over on the corner, there's a happy noise (ft Tyler)

tw: mention d'alcoolisme

♫ Il est tellement fier, Jamie. Fier de la voir briller sur la scène, fier d’entendre le public répondre à ses chansons, à sa voix cristalline. Il la voit s’épanouir plus que jamais et ça le rend fier, lui, d’être là pour assister à ça. Il l’observe en coulisse tous les soirs en se rappelant la chance qu’il a de pouvoir l’appeler sa femme, et toutes ces choses qu’ils partagent ensemble. Ce n’est pour autant pas si facile pour lui, replongé dans ce monde où le vice est facile, à portée, tellement à portée qu’on lui a déjà proposé un verre sans savoir. L’avantage, dans tout ça, c’est que ça lui permet aussi de tester sa propre résistance, puisqu’il a été capable de dire non, après une certaine hésitation, yeux azimutés en fixant le liquide, mais sa voix l’a sauvé. Encore une fois. Presque un mois qu’ils sillonnent la Californie dans cette ambiance, entourés de tous ces gens, dans cette atmosphère qui, il s’en rend compte, leur appartient, et ça lui manquait, à lui, de toucher du doigt ce monde-là, de retrouver un peu de lui-même dans cette aventure, qui n’est pas complètement la sienne. Il sait, au fond, qu’il a pris la bonne décision.

La routine s’est progressivement installée, toute particulière, mais si les lieux sont différents, l’emploi du temps reste le même. Pendant que tous les musiciens se préparent au concert du soir-même en effectuant les balances et autres réglages logistiques, lui se fait quelques cours de rattrapage en droit -qui consistent surtout à lire des articles imbuvables de textes de loi, pour l’instant-, tout servant de spectateur-test, accompagné de quelques autres invités, aux musiciens qui s’exercent. Il n’y a pas à dire, il est à l’aise dans ce monde, le contact est facile, et le milieu de la nuit a toujours été plus attirant à ses yeux, surtout lorsqu’il s’agit de musique.

C’est pratiquement la fin de l’après-midi, il a tous ses documents sur les genoux, lunettes sur le nez, assis dans les gradins de la salle de spectacle, lorsqu’il voit du coin de l’oeil une silhouette familière s’approcher de lui. « Ah tiens, te voilà toi ! » fait-il alors qu’un sourire se dessine sur ses lèvres et qu’il se relève, posant ses papiers sur le siège d’à côté pour saluer Tyler, venu surveiller rendre une petite visite à sa fille, et assister à un concert de Louise, une belle occasion de se revoir après quelques semaines. « Ça fait plaisir de te voir ! » Il tend ses bras pour lui offrir une accolade amicale, content de retrouver son ami, son grand frère de substitution lorsque le sien avait bien du mal à le comprendre. « Tu vas bien ? Alors ça y est, tu es là pour voir la superstar en action ? » Ca pourrait être un peu exagéré mais pour lui, c’est vraiment le cas, Louise est sa superstar, sa supernova. « Ne t’en fais pas, on prend bien soin de ta fille, elle ne manque de rien. » Parce qu’après tout, ce n’est peut-être pas si facile de la laisser faire un bout de chemin avec eux.

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Quelques heures de route d'Oceanside, mais toujours en Californie. Autant dire que ce n'est pas l'autre bout du pays mais n'empêche. Il est bien content d'être arrivé à bon port pour plusieurs raisons. Déjà, car il va pouvoir serrer dans ses bras sa princesse, s'assurer qu'elle va bien, qu'elle sourit toujours et que ce n'est pas une façade les échanges qu'ils ont par téléphone. Ensuite, car cet univers le change un peu du sien, et c'est celui dans lequel évolue ses amis. Tout ceci le dépasse un peu, ce qui ne l'empêche pas d'être vraiment heureux pour Louise, qu'elle fasse cette tournée, que Jamie l'accompagne, et qu'ils aient fait cette proposition de boulot à sa petite fille. Cela serait mentir qu'il ne s'inquiète pas de ce qui se passe durant les longues nuits. Les coulisses de concert n'ont pas forcément bonne réputation. Heureusement qu'il fait confiance au couple, sinon il aurait embauché un garde du corps qui aurait collé aux fesses de sa petite fille. Et tant pis, si elle avait hurlé. Elle est ce qu'il a de plus précieux au monde, et jamais ceci ne pourra changer. Arrivé devant le bâtiment, il doit donner son nom, espérant qu'ils n'ont pas oublié de dire qu'il arrivait. Petit contrôle de formalité sur son identité avant qu'on le laisse entrer, lui indiquant une direction à prendre pour rejoindre la salle de spectacle. Il ne lui faut guère de temps pour y parvenir, et apercevoir une silhouette familière dans les gradins. Il bifurque aussitôt pour le rejoindre. - Tu fais le studieux en attendant la folie du soir ? réplique-t-il, sourire aux lèvres. Il couvre la distance les séparant, prenant celui qu'il considère comme un petit frère dans ses bras. Ils en ont traversé des choses ensemble depuis l'enfance, même si les bêtises d'enfant sont loin derrière et que les épreuves à présent sont bien moins insouciantes. Cela ne les empêche pas de rester proche, et ce petit temps de cohabitation qu'ils ont eu chez lui, n'a fait que renforcer cette amitié déjà à toute épreuve. - Il n'y a qu'un mari très amoureux pour déjà la nommer super star. Pour ma part, je me contente de la nommer future star. Je songe à ses chevilles, contrairement à toi. Il est amusé par cet amour qui relie ces deux êtres. Très loin d'en être jaloux, il est juste heureux de voir que des couples, comme celui de ses parents, ou celui de Jamie et Louise, fonctionnent sur une vraie base qu'est l'amour. - Sinon ça va, et direct grillé, même pas le temps de poser une question sur ma princesse. Vu les cris au téléphone et l'enthousiasme dans ses messages, elle semble vraiment être sur un nuage. Il pose son derrière sur un siège jouxtant celui sur lequel son ami était installé. - Je vais être sage et ne pas réclamer de la voir de suite. Comment ça va toi ? Tu tiens le rythme ? Autant entrer dans le vif du sujet, justement car les coulisses des concerts ont mauvaise réputation et qu'il s'inquiète pour Jamie. Certes pas autant que pour Hestia, mais il se préoccupe de lui, et ne veut pas qu'il chute de nouveau avec le rythme imposé, une ville différente quasi chaque soir, des heures de route. Non vraiment, il est heureux pour eux mais préfère sa petite maison et son métier qui lui procure son shoot d'adrénaline. Chacun ses besoins dira-t-on.

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♫ Presque un mois déjà qu’ils sillonnent les villes de Californie dans leur bus tout aménagé, où l’intimité est quasi-inexistante à moins des quelques rares nuits à l’hôtel qu’ils se permettent pour souffler. C’est un autre rythme, une autre vie, quelque chose qu’ils n’avaient encore jamais connu et qui a un peu le goût de ce rêve fou qu’elle touche du doigt. Le quotidien est aussi difficile que terriblement excitant. Évidemment, qu’il s’inquiète, quand bien même Louise lui répète que tout va bien, il ne peut pas s’en empêcher, la surveille du coin de l'œil, bien loin de la fliquer, mais à l’affût du moindre signal d’alerte. Une chose est certaine, il est bien soulagé d’être venu avec elle pour toute cette tournée. C’est surtout pour ça qu’il a décidé, avec son accord, de devenir son agent, s'assurant qu’elle n’aurait plus jamais affaire avec le même genre de sournois qu’elle a déjà rencontré. Il y met du cœur, s’instruisant autant que possible en reprenant ses vieux cours, tout en se faisant sa propre formation, le temps d’engranger un maximum d’informations avant de se former plus sérieusement.

Il entend rapidement les pas de Tyler s’approcher, et ne tarde pas à se lever pour aller le saluer, bien content de retrouver son ami, son allié, ce grand frère à qui il a toujours été plus simple de parler, étrangement. Ils en ont vécu des choses, depuis tout ce temps, alors qu’il était haut comme trois pommes et courait dans son jardin. « Il faut bien ! J’aurais jamais pensé me remettre à bûcher comme ça ! » plaisante-t-il en arrivant près de lui pour lui faire une accolade, tout sourire. Il faut dire que la scolarité n’a jamais été spécialement son truc, pas mauvais élève, mais pas spécialement intéressé par les cours théoriques. Pourtant, aujourd’hui, il s’y remet sans broncher. Sa remarque lui arrache un rire franc alors qu’il ne ressent aucune honte à l’idée d’exprimer à quel point il croit en le talent de sa femme. « T’en fais pas, on a du temps avant que ses chevilles ne se mettent à enfler un peu trop ! » Une petite tape derrière l’épaule et il finit par lui demander comment il va, après avoir fait tout ce chemin jusqu’ici, certes pas si loin que ça d’Oceanside, mais suffisamment pour créer cette inquiétude envers sa fille, il s’en doute. Alors que le blond lui répond, il débarrasse tout son bazar de papiers tout en l’écoutant, avant de se rasseoir, bientôt suivi par Tyler. « Qu’est-ce que tu crois, je me doute que tu ne viens pas que pour nos beaux yeux ! Écoute, je ne vais pas parler à sa place, mais elle a l’air tout aussi enthousiaste lorsqu’elle est là, en tout cas ! Et puis, elle aide beaucoup Louise, ça l’aide à se sentir bien. Ca lui rajoute une petite expérience en plus. On est bien contents de l’avoir ici ! » Il est reconnaissant, réellement, qu’Hestia fasse également partie de l’aventure, de ce travail qu’elle fournit, douée de ce bon sens esthétique, en plus de sa personnalité rayonnante.

« Hm, bien, très sage, monsieur papa poule ! » Il éclate de rire, le taquinant gentiment alors qu’il le sait, pourtant, qu’il sera exactement du même acabit que lui, peut-être même pire. A sa question, il croise ses mains devant lui, triturant ses doigts avec un peu d’appréhension, toujours assez réservé sur ses quelques problèmes. Une envie de garder ça pour lui pour ne pas embêter les autres, et puis, à quoi bon alourdir l’atmosphère ? « Hm, ça va. Je suis content d’être là, content de la voir s’épanouir, et pouvoir profiter de cette grossesse… C’est pas toujours facile.. c’est sûr. Mais, c’est un peu la maison, finalement, tu vois ? » Un peu paradoxal, quand on sait qu’ils passent leur temps sur les routes, une maison mobile sans aucune intimité, mais il a ce sentiment d’être revenu chez lui, dans son univers, et il s’est toujours accroché, tatouage sur la poitrine comme témoin, que sa maison se trouvait auprès de son coeur, et c’est bel et bien le cas.

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Le voici projeté dans les coulisses dans un monde qui n’est pas le sien et qui ne l’attire pas contrairement à certaines personnes qui feraient tout pour ne serait-ce qu’apercevoir leur idole. S’il comprend l’attrait pour ce genre de choses, qu’il respecte cet univers, contrairement aux fans inconditionnels qui collectionnent tout, il voit la musique comme un moyen de s’évader occasionnellement et non comme une vie par procuration. Et ce, sans poser de pain sur son balcon. Cela lui fait cependant plaisir de rentrer dans l’envers du décor, d’en apprendre un peu plus sur la vie que ses amis ont choisi, ce petit monde dans lequel vit sa fille depuis quelques jours. Certes, pas pour les mêmes raisons, mais il n’en demeure pas moins qu’elle est en plein dedans et qu’il y accorde un minimum d’attention. De toute manière, il est trop heureux de revoir l’un de ses plus vieux amis et ce, même s’ils se taquinent à peine qu’ils se retrouvent. - Je prépare quand même l’aiguille pour les chevilles même si tu ne me laisseras pas l’approcher pour les dégonfler rétorque-t-il en plaisantant. Jamie est super protecteur quand il s’agit de sa femme. Il n’imagine pas ce que ce sera à l’avenir avec leur famille. Il sera un papa poule pire que lui, à n’en pas douter. Même s’il se retient de courir à la recherche de sa fille, il est content d’avoir de ses nouvelles, de savoir que l’enthousiasme n’est pas feint et qu’elle est vraiment heureuse d’être avec eux, et de travailler. - Tu m’étonnes qu’elle aide Louise, ce n’est pas nous avec nos goûts vestimentaires qui allons la faire briller sur scène. Heureusement que la princesse est là pour la sauver. Il n’est pas objectif en évoquant ainsi sa fille, mais qu’importe. Ce n’est pas Jamie qui va le juger n’est-ce pas ? Les réjouissances des retrouvailles passées. Les quelques plaisanteries formulées. Voilà que le pompier change de sujet pour s’intéresser à l’état de son ami. Non par pure formalité mais car il se préoccupe vraiment de son état. Il aurait aimé parfois faire davantage pour lui, être plus présent, même s’il comprend la volonté du brun de rester dans un cercle familial quant à ses problèmes, et de ne pas avoir voulu les crier sur tous les toits. Certaines épreuves ne sont pas évidentes à traverser, d’autres plus difficiles que d’autres. Il attend de savoir s’il va lui répondre ou juste contourner le sujet. Jamie se déclare content et épanoui. Voici une chose qui fait plaisir à entendre. Il hoche la tête doucement à l’explication qu’il fournit. - Je comprends oui. La maison, ce n’est pas forcément quatre murs, mais juste les personnes avec qui on se trouve. Pas besoin d’un toit, d’un lieu luxueux ou banal pour se sentir chez soi. Tant qu’on y est avec une personne que l’on aime. - J’espère que tu sais que tu peux m’appeler quand tu veux, si tu sens que c’est plus dur. Surtout si Louise est sur scène. Même si elle ne serait pas contre interrompre un concert pour être à tes côtés, ça on le sait. Autant l’éviter, et on sait que j’ai une voix sexy au téléphone finit-il sur une pointe de plaisanterie. Il ne souhaite pas alourdir l’atmosphère à peine arrivé, juste faire comprendre à son ami qu’il ne le dérangera jamais en cas de besoin. Car il est ainsi le blond avec ses proches, il répond toujours présent, quoiqu’il arrive et peu importe le moment. D’un signe de tête, il désigne les papiers que Jamie a écartés. - Tu bosses sur une chanson ? demande-t-il, un peu curieux.  

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♫ Cela fait du bien de retrouver la tête familière de Tyler et ses petites taquineries. Toutes ces semaines sur la route concrétisent un rêve de longue date pour Louise, mais aussi pour lui, un peu par procuration. Il n’en reste pas moins, pourtant, que leurs amis et leur famille leur manquent. C’est en tout cas très vrai pour lui, qui n’est que très peu habitué à s’éloigner de sa ville d’adoption, et de son entourage. A la réplique de Tyler, il grimace, lançant un petit « grrr ! » feint avant de rire légèrement à l’intention de son ami. « Attention, j’suis encore prêt à mordre, ça n’a pas changé ! » plaisante-t-il, petite référence plus ou moins subtile à leur enfance, et les frasques des jumeaux face aux autres. Si l’un était embêté, l’autre mordait, accord tacite entre les deux fauteurs de trouble. Il garde son sourire, lui tapant gentiment l’épaule alors qu’ils abordent le plaisir d’avoir vu Hestia rejoindre cette tournée. « Parle pour toi ! » Il continue de rire, mais il a totalement raison, Tyler. Sans Hestia, ce serait bien différent, et un stress en plus pour Louise dont elle n’a pas besoin. « En tout cas, c’est un plaisir de l’avoir avec nous, Titi. » C’est qu’il l’aime, cette petite, plus si petite que ça, mais que tout le monde a bien du mal à voir grandir. Un petit bout de soleil qu’il connaît pratiquement depuis sa naissance, et qu’il a toujours adoré, complice de bêtises lorsque lui a probablement bien passé l’âge, mais qu’importe.

Ils s’installent sur les sièges, après que Jamie ait quelque peu débarrassé ses affaires, puis le blond vient lui demander s’il va bien. Il s’en rend compte, il a encore bien du mal à répondre à ce genre de questions, d’autant plus lorsque la personne en face est au courant de tout. Il va bien, il est épanoui, se réjouit d’être ici, mais il y aura toujours un petit mais, un petit coin de sa tête préoccupé qu’il n’arrivera jamais à calmer, il le sait. Pour l’heure, il élude cette partie, se concentrant sur les bons côtés plutôt que ce qui peut le préoccuper. « Exactement. » Il n’y a pas besoin de plus de mot, Tyler comprend très bien ce qu’il veut dire. Sa maison, ce sera toujours Louise, sa famille, ses amis. Rien de plus, et il s’estime bien chanceux. Il rit du nez aux mots de son ami, touché, baissant la tête pour regarder ses doigts un instant avant de la redresser pour regarder le blond. « Merci, Ty’. Je sais bien qu’elle serait la première à tout stopper… mais c’est hors de question. Et ça va. J’ai trop rien dit aux autres, pour tout ça, et ne dis rien à Louise, mais y a bien un soir ou deux où j’ai cru que j’allais… craquer… Mais ça va. » Il l’admet, se retrouver au coeur de toutes ces tentations n’a rien d’évident, il s’est plusieurs fois fait peur, mais il réussit à garder le cap, une vision de l’avenir assez claire pour s’interdire de tout foirer. « Mais ça m’empêchera pas de profiter de ta voix sexy au téléphone ! » Il rigole, haussant un sourcil en sa direction pour s’amuser avant de reprendre un peu de son sérieux. Encore une fois, il a de la chance de l’avoir, Tyler, à l’écoute et présent pour lui lorsqu’il a bien du mal à parler de lui-même, l’accompagnant à certaines réunions lorsqu’il ne se sent pas d’y aller seul.

La discussion dérive sur la petite liasse de papiers que Jamie avait en main lorsqu’il est arrivé et il sourit, l’attrapant au passage pour la montrer à Tyler. « Oh, non, j’aimerais bien ! » Commence-t-il, feuilletant les longs textes barbants qu’il essaie de décortiquer et d’apprendre, prenant des notes à côté, en bon élève studieux qu’il n’a jamais été. « Je suis en train d’essayer d’apprendre à être un bon agent artistique ! » Il rigole, mais c’est réellement ce qu’il est en train de faire. « C’est un peu de l’auto-formation, mais je vais voir pour continuer un peu plus sérieusement, après tout ça, chercher une réelle formation pour ne pas faire de bêtise. » Si on lui avait dit qu’il se remettrait à bûcher comme un étudiant, il n’y aurait jamais cru, mais le voilà, plus intéressé qu’il ne l’aurait imaginé par tout ça. « Alors, tu restes un peu avec nous pour la soirée, qu’on profite un peu de toi ? Tu repars demain ? Tu vas voir, ils sont vraiment top ! Et ça va faire aussi plaisir à Louise de te voir. »