nightmares come to life (ozan&yeliz)
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nightmares come to life (ozan&yeliz)

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「  trapped in these feelings,I could lose everything. 」
∙ feat. @Ozan Eker & @Yeliz Solak ; août 2023 ∙
tw: blessures.

« Chéri, c’est moi ! » que tu gueules en entrant dans l’appartement. Oui, c’est tout à fait ça, tu ‘gueules’, c’est une vache qui meugle, tu uses ta magnifique voix pour signaler ta présence dans ces lieux. Un endroit qui n’est pas tien, mais tu y entres comme si c’était le tien. Parce que tu es comme ça et puis c’est là que vivent les deux personnes les plus importantes de ta vie. Alors, ça te paraît normal d’avoir un double et de rentrer ainsi. Ça pourrait choquer, mais pas toi, peut-être eux ? Ta sœur n’est pas là et ton éclopé d’amour ne va rien faire. Juste te rouler sur le pied et encore tu auras le temps de l’éviter. Les bras chargés, tu avances vers la cuisine. « J’ai ramené de quoi passer une bonne soirée, j’espère que tu as fait le ménage en bonne petite femme que tu es. » grand sourire sur ton visage en regardant vers ton meilleur ami. Tu plaisantes bien sûr, tu ne considères pas que la femme doit s’occuper de la maison. Il manquerait plus que ça, tu peux déjà imaginer la claque de ta sœur derrière ta tête. Façon Gibbs dans NCIS bien sûr. Si tu te transformes en matcho, tu peux être sûr que les femmes de ton entourage te le feront payer. Non, ce n’est pas demain la veille que tu risques de changer. Et puis là, tu parles à ton meilleur ami, lui il peut bien faire le ménage. Parité. Tu déballes les sacs, rangeant les ingrédients petit-à-petit. « Elle a encore tout changé de place, je fais comment moi ? » elle a peut-être rien changé de place, c’est juste que tu n’es pas chez toi Kemal, mais tu fais tout comme.

« Alors ça boume ? J’ai raté quoi dernièrement ? Et mon neveu il est où ? » tu parles vite, mais ça c’est une habitude chez toi. Il le sait, il te connaît. Tu es presque comme flash, la speed-force en moins. Attrapant une bière, puis un sachet de chips, tu viens te poser dans le canapé, à la recherche de ton neveu adoré. Parce qu’il est trop mignon et que tu as mis un poing d’honneur à être le parrain. Ça te paraît logique, tu ne peux pas t’occuper d’un enfant, mais d’une boule de poil, assurément. Quoique ? La question peut rester en suspend, l’avenir le dira. « J’ai ramené du pop-corn aussi, si besoin, » tes lèvres s’étirent un peu plus, mais tu devrais pas en avoir besoin. Pas ce soir. La frangine n’est pas là. Elle est ailleurs, tu ne sais plus exactement où. Tu sais juste que ce soir vous avez l’appartement pour vous deux, soirée boys en prévision et tu sens qu’il en a bien besoin. « ça fait quoi de vivre avec un Solak, pas la meilleure certes, mais on l’aime quand même ? » que tu rajoutes, ne perdant pas ton sourire. Tu sais qu’au fond, il aurait aimé vivre avec toi, que c’est son rêve absolu. Presque un fantasme, mais non tu peux pas, tu n’as pas d’ascenseur et en ce moment … ton appartement ressemble à un foutoir. Ça te ressemble pas, mais tu as juste la flemme. C’est mal et alors ? Ça arrive même au meilleur.

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「 nightmares come to life. 」
∙ feat. @Kemal Solak & @Yeliz Solak  ; août 2023 ∙
tw: blessures.

Soirée entre potes, c’était censé être sympa. Aider à se vider l’esprit, il en avait bien besoin Ozan. Le temps passait, les choses ne s'amélioraient pas aussi bien qu’il ne voudrait. Il y avait une de ses jambes qui ne lui faisait presque plus mal et sur laquelle il pouvait de mieux en mieux prendre appui, mais la seconde semblait ne pas vouloir suivre les progrès. Il avait beau essayer de rester optimiste et se dire que ça allait aller, peut-être que son corps avait besoin de récupérer d’un côté avant de pouvoir s’occuper de l’autre. Ça devenait quand même difficile. Ça faisait des mois qu’il était coincé dans ce fauteuil et il rêvait clairement de retrouver la mer, le sable fin, les vagues. Il voulait plonger dans l’océan, nager et surfer. Partir pendant des heures, voire même des jours en randonnée, loin du reste du monde. Mais il ne pouvait pas. L’été allait se terminer et il n’en avait clairement pas profité. Le temps restait beau, même en hiver en Californie, mais ça restait quand même plus agréable l’été. Avec un peu de chance il irait mieux l’été prochain. Avant quand même, de préférence, parce qu’à rien pouvoir faire, il allait finir par devenir fou.

Il lâcha un soupir suite à la remarque de Kemal. « Evidemment, j’ai tout récuré en long en large et en travers, comme quelqu'un qui pourrait marcher. » Il faisait de son mieux pour aider Yeliz, qu’elle n’ait pas tout à faire, parce qu’il ne supportait pas l’idée d’être un fardeau pour quelqu’un. Mais le fait était qu’il était quand même assez rapidement limité dans ses mouvements. Pour son plus grand malheur évidemment. « Il va bien, il vit sa meilleure sur l’arbre à chat, dont il a délogé Azra sans gêne. » Il haussa les épaules. Le chaton qu’il avait récupéré dans la rue était adorable, mais très doué quand il s’agissait de faire chier son monde. Comme tous les chats, sans doute. « On a toujours besoin de pop-corn, mais je commencerais bien par une bière. » Il haussa les épaules, quand il s’agissait de bouffer, il n’était clairement pas le dernier, Ozan et puisque Kemal venait de déposer tout ce qu’il avait trouvé sur la table, il pouvait bien ramener la bière au passage. Il laissa échapper un long soupir suite à la remarque de son ami. « Vous voulez pas échanger, tu viens vivre ici et elle prend ton appartement. » Ce serait bien plus facile à vivre, d’après lui. Mais Kemal était très bien chez lui et il pouvait comprendre ça. Lui sa péniche lui manquait. Être bercé par le mouvement de l’eau, ça foutait la nausée à certains, lui il adorait. « Maintenant, elle passe même ses nerfs sur moi par message. C’est elle qui m’envoie un message, alors que je suis tranquillement posé devant la télé et d’un coup elle vrille. » Pour une toute petite blague de rien du tout en plus. Il avait sans doute déjà dit bien pire que fait une remarque sur sa relation avec son frère. De toute façon, il passait son temps à lui dire que Kemal avait du courage, que lui n’aurait pas survécu avec une sœur pareille. Alors il ne savait pas pourquoi elle avait réagi comme ça. « Ta sœur est complètement cinglée, Kemal, je suis désolé de te l’apprendre. » Il soupira encore suite à cette remarque. A se demander quand même si Yeliz était vraiment sa sœur où si elle avait été adoptée, parce qu’elle n’avait vraiment rien à voir avec Kemal.
.
SUN wildest dreams
Yeliz Solak
Yeliz Solak
messages : 1401
pseudo : winter solstice (elle).
id card : hande erçel / fassylover@av, song cry@bann, the last dinner party/nothing matters@lyrics, gifsbymel@gif (tumblr).
multicomptes : noela, nailea, oliva, noa, nell & isaura.
à contacter : le personnage concerné.
triggers : inceste, cruauté animale, violences et agressions sexuelles, maltraitance, AVC, sang, age gap +15 ans.
warnings : maladie et mort infantiles, mention de blessure.
présence : présente.
nightmares come to life (ozan&yeliz) KEG17ly1_o
âge : vingt-neuf ans, regarde d'un mauvais œil la trentaine approchant.
occupation : scénographe.
statut civil : célibataire attachée à sa liberté.
orientation : bisexuelle.
habitation : peacock, apt. 2 en colocation permanente non désirée avec Ozan.
pronom ig : elle.
disponibilités : indispo (0/5).

— rps en cours.
www › bashir
www › kemal
www › lyle
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www › ozan,, 6

— rps terminés.
www › ozan,, 1
www › ozan,, 2
www › ozan,, 3
www › kemal & ozan
www › ozan,, 4
www › aiden
www › ozan,, 5


infos rp : 500-1000 mots / dialogues en français (ok pour l'anglais) / 3ème personne du singulier au présent / réponse en 2 semaines en moyenne ou max 3 / présente plutôt le week-end.
   
 
「 nightmares come to life 」
∙ feat. @Kemal Solak & @Ozan Eker  ; août 2023 ∙
tw: blessures.

La journée a été chargée, elle ne l’a même pas vue passer. Mais elle a adoré, Yeliz. Elle ne s’est pas ennuyée une seule seconde, trop occupée à gérer un million de choses, à essayer d’avancer un maximum ses projets. La rentrée approche, de nouvelles expositions vont ouvrir leurs portes et certaines choses commencent à presser. Mais cela va aller. Cela va bien se passer. Elle en a l’habitude, désormais, bien qu’elle soit encore jeune – l'expérience commence à se faire, à présent. Alors la journée a été chargée, et à présent, Yeliz, elle est fatiguée, impatiente de rentrer. Mais avant, il fallait faire toute la route depuis San Diego, comme les trois quarts du temps. La route est dégagée, au moins, ce soir. Tant mieux, parce qu’elle n’avait pas envie de s’énerver sur la route, la brune. Ceux qui partent en week-end ont dû se décider à partir plus tôt. Elle, à présent, elle a le temps, de rentrer tranquillement. Sans s’énerver. Trop fatiguée, de toute façon.

Une bonne heure plus tard, elle arrive à Oceanside. Jette un coup d’œil à l’heure - doit rejoindre une copine pour boire un verre, plus tard. Mais elle a encore le temps, Yeliz. Le temps de passer chez elle, prendre une douche, se changer. Cela devrait aller. Elle n’a pas envie d’y aller directement, alors que la route a été longue, que les températures sont encore chaudes. Alors elle se gare bientôt sur le parking de l’immeuble, rejoint son appartement. N'aperçoit pas Ozan, ne prend pas le temps de le chercher – elle n’a quand même pas une éternité devant elle, la brune. Elle se contente d’aller prendre sa douche en vitesse, de s’habiller, se maquiller vaguement, avant d’attraper son sac et de repartir. Elle est déjà sur la route, quand son téléphone sonne, quand elle voit le nom de son amie s’afficher sur l’écran de sa voiture. Elle se gare sur le côté pour lui répondre, apprend que l’amie en question ne pourra pas venir, finalement. Elle s’est sentie mal, préfère rester chez elle. S'excuse de ce changement de dernière minute. Promet qu’elles remettront cela, une prochaine fois. Elle comprend, Yeliz. Raccroche en lui disant de prendre soin d’elle, puis se demande quoi faire. Elle pourrait bien sortir quand même, boire un verre, manger quelque part. Faire une rencontre, peut-être, qui sait ? Mais il y a aussi toute la fatigue de la semaine, emmagasinée, qui revient la frapper. Elle a envie de rentrer. Alors elle le fait.

Quand elle monte l’escalier de son immeuble, elle ne pense plus au fait que son frère était censé venir. Passer la soirée avec Ozan. Elle a bien dû l’apprendre, mais l’information lui est sortie du crâne, à un moment ou l’autre. Alors, quand elle ouvre la porte, elle fronce les sourcils en entendant des bribes de voix. En entendant surtout des mots en particulier se détacher du reste. « Et moi, je suis désolée de t’apprendre que ta cinglée de colocataire a sa soirée d’annulée et est déjà de retour, Ozan. » rétorque-t-elle en soupirant bruyamment, avant de lever les yeux au ciel, tandis qu’elle pose son sac à main dans un coin et retire sans plus attendre ses chaussures à talons. Non, elle n’avait définitivement pas l’énergie pour celles-ci, ce soir. Elle remarque alors son frère, assis dans le canapé avec bière et paquet de chips. « Pourquoi tu t’pointes quand je suis pas là, toi ? J’vois qu’on a ses préférences, ici. » Elle semble bien partie pour se la jouer drama queen, Yeliz, excédée mais surtout bien amusée à exagérer. Car elle en fait trop, un peu exprès. Surtout pour faire chier Ozan. « Je vois que vous faites une soirée sans moi, pas cool, les gars. » Non, elle s’en fiche un peu, à vrai dire – quoiqu’elle ne s’en fiche jamais de voir son frère. « Pour vous faire pardonner, et parce que mon verre vient de tomber à l’eau, vous me devez bien une bière. » décrète-t-elle en se dirigeant vers la cuisine, où elle ne tarde pas à trouver les bières en question que Kemal a sans doute apportées. Elle doute que ce soit Oz, après tout. « Putain Oz, ton chat a encore fait ses besoins dans mes plantes ! » s'exclame-t-elle en voyant le désastre dans l’un des pots du couloir, tandis qu’elle revient au salon, avec sa bouteille, cherchant le décapsuleur.
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「  trapped in these feelings,I could lose everything.   」
∙ feat. @Ozan Eker & @Yeliz Solak ; août 2023 ∙
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Comment passer d’une soirée entre mec à une soirée avec ta sœur ? ( Et encore tu es poli sur les termes car on parle d’ici d’une incrustation avec un GRAND I) Eh bien c’est tout simple, il suffit que ta sœur, adorée, ne l’oublions pas, s’incruste alors que vous deviez passer une soirée entre potos. Avant d’en venir à ce moment, revenons sur les faits. C’est-à-dire, toi qui te rends à l’appartement de ta frangine pour passer la soirée avec Ozan. Jusqu’ici tout est normal.

« Tu sais c’qu’on devrait faire ? Te mettre des chiffons là-dessous, comme ça tu irais plus vite pour récurer partout. » tu aimes le taquiner et il te le rend bien, tout comme tu ne changes pas ta vision des choses. Il s’agit d’Oz, qu’importe son état, tu n’es pas là pour t’apitoyer, le prendre en pitié ou autre. Non, toi tu ne changes rien à tes habitudes et puis quoi encore ? Sinon tu sais qu’il te le fera payer cher et vu ton compte en banque, vaut mieux que tu t’en abstiennes. Pas de ça entre vous, vous le savez tous les deux. « tel chat, tel maître non ? » on dit ça d’un chien et d’un maître, mais ça doit être pareil pour un chat ? Est-ce que cela sous entend qu’Oz a délogé ta frangine de son appart’ ? Pas sûr. Elle prend de la place la miniature, mais tu le connais. Il sait s’imposer. Faudrait que tu songes à installer des caméras pour voir comment tout se passe entre eux. Tu es quasiment sûr que tu t’amuserais à les regarder. Écoutant les sages paroles de ton ami, tu ramènes deux bières et prends place à ses côtés. Tu fais toujours comme chez toi, parce qu’à tes yeux, c’est chez toi. Tu leur laisses pas vraiment le choix. Ils t’aiment tous les deux, donc ils doivent faire avec et puis c’est tout. Toute façon tu aimes dire que tu ne prends pas beaucoup de place, même si ce n’est pas si vrai que ça. Buvant une gorgée, tu écoutes ton ami se plaindre de ta frangine, ça t’amuse. Oui, ça t’amuse grandement. Est-ce que tu l’avais prédit ? Un chouïa, est-ce qu’ils sont prévisibles ? À tes yeux, carrément. « J’abandonnerais pas ma superbe vue pour tes beaux yeux, puis, après tu me supporterais plus et tu voudrais la frangine à nouveau. » que tu lui dis en battant des cils. D’un sens tu dis vrai, tu n’abandonnerais pas ta garçonnière. Tu prends plaisir à vivre de nouveau seul, à t’écouter parler et Dieu sait que tu adores parler seul. Faire ce que tu veux quand tu veux, tu sais Oz ne serait pas chiant, mais tu sais qu’il est maniaque et pas sûr que ça colle vous deux. Tu n’es pas bordélique, mais tu as ta façon de ranger et ce n’est pas très militaire. Oh que non. Non, tu n’es pas fait pour vivre de nouveau avec quelqu’un. Puis dans le fond, ils sont mignons tous les deux, pire qu’un vieux couple. « Ta sœur est complètement cinglée, Kemal, je suis désolé de te l’apprendre. » tu regardes ton ami, tu rigoles à son regard si sûr de lui. Tu t’apprêtes, mais les Dieux en ont décidé autrement. « Et moi, je suis désolée de t’apprendre que ta cinglée de colocataire a sa soirée d’annulée et est déjà de retour, Ozan. »

Et c’est comme ça que vous passez d’une soirée entre potes à l’incrustation de la frangine. Adieu le calme, bonjour la tempête.

Ton sourire ne s’estompe pas, jamais. Tu t’apprêtes à dire un truc, mais tu en prends pour ton grade. « Attention mes dames et messieurs la dramaqueen est de sortie. Moi aussi je suis heureuse de te voir, mais ouais j’ai mes préférences, » tu lui fais un très grand sourire. Elle va te le faire payer, mais elle t’aime. Tu pioches dans le paquet de chips à côté de toi, puis une nouvelle gorgée de bière. Est-ce que tu devrais bouger ? Non. Pourquoi faire ? Ta sœur qui s’actionne, qui parle et décide toute seule. Elle parle vite, tu regardes Ozan et en un regard vous vous comprenez. « J’vois c’que tu veux dire, mais bon chacun son tour, » que tu lui dis en remarque à ses propos. Toi tu l’as supporté durant toute ton enfance, à son tour. Bon il n’a pas voulu la supporter, mais quand on creuse, on voit qu’elle est adorable. La dramaqueen te lance un regard, elle n’a pas entendu tous tes mots, pourquoi ? Parce que tu sais chuchoter, tu sais éviter le radar yeliz. Des années de pratique. « quoi ? Je disais ô combien ta présence en ces lieux illuminent le tout. » grand sourire, comme toujours, est-ce que tu te moques d’elle ? Non. Jamais tu n’oserais. Jamais. Elle parle de ses plantes et tu lèves les mains. Pas tes histoires. « Et sinon pour répondre à ta question, c’était prévu tout ceci, sans toi et pourquoi ton verre est tombé à l’eau ? » est-ce que tu remets une pièce dans le juke-box ? Ça se pourrait, tu ne tiens pas à ta vie. Affirmatif






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「 nightmares come to life. 」
∙ feat. @Kemal Solak & @Yeliz Solak  ; août 2023 ∙
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Une soirée avec Kemal, ça ne pouvait pas lui faire de mal, bien au contraire. L’occasion de penser à autre chose, de s’amuser entre amis. Il avait besoin de ça, Ozan. Yeliz n’était pas là ce soir, alors c’était le moment idéal pour ce genre de petite soirée. Il aimait bien sortir, Oz, aller au bar, voir du monde, mais c’était un peu plus compliqué depuis son accident. Il faisait de son mieux pour ne pas s'apitoyer sur son sort, mais il devait bien admettre qu’il sortait beaucoup moins à présent. Il n’aimait pas le regard des autres sur lui, comme s’il était une pauvre petite chose cassée. Alors une soirée avec Kemal à l’appartement, c’était parfait. « Mouais, je ne valide pas cette idée, c’est déjà assez chiant à déplacer. » Pas besoin de lui ajouter des bâtons - ou des chiffons - dans les roues. Mais vraiment, il serait ravi de passer l’aspirateur et la serpillère, dès qu’il en sera capable. Même les tâches ménagères avaient tendance à lui manquer, ces derniers temps. « J’ai pas délogé Yeliz, moi. » Il haussa les épaules. Il ne lui avait rien demandé, c’était elle qui avait une soirée d’organisée et il en avait profité pour inviter Kemal. « J’en doute. » Il soupira pour appuyer ses propos, loin de Yeliz, il y avait quand même peu de chance pour qu’elle lui manque. Et bien vite, trop vite, l’ambiance fut ruinée, par le retour de la brune.

Il leva les yeux au ciel, suite à son entrée en fanfare, lança un regard désespéré à Kemal. Qu’est-ce qu’ils avaient fait pour mériter ça ? Il avala une longue gorgée de bière pour essayer de se remettre de tout ça. « Ça va, on a encore le droit de se voir sans que tu sois dans nos pattes. » C’était censé être une soirée entre potes. Alors ils n’avaient pas besoin de la petite sœur de Kemal. C’était insupportable comme situation. Son verre était tombée à l’eau, dommage pour elle, mais est-ce que c’était nécessaire de faire tomber leur soirée à l’eau également ? Apparemment oui. « Pousse moi dans les escaliers. » Il lança à Kemal pour appuyer son désespoir. La soirée était définitivement ruinée, puisqu’elle s'invita à prendre une bière avec eux. Kemal lui avait demandé pourquoi sa soirée avait été annulée, il avait bien envie de répondre que c’était juste un coup du destin pour leur pourrir la vie, mais il n’avait même pas eu le temps d’ouvrir la bouche, que la voilà déjà en train de lui râler dessus. « Mon chat ouais. C’est pas moi qui ait chié dans tes plantes, alors pas la peine de me gueuler dessus. » Est-ce qu’elle ne pouvait pas juste aller gueuler ailleurs ? Ça l’arrangerait bien lui. Mais elle était chez elle, alors qu’est-ce qu’il pouvait bien dire ? Vivement qu’il puisse de nouveau marcher et retourner chez lui, que personne ne vienne ruiner leurs soirées. Il se faisait chier les trois quart du temps, parce qu’il ne pouvait pas faire grand chose. Mais ce soir, il avait une soirée sympa de prévue et non, il fallait que Yeliz débarque pour ruiner ça.

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Elle avait des plans pour la soirée. Mais tout s’est envolé.
Cela arrive, ce n’est pas dramatique. Pas le moins du monde elle n’en voudrait à son amie. Qui oserait ? Elle n’est pas comme cela, en tout cas, Yeliz. Préfère que son amie se repose, se remette, en espérant qu’elle ne sera pas trop malade. Elles auront toujours l’occasion de remettre cela une autre fois, ce n’est pas bien grave. Cela ne l’est jamais, après tout. Yeliz aurait pu tout de même aller au bar, boire un verre en solitaire – cela ne lui fait pas peur, après tout. Mais elle ne se sentait étrangement pas d’humeur. Elle a préféré faire demi-tour, rentrer à l’appartement. Peut-être que la perspective d’y retrouver Ozan n’est pas si désagréable, finalement. Cependant, plutôt crever que de l’avouer. Ce n’est pas pour cela qu’elle rentre, elle, Yeliz. C'est juste qu’elle préfère retrouver le calme, avoir une soirée tranquille, finalement. Même à elle, cela arrive – ce n’est pas parce qu’elle est extravertie, qu’elle n’est jamais fatiguée de la semaine, du travail, de sa vie sociale. Parfois, la perspective d’une soirée calme devant la télévision avec son chat, est plus agréable qu’une soirée dans un bar bruyant, à parler fort pour se faire entendre.

Mais quand elle rejoint l’immeuble, pénètre dans l’appartement, refermant la porte, elle capte rapidement qu’Ozan n’est pas seul. Elle avait complètement oublié, Yeliz, que Kemal avait prévu de passer la soirée ici. Pas avec elle, évidemment, mais bien avec son meilleur ami – ce colocataire qu’il lui a collé dans les pattes, parce qu’elle ne pouvait pas payer seule le loyer ; parce qu’Ozan avait besoin d’un toit sur sa tête, qui soit surtout accessible. Mais le plus beau, dans tout cela, c’est qu’elle capte les quelques mots qu’Oz prononce à son encontre, sans se douter le moins du monde qu’elle est dans les parages, la brune. Évidemment, elle n’entend pas s’arrêter là, Yeliz, ce n’est pas son genre et Kemal, le premier, le sait pertinemment. « La drama queen ? » Elle fait mine d’être outrée ; ne l’est pas le moins du monde. Ce n’est qu’un jeu, qu’un rôle qui lui colle à la peau et Kemal le sait très bien. C'est pour cela qu’il peut se permettre de l’appeler ainsi, d’ailleurs. Cependant, Ozan semble moins enclin à la taquinerie et surtout, nettement moins ravi que son meilleur ami, de la voir. « Vous voir sans moi ? Et puis quoi encore ? C’est pas dans le deal de base. » fait-elle à l’intention d’Ozan, continuant son délire. Non, en réalité, elle n’est pas le moins du monde jalouse qu’ils passent des moments à deux, sans elle. Loin de là, même. Mais elle ne peut pas ne pas jouer les petites sœurs relous, Yeliz. C'est beaucoup trop tentant. « Je préfère ça. Si seulement Ozan pouvait le comprendre. » répond-elle à son frère, laissant échapper un soupir exagéré, le tout avant de se diriger vers la cuisine où elle part se chercher une bière. Parce que c’est trop tentant de jouer les petites sœurs relous, elle va tout à fait s’incruster dans leur soirée. Enfin, c’était drôle jusqu’à ce qu’elle remarque que le chat d’Ozan a fait ses besoins dans l’un des pots du couloir. Évidemment, elle ne peut pas ne rien dire, mais elle le dit peut-être surtout par principe. Ozan réplique que ce n’est pas lui qui l’a fait, qu’il n’est donc pas nécessaire de lui gueuler dessus. « Les chats, c’est un peu comme les gosses, c’est à toi de l’éduquer. Surtout que c’est moi qui dois nettoyer après. » réplique-t-elle, en haussant les épaules. Tout pour avoir le dernier mot, c’est toujours comme cela entre eux. Peu importe ; elle ne s’éternise pas, verra cela plus tard. D'abord, il faut qu’elle avale quelques gorgées de sa bière de toute urgence. Elle ouvre la bouteille, tandis que Kemal lui explique que cette soirée était prévue, sans elle, avant de lui demander pourquoi son verre est tombé à l’eau. « Ma pote se sent mal, elle a préféré annuler. » Nouvel haussement d’épaule, alors qu’elle part s’asseoir sans une once d’hésitation sur le canapé. Toujours plus près d’eux. « Alors maintenant je suis là, tant pis pour vous. » Tant pis pour Ozan, surtout, parce que c’est lui qui semble le plus dégoûté, là-dedans.
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∙ feat. @Ozan Eker & @Yeliz Solak ; août 2023 ∙
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Sourire qui ne s’estompe pas. Qui reste accrocher au bout de tes lèvres. Parce qu’il est bien. Et surtout parce que c’est toi, le clown de la situation, toujours là pour amuser la galerie, faire rire ton entourage. C’est ce que tu continues de faire avec Ozan. Tu les entends les gens qui s’offusquent de la façon dont tu parles à ton meilleur ami, et alors ? À tes yeux, ce n’est pas la solution que t’apitoyer sur son sort ou ne pas te moquer de lui. Ça voudrait dire que tu changes et ça, tu sais qu’il n’aimerait pas. Alors non, tu ne changes pas ta façon de penser et surtout de le faire chier. Qu’on se rassure, il te le rend bien et puis depuis le temps que vous vous connaissez… ce n’est pas deux roues qui vont stopper tout ça. Ou bien ta sœur. Il vous en faut plus. Tu manques de t’étouffer avec ta bière aux mots de ton ami. Le pousser dans l’escalier, tu t’approches de lui, « ça serait d'la maltraitance, pas fou, » que tu lui rétorques. T’as pas envie que les voisins te tombent dessus pour maltraitance et finir ta vie en prison. Et puis quoi encore ? Non, il va devoir subir la dramaqueen comme toi. Ta sœur. Celle qui n’était pas prévue, attendue et qui se trouve avec vous ce soir. Pourquoi ? C’est bien la question que tu te poses. Tu attends qu’elle est finie son speech avant de lui demander. Parce que tu es gentil et attentionné. Ou pas. Juste que tu as envie de savoir pourquoi votre soirée est interrompue. Pourquoi les Dieux sont contre vous ce soir. Qu’on se rassure, tu adores ta sœur et tu ferais n’importe quoi pour elle. Tu as toujours été protecteur vis-à-vis d’elle, trop à l’entendre, mais tu lui fais pas de pitié non plus. Un peu moins qu’avec Ozan sur les plaisanteries, mais c’est ta façon de montrer ton affection. Toujours est-il que ce soir, tu n’avais pas prévu de la voir, même si c’est son appartement. Toute façon, c’est aussi un peu chez toi, un jour il faudrait que tu règles la question de te croire partout chez toi. Un jour, mais pas ce soir, pas l’envie. Un bâillement s’échappe de tes lèvres, pendant que ta sœur parle, oui c’est mal, mais au moins ça fera rire le zigoto à côté de toi. « y avait un deal ? » que tu demandes à l’intention d’Ozan, ils ont fait un contrat ? Et ils te l’ont même pas dit, pas cool. Ou alors la drama sort son grand jeu, sûrement cette option. « pire qu’un contrat d’mariage tout ça. » que tu balances entre leur joute verbale d’amour. Sourire qui s’agrandit, satisfait de ta connerie, tu bois une gorgée. « Oui mais Ozan vit avec toi que depuis peu, laisse-lui un peu d’temps et tu verras. Il sera aussi enchanté que moi en ta présence ! » vrai ou faux ? Seul toi le sais, tu es juste un bon comédien. Tu lances un grand sourire à ton ami, finalement c’est peut-être toi qu’il va pousser dans l’escalier. Un regard à gauche, puis à droite. Tu as l’impression d’assister à la finale de Rolland Garros, et autant dire que si ça continue : tu dors. Le tennis a toujours eu ce don de t’endormir. Des histoires de chats, des disputes. Ton regard qui passe de l’un à l’autre, « c’est mignon, » que tu te mets à sortir. Tu sens que les regards vont arriver sur toi, tu l’auras mérité. « vous vous disputez comme des parents. » grand sourire. Et toi tel le gamin que tu es, tu ramènes l’attention sur toi. Charmant. « C’est la seule excuse que tu as trouvé pour passer la soirée avec nous. Elle existe vraiment cette ‘copine’. » gestes que tu ajoutes à tes mots. Soupçonnant ta sœur d’avoir inventé son histoire pour massacrer votre soirée. Est-ce qu’elle en serait capable ? Elle n’est pas aussi démoniaque que ça. Plongeant ta main dans le paquet de chips. « et du coup vous racontez quoi ? » que tu leur demandes, posant ton regard sur l’un, puis sur l’autre. La soirée s’annonce intéressante, tu aurais vraiment dû ramener des pop-corns.
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「 nightmares come to life. 」
∙ feat. @Kemal Solak & @Yeliz Solak  ; août 2023 ∙
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Frictions quasi constantes entre Yeliz et lui. C’était devenu leur quotidien. Pourtant, ce soir, Ozan, il avait cru qu’il pourrait profiter d’une soirée tranquille, en compagnie de son meilleur ami. Yeliz n’était pas censée être présente, c’était bien pour cette raison qu’ils avaient décidé de s’organiser une petite soirée, rien que tous les deux. Ils avaient l’appartement, puisque Yeliz était occupée. C’était la promesse d’une belle soirée, d’après Ozan. Le genre de soirée dont il avait besoin, le brun. Il passait beaucoup trop de temps cloîtré dans cet appartement à occuper ses soirées en regardant la télévision. Ça ne lui ressemblait pas. Lui, il était du genre à aimer sortir, aimer rencontrer de nouvelles personnes, aimer voir ses amis. Malheureusement pour lui, c’était compliqué depuis son accident. Il était mal en point, alors il était coincé dans ce fichu fauteuil. Alors, cette soirée, c’était un bon moyen de se détendre, tout en passant du temps avec Kemal. Pourtant, il avait fallu que Yeliz débarque.

Evidemment, elle squattait sans se poser de questions, parce que son meilleur ami à lui, c’était son frère à elle. Comme s’ils n’avaient pas le droit de passer la soirée juste entre amis. Elle était chez elle, alors qu’est-ce qu’ils y pouvaient ? Ça avait tendance à le gaver, Ozan. Adieu la soirée entre amis. « Pas si c’est pour abréger mes souffrances. » Il répliqua à l’adresse de Kemal. Qu’on le pousse dans les escaliers pour qu’il n’ait pas à supporter Yeliz ce soir, ce serait vraiment l’idéal. « Pas de deal non, elle s’invente une vie. » Il haussa les épaules. Ils avaient le droit de se voir sans avoir la petite sœur dans leurs pattes. Il leva les yeux au ciel à la suite de la remarque de Yeliz. Non, Ozan ne pouvait pas comprendre. Ils n’avaient qu’à se lancer des fleurs entre frangins, mais le laisser en dehors de tout ça. « Dans vos rêves. » Il répliqua. Non, il n’allait pas se mettre à être heureux de la présence de Yeliz. Surtout quand elle s’incrustait dans leurs soirées. « Désolé, d’être blessé et de pas pouvoir bouger mon cul, j’y songerai la prochaine fois que j’envisagerai de me prendre une bombe dans la gueule. » Il lâcha, un peu agacé, qu’elle squatte et qu’en plus elle lui râle dessus parce que son chat avait fait une connerie. Il leva encore les yeux au ciel, alors que Kemal disait qu’ils s’engueulaient comme des parents. Mieux valait ne pas répondre. « Formidable. » Il soupira le brun. Peut-être qu’il allait aller se poser dans sa chambre plus vite que prévu, ça lui évitera de subir cette situation. « Rien, ma vie est à chier et ma seule soirée sympa organisée depuis un moment vient de tomber à l’eau. » Merci Yeliz. C’était désagréable d’avoir une soirée gâchée comme ça et honnêtement, elle aurait pu être sa petite amie, qu’il serait déçu tout pareil, Ozan, ce n’était pas juste parce que c’était Yeliz. Non, c’était parce qu’une soirée entre amis, c’était quelque chose de précieux, quelque chose d’essentiel même. Moment agréable et pourtant déjà fini.
SUN wildest dreams
Yeliz Solak
Yeliz Solak
messages : 1401
pseudo : winter solstice (elle).
id card : hande erçel / fassylover@av, song cry@bann, the last dinner party/nothing matters@lyrics, gifsbymel@gif (tumblr).
multicomptes : noela, nailea, oliva, noa, nell & isaura.
à contacter : le personnage concerné.
triggers : inceste, cruauté animale, violences et agressions sexuelles, maltraitance, AVC, sang, age gap +15 ans.
warnings : maladie et mort infantiles, mention de blessure.
présence : présente.
nightmares come to life (ozan&yeliz) KEG17ly1_o
âge : vingt-neuf ans, regarde d'un mauvais œil la trentaine approchant.
occupation : scénographe.
statut civil : célibataire attachée à sa liberté.
orientation : bisexuelle.
habitation : peacock, apt. 2 en colocation permanente non désirée avec Ozan.
pronom ig : elle.
disponibilités : indispo (0/5).

— rps en cours.
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— rps terminés.
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infos rp : 500-1000 mots / dialogues en français (ok pour l'anglais) / 3ème personne du singulier au présent / réponse en 2 semaines en moyenne ou max 3 / présente plutôt le week-end.
   
 
「 nightmares come to life 」
∙ feat. @Kemal Solak & @Ozan Eker  ; août 2023 ∙
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Frère ou non, Kemal n’est pas là pour Yeliz, ce soir, ce qui ne lui pose en réalité aucun problème. Elle ne fait qu’exagérer, la brune, surtout parce qu’elle a juste eu le temps d’entendre Ozan la critiquer devant lui. Râler même sur elle, à vrai dire. C’est la fierté qui parle alors, c’est l’envie d’avoir le dernier mot, c’est l’envie de ne pas laisser Ozan si bien s’en sortir. Question de principe. Il faut toujours qu’ils se renvoient la balle, tous les deux. À présent, Kemal lui-même en est témoin, lui qui échappe d’ordinaire à leurs joutes verbales. Yeliz ne manque pas de jouer les drama queens en découvrant leur soirée sans elle, même si elle s’en fiche, en vrai. Ozan ne semble pas vraiment amusé de la découvrir, en revanche - plutôt dégoûté qu’elle se tape l’incruste dans leur soirée. « Oh, un peu d’humour, les gars, vous prenez trop les choses au premier degré. » Elle laisse échapper un bruyant soupir, comme si elle était déçue, ou lasse de leur tendance à prendre ses mots au pied de la lettre.

Kemal, lui, semble s’amuser de toute cette situation. Beaucoup plus qu’Ozan, vu la tête qu’il tire actuellement. « Je compte sur toi pour lui faire du bourrage de crâne, il finira bien par voir combien je suis incroyable. » Pas sûr qu’Ozan le pense ; pas plus que Yeliz, dans l’autre sens. Elle fait mine d’être blessée par la réaction d’Ozan, main sur le cœur, avant de se diriger vers la cuisine où elle se sert une bière, pour ensuite les rejoindre. Le tout, avant de s’agacer en constatant que le chat – adorable – d'Ozan a néanmoins fait ses besoins dans les plantes. Sujet de discorde qui semble irriter Oz autant que Yeliz, instantanément. « C’est bon, t’es pas obligé de me culpabiliser, tant que t’y es ! » rétorque-t-elle, sur le même ton. Elle sait très bien ce qu’il a vécu, en est terrifiée, sincèrement désolée pour lui. Déteste qu’il se serve de cela en contre-attaque. Mais elle a cherché, sans doute, Yeliz. Kemal, lui, tente peut-être de détendre l’atmosphère - en tout cas, il prend les choses nettement moins à cœur qu’eux, faisant remarquer qu’ils se disputent comme des parents. « N’importe quoi ! » réplique-t-elle en croisant les bras. Elle finit tout de même par expliquer pourquoi sa soirée est tombée à l’eau. Kemal ne semble pas y croire, comme si elle inventait tout cela. « Attends, tu m’accuses vraiment de mentir pour passer la soirée avec vous ? Honnêtement, j’aurais aimé avoir mieux à faire. » Surtout avec Ozan dans les parages – parce qu’une soirée avec son frère ne l’aurait évidemment pas dérangée. Oz semble du même avis, au vu de sa réponse à Kemal. Il semble vraiment lui en vouloir pour se taper ainsi l’incruste. « C’est moi qui fais tomber ta soirée à l’eau ? » rebondit-elle aussitôt. La diplomatie, avec lui, ce n’est pas son fort. Il faut toujours qu’elle provoque. « J’ai encore le droit d’être chez moi. » On dirait qu’elle boude, comme une gosse, vexée. Sans toutefois bouger d’ici.
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「  trapped in these feelings,I could lose everything.   」
∙ feat. @Ozan Eker & @Yeliz Solak ; août 2023 ∙
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 « Pas si c’est pour abréger mes souffrances. » tes yeux qui partent en direction du plafond. Qui est la plus dramaqueen des deux ? Tu te poses la question. Tu aurais envie de dire ta sœur, même si tu sais qu’elle joue la comédie. Heureusement, tu la connais depuis le temps. Tout comme l’autre grincheux face à toi, tu sais bien qu’il ronchonne, mais qu’il aurait pas envie que tu le pousses dans les escaliers. Quoique ? Tu le regardes d’un coin de l’œil, non, il rigole. Puis de toute façon, hors de question que tu le pousses dans l’escalier, t’as pas envie de finir ta vie en prison juste pour assistance. Parce que ouais tu l’aiderais pour finir sa vie, mais non. Tu as encore besoin de lui et qui te ferais chier s’il n’était plus là. Ta sœur ? Non. Tu le préfères lui et ses idées tordues. « Ouais bah la prochaine fois évite carrément la bombe, ça sera plus fun. Ok c’est cool comme histoire, mais bon c’est redondant. » dis-tu en rigolant. Tu essaies de détendre l’atmosphère, tu fais des plaisanteries, rien de plus. Est-ce que tu as envie qu’il se prenne une nouvelle bombe ? Et puis quoi encore. Tu sais que tu as paniqué en apprenant la nouvelle. Tu as déjà perdu un frère, t’as pas envie d’en perdre un second. Ozan, c’est le frère que la vie t’a offert. C’est ton comparse de toujours et même si tu rigoles à longueur de temps avec lui, tu as flippé. Flippé de le perdre lui aussi, tu as même refait des terreurs nocturnes. Une impression de déjà-vu qui ne t’a pas plu. Tu secoues la tête, pas le moment de songer à tout ça. Tu as entendu ta sœur en rajouter une couche, ça a toujours été ainsi entre eux, mais tu as l’impression que ça se tempère légèrement entre eux. Ou alors la bière est bien forte. Un jour viendra ils s’entendront, un jour, mais pas ce soir apparemment, toujours est-il qu’ils vont devoir se supporter.

Tu réfléchis un instant, du moins tu fais croire à ta sœur. « Eh bien j’ai envie de répondre oui, mais je sais qu’au fond de toi tu es plus machiavel que ça. Ah oui pardon, je dois faire du bourrage de crâne. Ma sœur est EXCEPTIONNEEEEEELLE ! » tu insistes bien sur le mot, même si tu peux déjà voir qu’Ozan lever les yeux au ciel. « non sans rire, elle est cool, tu es cool, je suis cool, tout est cool. Non ? » tu essaies à nouveau, mais tu sais au fond que cette cause est perdue. Tu as déjà tenté dans le passé et le résultat ? Échec. « Bon. Tu es chez toi, il est ton coloc. Moi je vous adore et vous m’adorez à la folie dooooonc si on tentait de passer la soirée tous les trois ? Au pire, j’dois bien avoir un défaut qui vous mettrez d’accord ? » quoi ? Tu cherches à les mettre d’accord. « allez je commence.. je suis exceptionnellement adorechiant ! » tu tournes la tête vers ton ami, puis ta sœur. Une nouvelle gorgée de bière et une poignée de chips. Est-ce qu’ils vont tomber le piège ? Pas forcément, ils te connaissent ou alors tu vas prendre tarif. Ça se pourrait, mais tu es un super héros. Tu peux encaisser tout ça. S’ils arrivent à se mettre d’accord rien que quelques heures, tu auras tout gagné. « vous voulez manger quoi ? J’sais plus ce qu’on avait dit. » tu réfléchis un instant, tu sais que tu as ramené de la bière, des chips. Pizza ? Ouais ça doit être ça, c’est toujours ça !
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「 nightmares come to life. 」
∙ feat. @Kemal Solak & @Yeliz Solak  ; août 2023 ∙
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La soirée qu’ils avaient prévu avec Kemal était censée être agréable. Ils avaient tout organisé ensemble, même s’il n’était pas question de mettre les petits plats dans les grands, ça promettait quand même une soirée sympa comme il n’en avait pas connu depuis un moment, à cause de son accident. C’était important pour lui, ce genre de soirée. Au moins, ça lui donnait l’impression que sa vie continuait, presque comme si rien ne s’était passé. Cet accident lui compliquait la vie, l’empêchait de vivre son quotidien comme il avait l'habitude de le faire, c’était parfois déprimant. Mais ce genre de soirées avait un côté rassurant. Alors il en avait bien besoin, Ozan. Il avait tendance à garder la tête haute et à s’accrocher à l’espoir que ça allait s’arranger, mais l’espoir ne faisait pas tout. En attendant, tant qu’il n’était pas remis, sa vie était bien différente de ce à quoi il était habitué et ça avait un côté déprimant. Malheureusement pour lui, même cette soirée, elle tombait à l’eau, maintenant que Yeliz s’y incrustait. Une soirée avec son meilleur ami, c’était trop demander, apparemment. Il leva les yeux au ciel suite à la remarque de la brune. Peu enclin à entrer dans son jeu.

Il détestait vraiment cette vie en colocation, Ozan. L’impression de ne plus avoir la moindre liberté, c’était enrageant, pour quelqu’un comme lui qui était très attaché à sa liberté. « Arrête de me faire chier du coup. » Il se contenta de répondre dans un énième soupir. « C’est pas comme si je l’avais fait exprès, de toute façon. » Il ajouta à l’adresse de Kemal. Non, franchement, s’il avait eu le choix, il l’aurait évitée la bombe et il aurait également évité toute cette situation qui lui pourrissait la vie. Il s’était dans sa péniche, loin de Yeliz à pouvoir profiter de ses soirées, sans qu’elle ne ruine tout. Il leva de nouveau les yeux au ciel, alors que Kemal chantait les louanges de sa sœur. Et après c’était lui qui se la jouait en continue. Au moins, il ne demandait pas aux autres de lui cirer les bottes, lui. « Je vis ici aussi, aux dernières nouvelles, donc tes plans qui tombent à l’eau qui viennent ruiner les miens, désolé, mais ça fait chier. » Il répliqua, en soupirant encore une fois. Est-ce qu’elle aurait apprécié qu’il se tape l’incruste entre elle et une de ses amies ? Il était certain que non. Il ne l’aurait pas fait de toute façon, il était chiant, mais il était encore capable de respecter la vie de sa colocataire, la réciproque n’était clairement pas vraie.  « Non, merci. » Il répondit suite à la remarque de Kemal. Non, il n’avait pas envie de passer la soirée avec lui et Yeliz, parce que ce n'était pas ce qui était prévu. « Si jamais envie qu’une nana vienne ruiner mes plans, j’aurais une copine. » Il lâcha, toujours aussi ravi de se retournement de situation. Pas besoin d’une nana pour venir lui pourrir la vie, mais apparemment petite amie ou colocataire, fallait croire que c’était le même délire. « J’m’en fiche, on ferait mieux d’aller au bar, de toute façon. » Puisque rester ici incluait devoir supporter Yeliz. Il préférait encore sortir, Ozan. Tant pis si ce n’était pas ce qui était prévu de base, il n’avait juste pas envie de rester avec elle. Il devait la supporter tous les jours, c’était largement suffisant pour lui. Ce soir, pour une fois, c’était une soirée entre amis, qui était prévue et il estimait qu’il avait bien le droit d’en profiter, pour une fois. Sa vie sociale était compliquée ces derniers temps, loin de ce qu’il avait connu. Une soirée avec son meilleur ami, c’était ce qui le rapprochait le plus de sa vie d’avant, mais non, il fallait que Yeliz lui retire ça.
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Difficile de cohabiter, alors qu’ils ont déjà du mal à s’encadrer. Difficile de vivre ensemble, quand on est si différent. Ou que l’on se ressemble autant. Car cela, c’est une vérité qu’ils refusent de voir en face, Ozan et Yeliz. Est-ce qu’il l’a remarqué, lui, Kemal ? Est-ce qu’il voit combien ils pourraient s’entendre, si seulement ils y mettaient du leur ? Il a déjà essayé, tellement de fois. Même quand ils étaient gosses. Mais à l’époque, Yeliz jouait volontiers à la petite sœur chiante qui venait s’incruster, les embêter. Un peu comme ce soir, finalement. Peut-être que c’était qu’elle ne voulait pas partager son frère, quoiqu’elle ne soit en réalité pas possessive. Dans le fond, peut-être simplement qu’à l’époque, Ozan l’intéressait bien plus qu’elle ne se l’admettait. Peut-être alors que finalement, tout ce qu’elle fait en le provoquant de cette façon, c’est chercher à attirer son attention. Toujours plus. Et tant pis, si ce n’est pas de la bonne façon. De toute façon, ce n’est pas comme si elle cherchait à l’intéresser vraiment. Alors pourquoi lui être agréable ?

Cette situation ne ravit personne, ce soir. Ni Ozan, ni Yeliz, peut-être même pas Kemal. Même s’il reste positif, tente de voir les choses sous un meilleur angle. En même temps, il ne va pas râler contre le fait de voir sa sœur alors que ce n’était pas prévu, si ? Dans le cas contraire, Yeliz s’en vexerait, sans doute. En revanche, Ozan est mille fois plus agacé qu’elle par la tournure de cette soirée. « Commence par arrêter d’être chiant. » réplique-t-elle, comme en écho. Plutôt crever que de le laisser avoir le dernier mot. Elle ne s’en rend même pas compte, Yeliz. Que cela finit toujours ainsi, entre eux. Ils sont capables de continuer longtemps sans rien lâcher. C’était marrant quand c’était par sms pour s’imaginer un crush – inexistant ? – et s’imaginer un faux mariage, pousser le jeu jusqu’au bout. Cela l’est beaucoup moins, en revanche, dans la réalité, quand ils se disputent. Kemal se retrouve entre les deux, position peu enviable sans aucun doute – pourtant, quoiqu’il essaie de calmer le jeu, ils n’en font rien, eux. « Ouais, tout est très cool. » Si elle parvenait encore à faire preuve de légèreté en jouant les drama queens, Ozan commence à sérieusement lui taper sur les nerfs. Kemal tente bien de plaisanter en demandant si cette fameuse copine tombée malade existe vraiment, mais cela n’amuse plus Yeliz – qui n’en a pas après son frère, cependant. Non, c’est juste Ozan, qui l’énerve, encore et toujours. Elle rappelle qu’elle est chez elle, qu’elle a autant le droit d’être là. « T’as qu’à appeler ma copine pour lui dire que ça fait chier qu’elle soit malade, j’suis sûre qu’elle va adorer. » rétorque-t-elle, passablement agacée. Kemal ne lâche rien, suggérant qu’ils passent une soirée à trois, puisqu’ils l’adorent, les adore en retour. Essaie d’avoir recours à l’humour pour les dérider, ou les calmer, mentionnant qu’il doit bien avoir un défaut qui pourrait les lier. Pas le temps de répondre, d’essayer – Ozan refuse catégoriquement, avant de lâcher des mots qui irritent Yeliz un peu plus encore. « Heureusement que t’es pas en couple, pour penser de cette façon. » Kemal ne lâche rien, leur demande ce qu’ils veulent manger. Ozan suggère carrément qu’ils aillent au bar, visiblement pas près de prendre sur lui pour passer sa soirée dans la même pièce que Yeliz. « Okay, c’est bon, arrête de dramatiser. Vous avez qu’à y aller, à votre bar, j’m’en fiche. » Irritée, elle se lève du canapé, histoire d’aller fumer une cigarette sur le balcon pour tenter – vainement – de se détendre.
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Positif.
Voilà un mot qui te définit bien, trop bien même. Ce soir tu essaies d’être positif, même si tout ne se passe pas comme prévu. À la base, vous deviez passer une soirée entre bro, et ta sœur s’est rajoutée au tableau. Ce qui ne plaît pas à Yeliz. Au fond, tu aurais pu le prévoir, depuis que vous êtes petits, c’est toujours ainsi entre eux. Ils n’ont jamais pu s’encadrer et toi tu as toujours été au milieu. Tel un match de tennis, tu comptes les points. Est-ce que ça te plaît ? Pas vraiment. Tu as l’impression d’être partagé entre eux. Tu aimerais bien passer une soirée, au calme, avec les deux êtres qui comptent le plus pour toi. Impossible. Surtout quand ces deux-là ont des caractères similaires. Ça tu pourrais le voir, mais rien. À croire que tu portes des œillères en continu ou tu ne désires juste pas le voir. Plus simple ainsi. Tu tentes de détendre l’atmosphère, mais honnêtement, ça ne prend pas vraiment. Entre grincheux d’un côté qui continue de râler et Couette-Couette de l’autre qui provoque, t’es mal barré. Quoi faire ? Bonne question. Tu essaies, mais tu te prends une balle en plein vole. C’est que tout ceci devient dangereux. Bon. Tu médites là-dessus, les écoutes. Pas que ça soit intéressant, un peu, c’est à se demander qui aura le dernier mot. Pire que des gosses. Ça tu sais gérer en temps normal, les gamins c’est ton monde. Tu adores les faire rire, les divertir et surtout t’en es un. T’es un grand gamin, tout le monde le sait et tu ne le nies pas. Tu devrais donc calmer les foules. Ou pas.

Jeu. Set. Et match.
Bon à dire vrai, tu n’as jamais rien compris aux règles du Tennis. Pas faute d’avoir regardé quelques matchs, mais c’est long. Trop long à ton goût. Tu finis toujours pas t’endormir et du coup tu ne comprends rien. Absolument rien. Tu fais des propositions, qui tombent dans l’oublie. Apparemment leur joute verbale est plus intéressante. Grincheux finit par te suggérer d’aller au bar et Couette-Couette, approuve. Quoi faire ? Un coup de tête à gauche, puis à droite, quoi dire ? Bonne question. « vous savez que vous êtes pires que des gamins et j’en vois tous les jours qui souffrent plus que vous. Ouais plus que toi Oz’ ! Et pourtant ils sont pas aussi chiants. » ce n’est pas ton genre de dire ce genre de chose. Toi t’es toujours le mec positif, celui qui arrange les angles. « Ok, je voulais passer une soirée avec mon pote ou avec vous deux, mais ça vous botte pas. Et j’ai pas envie de compter les points. Donc j’pense que le mieux c’est que je me retire et que vous continuez votre joute. » tu les regardes tour à tour, t’as l’impression d’être un adulte et tu as horreur de ça. « J’comprends bien que ta situation te soûle. Que tu aimerais être sur ta péniche, que t’as rien demandé, surtout pas à vivre avec ma frangine, mais moi ça m’rassure. Ça m’rassure de savoir que même si elle est chiante, elle peut être là pour toi. Et toi, ça me rassure qu’il soit là ! » papa a parlé, et tu n’aimes pas ça. « sur ce, j’pense que je vais vous laisser. Oz on se reprogramme une soirée, et sis on se voit dimanche au repas des parents. » au final c’est toi qui capitules. Tu aurais pu accepter d’aller au bar, parce qu’à la base c’était ça le plan, mais ça t’a fatigué. Et il en faut beaucoup pour te fatiguer. Prenant grand soin de claquer la porte derrière toi. Ouais, là pour le coup, tu as l’impression d’être un adulte, un père de famille et tu as horreur de ça !
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tw: blessures.

Il faisait de son mieux pour faire preuve de patience, Ozan, depuis qu’il vivait avec Yeliz, parce qu’il fallait bien faire des efforts et s’assurer de créer un espace de vie un tant soit peu agréable pour elle, comme pour lui. Mais il y avait des moments où elle le rendait vraiment dingue. Des moments où clairement, il réalisait à quel point la vie en colocation, ce n’était peut-être tout bonnement pas fait pour lui. Il ne demandait pas grand-chose, juste un soir qu’il pourrait passer en compagnie de son meilleur ami. Ce n’était quand même pas la mer à boire, si ? Apparemment pour Yeliz, ça l’était, parce qu’il fallait qu’elle se tape l'incruste comme si elle avait tous les droits. Franchement, c’était un comportement qui marchait quand elle avait eu quinze ans, mais maintenant, est-ce qu’elle avait pas passé l’âge de jouer à la gamine voulant systématiquement être le centre de l’attention ? Un peu, d’après lui. A son âge, on devrait comprendre et respecter le principe de vie privée. Mais ce n’était pas le cas. Il était certain qu’elle serait ravie, elle aussi, s’il décidait de s'incruster dans une soirée prévue avec ses copines. Mais non, elle ne voulait pas comprendre que ça puisse le déranger Yeliz, parce qu’elle avait décidé de le faire chier, de toute façon.

C’était forcément volontaire, parce que sinon, ce serait grave de ne pas comprendre qu’on puisse ne pas apprécier que quelqu’un se tape l’incruste comme ça. Petite sœur ou pas, ça ne changeait rien. C’était probablement même pire quand c’était la frangine. C’était insupportable. « C’est l’hôpital qui se fout de la charité. » Il répliqua suite à sa remarque. Des deux, c’était elle la plus chiante. La diva qui pensait qu’on allait lui dérouler le tapis rouge. Sa soirée avait été annulée, et puis ? Ça lui donnait le droit d’aller foutre en l’air celle des autres ? Apparemment dans sa vision des choses oui. « Ouais, parce que c’est juuuuuuste parce que ton amie est malade que tu te sens obligée de venir nous casser les couilles. » Elle avait bon dos sa copine. Parce qu'évidemment, elle n’avait pas juste pu rentrer et les laisser tranquilles. Mais non, c’était trop demander. « Ça dépend, la dernière fois que j’ai été en couple, elle respectait parfaitement mon besoin de passer une soirée entre potes. » Il haussa les épaules. Quand deux personnes respectaient les besoins l’un de l’autre, ça fonctionnait. Un couple, ou une colocation, de toute évidence. Il regrettait vraiment sa vie sur sa péniche, là où personne ne le faisait chier. Et maintenant c’était Kemal qui commençait à le gonfler. « J’vois pas le rapport, si je souffre, j’m’en plains pas, par contre quand on vient volontairement m’les briser, là oui, je râle. » Qu’on vienne pas lui parler de souffrance et surtout qu’on ne lui dise pas que c’était pour ça qu’il se plaignait, parce que des coups, il en avait encaissé toute sa vie en fermant sa gueule. Aujourd’hui, il avait des brûlures qui faisaient qu’il ne tenait même plus debout et ce n’était toujours pas de ça qu’il se plaignait, mais bien d’une petite chieuse qui n’arrivait pas à contrôler son besoin maladif de faire chier son monde. « Super. » Il commenta, alors que Kemal lui faisait comprendre qu’il allait partir. Yeliz avait gagné, elle allait pouvoir jubiler dans son coin. Sa soirée était tombée à l’eau, alors elle avait ruiné celle de quelqu’un d’autre, sans doute une grosse victoire pour elle. « Clairement, j’ai pas besoin d’elle, alors j’vois pas en quoi ça te rassure. » Accepter l’aide des autres, c’était déjà très difficile, mais alors celle de Yeliz, non, il préférait mourir. Il n’avait pas besoin d’elle et elle n’avait pas besoin de lui, Kemal se faisait des films. « Ouais, c’est ça. » Il lâcha avant que Kemal ne claque la porte. Même pas envie de reprogrammer quoi que ce soit, maintenant il était agacé par les deux Solak, à croire qu’ils s’étaient ligués contre lui. Il avait finalement rejoint son fauteuil, puis sa chambre, peut-être que là au moins, il aurait la paix.

SUN wildest dreams
Yeliz Solak
Yeliz Solak
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pseudo : winter solstice (elle).
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à contacter : le personnage concerné.
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présence : présente.
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âge : vingt-neuf ans, regarde d'un mauvais œil la trentaine approchant.
occupation : scénographe.
statut civil : célibataire attachée à sa liberté.
orientation : bisexuelle.
habitation : peacock, apt. 2 en colocation permanente non désirée avec Ozan.
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infos rp : 500-1000 mots / dialogues en français (ok pour l'anglais) / 3ème personne du singulier au présent / réponse en 2 semaines en moyenne ou max 3 / présente plutôt le week-end.
   
 
「 nightmares come to life 」
∙ feat. @Kemal Solak & @Ozan Eker  ; août 2023 ∙
tw: blessures.

A première vue, on peut se demander ce qui leur a pris de se mettre en colocation, Ozan et Yeliz. Ils n’ont rien en commun – ou tout en commun, à vrai dire –, ne se supportent pas, peinent à avoir une conversation posée. Peinent à s’entendre, à s’écouter. C’est simple : ensemble, ils ne sont ni plus ni moins que des gosses. Pas bien plus matures qu’à l’époque où ils se sont connus, par l’intermédiaire de Kemal. C’est celui-là aussi, qui les a réunis pour cette colocation, à vrai dire. Comment parvient-il, depuis, à composer avec leur animosité ? A voir l’un sans offenser l’autre ? D’ordinaire, ce n’est en réalité pas si compliqué. Mais ce soir, c’est tout le contraire – peut-être surtout parce que Yeliz a commencé. Parce qu’elle a cherché. Parce qu’Ozan a répondu, loin de se laisser faire. Et alors là, c’était fichu : ils recommencent, encore et encore, décidés à avoir le dernier mot. A débattre encore et toujours, inutilement, comme des enfants. A jouer les drama queens, comme lorsque Yeliz exagère en disant à Ozan qu’il n’a qu’à appeler son amie pour râler sur le fait d’être malade. « Forcément, si j’suis là, je vous casse forcément les pieds. Ou juste toi, en tout cas. » rétorque-t-elle à Ozan, passablement agacée. Elle pourrait se taire, Yeliz. Elle pourrait abandonner. Mais non, elle s’accroche et elle continue de répliquer, contre-attaquer, chaque fois que lui-même le fait. « Tant mieux pour toi. En ce qui me concerne, j’suis pas ta meuf, donc je m’en fous. » Donc elle ne lui doit rien. Voilà ce qu’elle veut dire, Yeliz.

Mais si Ozan et Yeliz pourraient continuer longtemps dans cette voie, ce n’est visiblement pas le cas de Kemal, qui assiste à cette joute verbale. Qui voit les balles s’échanger, sans fin. Il se décide finalement à parler, à intervenir. A tenter de leur faire comprendre qu’ils se comportent comme des gosses, autant l’un que l’autre. Voilà en tout cas Kemal parti dans un monologue qui, il faut l’avouer, prend un peu Yeliz de court. Elle ne s’attendait pas forcément à ce qu’il intervienne, mais il faut croire que dans tout cela, Oz et elle n’ont réussi qu’à lui donner envie de partir. De passer sa soirée ailleurs. « C’est facile de dire ça, t’avais qu’à vivre avec lui, toi. » réplique-t-elle, irritée, boudant un peu. Cependant, elle ne va pas le retenir, ni présenter ses excuses à Ozan ou à son frère – et puis quoi encore ? Paraît-il qu’ils sont pires que des gamins, Oz et elle, alors autant se comporter comme tels jusqu’au bout. Ozan s’empresse d’ailleurs de répliquer qu’il n’a pas besoin d’elle, des mots qui l’affectent bien plus qu’elle ne veut l’admettre, et elle rebondit sur ses paroles : « J’ai encore moins besoin de lui, alors pareil : je vois pas en quoi ça te rassure. » Au moins un point sur lequel Ozan et Yeliz semblent pouvoir tomber d’accord. Incroyable mais vrai. Kemal ne tarde pas à prendre congé en leur disant à une prochaine fois et Yeliz lâche un soupir. « Ouais, on verra. » se contente-t-elle de commenter, toujours irritée, et plus encore en entendant la porte claquer. Et dire que ce sont eux qui passent pour des gamins. Finalement, elle non plus ne s’attarde pas au salon, partant se chercher quelque chose à grignoter dans la cuisine avant de s’exiler à son tour.
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