; s'engage dans la station service sans faire attention aux voitures à qui il pourrait couper la route, trop occupé à chercher sa nièce des yeux. des bras qui s'agitent dans l'air qu'il remarque à peine, venant se garer à leur hauteur à la va-vite avant de s'en extirper sans éteindre le moteur. persuadé qu'ils vont se barrer aussi sec entre deux noms d'oiseaux dans leur dialecte si ce n'est pour la présence qu'il n'a pas anticipée. how surprising, en plus de pas pouvoir tenir une soirée sans se foutre dans la merde svea a réussi à embarquer quelqu'un dans son délire. « at least i'm here unlike your own parents. should we wait for them as well ?  » la regarde de la tête aux pieds avant de se tourner vers sa nièce, pas moins sidéré qu'une gamine puisse lui causer comme ça. et puis quoi encore ? « the fuck were you thinking?  » pas de "bonjour" ni de "ça va?" pour elle; constate bien assez qu'elle est en vie et pas amochée, ne laissant derrière eux que la frustration d'une soirée gâchée - et d'une peur fantôme bien cachée. sa soeur serait capable de s'échapper de taule pour l'étrangler s'il arrivait quoi que ce soit à sa fille. plutôt ironique d'ailleurs, compte tenu du fait qu'elle n'avait pas été foutue de faire ce qu'il faut pour rester auprès d'elle malgré tout. « get in.  » désigne la camionnette d'un hochement de tête mais svea hésite, remerciant l'inconnue pour sa gentillesse ainsi que son aide avant de s'exécuter. « did she tell you anything at all about what happened? » parce qu'il sait très bien que s'il lui demande il n'obtiendra aucune réponse; autant susurrer à une porte blindée de banque de bien vouloir s'ouvrir sans faire de bruit. il est dubitatif de toute cette situation le suédois - svea perdant son téléphone et finissant dans une station service avec une parfaite inconnue, cannettes en main, pas l'ombre d'une quelconque réponse pour sa défense.

(« c'est la merde »*)

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le moteur de la camionnette même pas coupé, robyn est encore loin de se douter qu'elle va se prendre une rafale scandinave en pleine gueule. bon faut dire, faussement innocente, comme le loup aux pattes blanches pour amadouer les chevreaux, elle l'avait un peu cherché. la contre-attaque à l'accent marqué mais captivant éclate et la laisse stupéfaite. les yeux écarquillés, pas sûre d'avoir entendu correctement son assaut. « my paren- what? » mais qu'est-ce qu'il est en train de lui raconter ? avec son sous-entendu qu'elle a dix piges. et puis quoi encore ? tout en sachant très bien, qu'ils seraient tous les trois encore bloqués là dans vingt ans, s'ils attendaient vraiment que ses parents daignent à se pointer. robyn laisse couler, observe silencieuse la drôle de façon de communiquer entre l'oncle et la nièce – si seulement on peut parler de communication dans un seul sens. c'est direct et sec, l'inspectrice termine son coke et balance la cannette dans la poubelle non loin d'elle. svea prend le temps de la remercier avant de s'installer sur le siège passager. robyn, quant à elle, lui offre un sourire chaleureux de l'autre côté de la vitre avant que l'oncle lui sonne les cloches. dubitative dans un premier temps, elle se rapproche de lui et fanfaronne l'insolence. « my parents always told me not to talk to strangers, so nah, can't help. » qu'elle ment. ses yeux chocolat le détaillent alors qu'elle affiche désormais une moue blasée, elle en serait presque désolée de sa connerie mais il n'avait pas à insinuer de la merde un peu plus tôt. mais trêve de plaisanterie, il n'a pas l'air de vouloir se marrer et elle non plus d'ailleurs. aimerait enfin rentrer chez elle, pour une fois qu'elle ne fait pas le plein d'heures supplémentaires au comico. « mh. » ses mains trouvent place sur ses hanches, lorgnant vite fait du côté de l'adolescente, plus loin, derrière la fenêtre du véhicule. s'assurant qu'elle ne les entendra pas dans l'habitacle fermé et sous le bourdonnement du moteur. « no, your niece didn't tell me anything. i saw her first with some kind of perv, so i stepped in. she just told me she'd lost her phone. as she didn't say anything more, i didn't insist. » pas son genre de faire du forcing comme une brutasse pour un rien. est pourtant bien capable de le faire dans d'autres situations. comme quand on se fout de sa gueule dans une salle d'interrogatoire et que les choses n'avancent pas. aux grands maux les grands remèdes, face à certains candidats et certaines candidates, où le tirage des vers du nez frôlait la discipline olympique. la façon de faire avec les kids était bien plus différente, et faisait ressortir la patience et la douceur dont pouvait faire preuve robyn, malgré elle. la jeune suédoise pas bavarde sur le sujet, elle n'avait pas cherché plus loin à comprendre le pourquoi du comment avait-elle atterri ici et sans portable. elle était peut-être flic mais restait avant tout une parfaite inconnue. lui était son oncle, emblème familial, même s'il avait l'air de manquer clairement de tact à l'instar d'un ours mal léché. « you won't get any information if you talk to her that way. » déformation professionnelle de son taff peut-être. savoir caresser la personne dans le bon sens du poil pour obtenir des informations. choisir les bons termes pour obtenir la confiance de quelqu'un. certains diront qu'il s'agit simplement de manipulation, robyn va dans leur sens. « if i may. » ajoute-t-elle un peu trop tard, puisqu'elle vient déjà de lui jeter ses deux cents à la figure. et n'a certainement pas la meilleure place pour pouvoir juger qui que ce soit.


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 « my parents always told me not to talk to strangers, so nah, can't help. » sont pas sortis de l'auberge eux, entre l'effronterie de l'une et le sale caractère de l'autre - pourtant pas foutu de retenir le sourire amusé venu soulever le coin de ses lèvres. bordel. comme s'il avait que ça à foutre, leif. « smart girl, aren't ya?  » visage incliné dans sa direction, bien forcé de le faire pour que leurs regards puissent se croiser, et les mains enfoncées dans les poches arrière de son jean délavé. smart girl ouais, qui ferait mieux de le rester tant qu'il n'en sait pas plus sur ce qui a bien pu se passer ici. s'imagine svea assise sur le pas du trottoir, seule et sans téléphone, entourée de karen qui n'en ont rien à foutre tant que ça dépasse leurs culs et de poivrots qui ne devraient même pas prendre le volant - à imaginer qu'ils soient vraiment embêtés par la loi et ses représentants. « a what ?  » répète-il comme pour bien réaliser; laisse le temps à l'info de tourner dans le cerveau, ignorant royalement le reste de sa tirade. s'est même pas rendu compte qu'il a avancé d'un pas instinctif vers elle, l'air encore moins sympathique (dans la mesure du possible) que tout à l'heure. réalise que c'est pas la reine des minimoys le problème mais un gars qui se balade encore sans doute dans les environs après avoir tenté d'embarquer svea dans le coffre de son suv. « is he still there ? which one ?  » trois-cents soixante degré tournés sur ses talons, le regard rivé sur ceux qui partent, arrivent, traînent sans trop de raisons. a clairement perdu de vue l'essentiel de ses pupilles agitées par la colère et ses doigts serrés en poings; prêt à en découdre avec le premier enculé qui porterait un peu trop d'attention à son idiote de nièce. entend derrière son épaule la porte de la camionnette grincer en guise d'ouverture mais se contente de pointer un doigt accusateur vaguement dans sa direction « stay in the fucking car.  » manque plus qu'elle en fasse qu'à sa tête et ressorte, elle. quoi qu'elle pourrait au moins lui être utile pour lui montrer le type qu'il se devait, de toute évidence, de défoncer pour avoir tenté quoi-que-ça-ait-pu-être. « you won't get any information if you talk to her that way. » revient un peu sur terre - les yeux qui se décrochent enfin du paysage pour se reposer sur elle l'air sonné. qu'est-ce qu'elle vient de dire ? pas franchement le bon moment pour lui donner des cours sur comment être le parrain idéal - d'autant plus que svea était seule à s'être foutue dans cette merde. « maybe if she didn't risk her damn life doing shit like this i would be more gentle. » juste une hypothèse - erronnée en somme. parce qu'elle est pas autant fourrée dans la merde que lui, svea. en fait c'est plutôt l'inverse. gentille fille paumée qui cherche autant que lui à s'adapter, dérape parfois mais sans grande incidence heureusement. semble pas plus enclin à  se montrer délicat quand elle se conduit parfaitement et pour cause, il a jamais su faire leif. c'est pas comme si les gènes de sa famille étaient faits de gros câlins groupés, de mots rassurants et de dictons touchants qu'on se répète à chaque thanksgiving. there's nothing to be thankful about - hormis peut-être que sa soeur soit en taule et pas dans un putain de coffre en bois vingt pieds sous terre. « she's lucky enough you were there to step in. » le dit volontairement plus fort afin qu'elle puisse entendre et réalise, peut-être, enfin l'ampleur de sa bêtise mais n'a droit qu'à un rolleyes qu'il croit percevoir derrière le reflet du parebrise. un nouveau grincement de portière qu'il ne se donne même pas la peine de calculer cette fois, prêt à exploser en millier de morceaux. passe à côté de lui, billet froissé en main certainement trouvé dans la camionnette et direction la station service. « if i could count on you that wouldn't have happen.... will be right back. looking for some snacks to thanks robyn since you apparently don't know those words. » n'est même pas piquante dans sa façon de le lui balancer en pleine gueule - juste numb. disparaît à l'intérieur de la station, le suédois passant ses doigts sur son bouc de quelques jours en ressassant les mots qu'elle avait employés. « underbar*. anyway, yeah, thanks. don't feel obliged to stay it might take a while for things to settle down. » soupire après s'être rendu à la camionnette où il tourne les clefs pour éteindre le moteur, venant par la suite prendre appui contre le capot les bras croisés. envie de se casser pour lui donner une leçon, à la gamine. pourtant l'impression que c'est elle qui essaie de lui en donner une et à raison - d'autant plus irrité.

(marvelous*)

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w/ @leif sundström

tw : langage grossier.

« smart girl, aren't ya? » les pupilles vissées dans les siennes, la grimace perplexe. smart girl, mais qu'est-ce qui lui raconte ? elle n'est même pas sûre qu'il soit au courant de la connotation de ses propos. elle préfère tout bonnement ignorer la question. presque surprise de le voir changer d'humeur en un claquement de doigts lorsqu'elle lui balance ses maigres informations. brusque, il fait un pas en avant et elle recule instinctivement. comme si c'est elle qui avait été en tort. « easy man. » qu'elle lance en appuyant ses propos par la gestuelle. elle le voit s'agiter, à chercher le connard qui s'était approché de svea un peu plus tôt. pour lui en coller une sans doute, vu le phénomène. mais robyn ne lui indique pas que le gars s'est déjà tiré. sans aucun doute pour le faire chier, le petit plaisir de le voir s'enflammer pour que dalle. mais elle ne se prive pas de partager son point de vue sur la façon qu'il a de communiquer avec sa nièce. en bouffonne qu'elle est, histoire d'en remettre une couche. l'air qu'il tire ou même ses paroles, ne la font pas bouger d'un pouce, après qu'elle se soit calée contre l'arrière de sa caisse. elle tend à penser que le suédois soit la seule figure autoritaire que svea possède. observatrice à grappiller les informations pour comprendre l'histoire. leur histoire. la fougue de l'oncle dissimulant une certaine inquiétude. il hausse le ton pour que la concernée entende et robyn se demande bien ce qu'elle fiche encore là, dans ce tableau de famille aux apparences altérées. et elle est bien placée pour le supposer. elle se décolle enfin de la carrosserie, estime avoir fait son taff, ne compte pas s'attarder plus longtemps. mais finalement, l'adolescente a un train d'avance. paroles piquantes adressées à l'oncle sans avoir le timbre qui va avec. en vérité, robyn s'en fiche bien d'avoir un remerciement, encore moins quand celui-ci sonne faux. bien obligée d'attendre un peu plus pour les snacks – pas qu'elle en soit raide dingue mais elle trouve l'initiative adorable – elle retrouve sa place contre sa voiture. « underbar*. anyway, yeah, thanks. don't feel obliged to stay it might take a while for things to settle down. » god, he is actually able to thank. « all good. » qu'elle hausse des épaules. et ils se retrouvent là comme deux blaireaux, posés contre leur caisse respective, après qu'il ait fini par éteindre le moteur de la sienne. attendre le retour de svea, en se regardant dans le blanc des yeux. no, not really. les bras croisés sur sa poitrine, robyn ne manque pas de le contempler, sans vraiment savoir quoi faire d'autre. peut-être même à le mater un peu. et lorsque leurs regards se croisent, c'est elle qui finit par abandonner et détourner le sien. « the creep guy left a while ago. » sortie de nulle part, en zieutant la pointe de ses propres converses. histoire qu'il soit quand même au courant, que l'homme à aller casser les dents, n'était plus là depuis un bail à la station service. aurait même pu ajouter qu'elle l'avait fait dégager elle-même pour se la ramener. faut dire que robyn n'avait pas tendance à se lancer des fleurs, même pas quand elle réussissait à boucler une enquête sans trop de dommages. d'un seul coup, elle se redresse en voyant la silhouette de svea réapparaître. des reese's snack cakes, des haribos goldbären et des crunchy pretzels à la saveur douteuse, rien que ça. « wow thanks. » elles échangent un sourire et elle récupère sa trouvaille. elle cale les friandises un instant contre son buste pour pouvoir ouvrir la portière de sa voiture, côté passager, pour les lâcher sur le siège. porte claquée, robyn fait le tour et regarde les deux une dernière fois. « i'm off now, see ya. » et elle monte derrière le volant, pas encore consciente du premier degré de son see ya. un des deux, qu'elle reverrait beaucoup plus vite que prévu.


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MOON up all night
Leif Sundström
Leif Sundström
messages : 1526
pseudo : thalestris. (she/her)
id card : kinnaman | tiktok (av) roro my queen (gif) ledtasso (gif sign)
triggers : les tiens seront les miens.
warnings : langage grossier, substances illicites, alcool, violence physique et verbale, abandon, sexe.
welcome to lalaland ft. leif Leyfin5
âge : fatigue à l'âme, [quarante-quatre] ans filés de mauvais coton.
occupation : [chauffeur livreur], loin du job de rêve par excellence mais ça paie les factures et personne ne vient l'y faire chier.
statut civil : [ en couple] depuis le deux mars, [robyn] comme seule étincelle capable de raviver le cœur dont elle est maître.
orientation : seules les courbes [féminines] pour lui faire courber l'échine et battre le myocarde.
habitation : petit appartement du south oceanside, [#28] zone de guerre où il réside avec [svea], sa nièce.
pronom ig : he/him.
disponibilités :
dispo
leifyn Vwolfieleifyn VIIleifyn VIIIsage IIjesus.

infos rp :
je m'adapte en fonction de ma/on partenaire.
- - de 300 à 1000+ mots selon l'inspiration et les préférences.
- - paroles en suédois, anglais ou français.
- - fréquence rp variante selon la motivation et l'irl, répond généralement en moins de deux semaines.
dialogues: cadetblue // darkkhaki

   
 
「 welcome to lalaland 」
∙ feat. @robyn kaplan  flower
tw: langage fleuri, mention d'alcool.

 envie de crever, un peu, à sentir les minutes défiler sans que la silhouette de svea ne réapparaisse dans le paysage;
se surprend à la vouloir près de lui à nouveau au plus vite - et ce pour la toute première fois. well deuxième, après la frayeur que lui avait valu l'appel passé un peu plus tôt. pas besoin de regarder la nana pour savoir qu'ils étaient dans le même bateau. flanqués là comme deux cons, chacun de son côté sans savoir quoi dire ou faire. faut dire qu'ils ont d'emblée pas eu le meilleur rapport eux - bien que le suédois en niera toute responsabilité. qu'est-ce qu'elle pouvait y connaître, elle, à ce genre de sentiment ? incapable de deviner son âge mais prêt à parier deux de ses dix doigts qu'elle n'avait pas une foutue idée de ce qu'était le parenting, si ce n'est éventuellement d'une grosse boule de poils. un « hm.  » pensif pour seule réponse après l'information utile qu'elle lui avait communiquée; donc elle savait depuis le début. et ça fait naître l'ombre d'un sourire sur les lèvres du suédois sans qu'il ne sache exactement pourquoi. rien de cette situation ne laisse foutrement à rire - ni les raisons pour lesquelles il avait du se pointer illico-presto, le ton haussé avec svea et encore moins l'attente qui semblait ne plus en finir.  « finally...  » murmuré tandis que la carcasse prend de l'élan pour se relever dans une grimace; il a plus l'âge pour ces conneries, leif. ses os qui craquent et les muscles endoloris - sans parler du coeur crevé d'inquiétudes qui commence enfin à bien vouloir la fermer. la tempête est passée.  « wonder woman.  » qu'il balance étonnamment sur un ton dénué de sarcasme. lui casserait trop le cul d'utiliser son vrai prénom et encore plus de lui lâcher un `merci` foutrement gratuit, pourtant. laisse à sa nièce le luxe de l'ignorer avant de reprendre place sur le siège passager tandis qu'il observe la bagnole de la petite dame s'éloigner; mauvaise habitude que de retenir la plaque, comme si ça pouvait lui servir. sait-on jamais. mauvais présentiment au fond de la gorge ne souhaitant pas davantage s'attarder, le colosse se retrouve derrière le volant. « so.  » a pas besoin de la regarder pour la sentir se tendre à côté de lui; tournée au maximum vers la fenêtre, à peine abusé, et visiblement pas pressée de lui donner l'heure. « wanna grab somethin to eat?  » se détourne enfin du dehors pour le regarder, l'air excédée « after all this ? » - « there's no such thing as bad timing for burgers. » croit la voir sourire du coin de l'oeil mais hallucine sans doute. préfère savourer cette petite victoire plutôt que de la lui jeter en pleine gueule pour la voir se fermer comme une huître à nouveau. « wendy's it is.  » si svea ne dit rien ses gestes le font pour elle; désormais à nouveau tournée vers la route, la main s'élevant pour monter la musique de la radio et la tête qui gigotte aux premières notes d'une musique pop totalement à chier.
il dira rien, leif.
ces moments de douce accalmie un peu trop rares à son goût.

fin.


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