i'm afraid of rollercoasters, can i ride you instead? (andy)
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i'm afraid of rollercoasters, can i ride you instead? (andy)

MODO burning in the skies
Choi Nakyum
Choi Nakyum
messages : 1051
pseudo : malthaël (elle)
id card : lee soo-hyuk (ledgensneverdie)
multicomptes : heesung (keeho) ; finnick (lee gikwang) ; daewon (park seojoon) ; jiwon (ahn hyo seop)
à contacter : peu importe.
triggers : harcèlement.
warnings : adoption de son petit frère, infertilité de sa belle-mère, tabagisme, sexualité.
présence : présente.
i'm afraid of rollercoasters, can i ride you instead? (andy) C89dd1d272f6c1d691aa9e9076ee3741e83b465d
âge : (trente cinq ans) d'une vie loin d'être passionnante, mais la crise de la quarantaine viendra bientôt frapper à sa porte. (11/11)
occupation : travaille au sein de la police depuis presque douze ans maintenant. a gravi les échelons un à un, de district en disctrict, changeant de ville et même d'état. a élu domicile depuis cinq ans à l'oceanside p.d. en tant que (lieutenant - inspecteur en chef), bras droit du capitaine, sans pour autant tout accepter de sa part (lui prendrait volontiers sa place d'ailleurs).
statut civil : ras le bol émotionnel, la dernière fois qu'il a donné son cœur, on lui a rendu piétiné, depuis il se soigne, pas désespéré d'être (célibataire) depuis trois ans.
orientation : (pansexuel), rien à battre du genre de son partenaire, tant qu'il ou elle reste fidèle, c'est quand même pas compliqué, si ??
habitation : (#79 peacock) avec son petit frère, seojun, depuis fin décembre 2023.
pronom ig : il/lui - he/him
disponibilités : dispo baby.
- (ft. andy #3)
- (ft. minjae)
- (ft. joshy)
- (ft. jaewon)

infos rp : (écris en tu) ; (accepte les dialogues en eng mais préférence pour le fr) ; (environ 1rp/sem) ; (longueur en fonction de l'inspiration)
en vrac : parle couramment américain, coréen et français ;; son prénom américain est alex, sur son insigne de police y figure pourtant les deux prénoms : lieutenant alexander nakyum choi ;; n'a pas de souvenir de sa mère biologique, à part quelques photos, son père s'est remarié avec une française deux ans après son décès, nakyum la considère comme sa mère ;; écrit de la main gauche ;; jouais beaucoup aux jeux vidéos dans sa jeunesse, est désormais considéré comme un boomer ;; a besoin de lunette pour lire, sans il voit mais flou, surtout quand il est fatigué ;; amateur de lecture en tout genre, des bandes dessinées aux romans de plus de mille pages ;; n'a jamais voyagé ailleurs qu'en corée du sud ou en france, rentre parfois dans sa ville natale, la nouvelle orléans. ;; supporte les piments les plus fort mais n'arrive pas à boire une boisson trop chaude ;; tient bien l'alcool mais une fois enivré deviens désagréable ;; adore son petit frère, lui a souvent fait la blague que leurs parents l'avait trouvé dans la poubelle d'un fastfood (sauf que son petit frère est réellement adopté du coup c'est encore plus drôle) ;; sa mère possède (associée avec son père) un restaurant gastronomique français en centre ville de la nouvelle-orléans ;; croit en la puissance du vaudou et de la sorcellerie et déconseille à tout le monde de s'en approcher ;; derrière ses airs austère, il se déguise tous les ans pour mardi gras et le carnaval ;; adore danser sur les airs entrainants du jazz ;; sa dernière relation a durée sept ans, c'est lui qui a rompu après s'être fait tromper plusieurs fois et avoir pardonné à chaque fois, il l'a quitté alors qu'il l'aimait encore énormément et il a toujours une vieille photo de son ex et lui dans son porte feuille ;; a commencé à fumer depuis quelques semaines ;; possède le permis voiture, a le mal des transports s'il ne conduit pas ;; s'est fait mordre par un berger allemand lorsqu'il était enfant (a encore quelques traces de morsures sur la main et le poignet droit), depuis il a peur des chiens ;; va régulièrement a la salle de sport et suit les entrainements de la police ;; mesure un mètre quatre vingt quatre, les muscles saillants mais c'est surtout parce qu'il est maigrichon, il a un appétit d'oiseau. ;;
   
 
「 i'm afraid of rollercoasters, can i ride you instead? 」
∙ with @Andy Wei

tw: convocation au comico, défi, séduction

tu pensais mettre un terme définitif à toutes relations avec les hommes, parce qu'ils te dégoutaient de plus en plus. c'était pas faute d'avoir essayé depuis que t'avais break up avec ton ancien partenaire dont la relation chaotique laissera quelques plaies encore bien douloureuses auxquelles tu préfères pas penser. hier soir, t'avais tenté le coup, pourquoi pas sortir, accompagner ton petit frère en boîte de nuit, ça rassurait tes parents et en plus ça te faisait voir autre chose que les murs à la peinture vieillotte du commissariat. tu pensais avoir trouvé quelqu'un, ni trop bien, ni trop mal, juste histoire de satisfaire une ou quelques nuits... sauf que lorsqu'il s'est bien endormi sur toi en plein milieu de l'acte, complètement torché, tu savais que c'était la goutte de trop, sérieusement les mecs ? décidément, ça plus le fiasco au cybercafé, tu te demandes si c'est toi le problème ou si t'es juste tombé sur des incapables à chaque fois. d'ailleurs, en parlant du fiasco, il devrait arriver d'une minute à l'autre ;

t'avais gardé précieusement son téléphone qu'il avait oublié dans la poche arrière de ton pantalon, cette après-midi là, le défi d'aller le récupérer à cet endroit était probablement de trop, lui aussi était bourré d'ailleurs et sûrement straight. alors que tu regardes ta montre en comptant les minutes qui séparent dix-huit heures, tu penses aussi à la fin de ton shift qui arrivera peu après ce petit moment en sa compagnie, ce andy. être flic a des avantages parfois, t'avais pas pu rentrer toi-même dans son téléphone à cause du mot de passe, mais t'avais demandé à des collègues de trouver à qui il appartenait... quelques jours plus tard, t'avais son nom, prénom et adresse. de quoi lui envoyer une belle convocation au commissariat. abus de pouvoir ? oui, peut-être. t'y penses juste à une bonne action de ta part, comme le gentil lieutenant que tu es qui veut rendre son précieux téléphone à ce concitoyen.

alors que l'on toque à ton bureau, tu te retournes pour regarder par la fenêtre, ton rendez-vous est arrivé, te dit ta charmante collègue. tu attends qu'il s'installe et que la porte se referme. tu attends une longue minute de silence, où il ne se passe rien, t'as hâte de voir la tronche qu'il va faire lorsqu'il te reconnaîtra, enfin, s'il te reconnaît, p't'être que tu l'avais pas marqué plus que ça, ce jour-là. tu te retournes enfin et tu es étonné, « oof, you look angry. » ça t'arraches un petit rire moqueur, tu sais pas vraiment ce qu'il lui arrive mais au vu de son expression, tu pouvais deviner qu'il n'était pas vraiment heureux d'être ici, d'autant plus que la convocation ne mentionnait pas pourquoi il devait venir, quel enfant grincheux. tu t'avances doucement vers lui et te poses, les fesses contre ton bureau, face à lui. alors qu'il est assis sur cette ridicule chaise, tu te sens en position de force en étant plus grand, même si tu te souviens bien vite que le plus jeune te dépasse largement. « are you not happy to see me again, mister wei ? » tu lui souris de manière impulsive, alors qu'un de tes doigt viens se perdre sur le menton de l'asiatique, pour lui relever la tête, tu fronces les sourcils, l'air autoritaire. « i have something to give you. your phone, remember ? you can have it, if you dare. » il va peut-être t'insulter de l'avoir fait venir juste pour ça, t'aurai très bien pu lui déposer dans sa boite aux lettres sans faire d'histoire et vos chemins ne se seraient sans doute plus jamais croisés, mais tu trouve cette situation beaucoup plus amusante, ça mettait un peu de piment dans ton quotidien monotone. alors lui lancer ce petit défi, d'aller trouver son téléphone, « same pocket as last time. » tes yeux sombres étaient très sérieux, ton aura, séductrice. bien sûr, t'avais juste l'intention de l'embêter un peu, tu te doutes qu'il ne fera rien (enfin, c'est ce que tu crois) et que le jeu s'arrêtera là : tu lui rendra son téléphone et il rentrera sagement dans les quartiers chics de north valley.
SUN wildest dreams
Andy Wei
Andy Wei
messages : 850
pseudo : hel
id card : xiao zhan ; (av) ru-high-enough ; (gif) pint
multicomptes : mal, ari, levi, orion
à contacter : ici
warnings : jeu avec armes à feu, deathmatch
présence : réduite
i'm afraid of rollercoasters, can i ride you instead? (andy) 2998f8e273d21cba5593def94e008377
âge : vingt-quatre feuilles fanées, éternel gamin qui refuse de se conformer aux affres de l’âge adulte (23/10/1999).
occupation : joueur professionnel d'esport depuis l’âge de 15 ans, Andy fait partie de ces chanceux à s’être fait remarquer très jeune alors qu’il n’était qu’un simple streamer. Gros joueur de FPS, il a longtemps fait partie du top 10 des meilleurs joueurs sur CS:GO, remportant de nombreux tournois avant de finalement basculer sur Valorant, auquel il joue activement depuis maintenant 3 ans.
statut civil : célibataire, ce n’est pas les opportunités qui manquent depuis plusieurs années, mais Andy n’a encore jamais trouvé son duoQ, si tant est qu'il existe. Il n'en est pas malheureux pour autant, il a toujours été du genre solo player de toute façon.
orientation : aussi bien attiré par les hommes que par les femmes, c’est par pure envie de faire chier son hétérosexiste de père qu’il a embrassé un garçon à l'âge de 14 ans, et finalement, il s’est découvert une attirance pour les deux, bisexuel.
habitation : north valley
pronom ig : il/lui
disponibilités : 0/3 rps de disponible

infos rp : nombre de mots : variable, selon l'inspiration (généralement 500/800 mots) ;; dialogues : FR/ENG, je m'adapte selon vos préférences ;; fréquence de réponses : variable, au minimum 1/2 par mois, plus si le temps et l'inspi sont là ;; je peux écrire aussi bien à la troisième et deuxième personnes, au présent ;;
en vrac : RP
ongoing : nakyum#2, sage
incoming : you?
closed : mitsuki, nakyum, renegades, minjun

SMS : renegades, nakyum, julian, jungwoo

   
 
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∙ with @Choi Nakyum

tw: convocation au comico, défi, séduction

Damn it. What do they want now?? Le joueur d’e-sport relit le courrier, sans avoir la moindre idée de ce qu'il a pu faire pour être convoqué. Il se creuse les méninges, sourcils froncés et la moue boudeuse, listant les dernières conneries qu'il a pu faire qui mériteraient un éventuel passage au poste. Mais il a beau chercher, rien ne semble le justifier. For once. Il grogne son mécontentement, agacé. Ils auraient quand même pu préciser la raison dans ce foutu courrier, non ? D'autant qu'il n’a pas eu le choix que de le montrer au coach, n'ayant pas réussi à décaler l'heure de convocation avec la mégère de la réception. Évidemment, Glaze n'a pas apprécié d'apprendre que l'un de ses joueurs causait des problèmes, quand bien même son duelliste ait clamé avec véhémence son innocence. Qu'est-ce que t'as encore fait Andy ? T'es pas possible, tu vas te faire virer de l'équipe avec tes conneries ! Mais justement ! Il n'a rien fait ! Enfin… Il croit… Il est plus si certain alors qu'il quitte la villa, dispensé plus tôt pour se rendre au commissariat. Il n'a pas le droit de toucher à la voiture, condamné à prendre les transports en commun. C'est ça quand on bousille la portière, raflant sur toute la longueur un angle de mur en voulant entrer dans un parking souterrain. Pff. It could have happened to anyone.

Lorsqu'il arrive au poste, il est fièrement en retard de cinq minutes, s'étant arrêté en chemin pour déguster un bon gros beignet aux sucres. Il dépose la convocation à l'accueil, les doigts encore collants, toisant la femme assise derrière son bureau en se demandant si c’est la même secrétaire qu'il a eu au téléphone il y a une semaine. Elle pose un regard plein de dédain sur lui, l'informant d'une voix condescendante qu'il est en retard. Ouais, c'est bien cette même grognasse. — Je dois partir alors ? Je suis pas mal occupé aussi... Si elle pense qu'Andy en a quelque chose à foutre d'être convoqué, elle se fourre le doigt dans l'œil. Il n'en est pas à son premier rodéo, et n'est pas particulièrement intimidé, juste ennuyé par la perte de temps engendrée. Il a appris très jeune que tout le monde avait un prix, et son paternel a toujours su trouver le bon. Même si, il doit bien l’avouer, il n'a pas particulièrement envie de le revoir de sitôt, espèrant pouvoir régler ce triste malentendu sans son intervention. Il la talonne, se léchant distraitement le bout des doigts pour récupérer le restant de sucre. Contrairement à ce qu'il s’attendait, ils quittent l'open-space bondé pour emprunter un couloir, quittant le brouhaha environnant pour atteindre une porte à la vitre teintée. Son regard glisse sur la plaque pour y voir le nom affiché, puis se pétrifie. Fuck. Ok, il a peut-être sous-estimé l’affaire, qu'est-ce qu'un inspecteur en chef pourrait bien lui vouloir ? Il pense aussitôt à son père, c'est la seule explication qui lui vient. Il sait que ce dernier a déjà fait de nombreuses visites aux États-Unis comme ambassadeur, est-ce que c'est lié ? Ils ont découvert que son fils était là, alors il veulent lui soutirer quelques informations ? Son imagination s'emballe alors qu'elle ferme la porte derrière lui, et le cœur battant, il ose enfin lever les yeux.

L'homme est posté à la fenêtre donnant sur la rue animée, le dos tourné. De là, il peut apercevoir la petite échoppe où il s'est goinfré avant de débarquer. Il grimace, plongeant les mains dans les poches de son hoodie, attendant que ce dernier daigne lui adresser la parole et lui donne enfin la raison de sa présence. Sauf que l'inspecteur ne bouge pas, ne dit rien, l'ignorant complètement. Il attend quelques secondes puis murmure un juron en chinois, s'installant sur sa chaise sans y avoir été invité. S'il pense pouvoir l'intimider avec cette attitude, il va être déçu, Andy peut se montrer tout aussi têtu. Tapotant rapidement du pied, avachi sur la chaise, il regrette de ne pas avoir investi dans un nouveau smartphone, stoppé par une fainéantise aiguë qui l'aurait pourtant sauvé de l’ennui. Mais il n'a pas longtemps à attendre avant qu'il ne détecte un mouvement. C'est le timbre de sa voix qui le surprend en premier, étonnement familier, mais ce n'est que lorsqu'il lève enfin les yeux qu'il comprend pourquoi. Son palpitant bondit, ses yeux s'écarquillant de stupeur. Alexander??? Son regard glisse le long de la silhouette avant de remonter sur son visage, comme s'il avait du mal à croire ce qu'il voit. Il se redresse sur sa chaise, incapable de détacher ses yeux du coréen qui le toise, le regard brillant. — Are you not happy to see me again, mister Wei? Frisson qui court le long de l'échine tandis que les doigts saisissent le menton, brisent toute convenance lorsque lui peine à réaliser ce qu'il se passe. — Je… Il s'humecte les lèvres, ses pensées dévaguant sur cette fameuse après-midi dont il n'a oublié aucun détail. Cette rencontre hasardeuse qui a pourtant marqué l'esprit du duelliste les jours d'après. Il se souvient encore de la chaleur de son corps, de ses lèvres aussi avides que les siennes, de ce désir impérieux qu'il n'avait encore jamais ressenti pour qui que ce soit. Mais surtout le goût d'inachevé et de regret. De ne pas avoir été capable de relever ce défi, d'avoir pris peur pour la première fois de sa vie. Il n'a pas trouvé le courage de faire demi tour, même pour son portable en réalisant l'oubli, trop embarrassé pour lui faire face. Il ne pensait jamais le revoir. — I have something to give you. Your phone, remember ? You can have it, if you dare… C'est donc pour ça qu'il a été convoqué ? Son téléphone ? Il en rirait s'il n'était pas sous le choc. — Same pocket as last time… No way. Son coeur bat à folle allure, les mots de l'inspecteur tournant en boucle dans sa caboche pour en analyser chaque mot, déceler l'intention dissimulée derrière l'indécente proposition. Son expression a l'air sérieuse, son regard défiant. La situation lui semble trop incroyable, trop parfaite, pour ne pas être une blague. Qu'est-ce qu'un homme comme Alexander, voudrait d'un gars comme lui ? Ça n'a aucun sens. Mais est-ce que ça va l'arrêter pour autant ? Est-ce qu'il va encore fuir comme un lâche ? Certainement pas. Pas cette fois. Et au moment où il sent le fonctionnaire abandonner, Andy sort les mains de ses poches, s'appuyant prestement sur les accoudoirs pour se redresser. Il n'a pas besoin de faire un pas pour être déjà entre les cuisses musclées, le bloquant sur le bureau auquel il s'était déjà perché. — Vous n'allez pas m'arrêter pour agression sexuelle si je récupère mon téléphone, n'est-ce pas, Inspecteur ? Et quand bien même, Andy veut bien qu'il lui passe les menottes aux poignets, et fait de lui ce que bon lui semble. Fuck, I'm horny. Profitant des quelques centimètres de plus sur l'aîné, le gamer le toise d'un petit sourire arrogant, son regard glissant sur les lèvres entrouvertes avec l'envie de reprendre là où ils se sont arrêtés dans l'étroite cabine. Il jauge sa réaction, s'assure d'avoir bien compris, ses mains posées sur les cuisses de l'inspecteur durant l'échange, remontant lentement, bifurquant au dernier moment seulement pour passer sur les côtés, puis se poser fermement sur le fessier rebondit qu'il agrippe, notant effectivement un objet dans une des poches. D'un mouvement vif, il le rapproche contre lui, forçant le représentant de l'ordre à se retrouver sur le bord du bureau, pressant son bassin contre le sien. Malgré l'appréhension, il y a l'excitation qui prédomine, enhardi par le goût de l'interdit.  — C'est comme ça que vous, les américains, traitez avec les objets perdus habituellement ? Je veux bien oublier mon portable plus souvent... Le regard pétillant, il extirpe de la poche ledit téléphone, jetant un bref regard avant de le glisser dans la poche arrière de son propre jean. — C'est très gentil de l'avoir gardé au chaud pour moi. Est-ce que je peux faire quelque chose pour vous remercier ?
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Choi Nakyum
Choi Nakyum
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multicomptes : heesung (keeho) ; finnick (lee gikwang) ; daewon (park seojoon) ; jiwon (ahn hyo seop)
à contacter : peu importe.
triggers : harcèlement.
warnings : adoption de son petit frère, infertilité de sa belle-mère, tabagisme, sexualité.
présence : présente.
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âge : (trente cinq ans) d'une vie loin d'être passionnante, mais la crise de la quarantaine viendra bientôt frapper à sa porte. (11/11)
occupation : travaille au sein de la police depuis presque douze ans maintenant. a gravi les échelons un à un, de district en disctrict, changeant de ville et même d'état. a élu domicile depuis cinq ans à l'oceanside p.d. en tant que (lieutenant - inspecteur en chef), bras droit du capitaine, sans pour autant tout accepter de sa part (lui prendrait volontiers sa place d'ailleurs).
statut civil : ras le bol émotionnel, la dernière fois qu'il a donné son cœur, on lui a rendu piétiné, depuis il se soigne, pas désespéré d'être (célibataire) depuis trois ans.
orientation : (pansexuel), rien à battre du genre de son partenaire, tant qu'il ou elle reste fidèle, c'est quand même pas compliqué, si ??
habitation : (#79 peacock) avec son petit frère, seojun, depuis fin décembre 2023.
pronom ig : il/lui - he/him
disponibilités : dispo baby.
- (ft. andy #3)
- (ft. minjae)
- (ft. joshy)
- (ft. jaewon)

infos rp : (écris en tu) ; (accepte les dialogues en eng mais préférence pour le fr) ; (environ 1rp/sem) ; (longueur en fonction de l'inspiration)
en vrac : parle couramment américain, coréen et français ;; son prénom américain est alex, sur son insigne de police y figure pourtant les deux prénoms : lieutenant alexander nakyum choi ;; n'a pas de souvenir de sa mère biologique, à part quelques photos, son père s'est remarié avec une française deux ans après son décès, nakyum la considère comme sa mère ;; écrit de la main gauche ;; jouais beaucoup aux jeux vidéos dans sa jeunesse, est désormais considéré comme un boomer ;; a besoin de lunette pour lire, sans il voit mais flou, surtout quand il est fatigué ;; amateur de lecture en tout genre, des bandes dessinées aux romans de plus de mille pages ;; n'a jamais voyagé ailleurs qu'en corée du sud ou en france, rentre parfois dans sa ville natale, la nouvelle orléans. ;; supporte les piments les plus fort mais n'arrive pas à boire une boisson trop chaude ;; tient bien l'alcool mais une fois enivré deviens désagréable ;; adore son petit frère, lui a souvent fait la blague que leurs parents l'avait trouvé dans la poubelle d'un fastfood (sauf que son petit frère est réellement adopté du coup c'est encore plus drôle) ;; sa mère possède (associée avec son père) un restaurant gastronomique français en centre ville de la nouvelle-orléans ;; croit en la puissance du vaudou et de la sorcellerie et déconseille à tout le monde de s'en approcher ;; derrière ses airs austère, il se déguise tous les ans pour mardi gras et le carnaval ;; adore danser sur les airs entrainants du jazz ;; sa dernière relation a durée sept ans, c'est lui qui a rompu après s'être fait tromper plusieurs fois et avoir pardonné à chaque fois, il l'a quitté alors qu'il l'aimait encore énormément et il a toujours une vieille photo de son ex et lui dans son porte feuille ;; a commencé à fumer depuis quelques semaines ;; possède le permis voiture, a le mal des transports s'il ne conduit pas ;; s'est fait mordre par un berger allemand lorsqu'il était enfant (a encore quelques traces de morsures sur la main et le poignet droit), depuis il a peur des chiens ;; va régulièrement a la salle de sport et suit les entrainements de la police ;; mesure un mètre quatre vingt quatre, les muscles saillants mais c'est surtout parce qu'il est maigrichon, il a un appétit d'oiseau. ;;
   
 
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ton petit numéro avait bien fonctionné, dès lors que tu t’étais retourné, tu avais pu lire dans son regard tout ce qu’il semblait se rappeler de cette soirée-là, où il s’était lâchement envolé. ses yeux semblaient crier ton nom, bien qu’ils hurlaient de stupeur, comme si tu représentais le fantôme de ce moment d’égarement. sans doute regrettait-il, ses gestes déplacés, ses mots de trop, pas assez réfléchi à cause de l’alcool qui faisait effet sur son inhibition. les mecs bourrés, tu commences à les connaître, t’en a vu passer plus d’un en cellule de dégrisement et plus d’un, plus récemment, dans tes draps. mais, déception sur déception, tu t’étais, semble-t-il, résigné à l’idée de rencontrer à nouveau quelqu’un. pourtant, et bien qu’elle ne devrait sans doute pas, cette situation t’amuses, éclaire ton visage d’une large sourire, presque machiavélique, presque hautain de l’inspecteur en chef, comme si tu te croyais au dessus de lui, bien que ça ne soit pas le cas, t’es juste devant, le cul vissé sur ton bureau, la main possédant un instant le visage du plus jeune asiatique, alors qu’il peine à parler, tu ne peux empêcher un rire, moqueur bien évidemment, de s'échapper.
il semble se perdre, au cours de quelques instants, les yeux dans le vide, comme s’il cherchait quelque chose. tu n’es pas dupe, tu sais très bien de quoi il s'agit. alors que tu lui relances le même défi que la fois dernière, au cybercafé, tu ne peux t’empêcher de rouler des yeux au ciel. qu’est-ce que tu es, un gamin ? tu devrais pas faire ça, mais plutôt rester à ta place, en tant que gentil (plus ou moins) policier qui boit des cafés, fait de la paperasse et va sur le terrain quelques fois, quand il y a besoin de renfort. de toute façon, ce n’est qu’une plaisanterie cette fois-ci, tu n’étais pas sérieux… n’est-ce pas ? ou alors, étais-tu en train d’essayer de te convaincre toi-même pour ne pas être déçu une nouvelle fois, s’il devait refuser ta proposition. alors que tu pensais abandonner, bifurquer et retourner t'asseoir, voilà qu’il vient te bloquer dans cette quête, te surprenant au passage par cette distance très vite réduite entre vos deux corps. “qu’est-ce que tu…” que tu baragouines, comme si tu ne l’avais pas cherché, nakyum, c’est toi qui avait commencé, lui ne faisait que rentrer dans ton jeu, sauf que tu le regardes, de haut en bas, éberlué par sa soudaine prise de confiance en lui. ton sourire disparaît alors que le sien trône sur ses mimiques déplaisantes, il se joue de toi, narquois, tu fronces les sourcils, presque irrité par ce visage enfantin sur lequel tu ne lit rien d’autre que du défi. ses mains se posent, tu te crispes. elles remontent, tu soupires, détournant la tête. merde alors, t’as quoi, quinze piges pour réagir comme ça ? ton anatomie te fait comprendre aussi que tu te mets en danger alors qu’elle réagit aussi au contact du jeune asiatique… et tu devines que ce n’est pas un nouveau téléphone la chose suspecte que tu sentais, impatiente, contre ta cuisse. alors que ton regard s’était baissé, essayant d’admirer sans trop d’innocence ce qu’il se passait sous vos pantalons, sa question te fait revenir sur terre, t’étais pas du tout en train de faire quelque chose de bien, là. “probablement parce que je ne suis qu’à moitié américain j’imagine.” tu essaies de te défaire de cette étreinte diabolique en le repoussant un peu, tu n’avouera jamais ne pas y mettre de la bonne volonté, mais il ne bouge pas d’un centimètre. “quelque chose ? je ne sais pas. t’es libre après ? passe la soirée avec moi. comme ça j’aurai le temps d’y réfléch-” la porte s’ouvre subitement. un couinement de la secrétaire et les nombreux documents qu’elle tenait jonchent désormais le sol. tu sursautes et pousse violemment andy. merde, merde, merde. ta respiration s’accélère alors que tu remets tes vêtements d’officier en place, un peu de rouge aux joues. quel début de soirée. un dernier regard au jeune asiatique et tu t’accroupis pour aider la femme à ramasser tout ce qu’elle avait laissé tomber dans la surprise, croyant sûrement que tu te faisais agresser. “ce n’est pas ce que vous croyez, d’accord ? ne vous inquiétez pas” que tu souffles à la jeune femme qui semble appeurée par ce qu’elle venait de voir. alors que vous vous redressez en même temps, tu prends donc les papiers qui t'étaient destinés et referme la porte derrière elle. sérieux, tu te retournes vers ton assaillant. “ce n’est pas très prudent de faire ça ici. je ne pense pas que tu apprécierais que l’on te surprenne à fricoter sur ton lieu de travail.
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occupation : joueur professionnel d'esport depuis l’âge de 15 ans, Andy fait partie de ces chanceux à s’être fait remarquer très jeune alors qu’il n’était qu’un simple streamer. Gros joueur de FPS, il a longtemps fait partie du top 10 des meilleurs joueurs sur CS:GO, remportant de nombreux tournois avant de finalement basculer sur Valorant, auquel il joue activement depuis maintenant 3 ans.
statut civil : célibataire, ce n’est pas les opportunités qui manquent depuis plusieurs années, mais Andy n’a encore jamais trouvé son duoQ, si tant est qu'il existe. Il n'en est pas malheureux pour autant, il a toujours été du genre solo player de toute façon.
orientation : aussi bien attiré par les hommes que par les femmes, c’est par pure envie de faire chier son hétérosexiste de père qu’il a embrassé un garçon à l'âge de 14 ans, et finalement, il s’est découvert une attirance pour les deux, bisexuel.
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Son regard sombre pourrait engloutir des océans, et le jeune duelliste se sent happé par les onyx luisants, le cœur cognant à tout rompre. Sous la bravade impudente qu’il affiche avec insolence, y a la crainte d’aller trop loin, de se faire des idées, et il doute un peu alors qu’il peut sentir l’inspecteur se crisper contre lui, presque mal à l’aise de la proximité pourtant initiée. Ce n’était pas ce qu’il voulait ? Ce qu’il cherchait en le provoquant ? Il aurait mal compris ? Pourtant s’il baisse les yeux, il peut voir que l’effet est réciproque, sentir la protubérance irréfutable contre sa cuisse. Trop rentre-dedans ? Il pensait que c’était ce qu’il attendait de lui, mais il n’est plus si certain maintenant. Andy veut l’impressionner pourtant. Depuis leur première rencontre, il a beaucoup pensé à lui, regrettant d’avoir ruiné sa chance, de s’être enfui sans explication, honteux et troublé comme il ne l’a jamais été. Il a souvent ré-imaginé la scène, inventant une autre fin à leur rencontre fortuite qui aurait abouti sur quelque chose de nouveau. Il en avait ri la première fois qu’il s’est surpris à rêver d’une telle chose, ça ne lui ressemble pas. Sa vie a toujours tourné autour des jeux vidéos depuis l’adolescence, il en avait fait son unique moteur, et c’était jusqu’ici, la seule chose capable de le faire vibrer complètement. Jusqu’à lui étrangement. La proposition de se voir, de passer la soirée avec lui, est totalement inattendue, miraculeuse. Mais il n’a pas vraiment le temps d’organiser ses pensées qu’il entend la porte s’ouvrir dans son dos et se retrouve brusquement propulsé contre la chaise, le souffle coupé et les yeux exorbités. Il entend plus qu’il ne voit la secrétaire (évidemment que c’est cette grognasse), regardant droit devant lui tandis que l’inspecteur noie le poisson (d’une bien piètre façon) et ramasse les papiers au sol. Andy se rassoit correctement, attendant patiemment la suite, ne sachant pas trop s’il doit partir ou rester, optant finalement pour la seconde option. Une fois seul avec Alexander, et en l’écoutant se plaindre de son manque de retenue, ce dernier finit par réagir, se levant à son tour. — Si tu voulais pas que ça dérape, fallait peut-être pas m’y pousser, qu’il rétorque d’une moue boudeuse. Après tout, c’est lui qui a commencé à jouer, il s’attendait à quoi ? Peut-être qu’il espérait le voir fuir à nouveau, c’est pour ça qu’il était si surpris de le voir riposter. Ça expliquerait son étonnement. Mais du coup, il était sérieux à l’idée de se voir ce soir ? — Je suis libre oui, j’ai déjà terminé ma journée… et toi ? Ton service prend fin quand ? Il espère que c’est bientôt, mais il serait capable d’attendre plusieurs heures s’il le faut, pas question de ruiner sa deuxième chance. — Je vous attends devant, inspecteur… ne m'oubliez pas, taquine-t-il d’un clin d'œil, repassant au vouvoiement, avant de quitter le bureau pour le laisser finir son travail.

Pendant l’heure d’attente, Andy stresse beaucoup un peu. Il a rapidement envoyé un sms au coach pour l’informer qu’il s’agissait uniquement de son portable perdu et qu’il n’avait rien fait de mal (comment avait-il pu douter de lui). Il en profite pour lui annoncer qu'il sortait avec un ami et de ne pas l’attendre pour dîner. Andy ne sait pas vraiment à quoi s’attendre, mais il a les mains déjà moites, le cœur tambourinant. Est-ce qu’on peut dire qu’il s’agit d’un date ? Le duelliste s’emballe déjà, s’imaginant toutes les directions que pourraient prendre cette soirée, se demandant jusqu’où ça pourrait aller. Il rougit rien que de songer à reprendre là où ils se sont arrêtés. Pas question de fuir cette fois, Andy. T’es pas un lâche. Il s’humecte les lèvres, agité et impatient de le voir débarquer. C’est lorsqu’il entend un raclement de gorge qu’il lève soudain les yeux, n’ayant pas remarqué la présence de l’inspecteur à côté, qui semble l’observer avec intensité. Andy se lève d’un bond du banc sur lequel il s’était posé, faisant face au commissariat. Il ne l’a même pas vu sortir. Son regard glisse sur les vêtements civils, avant de remonter, les joues brûlantes, en réalisant que son regard s’attardait trop pour être convenable. — Désolé, je ne t’ai pas vu approcher. S’il avait su qu'il allait finir par le recroiser, il aurait fait bien plus d’effort sur son apparence. Fuck. Il aurait peut-être dû proposer une autre date pour se voir, il ressemble à rien actuellement. Il passe une main dans ses cheveux, gêné. — Tu as faim, soif ? On pourrait se poser quelque part... Je suis rarement venu dans ce quartier, mais tu connais peut-être un endroit sympa ?
MODO burning in the skies
Choi Nakyum
Choi Nakyum
messages : 1051
pseudo : malthaël (elle)
id card : lee soo-hyuk (ledgensneverdie)
multicomptes : heesung (keeho) ; finnick (lee gikwang) ; daewon (park seojoon) ; jiwon (ahn hyo seop)
à contacter : peu importe.
triggers : harcèlement.
warnings : adoption de son petit frère, infertilité de sa belle-mère, tabagisme, sexualité.
présence : présente.
i'm afraid of rollercoasters, can i ride you instead? (andy) C89dd1d272f6c1d691aa9e9076ee3741e83b465d
âge : (trente cinq ans) d'une vie loin d'être passionnante, mais la crise de la quarantaine viendra bientôt frapper à sa porte. (11/11)
occupation : travaille au sein de la police depuis presque douze ans maintenant. a gravi les échelons un à un, de district en disctrict, changeant de ville et même d'état. a élu domicile depuis cinq ans à l'oceanside p.d. en tant que (lieutenant - inspecteur en chef), bras droit du capitaine, sans pour autant tout accepter de sa part (lui prendrait volontiers sa place d'ailleurs).
statut civil : ras le bol émotionnel, la dernière fois qu'il a donné son cœur, on lui a rendu piétiné, depuis il se soigne, pas désespéré d'être (célibataire) depuis trois ans.
orientation : (pansexuel), rien à battre du genre de son partenaire, tant qu'il ou elle reste fidèle, c'est quand même pas compliqué, si ??
habitation : (#79 peacock) avec son petit frère, seojun, depuis fin décembre 2023.
pronom ig : il/lui - he/him
disponibilités : dispo baby.
- (ft. andy #3)
- (ft. minjae)
- (ft. joshy)
- (ft. jaewon)

infos rp : (écris en tu) ; (accepte les dialogues en eng mais préférence pour le fr) ; (environ 1rp/sem) ; (longueur en fonction de l'inspiration)
en vrac : parle couramment américain, coréen et français ;; son prénom américain est alex, sur son insigne de police y figure pourtant les deux prénoms : lieutenant alexander nakyum choi ;; n'a pas de souvenir de sa mère biologique, à part quelques photos, son père s'est remarié avec une française deux ans après son décès, nakyum la considère comme sa mère ;; écrit de la main gauche ;; jouais beaucoup aux jeux vidéos dans sa jeunesse, est désormais considéré comme un boomer ;; a besoin de lunette pour lire, sans il voit mais flou, surtout quand il est fatigué ;; amateur de lecture en tout genre, des bandes dessinées aux romans de plus de mille pages ;; n'a jamais voyagé ailleurs qu'en corée du sud ou en france, rentre parfois dans sa ville natale, la nouvelle orléans. ;; supporte les piments les plus fort mais n'arrive pas à boire une boisson trop chaude ;; tient bien l'alcool mais une fois enivré deviens désagréable ;; adore son petit frère, lui a souvent fait la blague que leurs parents l'avait trouvé dans la poubelle d'un fastfood (sauf que son petit frère est réellement adopté du coup c'est encore plus drôle) ;; sa mère possède (associée avec son père) un restaurant gastronomique français en centre ville de la nouvelle-orléans ;; croit en la puissance du vaudou et de la sorcellerie et déconseille à tout le monde de s'en approcher ;; derrière ses airs austère, il se déguise tous les ans pour mardi gras et le carnaval ;; adore danser sur les airs entrainants du jazz ;; sa dernière relation a durée sept ans, c'est lui qui a rompu après s'être fait tromper plusieurs fois et avoir pardonné à chaque fois, il l'a quitté alors qu'il l'aimait encore énormément et il a toujours une vieille photo de son ex et lui dans son porte feuille ;; a commencé à fumer depuis quelques semaines ;; possède le permis voiture, a le mal des transports s'il ne conduit pas ;; s'est fait mordre par un berger allemand lorsqu'il était enfant (a encore quelques traces de morsures sur la main et le poignet droit), depuis il a peur des chiens ;; va régulièrement a la salle de sport et suit les entrainements de la police ;; mesure un mètre quatre vingt quatre, les muscles saillants mais c'est surtout parce qu'il est maigrichon, il a un appétit d'oiseau. ;;
   
 
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tw: séduction, pensées sexuelles

Le rendez-vous venait de déraper, encore une fois.
Le cœur tambour battant dans la poitrine, tu ne sais pas si c’était l’irruption de la secrétaire dans ton bureau ou simplement Andy qui procurait cet effet-là. Sentiment que tu ne voulais pas ressentir, plus jamais, n’est-ce pas ? Calmes toi mon pauvre palpitant insensé, alors que tu te retournes enfin vers ton hôte, celui-ci ne manquant pas de te remettre à ta place après ta vulgaire réprimande. Il avait raison, tu l’avais cherché, pourquoi d’ailleurs ? T’essaies de pas trop y réfléchir mais c’est compliqué quand une fois de plus, il te fait reculer d’un pas en arrière, rendant tes pensées intrusives bien trop présentes, en fouillis dans tout le joyeux bordel de ton cerveau. Le souffle qui s’accélère de nouveau alors qu’il est si proche bien que tu saches pertinemment qu’il ne se passera rien, pas maintenant.
Il me reste une petite heure.” Tu te racles la gorge et passe tes mains sur tes joues quelque peu rougies, tu évites son regard pour retourner t’asseoir à ton bureau. C’est ce que tu comptais faire, vraiment. Le laisser rentrer, repartir libre de ses mouvements et peut-être ne plus jamais avoir à faire à lui, mais pourquoi ça te dérangeait autant ? Alors, quand il t’indique qu’il t’attendra devant le commissariat, tu ne peux empêcher ce petit sourire d'apparaître sur tes lèvres, victorieux de ne pas avoir eu à faire le premier pas, tu ne te rendais pourtant pas compte à quel point tu te perdais dans ton propre petit jeu.
Attends.” Tes yeux se perdent soudain dans les siens lorsque tu lui attrapes le poignet avant qu’il ne passe la porte. Incapable de maintenir son regard plus de quelques secondes, tu lui tends simplement la feuille qu’il doit signer pour prouver qu’il est bien passé récupérer ses effets personnels. Une fois cela fait, tu le laisses enfin quitter la pièce. Une fois que la porte se referme, tu souffles un bon coup, pas encore sûr de ce qui venait de se passer, le feu au corps allumé par ce gamin.

L’heure s’était un peu éternisée, mais plus les minutes passaient et te rapprochaient de le revoir et plus tes pensées étaient embrouillées par l’envie et la certitude de faire une bêtise. L’uniforme est bien vite troqué pour les vêtements civils, pas vraiment bien fringué, pas l’occasion d’aller à de nombreux dates ces derniers temps, t’avais juste prévu de rentrer chez toi directement, sûrement t’arrêter à l’épicerie asiatique pour faire semblant de manger quelque chose alors que ça sera sans doute encore un onigiri ou un ramen, un truc rapide. Bref coup d'œil à ta montre, puis au miroir, remets les cheveux en place et passe de l’eau sur ce visage beaucoup trop anxieux. Persuadé qu’il ne t’a pas attendu, tu sors du commissariat en regardant tout de même autour de toi, cherchant la silhouette que tu aperçois enfin quelques mètres plus loin. Il est debout, dos à toi et tu l’observes quelques secondes, regardant sa façon de s’agiter, le sachant évidemment tout autant stressé que toi. Bien décidé à ne rien laisser apparaître sur ton visage de tes émotions réprimées, tu le rejoins comme si de rien n’était, la gueule impassible habituelle alors qu’il s’en passe des choses à l’intérieur. Ta gorge étouffe un petit signal pour réveiller le plus jeune, lui indiquant ta présence par ce biais.
J’ai fait exprès de m’approcher doucement, je voulais te faire peur, mais ça n’a pas fonctionné visiblement.” Dis tu d’un ton sarcastique, tu regardes ses yeux qui te dévisagent un peu, sûrement que tes vêtements ne lui plaisent pas, mais c’étaient les premiers que tu avais trouvé dans ton armoire ce matin. Il se recoiffe et tu remarques cette mèche rebelle qui s’était mise dans le mauvais sens, tu tends ta main pour lui remettre en place, profitant d’un échange de regards assez intense au passage.
Oui. J’ai faim, j’ai soif.” Petit clin d'œil débile pour accompagner la phrase innocemment dite et pourtant pleine de sous entendus délicieusement cachés sous ta langue. A sa question, tu oserais répondre que chez toi est un endroit assez sympa, petit appartement en centre ville, où l’on peut admirer les lumières scintillantes des rues piétonnes, des baies vitrées de ton balcon, où tous les meubles sont neufs et ne demandent qu’à être baptisés. Encore une fois, tu tressautes d’avoir songé un instant pouvoir le ramener chez toi, avoir imaginé son corps étendu dans les quelques pièces, ou même pire, sur ledit balcon.
La fête foraine !” Tu lui attrapes le poignet à la limite de sa main elle-même, refusant une proximité encore plus douteuse, tu l’emmènes de gré ou de force vers l’endroit choisi par tes soins, ayant quasiment crié la destination plus tôt. Une fois sur les lieux, tu le relâches, la mâchoire serrée. Un stand plein de sucreries te donne soudain très envie, te faisant presque oublier celle pour Andy.
C’est toi qui m’invite alors ?” Demande innocente, pourtant prêt à user de tes charmes pour te faire payer quelques gourmandises, pour avoir quelque chose à te mettre sous la dent si ce n’est pas l’asiatique qui se tient face à toi. Ta moue se veut charmeuse, maintenant le regard, tes doigts dérobent les siens dans cette action, presque prêt à le remercier en l’embrassant s’il accepte…
Je pourrais te rembourser… Plus tard. C’est juste que j’ai oublié mon porte monnaie, chez moi.” Ce n’est pas parce que t’es flic que t’as pas le droit de mentir après tout, n’est-ce pas ? Était-ce une invitation dissimulée ? Sans doute.
SUN wildest dreams
Andy Wei
Andy Wei
messages : 850
pseudo : hel
id card : xiao zhan ; (av) ru-high-enough ; (gif) pint
multicomptes : mal, ari, levi, orion
à contacter : ici
warnings : jeu avec armes à feu, deathmatch
présence : réduite
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âge : vingt-quatre feuilles fanées, éternel gamin qui refuse de se conformer aux affres de l’âge adulte (23/10/1999).
occupation : joueur professionnel d'esport depuis l’âge de 15 ans, Andy fait partie de ces chanceux à s’être fait remarquer très jeune alors qu’il n’était qu’un simple streamer. Gros joueur de FPS, il a longtemps fait partie du top 10 des meilleurs joueurs sur CS:GO, remportant de nombreux tournois avant de finalement basculer sur Valorant, auquel il joue activement depuis maintenant 3 ans.
statut civil : célibataire, ce n’est pas les opportunités qui manquent depuis plusieurs années, mais Andy n’a encore jamais trouvé son duoQ, si tant est qu'il existe. Il n'en est pas malheureux pour autant, il a toujours été du genre solo player de toute façon.
orientation : aussi bien attiré par les hommes que par les femmes, c’est par pure envie de faire chier son hétérosexiste de père qu’il a embrassé un garçon à l'âge de 14 ans, et finalement, il s’est découvert une attirance pour les deux, bisexuel.
habitation : north valley
pronom ig : il/lui
disponibilités : 0/3 rps de disponible

infos rp : nombre de mots : variable, selon l'inspiration (généralement 500/800 mots) ;; dialogues : FR/ENG, je m'adapte selon vos préférences ;; fréquence de réponses : variable, au minimum 1/2 par mois, plus si le temps et l'inspi sont là ;; je peux écrire aussi bien à la troisième et deuxième personnes, au présent ;;
en vrac : RP
ongoing : nakyum#2, sage
incoming : you?
closed : mitsuki, nakyum, renegades, minjun

SMS : renegades, nakyum, julian, jungwoo

   
 
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tw: séduction, sexualité

C’est une véritable nuée de papillons qui s’agitent dans son bas ventre alors qu’Alexander glisse sa main dans ses cheveux pour remettre une mèche en place. Son rythme cardiaque s’accélère sous l’intensité de son regard, incapable de s'en détacher, envoûté. Un sourire s’étire au clin d'œil, intérieurement ravi et séduit par l’audace du représentant de l’ordre. — Tant mieux, moi aussi, répond-il, ses yeux glissant irrésistiblement sur les lèvres de l'officier en prononçant ses mots. Il s'en détache qu'au prix d'un grand effort. À la mention d’une fête foraine, ses yeux s’arrondissent, le visage éclairé par un engouement enfantin impossible à réprimer, ayant toujours adoré ce genre d’endroit, d’autant plus la nuit. — C’est une super… s'exclame-t-il avec enthousiasme avant de sentir son cœur s'envoler et un frisson le parcourir. Le palpitant rapide, il se laisse traîner par son compagnon, les yeux rivés sur les doigts enroulés presque possessivement autour de son poignet. Il a de belles mains, Alexander, de très très belles mains, qu'il songe les joues légèrement brûlantes, la vision obscène de ses longs doigts resserrant leur prise ailleurs traversant honteusement son esprit. Il se secoue la tête pour chasser l’image osée, lui-même étonné d'avoir ce genre de pensée dans un tel moment. Mais l’effet qu’Alexander a sur lui est inédit. Il n’a jamais ressenti une telle attraction pour qui que ce soit. Il a déjà fantasmé évidemment, pensé à des femmes et des hommes qu’il trouvait attirant lors de ses extra-activités, mais sentir son palpitant perdre le contrôle, son corps s’enflammer en la simple présence de quelqu'un est nouveau. Déroutant et exaltant. Addictif. Il en a oublié le regard des autres, ce qui est tout aussi surprenant quand il a toujours fait très attention à l’image qu’il reflétait, prenant toujours garde à ne pas afficher ses préférences aussi ouvertement de peur que sa mère l'apprenne. Mais dans l'anonymat de la foule, Andy est bien incapable de retirer sa main, trop heureux que celui qui hante ses pensées depuis cet après-midi au cybercafé désire sa compagnie. Il ne compte pas laisser des années de répression gâcher ce moment, quand il a enfin l’impression de pouvoir respirer librement. Il ne faut que dix minutes pour rejoindre la fête foraine, et il a du mal à contenir son enthousiasme grandissant alors qu’ils se rapprochent de l'entrée. — Ça fait des années que j'ai pas eu l'occasion d’aller à une fête foraine, qu’il explique d'un sourire d’excuse, embarrassé de se comporter comme un gamin malgré son âge. L’odeur sucrée lui met déjà l’eau à la bouche, repérant un stand de gourmandises à quelques pas. Il n'est visiblement pas le seul, surprenant le regard plein de convoitise de son voisin. Adorable. Mais il suffit qu'Alexander porte son attention à nouveau sur lui pour qu'il perde à nouveau ses moyens. Sa façon de le regarder, de le toucher à la première opportunité, et le timbre de sa voix, bas et grave, débloquant chez le duelliste une nouvelle perversion. Même la manière dont il l'incite à payer le charme. Ses joues s’empourprent à la mention d’un quelconque remboursement, son imagination s'emballant un peu honteusement. Il se fait violence. — Je… Bien sûr, je dois encore te remercier pour le téléphone, et… me faire pardonner aussi… C’est moi qui invite, tu n’as... pas besoin de me rembourser, qu’il assure maladroitement, détournant les yeux à la fin de peur qu’il puisse lire les pensées indécentes qui lui ont traversé l’esprit. Il profite que leurs doigts se touchent déjà pour les entrelacer, prenant les devants pour l'emmener devant l’échoppe. — Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? Il sourit à sa demande et commande un sachet de 24 croustillons. Alors qu'ils patientent, le gamer ne peut pas s'empêcher de l'observer, d’admirer les traits ciselés de son visage quand ce dernier a les yeux tournés. Il a envie d’en apprendre plus sur lui, de savoir ce qu’il aime, comment il en est venu à rejoindre les forces de l’ordre, comprendre pourquoi il n'est pas encore marié. Ce qu’il peut bien lui trouver pour vouloir forcer une nouvelle rencontre, quand il pourrait avoir probablement n’importe qui... Il s’humecte les lèvres avant de finalement demander, curieux depuis qu’il a vu la plaque sur la porte de son bureau. — J’ai vu que ton prénom coréen était affiché également sur ta plaque, la première fois qu'on s’est vu tu t’es présenté sous Alexander mais… tu as une préférence ? Interpellé par la vendeuse, il s’empresse de payer pour récupérer les croustillons, puis se tourne vers l’inspecteur. — Attention, c’est encore chaud, avertit-il en lui tendant le sachet pour qu’il puisse récupérer la fourchette en bois et se servir. Repérant un banc libre alors qu'ils poursuivent leur chemin, il le pointe du menton. — Tu veux t'asseoir ? Une fois installé, et après qu’il se soit déjà servi, Andy prend la deuxième fourchette pour la planter dans la pâtisserie, sentant son ventre grondé malgré qu'il ait déjà mangé une sucrerie un peu plus tôt. Il lève les yeux vers Nakyum, qui a déjà avalé son premier (deuxième ?) croustillon. De toute évidence, il était affamé. Il ne peut s'empêcher de rire en voyant le sucre étalé à la commissure de ses lèvres. Il cherche une serviette et se rend compte qu’elle a oublié d’en fournir. Hésitant, il finit par prévenir, déglutissant avec peine. — T’as du sucre… juste là. Il pointe l’endroit sur sa propre bouche mais lorsque que Nakyum lève sa main pour s’essuyer, Andy intercepte son poignet en plein vol. Le premier surpris par sa propre audace, il reste un moment immobile, le souffle court et les yeux grands ouverts. Il s’humecte inconsciemment les lèvres, soudain obnubilé par une envie. — Laisse-moi faire… Le regard assombri, il se penche en avant, osant brièvement croiser son regard comme pour s'assurer de son accord avant de se rapprocher un peu plus, ses doigts maintenant toujours fermement le poignet. Il peut sentir le sachet lui brûler les cuisses mais ce n’est rien comparé au feu qui ronge ses entrailles depuis tout à l’heure. Il sent la tension de son partenaire, son souffle aussi court que le sien, reflétant son état. Enhardi par ses réactions, il entrouvre ses lèvres, réduisant courageusement la distance. Lentement, sa langue vient laper avidement le sucre étalé, récupérant jusqu’au dernier grain cristallisé. Il savoure le sucre fondant sur sa langue, le goût de sa peau en bouche.  — Voilà, tout propre… qu’il souffle avant de reprendre naturellement sa place, comme s’il ne venait pas de briser les convenances en léchant le visage de l'asiatique, comme s’il n'était pas excité et déjà désireux de recommencer. Il croise finalement son regard, et d’un petit sourire insolent passe un coup de langue sur son croustillon négligé jusqu’ici. — C’est plutôt bon, non ? qu’il taquine avant de croquer à son tour dedans, très satisfait de lui.
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à contacter : peu importe.
triggers : harcèlement.
warnings : adoption de son petit frère, infertilité de sa belle-mère, tabagisme, sexualité.
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âge : (trente cinq ans) d'une vie loin d'être passionnante, mais la crise de la quarantaine viendra bientôt frapper à sa porte. (11/11)
occupation : travaille au sein de la police depuis presque douze ans maintenant. a gravi les échelons un à un, de district en disctrict, changeant de ville et même d'état. a élu domicile depuis cinq ans à l'oceanside p.d. en tant que (lieutenant - inspecteur en chef), bras droit du capitaine, sans pour autant tout accepter de sa part (lui prendrait volontiers sa place d'ailleurs).
statut civil : ras le bol émotionnel, la dernière fois qu'il a donné son cœur, on lui a rendu piétiné, depuis il se soigne, pas désespéré d'être (célibataire) depuis trois ans.
orientation : (pansexuel), rien à battre du genre de son partenaire, tant qu'il ou elle reste fidèle, c'est quand même pas compliqué, si ??
habitation : (#79 peacock) avec son petit frère, seojun, depuis fin décembre 2023.
pronom ig : il/lui - he/him
disponibilités : dispo baby.
- (ft. andy #3)
- (ft. minjae)
- (ft. joshy)
- (ft. jaewon)

infos rp : (écris en tu) ; (accepte les dialogues en eng mais préférence pour le fr) ; (environ 1rp/sem) ; (longueur en fonction de l'inspiration)
en vrac : parle couramment américain, coréen et français ;; son prénom américain est alex, sur son insigne de police y figure pourtant les deux prénoms : lieutenant alexander nakyum choi ;; n'a pas de souvenir de sa mère biologique, à part quelques photos, son père s'est remarié avec une française deux ans après son décès, nakyum la considère comme sa mère ;; écrit de la main gauche ;; jouais beaucoup aux jeux vidéos dans sa jeunesse, est désormais considéré comme un boomer ;; a besoin de lunette pour lire, sans il voit mais flou, surtout quand il est fatigué ;; amateur de lecture en tout genre, des bandes dessinées aux romans de plus de mille pages ;; n'a jamais voyagé ailleurs qu'en corée du sud ou en france, rentre parfois dans sa ville natale, la nouvelle orléans. ;; supporte les piments les plus fort mais n'arrive pas à boire une boisson trop chaude ;; tient bien l'alcool mais une fois enivré deviens désagréable ;; adore son petit frère, lui a souvent fait la blague que leurs parents l'avait trouvé dans la poubelle d'un fastfood (sauf que son petit frère est réellement adopté du coup c'est encore plus drôle) ;; sa mère possède (associée avec son père) un restaurant gastronomique français en centre ville de la nouvelle-orléans ;; croit en la puissance du vaudou et de la sorcellerie et déconseille à tout le monde de s'en approcher ;; derrière ses airs austère, il se déguise tous les ans pour mardi gras et le carnaval ;; adore danser sur les airs entrainants du jazz ;; sa dernière relation a durée sept ans, c'est lui qui a rompu après s'être fait tromper plusieurs fois et avoir pardonné à chaque fois, il l'a quitté alors qu'il l'aimait encore énormément et il a toujours une vieille photo de son ex et lui dans son porte feuille ;; a commencé à fumer depuis quelques semaines ;; possède le permis voiture, a le mal des transports s'il ne conduit pas ;; s'est fait mordre par un berger allemand lorsqu'il était enfant (a encore quelques traces de morsures sur la main et le poignet droit), depuis il a peur des chiens ;; va régulièrement a la salle de sport et suit les entrainements de la police ;; mesure un mètre quatre vingt quatre, les muscles saillants mais c'est surtout parce qu'il est maigrichon, il a un appétit d'oiseau. ;;
   
 
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tw: séduction, pensées sexuelles

L’idée t’étais venue un peu par hasard, tu n'y aurais jamais pensé tout seul. T’avais entendu les gars en discuter autour d’un café et dans l’espoir que ça puisse lui plaire, tu lui avais proposé. Pas vraiment amateur de ce genre d’endroit habituellement, ni de sensations fortes, tu feras un effort pour ton rendez-vous du jour. De plus, voir les yeux du jeune homme brillés avec les lumières clignotantes des manèges alentours te rendait particulièrement heureux. Si tu ne savais pas vraiment quoi faire ici, tu étais bien décidé à te laisser porter par Andy – Ce dernier comprenait ton irrésistible envie de sucrerie et n’avait pas hésité une seconde à t’offrir le plus gros paquet de croustillons, tout chaud. Faut croire que t’es encore bon en séduction, malgré ce que laisse paraître ton visage, tu es loin d’avoir confiance en toi ; mais réussir à le séduire flatte ton égo… C’était en tout cas ce que tu pensais jusqu’à ce qu’il refuse tes sous-entendus, aurait-il décelé les véritables intentions cachées derrière quelques mots doux dans l’espoir de pouvoir le conduire jusqu’à tes appartements ?
Merci Andy… Pour l’invitation. Je t’en dois une.” Déterminé à ne pas en rester là, bien que conscient que ce date ne finirait pas en corps à corps, tu avais bien l’intention de continuer à le séduire, voir où ça pourrait te conduire avec lui, gardant à l’esprit que ce n’est qu’un jeu de plus - le jeune homme étant lui même gamer, il devait avoir l’habitude - sans attaches, ne surtout pas s’attacher, la phrase qui t'accompagne au quotidien ; rester loin de l’amour problème.
Je pensais pas que tu ferais attention à ce genre de détails… Ma famille m’appelle Nakyum. Pour être mieux intégré, mes parents m'ont aussi donné un prénom américain et –” Qu’est-ce que tu fabriques, au juste ? Pourquoi est-ce que tu t’ouvre si facilement avec lui ? Généralement tu ne parles pas, tu fonces – tu ne racontes pas ta vie, tu restes silencieux. Le regard parle pour toi, et si Andy te regardait il pourrait sans doute remarquer ce visage confus et peut-être un brin anxieux que tu affiches pendant quelques longues secondes. Tu allais reprendre, mais stoppé net dans cet élan de bavardages par la vendeuse, tu es encore plus intimidé. “Appelle-moi quand– euh non comme, comme tu veux.
Ça en devenait presque puéril et tu te sentais grotesque de bégayer de la sorte devant l’asiatique bien plus jeune que toi. Un soupir, tu te racles la gorge et essaie d’empêcher tes joues de rougir, tout en regardant furtivement Andy, désormais assis à tes côtés, sur un banc un peu en retrait de la foule. Tu regardes tout autour de toi, avant de reporter ton attention sur lui, tu comprenais bien qu’il te fixait à sa façon de détourner la tête. N’écoute pas les conseils et tu te brûles un peu la langue en croquant avec délice dans l’une des pâtisseries. Tu ne peux empêcher une plainte de sortir du fond de ta gorge, retenant les larmes, les yeux quand même humides, ça fait mal. T’es sensible à la chaleur.
Merde… T’as pris une bouteille d’eau, non ?” Tu bois un peu dedans, essayant de chasser le feu qui s’était installé sur ta langue à l’aide du liquide froid. Andy avait sûrement déjà bu dedans, la bouteille n’était pas pleine, tu ne t’empêcher de fixer le goulot avant de la lui rendre, le remerciant en hochant la tête. Silence gênant, te permettant de manger tranquillement, avant de reprendre, la bouche pas totalement vide ;
Au fait, sur ta fiche au commissariat, dans la case métier il y avait écrit nerd, je sais pas qui a rédigé ça. Tu fais quoi exactement ?” La première rencontre ne t’avait pas mis la puce à l’oreille, tu ne t’étais pas non plus posé davantage de questions quant à son métier, persuadé qu’il est encore étudiant, vu son jeune âge. Enfin, à vingt quatre ans t’étais déjà policier toi, donc tout est possible finalement, tu ne voudrais pas porter de jugement trop hâtif ni imaginer quoi que ce soit à son propos – il pourrait très bien être une star d’internet, t’en saurais rien, t’es un boomer.
Oups. Merci. Je mange n’importe comment quand je me régale.” Ta délicieuse langue passe dans les commissures de ta bouche, en ressentant tout le sucre qu’elle y trouve, tu comprends qu’un simple passage de celle-ci ne suffira pas à te rendre présentable. Tes doigts agiles s’élèvent, bien vite interceptés, tes sourcils se froncent. Qu’est-ce qu’il fait ? Tu tires un peu ton poignet, qu’il te lâche, sans succès. “Attends. Tu –” Le corps crispé, les yeux qui s’écarquillent de plus en plus jusqu’à ce que sa propre langue vienne s’échouer sur ton épiderme. Rate un battement, ton cœur et oublie de respirer pendant tout cet échange, t’étouffe presque, parce que tu t’y attendais absolument pas. Pour qui il se prend pour te mettre dans cet état-là ? Tu le forces à te lâcher et abandonne très vite l’idée de le réprimander, parce que t’avais aimé ça, faudrait que t’arrête de te mentir. Rouge écarlate, mais tu tournes la tête pour qu’il le remarque pas, ça se voyait jusqu’au bout de tes oreilles cependant, difficile de te cacher, Nakyum, too late.
C’est pas comme ça qu’on embrasse, Andy.” Regain de fierté, sourcils froncés, t’allais pas te laisser faire si facilement. Tu humidifie tes lèvres et remets nonchalamment du sucre dessus, s’il aimait ça, il allait être servi. Tu viens poser tes lèvres sur les siennes, rapidement, juste un smooch. Mais avide de cette drôle de sensation, tu recommences, plusieurs fois, un peu partout, sur le tour et dans le creux, peut-être que le bout de ta langue se perdra sur ses lippes mais jamais à l’intérieur. Et puis tu finis par te retirer, essuyant d’un revers de la main le sucre restant sur ton propre visage. Tu ries, gêné.
Viens, on va au stand de tir. J’vais te gagner une peluche.” Tu te lèves d’un seul coup et face à lui, le pointe de la main avec un faux revolver créé de tes doigts, planté sur son front, comme si tu allais le headshot.
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