corrosion des rages › collision des astres (ELIO)

Lun 22 Mai - 18:06

elio de luca
ft. giuseppe maggio - moon

trigger warnings // deuil · décès d'un enfant + être aimé · abandon/rejet familiale · vie dans la rue · drogues + consommation · trafics illégaux · débauche · infidélité

âge, naissance Gosse de la rue, vagabond surnommé et malmené au destin qui s'éveille devant le papier froissé d'une mort certaine prêt à l'emporter à l'agonie devant une naissance chaotique, les étoiles loin d'être alignée face à cette femme qui se désignerait à être sa mère, le rire écumé du sarcasme devant la définition qu'elle n'a jamais été, mutisme de dégoût devant cette silhouette trop abimé au point que la nausée le prend aux tripes, l'alcool qui lui pend au nez détruit par le goût de la drogue taillé dans ses veines hurlant à l'agonie d'avoir donner naissance à l'enfant Lucifer damné devant l'âme déchu d'une femme trop déchirée et abimée pour se rendre compte de ce qu'elle portait en elle. Drogue taillé dans ses veines où le gosse arrivé dans ce monde pour lui offrir l'existence de son sauveur devant les billets obtenu lui arrachant les quelques doses de l'extase d'une existence éphémère. Gamin pas haut que trois pommes qui a vu les hommes bien souvent se glisser dans cet appartement miteux à la recherche de ce désir qu'elle leur offrait contre une liasse de billets, sourire aux lèvres, grande classe pour elle et pour que lui comprenne la réalité de la vie bien trop pourrie et avoir la conviction que pour réussir écho comme refrain qui se répète : soit on s'bat pour survivre soit on crève dans la misère jusqu'à ce que le souvenir de notre identité disparait et n'être personne, car rien ne viendra vous sauver si ce n'est vous-même. Gamin des rues, qui s'est façonné à survivre devant la trentaine atteinte, jeunesse volée depuis l'instant où ses yeux se sont ouvert sur le monde, une monde prêt à lui ouvrir les bras et pourtant déjà brisé par les cicatrices prêt à le faire sombrer devant sa déchéance devant son seul salut où la faucheuse lui refuserait même de lui extirper son dernier salut salvateur pour le laisser s'étouffer dans l'agonie d'une souffrance prêt l'emporter devant la rage qui le transperce sans que l'échappatoire lui soit possible et même si l'espoir à demeuré devant la main tendu, l'vent qui tourne pour lui donner l'espoir d'une vie meilleure, il a appris rapidement que dans la vie rien n'est gratuit et que celle-ci un jour fini par venir en demander les dettes, une dette qui l'a emporté à s'y perdre devant la raison qui a pris par la folie qui demeure en lui. Trente années égarés et pourtant, une vie bien trop achevée devant l'goût de la rage qui trépasse, une vie qui demeure à se demander si l'identité offerte est encore la sienne. Les réponses moins certaines de vouloir le savoir au risque de se perdre dans les méandres des démons qui dansent autour de lui, incapable de le libérer de ses chaînes.

origines, nationalité Résonance de l'accent qui se perdure entre ses lèvres symphonie des mots qui s'entremêlent dans l'Italie qui demeure à se planter dans ses iris. La voix suspendu dans le silences avant que les mots forment des phrases et scande dans un chant la raisonnante d'un anglais qui se demeure à lui rappeler cette partie ancrée de lui qu'il a refusé de laisser échapper. La vie ne lui a pas faites de cadeaux dans cette ville où il a aboyé au rappel de ce jour où il a frôlé ce monde complètement à l'envers. L'italie coulera toujours dans ses veines où dans l'accent qui se perpétue à toujours posséder et cela même si le paternel qui a fait de lui à lui ressembler à tenter d'effacer ce qu'il a longtemps été, le gamin des rues, le gamin qui a survécu par la force de ses propres capacités et surtout cette vie passé bien loin d'être effacé et qui lui rappel au son des cloches qu'on peut changer de vie, tenter à devenir quelqu'un d'autre. Le passé reste toujours présent prêt à vous claquer dans les mains à moins d'accepter la personne qu'on est. Haine dans ses yeux devant cette femme qui lui a offert la vie, elle est aussi celle qui finalement lui a donné la force de jamais lâcher prise et d'être ce qui a toujours été. Italien fierté d'un pays dans lequel il se refuse d'effacer, une Italie qui restera ancré en lui autant que ce pays d'adoption. Americain identité qu'il possède pour y vivre depuis des millénaires et pourtant, malgré qu'elle lui a offert cette nouvelle chanson d'une vie meilleure, il a parfois l'impression d'être un étranger incapable d'effacer l'accent qui lui rappelle toujours que le passé derrière lui sera toujours plus présent que jamais.

genre Cisgenre la question qu'il ne s'est jamais posé bien dans son corps et dans sa tête, il n'a jamais eu le doute sur son identité présente peut-être la seule chose qu'il soit encore certain dans ce monde où il se perd jusqu'à s'y noyer.

occupation Il était qu'un gosse quand dans les rues de l'Italie, il faisait parfois les poches des quelques touristes pour tenter de leur faucher quelques pièces devant la faim bien trop intense pour songer à la culpabilité naissante. Le vagabond des ruelles expert de la misère assez pour se laisser entraîner dans les petites arnaques sans conséquences qu'il ne cessait de dire. Ceux qui lui ont permis de ne pas de crever de faim devant une femme songeant davantage à s'prendre la plus belle des cuites pour se laisser emporter dans les précipices de la poudre blanche renifler à trop conséquent jusqu'à la conscience qui s'évade. Les quelques billets portaient entre ses doigts qu'elle laissée glisser davantage à sa petite dose jusqu'à laisser son corps aux hommes pour leur offrir cette dope à laquelle il a hérité des années après. Le gosse des rues, celui dont le nom en était inconnu qui pourtant s'est élevé vers les cieux, l'adolescent perdu pour devenir l'homme sur de lui, l'homme aux multiples visages à qui ont appris comment se salit les mains devant les affaires florissantes poudre blanches, illégalité qui font le malheur des innocent et le bonheur offert les billets verts à ne plus en finir pour la sentir l'odeur du fric, la richesse à laquelle qu'il a longtemps rêvé pour se rendre compte de l'idée reçu longtemps désapprouvé tandis qu'aujourd'hui devant l'âme nécrosée il le sait que l'argent ne fait pas le bonheur, il y contribue avant de vous le faire payer et vous laisser comme un rat crevé. Le paternel celui qui l'a façonné à prendre la tête de l'organisation, de ce monde où être un enfant de cœur s'estimerait à provoquer votre perte, il l'a vu et compris dans sa manipulation à vouloir le rendre comme lui pour finalement la vengeance sonnée et de choisir de tout lâcher devant l'âme dévorée quand celle qui se portait à faire battre son palpitant s'est effacé dans la nuit pour laisser en lui le fantôme près à crever. Il a tout quitter refusant de suivre cet homme qui l'avait sauvé pour finalement le détruire. Retour sur les terres de celle que l'on appelle le rêve américain, illusion qui ne manquerait pas à lui arracher un rire plein d'ironie devant l'hypocrisie qu'il hurlerait à plein poumons et cela même si elle lui a offert la richesse d'une vie bien meilleure autant pour offrir la pire des souffrance et pourtant, c'est ici qu'il a choisi de revenir, les années qui se sont faufilée pour laisser en lui les traces d'un homme en perdition. Il parait que les apparences sont trompeuses, Elio en était la preuve devant l'assurance qui s'en dégagé, le veuf effacé pour reprendre place à cette liberté, l'assurance qui planait comme pour s'assurer de la supercherie pour effacé la pitié sur ses visages prêt à lui filer la nausée. Les rires qui éclatent, la douce mélodie du bonheur qui s'évadent dans le coeur trépignant devant la créature qui l'accompagne face à son retour. Le bonheur qui respire peut-être trop l'illusion parfaite sans pour autant accepter de reprendre sa place dans ses affaires quand le gérant devient le client le plus fidèle de la poudre blanche qui sniffe, s'incruste en lui pour lui assurer l'euphorie qui se plante dans ses yeux. Il vacille devant les âmes perdus qui l'entoure, le mensonge qui s'enfonce face à ce club, le sien, Propriétaire du club l'Euphoria devenu en quelques temps prisé, club terrestre où tous les vices y sont permis, le nom qui loin d'être pris au hasard comme devant l'appel de sa nouvelle vie, une vie de débauche dans la nuit pour effacer le myocarde calciné bien loin d'être suturé sans qu'on remarque dans ses prunelles l'appel à l'aide d'un homme en détresse prêt à se pervertir dans la débauche quand tout ce qui lui reste ce sont les fantômes du pass. Jouissance d'une vie devant l'aube qui s'efface, nuit de l'interdit devant les lumières étincelant. Nouvel vie, nouveau boulot, nouvelle apparences devant les anges qui s'efface face aux démons qui l'ensorcellent.

situation financière $$$$$, il en a rêvé le gamin vivant dans la rue à crever bien trop souvent la dalle de s'imaginer l'argent qui coule à flots sans que cela ne puisse s'arrêter. L'argent facile qui l'a rendu faible devant le fantasme d'une vie à l'opposé du pré-pubère qu'il était à songer à ce destin qui lui tendait la main pour lui offrir mondes et merveilles avant de comprendre que rien n'est gratuit dans la vie. On ne vous offre pas une nouvelle vie pleine de promesses sans rien attendre de vous en échange. L'écho d'un ado trop naïf soif d'une vie différente jusqu'à l'âme vendue devant cet homme, ce paternel qu'il a longtemps surnommé papa. Celui qui lui a offert un nom quand il n'était qu'un inconnu, une richesse qu'il a frôlé au point de croire au rêve américain qu'on lui a vendu promesse tenue devant la misère effacé, offrande des rêves d'une grandeurs sans limite avant que la réalité le surpasse et le ramène à la gueule la réalité jamais effacé.

statut civil L'amour ça vous brise, ça vous fracasse jusqu'aux entrailles pourtant d'une drogue si douce, elle vous possède jusqu'à effacer la douleur provoquer. Les yeux dans sa direction devant celle qu'il a toujours connu, le regard perçant qui s'est posé sur elle pour l'achever à chaque seconde devant le silence qui se désigne face à l'interdit qu'elle a longtemps été devant le rappel qui résonne dans son esprit bien trop brisé. D'être pas assez bien pour elle, muse de ses rêves qui s'acheminent à lui offrir ces merveilles dans le silence qui se désigne sans affronter le fantasme qu'elle a longtemps représenté. L'interdiction devant l'homme qu'il était devenu, un homme qui finirait avec le temps comme le reste par crever trop jeunes les mains plongé dans les magouilles jusqu'à ce que le sang finissent par un jour couler. Il l'a regardé au loin la laissé être un doux rêve interdit avant de se plonger dans nuit funeste à ressentir ce baiser contre ses lèvres et de la posséder comme la plus belle merveille du monde. Étoile du matin pour en devenir la constellation d'une nuit qui résonne encore, l'amour interdit celui que vous savez finira tragiquement avec l'envie de songer que tout sera différent pour ces personnes naïves devant la croyance répété : l'amour est fort plus que tout. Illusion devant la culpabilité naissante et qu'il ne reste de lui que l'épave d'une âme en peine. Callie, prénom tombé dans les limbes, prénom qui le brûle jusqu'à l'âme qui le dévore, le hurlement d'une douleur sans égale, celle qui est devenue sienne devant l'alliance effacée et pourtant qu'il se refuse à dissipé. Elle était l'amour de sa vie, celle qui le maintenant à flot pour aujourd'hui ne laissait de lui que les cendres d'une histoire qui n'aurait jamais dû s'effacer. Veuf qu'il se refuse à faire écho devant la douleur prête le broyer hurlant à l'agonie, une agonie qui perdure sans être capable de pouvoir s'attacher à nouveau et ça même si les années suivants, il l'a vu elle, cette fille le suivre, lui offrir le désir de vouloir enflammer le coeur meurtrie incapable de pouvoir à nouveau battre. Ni en couple ni célibataire, pas de statut, juste une ombre qui se glisse dans les draps des sirènes qui lui permette le temps des quelques nuits sombres de lui offrir le désir de la chair pour tenter de ne pas s'oublier et ne pas l'oublier.

orientation sexuelle Homme à femmes, elle se sont toujours imprégné en lui incapable de songer de porter son regard ailleurs que devant ses gazelles. Elles lorgnent autour de lui, le chant des sirènes dont il est incapable de résister surtout depuis qu'il se refuse à nouveau à goûter à ce sentiment si enivrant mais bien trop destructeur pour laisser de lui les écumes d'une vie qui ne tient qu'à un fil. Il n'est qu'une ombre qui se glisse le temps de quelques nuits dans les draps de ces inconnues, muse devant le chant qu'elle chantonne et dont il se refuse à exister. Pas d'émotions, pas de sentiments juste le temps de laisser deux corps planer devant l'ivresse d'un désir et surtout d'un besoin d'assouvir et cela même s'il a souvent l'impression de davantage ressentir le vide qui l'entoure tant la sensation d'être vivant même auprès d'elles, ces inconnues qui éveille en lui ces instincts primaire lui semble vide de sens.

situation familialetw : langage vulgaire/cru/sexuel ⦙ Bianchi le nom de famille qu'il s'est refusé à porter parce qu'il le sait. Il n'aurait jamais dû venir au monde, il n'aurait jamais dû exister, le fils de satant que sa mère lui a gueulé bien trop souvent et qu'elle a pourtant engendré devant les cuisses bien trop écartée pour se laisser bien souvent baiser jusqu'à se retrouver neuf mois plus tard avec un gosse sous les bras. Giulia comme il l'a souvent appelé, "mère", qu'elle n'a jamais été laissant la drogue couleur dans ses veines le rendant déjà accroc à sa naissance pour s'retrouver avec le bambin sous les bras, fric en sa possession, le seul avantage à se désigner mère avant que celui-ci ne lui rapporte rien de plus et le laisse à la rue devant la continuité d'être ce qu'elle a toujours été. Prostituée prête à vendre son corps pour des liasses de billets pour la dose retrouvé et l'alcool qui lui pue à la gueule. Le désir qui l'anime quand finalement elle n'est qu'un vaste déchet qui s'refuse à changer de vie, les hommes qui défilent et qui au fond elle aime leur faire tourner la tête devant le désir incontrôlable d'être au final posséder face à cette vie de débauche qu'il a craché bien souvent pointant à un jour ne jamais lui ressembler et pourtant l'idée qu'il a entendu à lui filer la gerbe fini par s'octroyer à se planter dans son esprit devant la raison qui l'achèverait devant l'idée d'être malgré lui le fils de sa mère devant la débauche qui s'imprègne en lui addiction incapable de le quitter pour devant le reflet qui se pointe contre le miroir l'horreur de savoir qu'il est finalement comme elle, celle qui se plante toujours à s'enfoncer dans ses cauchemars, celle dont la haine lui est viscérale. Álvaro De luca le nom qui à éclaté en lui comme le sauveur d'une vie prêt à s'enfouir dans la plus grande des agonies, il l'a vu lui tendre la main, lui gosse des rues, lui qui n'était personne pour lui offrir une nouvelle vie, identité reçu devant le père qu'il a longtemps cru. Aimé, chéri, il a vu cette vie lui offrir le monde à ses pieds, la richesse comme jamais il n'en avait vu de sa vie. Une vie presque parfaite jusqu'à se laisser embobiné à le suivre dans cette aventure, le pointé à devenir son nouveau sbire quand il a été façonné à reprendre un jour ses affaires; loin des choses légales parce que Elio avait déjà les mains dans le cambouis, parce que c'était au fond la parfaite marionnette pour qu'un jour il finisse par l'enfer qui l'attend quand le piège se refermerait et qu'il prenne sa place dans la cage dorée avant qu'Elio apprenne la vérité pour inverser la tendance le laissant à son propre destin. Le karma parait se charge toujours de vous, les ennemis devenu les alliés de Elio qui l'a laissé s'e prendre à lui vengeance assuré devant un homme qui a cru bon songer qu'il n'était rien pour le faire devenir quelqu'un. Puissance entre ses mains quand Elio n'avait plus rien à perdre et qu'il la vu dans ses yeux vides la peur de l'être qu'il était devenu presque fier parce qu'au fond il y avait tout gagné quand il a vu ce fils qu'il n'était plus devenir finalement l'ombre de ce qu'il savait finirait par devenir et plus encore sans elle, cette femme qui l'a maintenu à flot pour disparaitre. Cette femme, sa femme Callie De Luca qui l'a animé et qui était sa véritable famille qu'il allait devenir avant que tout ne soit décimer et qu'il ne reste que de lui l'enfant perdu redevenu.

à oceanside depuis Il avait dix ans quand il a pointé son regard sur cette nouvelle vie à portée de ses mains, rêve éblouis d'un gosse paumé trop pauvre devant le paysage féérique comme l'annonce d'une nouvelle ère, terre de liberté qui s'est suspendu à ses lèvres durant des années avant que celle-ci l'achève pour devenir le pays cauchemardesque et qui pourtant il se refuse à complètement quitter peut-être parce que c'est ici qu'elle réside, elle cet âme soeur qui l'a quitté mais qui flotte toujours autant autour d'elle comme celle qui aurait dû se constitué à être leur famille qui s'est décimé à travers le temps sans pouvoir leur dire véritablement adieu assez pour se refuser malgré la douleur enfoui en lui de quitter cette ville devant les souvenirs et la haine qui trépasse en lui quand au fond Oceanside est celui qui demeure cette maison dans les bons comme le pire de lui-même.

colérique - jaloux - possessif - rancunier - énigmatique - observateur - protecteur - séducteur - loyal - direct - manipulateur - indépendant - volage - insoumis - impulsif - versatile - inaccessible - passionné - charismatique - intelligent - tourmenté - insolent - auto-destructeur.

perso irl

I want you to hold out the palm of your hand

( 01. ) Il avait dix ans à peine lorsqu'il a vu sa vie complètement être chamboulé, lui le gamin des rues, qui l'a passé à survivre dans les squats de dit gang, cette famille qui l'a pris sous son aile et surtout ce petit groupe de môme à la vie misérable pour survivre devant les petits vols et arnaques aux touristes et y gagner quelques sous de quoi faire taire bien trop la faim qui les a affamés. Voleur hors pair élevé au rang du petit Oliver Twist qu'il a souvent été surnommé avant de faire l'erreur de s'en prendre à cet homme, costume bien trop ficelé trop cher et qui pourtant le sourire aux lèvres a vu en lui un jeune homme à l'avenir plein de promesses. Des mots inconnus, du superflu et pourtant promesse tenue quand les mois suivants, il l'a embarqué loin de son Italie, sans savoir prononcer une autre langue vers l'horizon sur cette terre inconnue appeler l'Amérique. ( 02. ) Álvaro De Luca, celui qui lui a offert cette nouvelle vie, celui qu'il a longtemps vu comme le sauveur d'une vie déchue pour lui donner cette seconde chance d'une vie plus aisée que jamais il n'aurait pu imaginer dans sa vie avant de comprendre que tout se paye un jour. L'homme au sourire ravageur, l'homme qui derrière est bien loin d'être l'idéal qu'il tente de laisser apercevoir. Homme de vices, de pouvoir et de contrôle, manipulateur qui a longtemps vu en Elio ce fils qu'il a voulu parfaire à son image, la réussite parfaite quand il lui a donné tout ce qu'un gosse comme lui, un gosse sans rien a vu en lui le héros d'une vie. Une identité quand il l'a vu cette mère, abandonnée ce qu'il était pour lui offrir son nom, un nom qui résonne toujours en lui malgré tout et le voir à sa merci. Le garçon qui ne savait à peine lire et écrire pour lui offrir cette éducation, la langue parlée et le suspendre dans le temps à devenir le bras droit qu'il serait. Poudre blanche, blanchiment d'argent, armes à ne plus en finir il a vu ce nouveau monde à sa portée, celui qui avec le temps a laissé sa naïveté se dissiper pour devenir l'ombre de cet homme à qui il devait tout et dont il aurait pu tourner le dos sans la possibilité de le faire parce que dans son univers, on ne tombe amoureux et encore moins de la fille de son meilleur ami. Criminel qu'elle s'est refusée à suivre pour offrir à Elio une porte de sortie avant de vouloir le piéger l'envoyer dans cette prison punition du couteau dans le dos avant qu'il voit cet homme agonisé devant le karma qui s'est imposé à lui assez pour comprendre à Elio que dans la vie, on ne peut compter que sur soi-même. ( 03. ) Quand est-ce que son regard à changé pour elle cette fille qu'il avait fini toujours par connaitre dans cette nouvelle vie ? Callie le prénom qui se glisse entre ses lippes jusqu'à le faire sourire comme jamais il ne l'avait fait dans sa vie. Cette fille à qui il s'est vite attaché devant leur père inséparable, meilleurs amis au possible faisant d'eux à leur tour des êtres indissociable. Il entend encore la voix de ce père devenu lui rappeler que dans ce monde où il en sera le maître que l'amour n'y avait pas sa place parce que l'amour vous fait perdre la tête et surtout effacé les priorités. Il a fait longtemps la promesse de ne jamais s'en détourner et pourtant... Il l'a senti en lui, son palpitant s'animait à plus que de raison quand elle apparaissait devant lui, elle l'interdit. Le fruit défendu auquel il aurait dû résister, mais dont il a croqué sans être incapable de s'en détourner. Fascination de l'interdit, le désir qui brûle à devenir sans le vouloir à jouer le remake de Roméo & Juliette. Passion qui l'a dévoré jusqu'à sa perte et qu'il ne laisse à Elio que les cendres d'un coeur vide de sens. ( 04. ) Parce que quoiqu'il puisse arriver, un jour où l'autre tout fini par se payer Il se souvient de cet instant gravé au fer refusant de l'effacer et ça même s'il a vu bien souvent son myocarde explosé devant la douleur qu'aujourd'hui, ce souvenir l'empoigne à le faire souffrir, il est incapable de s'en défaire quand c'est tout ce qui reste d'elle, d'eux, de ce qu'ils auraient dû être. Les âmes maudites qui se révéleraient entre ses lippes cognant devant le sarcasme qui l'emporterait dans un tourbillon de désarroi dans lequel il s'est se plante toujours autant quand il a vite compris que ce que la vie vous offre, elle le reprend aussi vite et de la pire des façons possibles. Vingt ans, l'âge où tout débute réellement, il a cru à la passion qui les enivrée ou peut-être étaient-ils trop naïfs à croire avec sincérité aux si belles paroles entendues que l'amour était fort plus que tout, qu'elles réunissaient ceux qui s'aimaient vraiment. Dans ses prunelles, il y a cru à ces belles conneries incapables d'imaginer le monde sans Callie devant l'amour trop fort, trop pur pour lui tourner le dos quand tout ce qu'il a fait, c'est de s'être plongé corps et âme, car pour elle, il aurait bravé tous les interdits pour y goûter à ses lèvres et à sa peau contre la sienne. La tête trop dans les étoiles certainement, l'amour qui l'a rendu aveugle à tout encore plus quand le son du oui résonne encore en lui, les mots simples d'un mariage express songeant à forcer leur père à accepter cet amour interdit, peut-être trop jeunes et un peu cons pour croire au rêve bien trop éphémère, mais assez pour aller au bout de leur projet devant l'alliance prononcée lorsqu'ils ont tout lâché pour se retrouver à Vegas, la ville du péchés et faire d'eux mari et femme et qui reste pour lui le plus beau jour de sa vie, une vie qui aurait dû se parsemer à vivre des millénaires et qui pourtant s'est achevé en quelques semaines, le retour à la réalité où il a vu les portes de l'enfer s'ouvrir à lui. ( 05. ) Il y a cru jusqu'au bout frôlant les interdits pour elle, pour ce "nous" qu'ils allaient devenir. Père avant l'heure, la question jamais posée, pas quand on vient finalement de la rue. Gamin qui a vu sa chance tournée devant l'argent qui coule aujourd'hui dans ses veines et pourtant, le gosse qui volait les touristes dans la rue est toujours présent. L'innocence presque qui se perpétue à rester en lui devant les paroles de Callie qui résonne refusant de le voir oublier ce qu'il a été parce qu'il était bien plus que ce type qui s'est façonné à être le pantin de celui qu'il a considéré comme le héros de sa vie, le sauveur d'une vie pour lui enfoncer le couteau dans le dos. Il parait qu'un bonheur n'arrive jamais sans un malheur. Il a encore l'écho de la voix de Dom, l'oncle de Callie, celui qui finalement a été le seul témoin de cet amour, celui qui les a protégé envers et contre tous et surtout celui qui a résonné à lui apprendre la nouvelle avant le hurlement de désespoir, le déni qui s'est enfoncé en lui devant l'accident. Destin qui s'est joué de lui pour lui en rappeler les règles, car au final on n'en joue pas de lui. Punition devant les mensonges insaisissables. tw : décès, accident de voiture. La mort qui a rôdé autour de lui avant que la faucheuse ne choisisse de lui prendre ce qu'il a de plus précieux, Callie et l'enfant qu'elle portait en elle décimé devant l'accident, devant les corps qui n'étaient plus présent. Explosion qui n'a rien laissé si ce n'est le coeur meurtri de Elio qui est mort en même temps qu'il les as tous perdu. ( 06. ) Il entend encore Álvaro lui dire se montrer fort parce qu'il n'avait pas le droit d'être faible, de montrer sa douleur et qu'au final, il a eu ce qu'il a semé. Relation qui a changé entre les deux hommes, le père et le fils qui ne sont devenus que des inconnus presque rivaux quand Elio a fait le choix de choisir cette liberté désapprouvée, le cœur calciné, le regard vide pour ne plus à devoir l'écouter. Il se souvient de ses mots trop durs, trop virulents avant de le voir à son tour être pris par la mort, coup fatal du destin sans qu'il ne puisse en ressentir quoi que ce soit si ce n'est le froid qui l'entoure depuis la perte de ce qui donnait un sens à sa vie. Trop de souffrance ou peut-être qu'au fond de lui Elio ne l'avouera pas qu'une partie de lui, c'est peut-être senti libéré de ce fardeau assez pour choisir de se dissipé de cette vie qui ne lui a jamais appartenu. Le départ pour cette Italie qui coule toujours dans ses veines laissant à Dom les affaires des deux anciens meilleurs amis effacés. Les sourires dissipés pour que les prunelles vides se terre dans cette débauche qui a encore aujourd'hui l'entoure lui refusant le droit à cette paix intérieur. ( 07. ) Débauche, les femmes qui l'entourent, elle les cheveux dorés, le sourire bien trop dessiné, le corps bien trop refait pour être vrai, il s'est plongé en elle, dans cette vie pleine de vice tentant à se porter à croire à cette existence qui lui permet encore d'exister quand derrière le faciès qui dégage cette assurance sans faille se fausse derrière l'autodestruction dans laquelle il s'est laissé emporté. S'il n'a pas plongé pour lâcher prise, et cela, même quand tout en lui ne cesse de lui dire de le faire, il est resté devant le souvenir de celle qu'il aimait. L'alliance effacée et pourtant le tatouage entrelacé sur son annulaire devant le rappel qu'il ne serait plus jamais à personne, pas même à cette blonde qui tente de lui offrir un brin de chaleur sans pour autant le ressentir. Elle s'attache à lui quand lui s'évade devant les autres courbes incapables d'aimer à nouveau et parce qu'au fond, il se doute parfaitement que si elle s'accroche à lui, c'est devant le nom qui résonne et lui rappel qu'il n'est finalement aussi qu'une pompe à fric résolument prêt à tout tandis que lui s'enfonce dans le précipice de ces inconnues la poudre blanche qui ne le quitte pour finalement accepter la fatalité que peut-être, il était bien le fils de sa mère. ( 08. ) Aujourd'hui, il entend encore l'écho de Dom résonnait devant le message laissé sur son portable, les questions qu'il fulmine au point que la curiosité malgré lui ne le quitte pas. Le seul finalement qui ne l'a jamais laissé tomber, l'oncle de Callie qui est devenu la seule vraie famille d'Elio, celui qui les a toujours protégé et qui finalement leur ressemble bien qu'il n'aurait su le dire. Il n'a jamais vraiment compris pourquoi il a voulu être là pour lui et pourtant, il l'a vu le tirer souvent de ses situations les plus périlleuses, il ne l'a jamais lâché quand son coeur a voulu le quitter pour disparaître de cette vie qui ne lui appartient plus. Il l'entend encore la voix résonné lui dire qu'il était temps de rentrer, qu'il le devait surtout face à ce qui l'attendait. Les mots qui le heurtent, la raison qui s'efface devant le besoin de comprendre davantage ce qu'il tente à lui dire. Il entend cette voix grandissante et ce sentiment qui ne l'a jamais quitté lui dire de rentrer. Années dissipées devant l'ombre de lui-même où Elio est de retour au bercail depuis peu sans s'imaginer une seule seconde qu'encore une fois sa vie allait à nouveau éclater.

prénom, pseudo asha, constellation âge j'ai arrêté compté la vingtaine passé. pays france. type de personnage inventé origine‧s de la célébrité italienne. d'où viens-tu parce que je suis trop curieuse et faible face au lien laissé sur bhc et me revoilà again avec un dc je dis pas merci à mon acolyte non plus ! crédits ethereal (icons) -- lilousilver (avatar) autre ce forum est une vraie pépite bravo au staff et coeur sur tout le monde corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1915553615

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i don't wanna talk about the way that it was

bottin des avatars

Code:: <aa2>Giuseppe Maggio</aa2> @"Elio De Luca"

registre des emplois et logements
quartier south oceanside
Lieu south oceanside

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quartier south oceanside
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autres habitants //

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répertoire des personnages

Code:: <ac>@"Elio De Luca"</ac> <aa>30 ans, marié, hétérosexuel, propriétaire du club Euphoria.</aa>

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Lun 22 Mai - 20:58

Re-bienvenue à la maison :)

Lun 22 Mai - 20:58

(re) bienvenuuue parmi nous 1998006903

Lun 22 Mai - 21:31

t'es pas mal toi corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1491900633

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Lun 22 Mai - 22:32

c'est bien d'être faible et curieuse, encore plus de l'être doublement comme ça. corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1381766960

ça fait plaisir de te voir te dédoubler avec ce nouveau perso qui va envoyer. 1998006903

rebienvenue. corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1915553615

Lun 22 Mai - 23:26

re-bienvenue avec ce bg corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1915553615

Mar 23 Mai - 1:24

heiiiiin ce choix excellent de fc. drama

de ta part, je ne suis pas surprise. corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1491900633

comme je sais que ce perso sera génial. corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1198334161

(re)bienvenuuuuue. flower

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— ; c’est au cœur de mes sentiments les plus sombres que j’ai trouvé des perles de lumière.

Mar 23 Mai - 1:32

@Scott Keating ; @Leonora Morales merci à vous loovely

@Callie Vergara c'est que t'es pas mal dans ton genre pour une femme censée ne plus être parmi les vivants corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1381766960

@Noela Barnes Je résiste jamais de toute façon

merci beaucoup t'es toujours aussi adorable 1998006903

@Heather Vaughn merci keur

@Ilsa König non mais t'es toi t'es parfaite fullove

tu me vends toujours du rêve pfiou

merci la plus belle pinky

Mar 23 Mai - 4:55

trop hâte d'en lire plus sur ce perso, le résumé donnait bien hâte drama

rebienvenue dans le coin littleheart

Mar 23 Mai - 13:29

Et te voici à succomber au côté obscur des DC 1998006903

Re bienvenue chez toi, amuse-toi bien avec ce perso kissluv

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. ❝ Live like Jay ❞

Mar 23 Mai - 14:53

omg mais quel bg !!! corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1706034852

rebienvenuuuue flower

Mar 23 Mai - 18:25

Rebienvenue à toi. rainbow

Mar 23 Mai - 21:21

giuseppe!! si contente de le voir, on manque vraiment de fcs italiens dans la commu, je trouve.
rebienvenue avec ce nouveau personnage, hâte de voir ce que tu vas en faire coeur

Mar 23 Mai - 21:51

@Lee Ryung -- un grand merci à toi heearty

@Tyler Kane -- Je succombe facilement

en tout cas, un grand merci à toi heart2

@Felicia Duarte -- olalala on en parle de ton fc si magnifique pfiou

merci beaucoup corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 3513915865

@Alex Gates -- merci beaucoup 1998006903

@Noah Aster -- Je suis tellement d'accord, j'ai pas pu résister à le prendre corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 2607692337

en tout cas merci kissluv

Mar 23 Mai - 22:04

Ce dedoublement qui semble hyper prometteur corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 382148997

rebienvenue a la maison, hâte de lire l’histoire corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1915553615

Mer 24 Mai - 8:32

Lé Bo ce gars, dis donc. corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1491900633

(re) bienvenue à la maison, force & honneur pour ta fiche staar

Mer 24 Mai - 13:05

Bon d'abord j'ai été hypnotisé par le regard de ce monsieur assis sur le sol. Ensuite j'ai adoré le message dans le profil. J'imagine bien Lucifer de SPN venir discuter avec Elio mdr

Spoiler:

Ensuite (again) le peu que je lis, pfiiou ce perso promet tellement, un peu beaucoup, comme les autre. Il va falloir que je me creuse un peu plus le ciboulot (et je retourne prochainement dans la fiche d'Alec) corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 3943799615

corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 3943799615

corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 2542237946

et puis s'il y un ship avec la belle Callie, ça promet. corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1915553615

(re) bienvenue

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— I see how this is gonna go. Touch me, and you'll never be alone. Island breeze and lights down low. No one has to know

Mer 24 Mai - 17:55

@August Kane -- Merci beaucoup pour tes mots 1998006903

@Murphy Barlow -- Je suis à chaque fois tellement fan de ton fc pfiou

merci beaucoup corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 3513915865

@Frankie Rojas -- Non mais Bellisario mon dieu tes choix sont d'une dinguerie à chaque fois

Rien qu'en parlant de SPN tu me prends par les sentiments là corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1381766960

corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1307173070

je vais l'avoir dans la tête maintenant mdr

en espérant qu'il finit pas aussi fou que Sam

T'es vraiment trop adorable, ça me touche puis je viendrais aussi t'embêter ici avec tes perso mais également sur bhc youpie

parce que moi je suis fan à chaque fois de tes perso mais aussi de ta plume drama

Mer 24 Mai - 19:49

encore un personnage qui promet, hâte d'en avoir plus corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 3116843944

rebienvenue à la maison 1998006903

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things get heated

some nights, we're closer than ever. sometimes, we're running out of space when we're high, it can't get any better until we come down again.

Jeu 25 Mai - 16:07

ouuuuuuh, déjà les tw annonce la couleur, hâte d'en lire encore plus drama

(re)bienvenue chez toi avec ce bg corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 476565250

Jeu 25 Mai - 21:55

Bienvenue

Ven 26 Mai - 20:48

damn j'adore tout ce qui se préparee ici !!
rebienvenue corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1915553615

Sam 27 Mai - 22:45

Rebienvenuue par ici !! kissluv

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Mama Melia

What doesn't kill you makes you stronger (K. Clarkson)

Dim 28 Mai - 16:35

rien que les tw annoncent un perso riche en profondeur drama

(re)bienvenue corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 3513915865

Lun 29 Mai - 1:33

@Ozan Eker -- Merci pour tes mots corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1381766960

j'espère ce que nouveau perso te décevra pas dans ce cas corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1198334161

@rave hurley -- Olala merci à toi, j'avoue que ça fait longtemps que je voulais rejouer un tel perso donc je me suis faites plaisir corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1253600179

corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1253600179

un grand merci à toi luuv

@Nina Sheapman -- Merci beaucoup pinky

@Aika Tsuji -- C'est beaucoup trop adorable merci beaucoup heearty

@Phoebe Keating Merci à toi kissluv

@Oakley Vanderbilt -- Un grand merci à toi corrosion des rages › collision des astres (ELIO) 1915553615

et j'espère qui sera à la hauteur de tes mots aon