c'est drôle.
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c'est drôle.

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noah blackstone
ft. kaia gerber - moon
trigger warnings // décès × deuil × accident de voiture × relation conflictuelle × mention au sexe.
âge, naissance vingt-quatre ans, une suite de chiffre dont la seule importance réside dans l'addition du temps que jamais il n'obtiendra. née à nos angeles, ville négligée à la majorité pour rejoindre oceanside.
origines, nationalité américaine, d'origine juive ashkénaze, anglaise, danoise, écossaise, irlandaise, allemande, galloise, française, jersey channel islander.
genre femme cisgenre.
occupation officier au oceanside police department.
situation financière $$, anciennement aisée, tu te contentes désormais d'une situation modeste s'approchant avec des efforts du confortable.
statut civil en couple, trop occupée à être sienne pour envisager aimer quelqu'un d'autre.
orientation sexuelle bisexuelle.
situation familiale fille aînée d'une famille déconstruite, les responsabilités lourdes sur les épaules avant que la dernière pièce ne déraille. Géniteur producteur disparu si tôt, mère actrice absente et frère...
à oceanside depuis six ans.
persévérante × colérique × sensible × honnête × abrupte × intense × intransigeante × loyale × pessimiste × protectrice × orgueilleuse × agressive × provocatrice × perfectionniste × rancunière × passionnée × control freak × instinctive × possessive.


I want you to hold out the palm of your hand
Lui. Quelle insupportable évidence, lâcheté écœurante. Tu ne sais pas véritablement comment commencer ce message. C’est un supplice nécessaire. Commencer à écrire frénétiquement pour achever votre histoire. Résumer à des petits mots tout ce que vous étiez, tout ce que vous êtes, à un piètre message instantané. Froissé, le papier aurait eu l’avantage d’avaler tes larmes. Buvard de ton âme à son âme, linceul de sentiments. Séparation. Quelques lettres, mais ce n’est pas ce que tu souhaites. Non. C’est que tu dois faire. Et le gouffre…

23h08. La radio bourdonne agréablement dans l’habitacle rassurant du véhicule, vieille mélodie désuète s’accrochant encore à l’antenne. Difficile de déterminer son origine tant elle semble s’être perdue, issue d’une époque révolue. Étrange berceuse pour l’enfant qui se repose à tes côtés. Les lignes harmoniques s’entrecroisent, les paroles s’échappent en un murmure et toi tu ne quittes pas des yeux la blanche qui défile devant vous. La pluie s’abat contre le parebrise, chassée par le chuintement des essuies glaces et le vent s’engouffre contre la carrosserie. Un chœur t’accompagne et la voiture poursuit son chemin sur l’asphalte humide, ignorant le déluge qui s’écharne à l’extérieur. L’enfant troublé dans son sommeil se tourne à la recherche d’une meilleure position, la ceinture mal ajustée sur sa poitrine et ses lunettes glissant sur son visage. Un bâillement déforme un instant ton sourire, la fatigue s’accumule dans tes membres mais le trajet est bientôt terminé. Habituel chemin que tu reconnais aisément malgré l’obscurité, certaine de votre sécurité ta vigilance oscille, tes mains s’assouplissent sur le volant.

Arrête de penser à ses doigts parcourant les tiens, et à ton cœur qui bat au rythme de son souffle. Arrête de ressasser la valse de vos mains, votre mutisme révéré. Votre histoire ne peut exister dorénavant que dans les méandres de tes souvenirs affamés. Même si ta peau a encore l’odeur de son odeur. Comment oublier ce cœur que tu aimes tant ? Arrête de penser à tes lèvres découvrant son corps, ni à ses yeux qui ne t’abandonnent pas et répètent inlassablement le cantique « encore ». Arrête d’imaginer vos respirations entremêlées et ses murmures de plaisir dans ton cou… Encore ce gouffre vertigineux…


23h13. Un battement de paupières inexorablement trop long. Est-ce prudent ? Tu ignores les avertissements, tes limites repoussées par l’orgueil. Une grimace édentée comme réponse à la question, évidemment les précautions sont oubliées. Pourquoi s’arrêter ? Pourquoi freiner ce cheminement ? Peu importe la fatigue et ton pied qui glisse plus profondément sur l’accélérateur. Tu quittes le volant pour chatouiller ton frère, sa compagnie semble être un stimulant suffisant pour braver la tempête non ? Misérable idiotie. Un gémissement mêlé d’un ricanement lui échappe. « — Pourquoi tu m’embêtes ? Je reposais mes yeux ! » Sa réaction est charmante et ton intérêt pour la route s’envole bien vite. « — Tu reposais tes yeux ? Excuse-moi, tes ronflements indiquaient plutôt un profond sommeil. » Épris d’une certaine légèreté, bercés par cette étrange musique, vous omettez la situation pour vous adonnez à une bataille. La mélodie résonne toujours mais elle est couverte par votre chahut. Sa ceinture se balance allégrement et le véhicule zigzague contre la frontière blanche… La file de droite s’approche toujours plus. La vibration caractéristique ramène bientôt la raison à ton esprit. Mécontente, fatalité gronde à l’arrière et un klaxon détonne dans la nuit. Ses petits mains s’attaquent à ton estomac, cherchant une faille pour atteindre tes points sensibles « — Arrête je conduis ! Louis, arrête ! » Ton haussement de ton ne plaît guère à l’enfant qui boudeur croise les bras sous la ceinture et tourne le visage vers la vitre. « — Chanceuse, j’aurais gagné autrement. ». La voiture retrouve une trajectoire responsable et interminable la chanson se poursuit.

Tu l’aimes encore. Pourquoi un tel acharnement ? Vertigineuse incompréhension, ignorance soudaine. Est-ce ainsi que l’amour creuse ses ornières ? Qu’il dépasse l’entendement humain ? Les sillons saillants sur la masse pulpeuse, exsangue par les moindres échanges instantanés. Tu n’as plus l’endurance nécessaire pour comprendre. Tu l’aimes, c’est tout. Un absolu rien du tout. Une raison serait-elle nécessaire pour paralyser les élans indésirables ? Naïf espoir, impossible dessein. L’ire dans l’œil, l’amour s’arroge de tes états d’âme. Il se suffit à lui-même. Usée par les incessants questionnements, vaine quête d’une justification providentielle. Censure tes sentiments et tais-toi… Qui t’avale lentement…


23h16. Retour du calme dans l’habitacle. La fatigue semble désormais bien loin et l’enfant regarde les arbres courbés par le vent. Sur la vitre, la pluie forme de curieuses mosaïques. Encore un kilomètre. Quels desseins vous conduit aussi tard sur cette route ? Remercie ta maternelle Noah qui enivrée par de trop nombreux verres à oublier ton frère chez son ami. Et toi, tu es là, toujours là. Un soupire t’échappe, une nouvelle soirée où t’incombent des responsabilités qui ne sont pas les tiennes. Tu accélères encore, un amoncellement de travail attend sur ton bureau. Pourquoi perdre du temps ? « — Je ferais comment quand tu ne seras plus là ? » Il observe en silence, loin de la candeur enfantine habituelle. Qui s’occupe de son dîner, qui rencontre ses professeurs. Le croisement enfin, tu ralentis, les roues s’orientent vers la droite. « — Je serais toujours là pour toi, promesse de petit doigt. » Tu tends la main dans sa direction, le véhicule immobilisé patientant gentiment de pouvoir t’engager. Il referme son petit doigt sur le tien, ses lunettes de travers et un sourire large. Quand. Vous. Êtes. Projetés. En. Avant. La voiture est percutée par l’arrière, les phares semblent parvenir par la fenêtre passagère. Pourquoi ? Comment ? Une seconde. Tu ne comprends plus rien. Le second choc est plus terrible encore. Le bourdonnement s’est tu, il n’y a plus que ce déchirement encore. Et son hurlement. Le véhicule s’écrase lourdement et le silence…

L’odieuse fatalité, acceptation inévitable que tu préfèrerais ignorer. Tu as consulté la fenêtre lumineuse dans le clair-obscur nocturne, et son message était toujours là. Je te hais. Comment un misérable mensonge peut-il s’avérer aussi assassin ? Entre les lignes, le monochrome de la tendre aversion. L’utilité des téléphones se résume à l’exergue abject que l’amour s’accompagne toujours d’une souffrance déchirante. Inlassable déverrouillage et le lecture démente de ce message. Encore. Et encore. Était-ce nécessaire ? Indéniablement, il existait d’autres manières de cesser votre relation. Chérir les fragments, la coque métallique mordant la chair. Mais tu avais besoin de plus, qu'il témoigne de beaucoup. Tu aimerais tant lui dire qu'il est tous les jours dans ton esprit et que partout sa silhouette se détache de cette réalité absente. Il est dans les moindres détails, habitant dans chaque empreinte qu’il a oublié dans ton quotidien. Tu vis maintenant avec ces mots qui matérialise ta solitude. Si tu avais su Noah que c’était la dernière fois, tu l’aurais embrassé bien plus longtemps… Jusqu’à la noyade.

La morsure des éclats de verre orne encore ton visage et la robe noire ondule par le jeu de la brise. La compassion dans les regards est un miel écœurant et sur les lèvres tu entends un mot, ce mot. Miraculée. Quelle putain de miracle ? La colère fourmille sous ton épiderme, créature dont les canines acérées attendant de déverser un poison morbide qui lentement s’accumule dans ton esprit. Ton frère est mort il y a trois semaines, mais il semble crucial de glorifier ta survie. Ni les mots, ni les larmes ne parviennent à s’échapper tant la stupeur est devenue une amie intime. Dans l’immensité du vide, tu n’aperçois plus sa présence chaleureuse et son sourire s’efface. Seulement les murmures et le chagrin hypocrite de ta mère. Son spectacle est abject alors que la dépouille est déjà glaciale dans le cercueil. Insoutenable théâtre où ton rôle semble bien paradoxal. La culpabilité est constante et cette colère… Tu serres la mâchoire et lentement il s’enfonce dans l’obscurité terreuse. Son image te hante, tu sentirais presque encore le contact de son petit doigt contre le tien. Dans ton esprit, son visage se déforme sous la décomposition minutieuse, par la faim insatiable des asticots. La nausée tord ton estomac et la souffrance physique devient un réconfort. Une punition insuffisante. Les talons s’enfonçant dans la boue, tu sais désormais pourquoi tu existais. Tu existais pour lui, et tu l’as conduit à sa perte. Haut le cœur. Tu es faible et tu sens ton corps se mourir lentement. Elle s’écroule au sol, ta maternel, hurlant. Tu préfères détourner le regard de ce présent atroce pour ressasser le bienheureux passé. Là où ta préoccupation première était de l’aider avec son projet de science. Un moteur électrique. Tu ne seras pas toujours là pour lui, menteuse. Les instants sursautent, et les minutes défilent comme ces inconnus qui vous plaignent. Ils ne le connaissaient même pas. La voix de ta mère échauffe ton esprit, ses mots n’ont aucun sens. « — J’aurais dû être là. » Ton éclat de rire tranche abruptement dans les condoléances. « — C’est maintenant que tu t’en aperçois ? Félicitations. » Tu applaudis allègrement et son déglutissement est une réponse insatisfaisante à ta rage. « — Qui t’a dit que tu avais le droit d’abandonner tes enfants pour ensuite… Pleurer comme une mère épeurée ?  Enfin un peu d’attention pour la pauvre Catherine ! Tu veux qu’on parle de toi et de tout ce tu n’as pas fait ? De ce que moi j’ai fait à ta place ?  Allons-y ! » Enfin les mots, enfin les larmes. Ils éclatent maladroitement de ta bouche et sur ton visage, brouillon torrentiel. « — J’apprécie tout ce que tu as fait Noah, tu es bouleversée c’est normal… » Tu attrapes un plateau de petits fours, les charognards iront se gaver ailleurs et tu le brises au sol. Les verres, les bouteilles. Rien ne satisfera ta soif de destruction. « — Arrêtes de jouer à la maman parfaite ! » Tu écorches tes mains, si seulement les hurlements intérieures pouvaient se taire. Ont-ils entendu son agonie ? Non. « — Mais je suis sa mère.. » Tu secoues la tête tristement, abandonnant les ustensiles de ta fureur. « — Tu étais ma mère aussi. » La porte se ferme durement en un claquement sourd et tu es partie pour ne jamais revenir. Je n’oublierai pas ton visage, ni tes mimiques, je n’oublierais pas ta voix, ni la manière dont tu détachais la mie de sa croute. Je n’oublierais pas ta couleur préférée, ni que le ketchup surpasse la mayonnaise, je n’oublierais pas ton odeur, ni la manière ridicule dont tu tirais la langue pour t’appliquer à écrire….
prénom, pseudo briido. âge 26 ans. pays France. type de personnage inventé. origine‧s de la célébritéjuive ashkénaze, anglaise, danoise, écossaise, irlandaise, allemande, galloise, française, jersey channel islander d'où viens-tu des copainch. crédits @labxnairs & giflove autre  c'est drôle.  1915553615

i don't wanna talk about the way that it was
bottin des avatars
Code:
<aa2>kaia gerber</aa2> @"Noah Blackstone"
registre des emplois et logements
quartier north valley.
lieu oceanside police departement
Code:
<aa2>officier</aa2> @"Noah Blackstone"
quartier south oceanside.
type d'habitation appartement.
autres habitants @Poema Walsh

Code:
<aa2>#09</aa2> @"Noah Blackstone"
répertoire des personnages
Code:
<ac>@"Noah Blackstone"</ac> <aa>24 ans, en couple, bisexuelle, officier.</aa>
multicomptes
Merci d'indiquer via un astérisque (*) votre compte gratuit et vos comptes faciles.

Code:
<ac>@"Noah Blackstone"</ac> @"deuxième compte", @"troisième compte", ...

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Jsuis preums c'est drôle.  2280651545
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kaia cette femme est tellement géniale drama
bienvenue sur le forum coeur (hâte d'en savoir plus cutie)
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@Kole Green hey toi face

@Rafael Martinez merci beaucoup c'est drôle.  3513915865

alors... j'ai cassé le code, je ne sais même pas comment c'est drôle.  3364493617
si quelqu'un a une idée, je suis preneuse Laughing
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kaia omg pfiou drama bien hâte de voir noah en jeu c'est drôle.  1381766960
bienvenue dans le coin 1998006903

(pour ce qui est du code, je pense que si tu rajoutes un « --> » juuuuuste avant le début de ton premier paragraphe d'histoire, ça devrait rentrer dans l'ordre  2972178516 coeur )
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oh mon dieu mon sauveur ! c'est drôle.  3689532771
merci beaucoup !
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bienvenue parmi nous c'est drôle.  1491900633
MOON up all night
Bran Higgins
Bran Higgins
messages : 1664
pseudo : spf (elle).
id card : ojc by atlantis (avatar & gif), waldosia. -ex old money (sign), Adi Oasis (lyrics)
à contacter : well, Bran.
triggers : la romanisation de certains sujets (maladies graves, relations toxiques, violences ect).
warnings : age gap (10 ans), conso d'alcool, mentions de perte d'un proche et d'infertilité.
présence : absente
c'est drôle.  F60c46fa0f2143679b63eb8f9303be3eabfd6190
âge : 36 ans (24 octobre 1987). Il a grandi trop vite, ou peut-être est-il de ces êtres qui, dit-on, ont une vieille âme.
occupation : Ancien inspecteur aux cold cases. Auteur true crime à ses heures perdues, il s’est remis à écrire depuis sa démission. Ghostwriter, prête-plume, il écrit la vie des autres à défaut de vivre la sienne.
statut civil : (é)pris mais un peu lâche, restent les stigmates de son divorce.
orientation : Hétéro.
habitation : au #30 South Oceanside, appartement avec vue sur la mer, seul luxe dont il ne peut se passer.
pronom ig : il, lui (he, him).
disponibilités : (5/5)
en cours :
branjolica #2jakenash・robyn #2
terminés :
branjolica #1・robyn #1lenarajan

infos rp : 700-1000⁺ mots (je m'adapte au mieux) ー délai variable selon l'irl et le mood (j'essaie de pas abuser) ー troisième personne, au présent et en français (l'anglais s'invite parfois) ー chill, venez comme vous êtes heart2
en vrac :
c'est drôle.  6703271ef041be569bfc15580652681848107914 c'est drôle.  Eef6e83f95d8d9a81168a8cf1bc4c4f3b878f8d7

{ moodboard }





icons ethereal, little edits.

   
 
La belle Kaia **
Bienvenue c'est drôle.  3827413925

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--- every time you come my way wanna hear you whisper my name.

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bienvenue parmi nous! kissluv
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bienvenuuuue sur aiw. flower c'est drôle.  1915553615
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Titre mensonger, c'était pas drôle c'est drôle.  2280651545

Bienvenue à toi et bon courage pour la suite de ta fiche c'est drôle.  3513915865
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bienvenue shy
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kaia, quel choix divin c'est drôle.  476565250 c'est drôle.  476565250
bienvenue parmi nous 1998006903
ADMIN burning in the skies
Jamie Williams
Jamie Williams
messages : 6861
pseudo : Plum (elle)
id card : Sam Claflin ;
(c) : (av, sign, gif profil) moi même ; (song) billy joel she's got a way

multicomptes : marylou (e. stone) ; gloria (m. moore) ; margot (e. mackey)
à contacter : ici-même
triggers : à discuter en mp
warnings : fausse couche, alcoolisme, infertilité, deuil
présence : Présente
c'est drôle.  PzkFVYf0_o
âge : il a fêté sa trente-cinquième année, né le 1er juin 1989 de l'autre côté de l'océan, à Manchester (UK).
occupation : après avoir tenu le Maxdon's Pub pendant quatre ans, d'en avoir été le barman depuis ses débuts de vie active, il est aujourd'hui agent artistique dans le domaine musical, notamment de sa femme, Louise.
statut civil : marié depuis le 20 mai 2020 à Louise, la femme de sa vie, pour le meilleur et pour le pire. ils vivent tout intensément, chaque moment chéri, inséparables. Leur petite fille, Aurora, est née le 15 juin 2024, avec un peu d'avance, faisant le bonheur de ses parents.
orientation : hétérosexuel, il n'a jamais été attiré par les hommes.
habitation : s'est installé avec Louise au #1117 dans le quartier de San Luis Rey, une maison plain-pied qu'ils ont achetée dans ce quartier cher à leur coeur. Ils espèrent en faire leur petit havre de paix.
pronom ig : il
disponibilités : full, petite pause.

en cours
¬ ft louise (20)
¬ ft louise (19)
¬ ft louise (18)
¬ ft emily
¬ ft louise (17)
¬ ft louise (16)
¬ ft louise (15)
¬ ft louise
¬ ft louise (7)
¬ ft emily (fb)
¬ ft louise (fb/4)

→ à venir
-

sms
Louise ; Nash ; Hestia ; Joe

infos rp : 500 - +1000 mots en général en fonction de l'inspiration du moment.
— rp à la troisième personne
— dialogues en français principalement

dialogues : [#d4824a]

en vrac :
c'est drôle.  MuDsIWFO_o
I am the luckiest ♡

And in a white sea of eyes
I see one pair that I recognize
And I know
That I am
The luckiest
I love you more than I have ever found a way to say to you

   
 
Encore un pseudo de fou drama
Bienvenue par ici coeur
Je te réserve Kaia pour 7 jours aon
Bon courage pour ta fiche pls

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Bienvenue par ici avec ce joli FC coeur
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kaia est sublime !
et puis, ce personnage, que dire ?
pfiou, y'a pas assez de mots
bienvenue sur le forum coeur
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oh la beauté !! welcome c'est drôle.  1915553615 flower
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Elle a pas eu la vie facile !
Bienvenue parmi nous c'est drôle.  3513915865
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c'est drôle.  3116843944 c'est drôle.  2280651545
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face colgate
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mais??
la douceur de tes mots??
les émotions à travers tes phrases
je fonds
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Bienvenue par ici 1998006903
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une jeune recrue. cuutie
bienvenue parmi nous. hawai
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quel plaisir de découvrir ta fiche - et noah. flower
bienvenue. rainbow
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