as long as I'm with you (w/al)
-29%
Le deal à ne pas rater :
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
269.99 € 379.99 €
Voir le deal

as long as I'm with you (w/al)

Invité
Anonymous
Invité
   
 
「 as long as I'm with you 」
∙ feat. @Al Barnes ; avril 2023 ∙
tw : adultère.

La journée a été longue. Elle ne l’a encore pas vu passer, trop occupée. Trop sur le qui-vive en permanence. Trop de choses à gérer. Elle savait bien, Noela, dans quoi elle se lançait. Et elle ne le regrette pas le moins du monde. Au contraire, elle chérit sa chance. Trop accrochée à sa galerie. Que ferait-elle, si elle ne l’avait plus ? C’était son rêve ; et seul Al lui a permis de le réaliser. À Al, elle doit absolument tout. Pas son genre, pourtant, à la brune, de dépendre de qui que ce soit. Elle n’aime pas devoir quelque chose à quelqu’un. Elle préfère batailler, travailler dur pour obtenir ce qu’elle veut. Histoire de le mériter. Mais à son indépendance, elle semble avoir renoncé. C'est la soif d’ambition qui l’a emportée. Non, c’est aussi l’amour de l’art. C'est qu’elle pensait, aussi, un peu, être trop bien pour se limiter aux basses tâches. Elle voulait être sa propre cheffe. Voulait pouvoir mener sa galerie comme elle l’entend. Pas jouer les sous-fifres éternellement. Alors, voilà. Elle a épousé un homme riche ; et alors ? C’est le hasard - elle ne lui a pas mis le grapin dessus intentionnellement, quand bien même c’est ce que semblent penser ses beaux-parents. Et elle rêverait de pouvoir leur prouver le contraire, Noela. Mais elle ne le peut pas.
Et elle a besoin d’Al pour sa galerie, du début à la fin.

La journée a été longue. Mais pas ennuyeuse. Elle a bien eu quelques galères à gérer, mais elle a l’habitude, Noela, désormais. Surtout, elle travaille sur la programmation des prochains mois, en ce moment. Essaie de trouver des performeurs pour intervenir à la galerie notamment. Elle y a passé des heures, aujourd’hui. A encore fini à pas d’heure. Elle a l’habitude - Al aussi. Ils ont de toute façon des vies très occupées. Compliqué de trouver le temps de s’aimer. Est-ce pour cela, qu’elle a fauté, Noela ? Peut-être. Qui sait. Pas elle. En réalité, elle a juste tout le temps Joan dans le crâne. Cela l’en rendrait presque malade. La pousse un peu plus à s’enterrer dans le travail. A fuir un peu plus Al. Craignant qu’il ne comprenne, de lui-même. Car elle n’a pas dit la vérité, Noela. Pas décidé ce qu’elle devait faire, ce qu’elle ferait. Encore trop perturbée. Craint sans doute trop de le perdre, si elle devait dire la vérité. Lui laisserait-il une chance, si elle l’en suppliait ?

Elle y pense encore, tandis qu’elle gare sa voiture dans l’allée. Tandis qu’elle en descend, claque la portière puis rejoint la villa. Tourne la clé dans la porte, la referme – pose ensuite ses affaires : clés, sac à main, veste de tailleur qu’elle retire de ses épaules. Elle garde encore ses chaussures, le cliquetis des talons se faisant entendre sur le sol. Elle cherche Al. Évidemment. C'est son mari, malgré tout. Elle finit par le trouver. « Hey, t’es rentré depuis longtemps ? » fait-elle à son mari, esquissant un sourire avant de s’approcher pour déposer un baiser sur ses lèvres. « La journée a pas été trop chargée ? » s’enquiert-elle alors, avant de se diriger vers la cuisine. Bien besoin de se servir un verre de vin. Cela devient presque vital, à ce stade.
SUN wildest dreams
Al Barnes
Al Barnes
messages : 178
pseudo : same.
id card : niney (Chaussette) - sign (zaja/allthefights/buzzcocks)
multicomptes : lip (keery) - kemal (tütüncü) - blaise (carter)
à contacter : le compte concerné
triggers : cruauté animale, inceste, viol + je ne joue pas de scène de sexe explicite.
warnings : mensonges, adultère (pensées), élitisme.
présence : (+/-) présente, l'irl avant tout.
as long as I'm with you (w/al) F730fceba5728e802fed8da0ef0d0336a73f8449
âge : trente ans - l'âge de raison (oupas)
occupation : directeur - du groupe journaliste Barnes (thanksdad)
statut civil : marié - pour le meilleur et le pire (surtout)
orientation : hétéro - seules les courbes féminines le font tressaillir (sorryguys)
habitation : villa - north valley, #3028. (laclasse)

pronom ig : he/il.
disponibilités :
infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable ⇝ code couleur : #0066cc

   
 
「 as long as I'm with you 」
∙ feat. @Noela Barnes  ; avril 2023 ∙
tw: adultère.

Bonjour Mme Barnes, c’est l’hôtel PrimOcean.
Désolée de vous déranger, mais vous avez oublié votre pince à épiler.
(..)


Des mots simples, sans évocation. Pourtant ton doigt appuie à nouveau sur le répondeur. Un vieil objet, un grigri, mais tu aimes ça. Tu aimes avoir des objets d’avant, ne pas être trop dans le temps. Chez vous se trouve des objets de toutes époques. Ton cœur qui s’accélère un peu plus à cette nouvelle écoute. Tu ne sais pas pourquoi cela te fait ça, mais tu as une mauvaise impression. Pourquoi ? Tu secoues la tête et passes à autre chose. Ce n’est rien, elle a juste oublié sa pince, cela arrive tout le temps. Ouvrant la porte du frigo, regardant ce qu’il contient, rien de très appétissant. Pas le temps. Vous n’êtes jamais là, toujours en train de courir après le temps. Jamais le temps d’être à deux. Plus maintenant. Il fut un temps où la cuisine était un lieu d’échange, d’aventures, de coquinerie. Ton esprit se perd dans de vieux souvenirs, tu souffles et refermes la porte. Son visage qui apparaît, tu te détestes de songer à elle, chez vous. Là, où ta charmante et merveilleuse épouse vit, à tes côtés. Votre bonheur. Votre nid d’amour. Tu n’aimes pas laisser ton esprit vagabonder de la sorte, tu as changé. Tu es un nouvel homme, plus celui qui courait à droite et à gauche. Ce n’est plus toi. Tu as changé. Des mots que tu répètes encore et encore. Nouveau souffle qui s’extirpe de ton visage. Reprenant le fil de tes pensées. Ce n’est rien. Tes pas se dirigent vers la salle de bain. Histoire de te rafraîchir et de te changer. D’ôter ces habits d’apparat, de respirer un peu plus et surtout d’être à ton aise. Tout est en place. Tout est rangé, comme tu les aimes. Tu ne paies pas une femme de ménage pour rien. À la recherche d’un fil dentaire, tu ouvres un tiroir et là c’est le drame. Tu sens ton esprit qui divague à nouveau. Ils ont dû se tromper, que tu songes tenant cette petite pince entre tes mains. Ou bien elle en a une seconde ? Tu ne sais plus. Ce n’est rien. Reposant cette dernière. Soufflant pour la énième fois.

Envie. Envie de retrouver un peu de ce ‘vous’, ou alors tu as besoin de laver ta conscience. Sauf que tu as eu envie de préparer un bon repas pour ta moitié. Envie de reprendre ces petits moments à deux. Envie de vous retrouver. Envie de partager un bon moment. Envie de vous. Grâce à ce qu’il reste dans les placards et dans le congélo, tu as réussi à trouver une idée, une recette pas vraiment glorieuse, mais ça suffira. Musique que tu mets en fond, pour te détendre, pour penser à autre chose. Pour stopper ton esprit de divaguer. Le repas qui chauffe doucement, les odeurs qui émanent des casseroles font crier ton ventre. Tu te sens bien. Tout est presque prêt. Tes pensées qui vagabondent à nouveau vers ce coup de fil, ce message qui reste dans un coin de ta tête. Ce n’est rien. Pourtant tu as envie que ça soit quelque chose, sinon tu n’y songerais pas autant. Et si ton sentiment de culpabilité voudrait qu’il y ait quelque chose, pour.. non tu pars trop loin. Tu sais bien. Voiture que tu entends au loin. Elle arrive. Palpitant qui s’accélère. Avant tu étais heureux de la retrouver et là, tu ne sais. Son sourire qui illumine la pièce, comme toujours. Doux baiser sur tes lèvres. « non quelques heures, ma réunion s’est ajournée. » que tu lui réponds, pliant ton journal. « J’ai préparé le dîner, j’espère que tu as pas mangé. » te relevant, tu te diriges vers elle, l’enlaçant. « ta journée fut bonne » dis-tu en déposant un baiser dans son cou. Besoin de vous reconnecter. De dissuader ses pensées. Retournant derrière tes casseroles. « au fait, y a un message pour toi de ton hôtel, tu aurais oublié un truc. » que tu lâches. Tel une bombe, ne sachant pas ce qu’il en retourne. Parce que dans le fond : tu ne sais rien. .

_________________
You spurn my natural emotions. You make me feel like dirt. And I’m hurt. And if I start a commotion. I run the risk of losing you. And that’s worse.☾☾ // par zaja.
Invité
Anonymous
Invité
   
 
「 as long as I'm with you 」
∙ feat. @Al Barnes ; avril 2023 ∙
tw: adultère.

Parfois, elle préfère juste être au travail, plutôt qu’à la maison. Parce que c’est plus simple. Parce que cela lui permet de fuir, au fond. Parce qu’elle n’a pas la conscience si tranquille, Noela. Même loin de là. Même pour elle, qui ne semble peut-être jamais se remettre en question. Elle n’est pourtant pas parfaite. N’a jamais prétendu être l’épouse idéale. Parce qu’elle n’aime pas ce concept-là. L’idée qu’une femme devrait forcément être parfaite, alors qu’un mari peut tout se permettre. Elle, elle n’a jamais été du genre à rester tranquillement à la maison, à cuisiner, à élever toute une floppée d’enfants. Elle n’est même pas sûre d’en vouloir, dans le fond. Al et elle en auraient-ils seulement le temps ? A certains moments, c’est à peine s’ils se croisent, tous les deux. Trop occupés par leurs boulots respectifs, par leurs carrières prenantes, trop obnubilés par l’ambition. Ils sont heureux, pourtant. Ils l’étaient. Avant. Car elle ne l’a pas épousé pour l’argent - peu importe ce qu’en pensent ses beaux-parents. Non, ils s’aimaient. Parfois, elle ne sait plus désormais. En viendrait presque à en douter.
C'est peut-être qu’ils se sont éloignés.
Au-delà même de Joan,
il y a un an déjà.

Ce soir, elle rentre à une heure raisonnable.
L'occasion de se rattraper, de passer du temps avec Al. D'avoir une soirée à peu près normale. D'alléger peut-être sa conscience, si lourde depuis un an. Depuis le temps, elle aurait dû pouvoir faire le point. Mais elle l’a repoussé, chaque fois, au lendemain. Pas la conscience tranquille, pour bien des raisons. Vis-à-vis d’Al, autant que de Joan. Et toujours, cette foutue pression. Malgré tout, malgré elle, ce besoin de perfection. Elle voulait si fort leur montrer à tous, qu’elle méritait sa place parmi les Barnes. Mais peut-être qu’ils avaient raison, au final.
Elle les déteste pour être entrés dans sa tête.

Les chasse de son esprit, quand elle entre dans la villa. Préfère se reconcentrer sur son mari, qu’elle retrouve à ce moment-là. Esquisse un sourire, le salue, l’embrasse. Lui demande s’il est rentré depuis longtemps. Quelques heures. « Ah ? Tant mieux, ça ne fait pas de mal parfois. » Cela lui aura au moins permis d’alléger sa journée, sans doute. Pas sûr qu’il en ait forcément besoin, ou plutôt, envie. Elle ne saurait dire, Noela. Elle le trouve un peu étrange, mais ce sont peut-être des idées qu’elle se fait. À moins que ce ne soit sa culpabilité. « Non, j’avais pas le temps. Ça tombe bien, ça sent bon en tout cas. » Il s’approche, Al, l’enlace. Et peut-être que tout est compliqué, mais, étrangement, cela lui fait du bien de le retrouver. Mais peut-être que le soulagement qu’elle ressent, n’est lié qu’à la culpabilité, une fois encore. Peut-être. « Ça va. Chargée. J’ai galéré à joindre un performeur que je voudrais vraiment avoir à la galerie en septembre. » Elle lâche un soupir. Ce n’est pas facile tous les jours. Ce n’est pas censé l’être. Et même, à dire vrai, elle préfère encore quand cela ne l’est pas. Cela lui donne un défi à relever – et Noela, elle doit l’avouer, elle adore cela.
Al s’éloigne. Retourne cuisiner, tandis qu’elle sort une bouteille de vin, commence à l’ouvrir. « T’en veux ? » demande-t-elle, en servant déjà un verre – au moins pour elle, s’il n’en veut pas. Puis il lui dit que l’hôtel a appelé. Celui où, il y a quelques tant, elle a séjourné. Pour un déplacement, comme elle en fait, par moments. Comme lorsqu’elle est tombée dans les bras de Joan. « Ah oui ? Ils ont dit ce que c’était ? » demande-t-elle en fronçant les sourcils. Elle ne se souvient plus. A bien assez de choses en tête, ces temps-ci. Si souvent ailleurs, aussi. Que parfois, simplement, elle oublie.
SUN wildest dreams
Al Barnes
Al Barnes
messages : 178
pseudo : same.
id card : niney (Chaussette) - sign (zaja/allthefights/buzzcocks)
multicomptes : lip (keery) - kemal (tütüncü) - blaise (carter)
à contacter : le compte concerné
triggers : cruauté animale, inceste, viol + je ne joue pas de scène de sexe explicite.
warnings : mensonges, adultère (pensées), élitisme.
présence : (+/-) présente, l'irl avant tout.
as long as I'm with you (w/al) F730fceba5728e802fed8da0ef0d0336a73f8449
âge : trente ans - l'âge de raison (oupas)
occupation : directeur - du groupe journaliste Barnes (thanksdad)
statut civil : marié - pour le meilleur et le pire (surtout)
orientation : hétéro - seules les courbes féminines le font tressaillir (sorryguys)
habitation : villa - north valley, #3028. (laclasse)

pronom ig : he/il.
disponibilités :
infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable ⇝ code couleur : #0066cc

   
 
「 as long as I'm with you 」
∙ feat. @Noela Barnes  ; avril 2023 ∙
tw: adultère.

Tes yeux qui passent d’un article à un autre, de ce couple heureux qui vient de se marier. Vague souvenir de vous dans ce journal. Parce que vous avez été ce couple. Vous l’êtes toujours, mais c’est différent. Tu t’attardes un peu sur eux, ce couple dans ce journal. Ce jeune couple heureux, tes pensées divaguent. Souvenir de ce ‘vous’ qui te hante. Est-ce que vous êtes toujours ces deux êtres amoureux, qui ont sauté le pas. Rapidement au goût de ta famille, trop rapidement. Tu étais sûr de toi à l’époque, tu t’en moquais de ce que les autres pouvaient penser. Parce que tu savais. Tu étais sûr qu’elle t’épousait pour toi et non pour ton argent. Tu t’en moquais de ceux que les autres disaient. Tu t’en moques toujours, vraiment ? Les questions qui te hantent, les regards, mais tu as prouvé que tu avais changé. Tu n’étais plus le même. Tu n’es plus le même. La preuve. Tu n’as pas craqué. Pourtant son visage hante tes pensées, tu penses à elle, plus que tu devrais penser à la tienne. À celle qui partage ta vie, ton lit. Celle qui vient de renter. Celle qui a posé ses lèvres sur les tiennes. Celle qui fut un temps capable de te faire frisonner en un rien de temps. Celle pour qui tu es voué. Celle envers qui tu as fait cette promesse. Celle pour qui tu as changé. Tu n’es plus le séducteur que tu étais. Tu lui dois beaucoup, tu en es conscient. Maintenant on te prend au sérieux, on ne rigole plus derrière toi. Tu es fier de ton accomplissement. Tu sais que c’est en partie à cause de ton mariage. D’elle. Pourtant tout est différent et tu en es conscient. Vous êtes plus ce couple dans ce journal. Plus amoureux ? Peut-être bien, la question a plané dans ton cerveau, mais tu l’as balayé rapidement. Parce que ça ne se peut pas. Tu ne peux pas, impossible. Te raclant la gorge, tu saches toutes ses pensées. Tout va bien. Laissant le doute de côté, voulant retrouver cette envie, ce vous qui te plaisait tant. Ton regard qui se braque sur elle, ses courbes, la légèreté de ses mouvements. Avant tu étais remplie de passion en la voyant, aujourd’hui, tu es plus soft. Tu aimerais que cette passion revienne, que la routine s’envole. Sauf que tu as pris goût à cette routine, vraiment ? Visage qui apparaît dans ta tête, sourire, pas le sien. Tu clignes des yeux et pars vers ton épouse. Vers Noela, celle qui a capturé ton cœur. Contact de sa peau sur la tienne, tout va bien que tu répètes. Pourquoi ça en serait autrement ? Vous êtes juste tous les deux débordés, pris par vos carrières respectives. Ce n’est rien. Tes mains qui viennent se placer derrière les casseroles. Tu comptes la régaler ce soir. « je veux bien, merci,  » que tu lui dis, pesant ses mots, acceptant le verre. « T’as réussi à l’avoir au final ou pas ? Toute façon qui pourrait te résister, » dis-tu en souriant. Personne. Tu en sais quelque chose, lorsque Noela veut quelque chose, elle se donne toujours les moyens. Verre qui apparaît devant toi, savourant ce vin et la beauté qui se tient devant toi. Par moment tu te demandes si tout cela est vrai. Si ce n’est pas juste une plaisanterie ou un rêve. « tiens goûte-moi ça, » ajoutant les gestes aux mots, tu amènes la cuillère en bois devant ses lèvres. Satisfait de ta sauce, mais envie de partager ce plaisir culinaire. « hum.. ta pince à épiler. » tu avais presque oublié de lui répondre. Ne voyant pas l’agitation en elle. Et si elle savait. Pire encore, si vous saviez que vous vous mentez à vous-même. Tu ne penses plus autant à ta femme qu’à vos débuts. Une autre a fait place dans ta tête, sentiments partagées. Pourtant tu préfères ne rien voir, paraître aux yeux de tous. « j’te laisse voir avec eux, ceci dit ça te ressemble pas. » que tu finis par dire. Elle, qui est si organisée, méthodique. Ce n’est rien. Ce n’est pas comme si elle voyait quelqu’un d’autre. Pourquoi cette question apparaît ? Doute qui se créer en toi et boule au ventre. Tu détestes ce sentiment. Ce n’est pas toi. Ce n’est pas vous. Vraiment ?

 

_________________
You spurn my natural emotions. You make me feel like dirt. And I’m hurt. And if I start a commotion. I run the risk of losing you. And that’s worse.☾☾ // par zaja.
Invité
Anonymous
Invité
   
 
「 as long as I'm with you 」
∙ feat. @Al Barnes ; avril 2023 ∙
tw : //

Elle était belle, leur idylle. Quoi qu’on en dise.
Elle avait eu les papillons dans le ventre. Le cœur plein de lui – l'esprit, aussi. Elle avait connu la fièvre, la passion du début. Les premiers mois avaient été beaux, intenses. S'étaient soldés par des fiançailles, précipitées aux yeux des autres. Surtout de ses beaux-parents. C'était peut-être une mauvaise idée. La seule fois de sa vie où il aurait fallu être raisonnable, la seule fois où elle ne l’était pas, Noela. Mais elle avait adoré cela. Ne plus être dans le contrôle, ne plus être si rigoureuse. Laisser tomber les barrières, cesser de tout analyser, écouter simplement son cœur. Al l’avait rendue véritablement heureuse. Aujourd'hui, elle ne sait plus. A l’impression qu’ils se sont un peu perdus. C'est peut-être sa faute – elle qui est si nulle, avec les autres. Si nulle avec Al, si nulle même avec son père, sa belle-mère et Majolica. Si nulle avec ceux qui comptent, ceux qui sont importants. Les moments en tête à tête avec Al se font rares, à présent. Parce qu’ils n’ont pas le temps. Peut-être l’excuse pour ne pas dire qu’ils n’ont pas envie. Moins qu’avant. Que l’amour est peut-être parti. Ou s’est afaibli. Car elle a l’impression qu’elle l’aimera toujours, Aldwin.

Elle ne rentre pas trop tard, ce soir.
Ce pourrait être l’occasion de passer un moment à deux. De se retrouver, de se rattraper. Car elle n’est pas l’épouse idéale. N'a de toute façon jamais aimé ce concept-là. Comme si c’était aux femmes d’être parfaites. Elle ne sait pas ce que cela veut dire, l’épouse idéale. Sans doute n’est-elle pas non plus la fille idéale, la sœur idéale, selon le même modèle. Dans le fond, elle sait qu’elle merde. Avec tout le monde.
Mais pas ce soir. Pas vrai ?

Ce soir, elle passera la soirée aux côtés de son mari.
Commence par le rejoindre à la cuisine. L'embrasser, brièvement l’enlacer. L'occasion de lui raconter un peu sa journée. Lui parler de ce boulot qu’elle affectionne tant, Noela. De ce boulot devenu centre de son monde. Elle sert un verre de vin à Aldwin, puisqu’il accepte quand elle le lui propose. Le lui tend, avant d'attraper le sien, de le lever pour trinquer avec son époux. « C’est pas encore gagné. Je ne veux pas crier victoire trop vite, mais ça me semble pas trop mal parti. » Elle esquisse un sourire. Non, elle ne criera pas victoire trop vite. Elle aime, à vrai dire, que ce soit difficile. La victoire n’en est alors que plus grisante, quand elle y arrive. Elle boit quelques gorgées de son verre, un peu songeuse. Puis Al, toujours derrière les fourneaux, l’interpelle pour qu’elle goûte sa sauce. Alors elle s’approche, pose sa main sur la cuillère pour l’approcher de ses lèvres et goûter. « C’est vraiment délicieux. Et j’ai plus qu’à mettre les pieds sous la table, dis donc. » Elle lâche un rire, la brune. Al a toujours été bon cuisinier. Sans doute bien meilleur qu’elle, d’ailleurs. Elle, elle ne prend plus assez le temps de le faire, surtout. N’a plus depuis longtemps que sa galerie à la bouche.
Aldwin lui dit alors que son hôtel a appelé. Car elle voyage aussi beaucoup, pour le boulot, Noela. Elle va à droite, à gauche. Elle aime cela. Mais voilà, là, elle aurait oublié quelque chose. Elle ne voit pas quoi. Laisse échapper un soupir de soulagement à la réponse d’Al. « Ouf, j’ai eu peur que ce soit quelque chose de plus important. Ils peuvent bien la garder. Mais ils ne se réveillent que maintenant ? » fait-elle sur le ton de la plaisanterie, riant. Elle ne sait pas comment interpréter la suite, cependant. Hausse les sourcils, intriguée, mais surtout incapable de comprendre ce que cela veut dire. « Comment ça ? » Pourquoi est-ce que cela ne lui ressemble pas ? Parce que d’ordinaire, elle n’oublie rien. Peut-être un peu trop control freak sur les bords. Surtout, elle remet toujours les choses à leur place, ne laisse pas de place à l’erreur, l’imperfection.
SUN wildest dreams
Al Barnes
Al Barnes
messages : 178
pseudo : same.
id card : niney (Chaussette) - sign (zaja/allthefights/buzzcocks)
multicomptes : lip (keery) - kemal (tütüncü) - blaise (carter)
à contacter : le compte concerné
triggers : cruauté animale, inceste, viol + je ne joue pas de scène de sexe explicite.
warnings : mensonges, adultère (pensées), élitisme.
présence : (+/-) présente, l'irl avant tout.
as long as I'm with you (w/al) F730fceba5728e802fed8da0ef0d0336a73f8449
âge : trente ans - l'âge de raison (oupas)
occupation : directeur - du groupe journaliste Barnes (thanksdad)
statut civil : marié - pour le meilleur et le pire (surtout)
orientation : hétéro - seules les courbes féminines le font tressaillir (sorryguys)
habitation : villa - north valley, #3028. (laclasse)

pronom ig : he/il.
disponibilités :
infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable ⇝ code couleur : #0066cc

   
 
「 as long as I'm with you 」
∙ feat. @Noela Barnes  ; avril 2023 ∙
tw: adultère.

 Un sourire.
Son sourire.

Cette silhouette que tu ne connais que trop bien. Son sourire qui te faisait tant d’effet, avant. Est-ce toujours le cas à présent ? Tu ressens toujours ce petit quelque chose. Ce truc qui te donne envie d’aller vers elle, mais… Oui, il y a ce ‘mais’, ce ‘mais’ qui n’existait pas avant et qui est constamment présent aujourd’hui. Ce ‘mais’ que tu n’expliques pas. Pourtant tu le sens autour de vous. Sourire qui t’amène vers elle. Besoin de vous retrouver. Besoin d’oublier toutes ces interrogations, ces questions qui restent dans un coin de ta tête. Tu as besoin de la retrouver, d’être connecté avec elle. Comme avant. Deux mots qui sont en toi. Comme avant. Cet avant qui te manque, dont tu as besoin. Vraiment ? Pourtant dans le fond, tu songes à elle, celle pour qui tu te rends tous les jours dans ce petit café. Celle qui n’est pas ta femme. Celle qui n’est pas présente face à toi. Celle qui ne te raconte pas sa journée. Une honte que tu ressens, c’est pas bien Al, tu le sais. Tu sais au fond de toi que cette pensée te perdra. Pourtant tu n’y peux rien, c’est plus fort que toi. Tu aimerais retrouver ce truc, cette connexion que vous aviez. Tout fut rapide, mais intense et tu sais que c’est toujours là. Tu essaies juste de retrouver où en toi. « Je me fais plus du souci pour lui que pour toi, il ne sait pas qui est face à lui. Tu lâcheras rien et il est vraiment prometteur ? » tes idées qui divaguent, mais tes mots qui sont sincères. Tu crois en sa capacité, tu sais qu’elle est capable d’obtenir ce qu’elle désire. Tu en es la preuve d’après certaines personnes de ton entourage. C’est aussi pour ça que tu fais taire les voix. Tu ne peux pas tout foutre en l’air, tu as la pression familiale sur les épaules. Ne pas les décevoir, leur prouver qu’elle ne t’a pas épousé pour ton argent. Qu’elle a dit oui pour toi et non pour le reste. Remuant tranquillement, goûtant, te délectant des saveurs. Elle aime. Tu souris. Tout ceci est donc réel ? Ce n’est pas un mirage. Vous avez l’air du parfait petit couple. Ce que tout le monde dit de vous, que vous êtes ‘parfaits’. Est-ce vrai ? Où est-ce que tout ceci n’est qu’une mascarade. Tu chasses cette pensée de ta tête. Vous êtes heureux. Trois petits mots qui circulent dans ta tête. Oui, c’est ça, vous êtes heureux. Vous avez tout, comment ça ne pourrait pas être autrement ? « Exactement, j’avais envie de te faire plaisir et de sortir de nos habitudes. » vos habitudes ? Prendre à emporter. Faire les choses rapidement, sans prendre le temps parce que c’est votre excuse : pas le temps. Vraiment ?

Des phrases qui restent. Des interrogations qui se succèdent. Des réponses qui ne viennent pas. Es-tu heureux ? Êtes-vous heureux ? Mascarade ou réalité ? Pourquoi tu t’interroges ? Pourquoi maintenant ? Tu vrilles Al, avec un simple message ou juste parce que ta culpabilité te ronge ? Tu sais juste que tout ça ne te ressemble pas. Surtout pas ces derniers jours. Parce que tu n’as pas le temps. Parce que tu as d’autres responsabilités. Que le boulot accapare ton esprit au quotidien. Et elle ? Elle a sa galerie et ça te va. Vous êtes comblés sur le plan professionnel, mais l’autre partie ? Tu te ronges de l’intérieur. Ne posant pas son regard sur elle, laissant les mots sortirent doucement de ta bouche. « Tu n’es pas du genre à oublier quelque chose… et .. hum je crois l’avoir vu dans la salle de bain ? » pourquoi ? Pourquoi tu parles de ça ? Pourquoi tu mets sa parole en doute, ce n’est rien. « ils ont peut-être dû se tromper. » tu attrapes des assiettes et disposes ta préparation. Un regard dans sa direction, « tu préfères manger où ? » que tu lui demandes délicatement. Une gorgée de vin que tu sirotes au passage. Tu disposes les assiettes sur le comptoir, « j’espère régaler ton estomac. » tu souris, prends place face à elle. Détaillant son visage. Oui, elle est là. Oui, vous prenez le temps. Ça ne peut que vous faire du bien. « Je me disais que ça serait bien qu’une fois j’aille en week-end avec toi, ou bien on devrait partir. » nouvelle gorgée de vin, cette idée ne te déplaît pas. Ça fait longtemps que vous avez fait ça, juste vous deux, comme avant.. cette envie constante, ce besoin de la retrouver. Ce besoin de te rassurer, de ne pas flancher… de ne pas trahir ta promesse.

 

_________________
You spurn my natural emotions. You make me feel like dirt. And I’m hurt. And if I start a commotion. I run the risk of losing you. And that’s worse.☾☾ // par zaja.
Invité
Anonymous
Invité
   
 
「 as long as I'm with you 」
∙ feat. @Al Barnes ; avril 2023 ∙
tw : adultère.

Al, il était peut-être la facilité.
Un coup de foudre, ou un feeling. Une évidente alchimie. Un facile coup de cœur. L'espoir d’une belle histoire, aisée, pas compliquée. Elle ne voulait pas de complications, Noela. Ne voulait pas se prendre la tête. Voulait une histoire qui ne la ralentirait pas, sans doute, dans sa carrière. Ne prendrait pas trop de temps dans sa vie, trop de place dans son cœur. Egoïste, pressée, peut-être control freak, déjà bien trop compliquée. Cela ne partait pas d’une mauvaise intention – c'est juste que l’amour et Noela, cela a toujours fait deux. Mais elle pensait sincèrement qu’avec Aldwin, cela fonctionnerait. En oubliant qu’un mariage nécessitait tout de même un minimum d’investissement. Qu’on ne pouvait pas le laisser évoluer en toute autonomie, comme si cela se gérait seul. Oui, naïvement, elle avait cru qu’Al et elle, c’était facile. Sur le plan amoureux, autant que sur le plan financier. Oui, Al lui a apporté une stabilité financière longtemps espérée. Lui a permis de trouver la quiétude, un semblant de paix. De réaliser son rêve, aussi. Avec sa galerie. Peut-être que ses beaux-parents n’ont pas tout à fait tort, à son sujet. Mais ce n’est pas pour l’argent, qu’elle l’a épousé. Pour autant, cela n’empêche pas qu’elle ait été soulagée de ce côté.

Aujourd'hui, tout n’est plus si facile.
C’était peut-être le cas déjà quand elle a fauté. S'est perdue dans les bras de Joan. Qui sait. Peut-être Noela s’était-elle voilée la face, ainsi perdue dans son propre travail. Trop concentrée sur sa galerie qui avait besoin d’elle. Trop besoin de faire ses preuves, encore, auprès des autres, auprès de la population d’Oceanside, auprès des autres galeristes, marchands d’art, artistes, du coin. Tant et si bien qu’elle en a délaissé Al. Leurs moments ensemble. Il y a peut-être un peu de culpabilité, aussi.
Mais ce soir, peut-être pourrait-elle se rattraper. Elle n’est pas rentrée trop tard. Al est là, en train de cuisiner. Tout porte à croire qu’ils dîneront ensemble. C’est presque devenu rare. Elle lui raconte sa journée, en tout cas. Lui parle de ce performeur qu’elle voudrait convaincre de se produire à la galerie. Son mari lui arrache un rire. C’est peut-être vrai. « Le pauvre, on dirait que je suis un monstre ! Oui, il est vraiment prometteur. J’adore ce qu’il fait. » Elle a toujours des étoiles dans les yeux quand elle parle d’art, Noela. Parce que c’est son truc, parce que c’est ce qui la fait vibrer. Voilà pourquoi elle en a fait le centre de sa vie. De sa carrière. Pourtant, ce n’était pas gagné. Et Al ? Quand en fait-elle l’autre centre de sa vie ? Ce soir, peut-être. Il a cuisiné pour elle. Ce serait dommage de ne pas dîner avec lui. Et puis, cela sent vraiment bon. « C’était une bonne idée. Merci. » La voilà qui dépose un autre baiser sur ses lèvres.

C'est de courte durée.
L'appel de l’hôtel qu’Al mentionne vient l’ébranler. Plus qu’elle ne l’imaginait. Tout cela, pour quoi ? Une bête pince à épiler. Rien de dramatique, en soi. Sauf qu’elle sent quelque chose d’étranger dans l’air. « Oui, ce doit être une erreur. » La brune hausse les épaules. Préfère reléguer ce sujet aux oubliettes. Peu importe, dans le fond, ce n’est pas grand-chose. « Dehors ? Il fait plutôt bon. » Elle hausse les épaules. Ce serait l’occasion de prendre l’air. Et puis, les températures sont plutôt douces, agréables, en cette saison. « Je n’en doute pas une seule seconde. » Elle ponctue ses mots d’un sourire. Ne s’attend pas à la suite. On devrait partir. Ce serait bien qu’il vienne avec elle, une fois. C'est vrai qu’ils partent plutôt séparément, en général. « Oui, on devrait faire ça. Ça fait une éternité qu’on n’est pas partis. » Il n’a pas tort, Al. Ce serait une bonne idée. L'occasion de se rattraper. De tout réparer. « Tu voudrais partir où ? » Lui laisser le choix, c’est plus facile. Tout ce qui lui plaira. L'idéal, ce serait tout de même de partir à deux. De retrouver cet équilibre, de faire des projets à deux. Pas un pour deux.
SUN wildest dreams
Al Barnes
Al Barnes
messages : 178
pseudo : same.
id card : niney (Chaussette) - sign (zaja/allthefights/buzzcocks)
multicomptes : lip (keery) - kemal (tütüncü) - blaise (carter)
à contacter : le compte concerné
triggers : cruauté animale, inceste, viol + je ne joue pas de scène de sexe explicite.
warnings : mensonges, adultère (pensées), élitisme.
présence : (+/-) présente, l'irl avant tout.
as long as I'm with you (w/al) F730fceba5728e802fed8da0ef0d0336a73f8449
âge : trente ans - l'âge de raison (oupas)
occupation : directeur - du groupe journaliste Barnes (thanksdad)
statut civil : marié - pour le meilleur et le pire (surtout)
orientation : hétéro - seules les courbes féminines le font tressaillir (sorryguys)
habitation : villa - north valley, #3028. (laclasse)

pronom ig : he/il.
disponibilités :
infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable ⇝ code couleur : #0066cc

   
 
「 as long as I'm with you 」
∙ feat. @Noela Barnes  ; avril 2023 ∙
tw: adultère.

  Aldwin Barnes, marié. Qui l’aurait cru ? Personne et sûrement pas toi. Pourtant, c’est le cas. Tu es marié, fidèle.. ce mot amène une pointe dans ton cœur. Bien sûr, que tu es fidèle, tu ne l’as pas trompé, tu n’es plus cet homme. Tu lui as fait la promesse de l’aimer, de la respecter envers et contre tout. Elle est l’élue, celle qui a réussi à tout changer ou du moins, te changer. Tu n’es plus le séducteur, le joueur, tu respectes ta femme, tu ne joues plus avec les autres. Parce qu’il a suffi d’un regard. Un regard pour que tu flanches. Un regard et tu as su. Tu as su en croisant son regard qu’avec elle, ça serait différent et c’est le cas. Vous avez tout. Absolument tout. Pourtant, tu ressens ce vide en toi. Ce truc que tu ne sais expliquer. Es-tu le seul à ressentir ça ?
Est-ce que dans le fond, vous vous êtes pas précipités ?
Comme ils ne cessent de vous dire.

Tu ne crois pas.
Tu ne veux pas.
Tu es sûr. Sûr de ton choix. C’est-elle, ça ne sera qu’elle. Tu as changé pour elle, tu aimes dire que tu as évolué. Noela, elle t’apporte une stabilité, elle t’a permis d’être crédible aux yeux de ton père. Elle t’a pas permis d’avoir plus de responsabilité. Tu as atteint les sommets grâce à elle. Tu en es conscient. Parce qu’avant, on te prenait pour un play-boy, ce que tu étais. Tu ne vas pas le nier, tu as une liste de conquête, mais elle a tout changé. Un regard et tu as tout envoyé au placard. Tu n’avais d’yeux que pour elle et c’est toujours le cas. Vraiment ? Tu as ce petit bout de femme qui s’est infiltré dans ta tête. Tu te détestes pour ça, tu as l’impression de tromper ta belle. Tu sais que c’est mal. Tu n’as rien fait, mais tu songes à une autre. Et pour ça, tu te détestes. Tu as l’impression de revenir à tes vieux démons. C’est pourquoi ce soir, tu veux te consacrer à vous. Ce vous, que vous avez mis de côté. L’un comme l’autre, pas juste toi. Tu as été pris par ton travail, tout autant qu’elle. Vous avez tout obtenu grâce à cette union, ça vous en êtes conscient. Est-elle un trophée, comme certains aiment le dire. Non. Parce qu’elle est bien plus pour toi. Tellement plus. Tu la considères dans son entier, pas juste pour sa beauté. Elle ne sera jamais une femme trophée à tes yeux. Tu rigoles à ses mots. « Un adorable monstre dans ce cas, » lui dis-tu avec ce sourire qui ne s’estompe pas. Tu en sais quelque chose, quand elle a un truc en tête, eh bien elle ne l’a pas ailleurs. « C’est super, j’espère qu’il acceptera. Parce qu’avec toi, il ira loin. » tu penses ce que tu dis. Tu sais de quoi elle est capable. Tu as toujours cru en elle, assez pour lui donner l’opportunité de réaliser ses rêves. Parce que tu voulais qu’elle s’élève autant que toi. Voilà pourquoi tu sais qu’elle n’est pas un trophée à tes yeux. Jamais.

Douceur. Sucrée.
Trop court, trop rapide. Tu en redemanderais presque, ses lèvres à nouveau sur les tiennes. Il fut un temps où on ne pouvait pas vous décoller. Une époque résolut, la passion qui s’en est allée ? Il paraît que c’est normal au bout de quelques années de couple. Que la passion laisse place à la routine. Vraiment ? Ou vous avez juste pris l’excuse du boulot, pour mieux vous oubliez. Peut-être. Mais pas ce soir. Non, ce soir c’est vous, rien que vous deux. Pourtant, tu ressens le besoin de parler de ça. De ce coup de fil, de cette peur qui s’installe en toi. Peur ou doute ? Ce n’est rien, juste une erreur. Elle met les mots, à voix haute, oui ce n’est rien. Tu t’emballes, tentes de trouver le mal, là où il n’y en a pas. Pourquoi ? Peut-être parce que tu te sentirais mieux, tu n’aurais plus ce sentiment de culpabilité. Peut-être. Tu sers ton délicieux mets dans deux assiettes, pendant qu’elle prépare la table à l’extérieur. Bonne idée, le temps est au rendez-vous. Un peu de fraîcheur, une atmosphère différente. Voilà, ce que tu cherchais. « hum… on avait pas dit qu’on irait sur une île ? Qu’on se perdrait dans le silence et le charme bucolique. » bon techniquement ça ne va pas ensemble, mais vous perdre dans la nature, cette idée a été évoquée. « du moment que je suis avec toi, ça me va. » dis-tu en déposant les assiettes. Tu prends place face à elle. « je pense qu’on a bien mérité une seconde lune de miel, » tu prends sa main. Un contact. Un rapprochement dont tu as besoin. Un sourire, charmant, amoureux. Parce qu’après tout, c’est ce que vous êtes. Amoureux. « je t’imagine bien dans ce petit bikini, un cocktail dans une noix de coco dans une main… pas de responsabilités. Juste nous. » une envie, un fantasme ? Un peu des deux, mais un besoin. Un besoin de se retrouver. Tu bois une nouvelle gorgée, songeant à cette idée.

 

_________________
You spurn my natural emotions. You make me feel like dirt. And I’m hurt. And if I start a commotion. I run the risk of losing you. And that’s worse.☾☾ // par zaja.
Invité
Anonymous
Invité
   
 
「 as long as I'm with you 」
∙ feat. @Al Barnes ; avril 2023 ∙
tw : adultère.

La conscience n’est pas tranquille. Elle a merdé.
Elle a perdu le contrôle, Noela. C’est bien le pire qui pouvait lui arriver, à elle. De se laisser aller, d’abandonner. De se laisser guider par ce qu’elle ressentait. Elle a toujours su garder la tête froide, la brune. Toujours, ou presque. Mais pas dans ce cas-là. Pourtant, elle méprise les gens qui trompent éhontément leurs conjoints. Elle méprisait – aujourd’hui, elle serait bien hypocrite, à juger. Elle ne sait pas ce qui lui était passé par la tête. Ce n’était pas juste pour Al, ni pour Joan ; ce n’était même pas juste pour elle-même. Elle aurait pu, sinon, prendre les mesures qui s’imposaient, si Joan lui plaisait – si elle voulait être avec elle. Mais elle ne savait pas. N'avait pas su. S'était, tout à coup, trouvée perdue. Il n’était pas encore trop tard pour régulariser la situation, pourtant. Elle aurait pu avouer ses péchés à Aldwin. Être honnête, dire la vérité, quitte à le perdre. Car c’est ce qui serait arrivé. Pas vrai ? Elle l’aurait perdu. Et tout leur mariage serait parti en fumée.
Et sa belle-famille aurait été trop heureuse de l’apprendre.
C'est triste comme elle pense à eux, tout le temps.

On dirait qu’elle veut toujours leur prouver quelque chose. Qu’elle n’est pas une croqueuse de diamants. Qu’elle n’a pas épousé Al, si vite, pour son argent. Peut-être qu’elle veut se prouver quelque chose même à elle-même, Noela. Se prouver qu’elle a mérité d’en arriver là. Qu'elle ne le doit qu’à elle-même. C'est vrai que la majorité du mérite lui revient. Mais elle le sait, Noela. C'est Al qui lui a permis de réaliser son rêve. Sans lui, elle galèrerait encore, peut-être.
Elle a toujours eu des insécurités, sur eux. Sur sa belle-famille. Peut-être qu’elle arrivera à avoir raison d’eux, au final. Mais elle ne veut pas y penser, ce soir, Noela. Pour une fois, Al et elle sont là, ensemble, en même temps. Il faut en profiter, tenter de passer un bon moment. « Je ne sais pas si c’est un compliment. » Elle rit, pourtant, doucement. L'espace d’un instant, se dit que, voilà, leur complicité n’est peut-être pas envolée. « Je l’espère aussi. » Elle reste un peu songeuse, Noela. Ne se croit pas encore victorieuse. Elle verra bien. Se contente de boire encore quelques gorgées de son verre, un peu dans la lune. Elle est si souvent sur une autre planète, déconnectée des autres. Elle croit que souvent, c’est ce que Majolica lui reproche.

Puis il y a la mention de l’hôtel, qui la réveille. Et puis, le reste.
L'espace d’un instant, elle aurait presque l’impression qu’Al devient soupçonneux. A-t-il un jour senti, ce qu’elle avait fait, qu’elle mentait ? S’est-il un jour douté, qu’elle puisse l’avoir trompé ? Elle aurait dû tout avouer. Pourquoi ne l’a-t-elle pas fait ? Elle qui se croit forte, solide comme un roc, capable de tout affronter, a préféré abandonner. Lâche jusqu’à la moelle. Elle déteste ce qu’elle a fait à Al. Elle déteste même ce qu’elle lui fait en pensant encore trop à Joan. Heureusement peut-être, son mari ne s’éternise pas sur le sujet. Préfère suggérer qu’il l’accompagne en week-end, la prochaine fois, ou qu’ils se prévoient quelque chose, quelque part. C’est qu’ils en ont besoin. « Ouais, ce serait bien. Mais... faut que j’aie quand même du réseau, en tout cas en ce moment. » grimace-t-elle, faisant allusion au boulot. Elle aurait besoin de déconnecter, Noela. Al autant qu’elle, sans doute. Mais le pourraient-ils, avec leurs responsabilités ? « Mais l’idée est tentante. » La question est : que feraient-ils, ensemble ? Arriveraient-ils à se retrouver, tout à fait seul à seul ? Elle a fini de préparer la table, Noela. Al, lui, les sert. Déclare qu’ils ont mérité une seconde lune de miel, attrapant sa main. Un doux contact, devenu trop rare. Ils ne sont jamais là. Toujours trop occupés. Mais l’amour est toujours là, pas vrai ? « C’est vrai. Ça nous ferait du bien. » Il ne sait pas à quel point. Elle lui adresse un sourire, caresse doucement sa main. « Je vois que monsieur Barnes a des idées derrière la tête. » Elle éclate de rire, garde un sourire en coin. C'est agréable, dans le fond, de se retrouver. Peut-être qu’ils pourraient vraiment y arriver. « Je sais déjà lequel je porterais. » décide-t-elle toutefois, d’entrer dans son jeu. « On devrait réserver, après dîner. » suggère-t-elle finalement, Noela. Oui, qu’ils réservent avant de changer d’avis. Avant que l’emploi du temps de ministre ne se remplisse.
SUN wildest dreams
Al Barnes
Al Barnes
messages : 178
pseudo : same.
id card : niney (Chaussette) - sign (zaja/allthefights/buzzcocks)
multicomptes : lip (keery) - kemal (tütüncü) - blaise (carter)
à contacter : le compte concerné
triggers : cruauté animale, inceste, viol + je ne joue pas de scène de sexe explicite.
warnings : mensonges, adultère (pensées), élitisme.
présence : (+/-) présente, l'irl avant tout.
as long as I'm with you (w/al) F730fceba5728e802fed8da0ef0d0336a73f8449
âge : trente ans - l'âge de raison (oupas)
occupation : directeur - du groupe journaliste Barnes (thanksdad)
statut civil : marié - pour le meilleur et le pire (surtout)
orientation : hétéro - seules les courbes féminines le font tressaillir (sorryguys)
habitation : villa - north valley, #3028. (laclasse)

pronom ig : he/il.
disponibilités :
infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable ⇝ code couleur : #0066cc

   
 
「 as long as I'm with you 」
∙ feat. @Noela Barnes  ; avril 2023 ∙
tw: adultère.

 Noela. Un prénom qui a toujours fait écho en toi. Un prénom qui durant un temps te faisait frémir. Aujourd’hui, tu ne sais plus trop, il te parle toujours. Il est toujours cher à ton cœur, mais c’est flou en toi. Tu ne comprends pas. Tu l’aimes. Tu en es sûr. Pourtant, un autre visage s’est infiltré dans tes pensées. Un autre sourire. Un autre que celui qui se tient face à toi. Ça te dérange. Tu te détestes de penser ainsi à une autre que ta moitié. Une première. Parce qu’il fut un temps, tu te moquais de tout et surtout des sentiments, des autres que toi. Tu t’occupais que de ta petite personne. Là, c’est différent, tu penses à elle. Ta femme. À la peine qu’elle ressentirait si tu lui disais la vérité. Qui est ? Tu ne sais pas. C’est peut-être juste un petit crush, rien de bien embêtant. Pas assez important pour en parler. C’est ce que tu te dis le soir pour t’endormir. Rien d’important. Ce visage n’est pas important. Elle n’est rien. Pourtant elle revient et telle une vague, elle emporte beaucoup de chose sur son passage. Ce n’est rien, voilà ce que tu te répètes. Juste un petit malentendu. Tout va revenir à la normale. Tu le sais, vous devez vous donner du temps. Pensez à vous. Ça ne peut pas vous faire de mal… et si tu savais. Si, tu savais la vérité, ce qui se trame dans sa tête. Ignorant que tu es. Idiots que vous êtes.

Un repas que tu offres en gage de paix. De réconciliation. D’instant à deux. D’un besoin de vous reconnectez. Parce que tu sais qu’au fond de vous, vous en avez terriblement besoin. Vous ne cessez de courir partout, après quoi ? Votre carrière, mais le bonheur ? Votre union dans tout ça. Tu n’y penses pas. Pas le temps, pas l’énergie, on remet à plus tard, tel un dossier qu’on oublie sur le bureau. Voilà ce qu’est devenue ce ‘nous’ et au fond de toi, tu dois bien reconnaître que ça te fait mal. Parce que tu as fait la promesse, celle d’être toujours à ses côtés, de l’aimer quoi qu’il arrive. De faire en sorte qu’elle soit toujours bien, heureuse. Tu vois qu’elle s’épanouit dans son univers, son travail, tout autant que toi, mais cet amour. Ce couple. Celui dont personne n’aurait cru capable de dépasser les trois mois. Celui que tes parents désapprouvent, mais tu t’en moques. Parce que dans le fond, tu t’es toujours moqué de leurs avis, même si là… Là tu as envie de prouver qu’elle n’est pas avec toi pour l’intérêt. C’est plus fort entre vous, tu le sais.

Sourire taquin qui apparaît sur ton visage. Ses mots qui te séduisent. « et si pour une fois on essayait de déconnecter ? » tes doigts qui caressent sa main. Chaleur qui te fait du bien, contact rassurant. « mais promis je vais trouver un hôtel avec un bon wifi. » ajoutes-tu en plaisantant. Elle n’a pas tort, êtes-vous capable de réellement déconnecter ? Et que feriez-vous ? Rattrapez le temps perdu ? Est-ce que ça sera une idée ou allez-vous vraiment le faire ? Tu sais que vous en avez besoin. Besoin de se retrouver. D’être ce couple, celui du début, pas celui-là. Redevenir jeunes et insouciants. Les odeurs de ton plat, te ramènent doucement à la réalité. Tu bois une gorgée et commences à attaquer ce plat. Tes papilles déjà en appétit. Partir, se reconnecter, cette idée semble lui plaire. «  et je constate que Madame Barnes en a tout autant, » petit sourire en coin, ce petit jeu te plaît. Tu aimes la connexion qui se passe entre vous. Comme avant ? Peut-être. « alors comment trouves-tu mon plat ? » le faire après le dîner ? Pourquoi pas maintenant ? Tu devrais le dire, mais tu ne relèves pas, pas encore. Bientôt. Tu savoures ton mets. « aurais-tu une envie en particulier ? Un endroit qui te fait envie ? » tu remets doucement le sujet sur la table, t’as pas envie qu’il s’en aille. « je nous imagine bien à Bora Bora, sur une petite cabane au milieu de l’eau turquoise. » rêveur, c’est ce que tu deviens. Partir loin. Oublier la réalité, l’espace d’un instant.

 

_________________
You spurn my natural emotions. You make me feel like dirt. And I’m hurt. And if I start a commotion. I run the risk of losing you. And that’s worse.☾☾ // par zaja.
Invité
Anonymous
Invité
   
 
「 as long as I'm with you 」
∙ feat. @Al Barnes ; avril 2023 ∙
tw : adultère.

Ils se sont perdus en route. Aldwin et elle, Noela. Tout était si bien parti, pourtant. Peut-être était-ce allé trop vite, cependant. C'est ce que disaient les autres. C’est ce qu’ont toujours dit sa belle-famille. Celle qui ne l’accepte pas. Ne l’a toujours vue que comme une croqueuse de diamants, Noela. Elle l’a mal vécu, elle. S'est sentie constamment épiée, à devoir sans cesse faire ses preuves. À n’en faire jamais assez. À n’être jamais assez bien. C'est peut-être surprenant, parce qu’en apparence, on dirait parfois que rien ne peut jamais l’ébranler, Noela. Mais ce n’est pas le cas. Elle aussi, elle a ses maux, elle a ses failles. Al est l’une d’elles. Elle l’a aimé, vraiment, profondément, sincèrement. Aujourd'hui, elle croit qu’elle l’aime encore. Et si un jour, pour de vrai, elle ne l’aime plus, elle aura toujours une grande affection pour lui. Mais cela n’arrivera pas, pas vrai ? Ils ont promis de s’aimer pour le meilleur et pour le pire. Pourtant, par moments, elle les sent fragiles. Sur le fil. Celui qui pourrait casser.
Alors ce soir, il faut peut-être essayer, faire des efforts.
Cela ne pourrait pas leur faire de mal.

La perspective d’un dîner en tête à tête n’est pas désagréable.
Cela peut être l’occasion de renouer le lien, la communication. Il est trop tôt pour imaginer le pire. Il est trop tôt pour se dire que c’est foutu. Quoique. Après tout, dans les faits, elle a déjà merdé. Ce qu’elle tait. Mieux vaut se concentrer sur ce projet d’escapade dont ils auraient tous les deux bien besoin. Mais est-ce cela qui pourra les sauver ? C’est Al, qui a lancé l’idée. Elle, elle réclame tout de même un peu de réseau. Lui saisit alors l’occasion de suggérer qu’ils déconnectent, pour une fois. « Est-ce que tu me mets au défi ? » demande-t-elle en riant doucement. Dans le fond, cela ne lui ferait pas de mal. Ce serait peut-être alors de vraies vacances. Comme elle en a besoin, Noela. « Ouf, tu me rassures. » plaisante-t-elle, sans que son sourire ne quitte ses lèvres. L'idée de ces vacances, loin de tout, en tout cas, est séduisante. Oui, elle en a peut-être besoin, Noela. Al aussi. Ils en ont besoin, autant l’un que l’autre. Pour resouder leur couple ; sauver leur mariage, peut-être, aussi.

Imitant Al, elle avale quelques bouchées du repas. Ne s’était pas rendu vraiment compte, jusque-là, à quel point elle avait faim. Ou bien c’est que l’appétit vient en mangeant, ce qui n’est pas difficile quand Al cuisine – c'est-à-dire, bien mieux qu’elle. « C’est probable. » Un autre charme s’opère. Un autre qu’il faudrait aussi retrouver. Tous deux trop occupés à bosser. Partis trop souvent à s’oublier. « C’est délicieux ! Et bien plus nourrissant que ce que j’ai mangé ce midi. » Et les autres, et même les soirs, parfois, aussi. Elle ne vit que pour le boulot. Elle en oublie parfois de s’alimenter correctement. De prendre soin d’elle comme il faut. Al y arrive mieux – et inversement. Du moins, avant. Prennent-ils encore assez soin l’un de l’autre, à présent ? Elle attrape son verre et boit quelques gorgées, l’air songeur. Où voudrait-elle aller ? Il y a plein de noms qui lui viennent en tête, mais elle ne saurait affirmer sa préférence. Finalement, c’est Al qui reprend la parole en mentionnant Bora-Bora. « Bora-Bora, ça fait rêver. » Elle a toujours cet air songeur, rêveur. Oui, ce serait peut-être l’endroit idéal. « Il nous faut définitivement une île au milieu de l’océan, loin de tout. » Oui, lui autant qu’elle, en a besoin. Pour déconnecter, se retrouver. Ce serait parfait.
SUN wildest dreams
Al Barnes
Al Barnes
messages : 178
pseudo : same.
id card : niney (Chaussette) - sign (zaja/allthefights/buzzcocks)
multicomptes : lip (keery) - kemal (tütüncü) - blaise (carter)
à contacter : le compte concerné
triggers : cruauté animale, inceste, viol + je ne joue pas de scène de sexe explicite.
warnings : mensonges, adultère (pensées), élitisme.
présence : (+/-) présente, l'irl avant tout.
as long as I'm with you (w/al) F730fceba5728e802fed8da0ef0d0336a73f8449
âge : trente ans - l'âge de raison (oupas)
occupation : directeur - du groupe journaliste Barnes (thanksdad)
statut civil : marié - pour le meilleur et le pire (surtout)
orientation : hétéro - seules les courbes féminines le font tressaillir (sorryguys)
habitation : villa - north valley, #3028. (laclasse)

pronom ig : he/il.
disponibilités :
infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable ⇝ code couleur : #0066cc

   
 
「 as long as I'm with you 」
∙ feat. @Noela Barnes  ; avril 2023 ∙
tw: adultère.

Est-ce que c’était une bonne idée ? Tu le penses. Tu penses que cette idée est bien, que vous avez besoin de ça. Ça quoi ? De vous retrouvez, d’être ensemble, rien que dans une bulle. Juste vous deux. Un peu comme avant. Parce qu’avant c’était simple, différent de maintenant … aujourd’hui, tu ne sais plus. Tu as l’impression que vous vous êtes perdus en route, que vous n’êtes plus sur le même chemin. C’est ça le mariage ? La vie à deux ? C’est la première fois que tu vis tout ça et tu es content que ça soit avec elle. Tu l’aimes. Oui, tu l’aimes, tu en es sûr, parce que sinon à quoi bon tout ça ? Tu es attaché à elle. Tu ferais n’importe quoi pour la rendre heureuse, voir ce sourire. Ce magnifique sourire. Celui qui te fait rêver, celui qui te donne des ailes. À une époque, tu aurais tout donné pour voir ce sourire. Absolument tout. Quelque part c’est ce que tu as fait. Tu as tout fait pour qu’elle soit tienne, pour toujours. T’accrochant à ce rêve, cette illusion. Et si dans le fond, ce n’était vraiment qu’illusion tout ça. Une mascarade, un faux semblant ? Tu ne sais pas et au fond de toi, tu n’as pas envie de songer à tout ça. Pas le moment. Tu préfères profiter de ça, de ce vous. De ta superbe femme.

Sourire mutin qui apparaît sur ton visage, tout autant que le sien. Lueur de jeu dans son regard. Tu aimes ça. « je te dirais bien oui, en serais-tu vraiment capable ? » ta langue qui vient frotter ta lèvre inférieure. Tu joues avec elle, tu la taquines, avant de lui dire qu’au final tu trouveras un hôtel adapté à leur besoin. Pourtant vous déconnectez, ça ne pourrait que vous faire du bien. Juste vous deux. Rien que vous deux. Loin des gens. Loin de la pression, qu’elle soit professionnelle ou familiale. Parce que tu es pas stupide, tu es bien conscient que ta famille exerce une pression sur elle, sur toi, sur vous… Toi, tu dois rester le fils idéal, le parfait entrepreneur. Respectant les codes de la famille. Vous devez être beaux en permanence. Pas de faux et pourtant .. tu balaies cette question d’un coup. Ce n’est pas le moment. Non le moment est de se projeter à Bora Bora, de rêver de ces vacances. Vous en avez besoin. Être ailleurs, loin de tout ça, c’est ça qu’il vous faut. Plus tu y penses, plus tu te dis que c’est une idée lumineuse.

Rien que eux deux. Tu as bien fait. Tu as eu la meilleure idée qu’il soit, ses mots t’apaisent, te rassurent. Vous en aviez besoin. À présent, tu sais que ces vacances vous feront du bien. « bon et bien c’est décidé, je vais nous réserver de superbes vacances ! » tu réfléchis un instant, quand ? Parce qu’il ne faudrait pas que cette idée s’éloigne de votre mémoire. Impossible. « Tu en penses quoi d’un noël sous le soleil ? Je sais que ce n’est pas tout de suite, mais ça va venir vite ? Et puis ça nous permettrait de souffler, pas de repas de famille. Pas de pression. Juste ton bikini et des cocktails, » ta main qui vient capturer la sienne. Tu penses que c’est une bonne idée, vous serez loin de tout, juste vous deux. Quelle meilleure idée ? « Noël à Bora Bora, je pense que c’est merveilleux, » tu vois dans son regard qu’elle approuve. « Madame Barnes ne vous en faites, j’aurais un somptueux cadeau pour vous. » tes lèvres qui s’approchent des siennes. Déposant un doux baiser sur ses lèvres. Tu te sens mieux, tu as l’impression de sceller cet accord, que c’est officiel. Vous deux, une destination de rêve, un tableau des plus parfaits. Des vacances qui s’annoncent idylliques, voilà ce dont vous avez besoin. Tu es sûr au fond de toi que c’est une bonne idée, tout comme ce repas. Vous avez besoin de vous retrouver, loin de tout. Tu attrapes les assiettes et pars en direction de la cuisine.

THE END.
 

_________________
You spurn my natural emotions. You make me feel like dirt. And I’m hurt. And if I start a commotion. I run the risk of losing you. And that’s worse.☾☾ // par zaja.
Contenu sponsorisé