You are the future (ft jamie)
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You are the future (ft jamie)

SUN wildest dreams
Louise Williams
Louise Williams
messages : 5260
pseudo : Midspring Rose ( Julia )
id card : Riley Keough - (c
avatar) Plum (a) (c gif profil & sign) tumblr

multicomptes : Leo (milo ventimiglia) & Elaine (reese witherspoon)
warnings : fausse couche, consommation abusive de médicaments, deuil, alcoolisme
présence : Présente un peu tous les jours
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âge : Trente cinq ans. Née le 29/05/1989 à Santa Monica.
occupation : Après des années de petits boulots en tout genre, aujourd'hui elle se consacre à ses passions, elle est auteure compositrice et chanteuse et parvient à en vivre. Elle écrit également pour une maison de disque californienne. Elle a enregistré en studio des chansons pour et avec un artiste déjà reconnu et se produit sur scène à ses côtés. En janvier 2024 elle entame une tournée Californienne avec Sully, dont elle jouera plusieurs premières partie de concert jusqu'en mars 2024.
statut civil : Mariée depuis quatre ans (le 20/05/2020) à Jamie, le seul homme qu'elle ait jamais aimé. Après des moments difficiles, ils sont aujourd'hui plus heureux et plus forts que jamais. Ils ont prévu de renouveler leurs vœux en 2025 et sont devenus les heureux parents de Aurora le 15 juin 2024
orientation : Hétérosexuelle
habitation : A récemment emménagé dans une maison qu'elle vient d'acquérir dans le quartier de Peacock avec Jamie, leur fille Aurora et leur chienne Lola.
pronom ig : elle
infos rp : Longueur de post en fonction du partenaire, de mon élan d'inspiration et parfois de mon temps disponible. Dialogues en français.
   
 
You are the future
「 feat.  @Jamie Williams  ; 15 juin 2024 」
tw: ràs

Incapables de rester tous les deux sans rien faire, sans un projet à avancer, les voilà partis dès ce matin pour quelques emplettes nécessaires à l'avancée des travaux dans la maison. Si jusque-là ils ont concentré leur temps sur les travaux de la chambre de leur fille, qui ne saurait tarder à pointer le bout de son nez, ils s’attaquent maintenant à leur propre chambre. Ces petits travaux de rafraîchissement tombent finalement à point nommé pour eux, leur permettant de leur occuper l’esprit et de faire s’écouler ce petit temps de fin de grossesse encore plus vite. Même si au début cela avait un côté un peu effrayant, cela s’avère aussi être pour le moins challengeant. A chaque étape de franchie, ils sont fiers, heureux d’y être parvenus, de l’avoir fait. Un peu plus boostés encore pour la suite, ils s’attèlent aussitôt à l’étape suivante.

Louise sait que Jamie aurait préféré qu’elle reste à la maison plutôt que de venir traîner dans les boutiques de bricolage, d'autant plus par cette chaleur. Mais elle sait aussi qu'il sait qu’elle ne lui aurait pas laissé le choix. A peine entrés dans la boutique, la fraîcheur de l’air climatisée qui tombe sur les épaules de Louise lui fait du bien instantanément. Il a beau ne pas encore être midi, la journée s’annonce très chaude et Louise le ressent. Ces derniers jours, elle a chaud rapidement, elle a du mal à se déplacer sans que cela ne soit un effort considérable pour elle, elle sent que ce poids en permanence sur elle l’écrase un peu plus chaque jour et tire. Si elle garde ces détails pour elle, en plus du simple fait d’être fatiguée, elle a conscience que Jamie n’est pas dupe. Il est si attentionné, d’autant plus en ce moment, qu’elle se doute qu’il remarque bien qu’elle commence à avoir du mal. A être fatiguée au point de ne plus toujours réussir à suivre le rythme qu’elle aimerait. Alors que cette sortie ait lieu le matin l’arrange, elle sait qu’elle est un peu plus en forme. Même si, ce matin encore, elle sent que ce ventre imposant la tire déjà.

Elle l’observe ses lunettes sur le nez, le regard rivé sur la liste qu’il tient dans sa main, l’autre accrochée à la sienne jusque-là. Ils s'arrêtent un instant, Jamie lève la tête pour repérer le rayon le plus près qui les intéresse. Louise, une main sous son ventre, reprend discrètement son souffle en ne le quittant pas des yeux. Elle aime tellement le voir comme ça, lancé dans un projet, concentré sur la mission du moment. Et puis surtout, il rayonne en ce moment. Elle sourit en secouant la tête et rattrape sa main avant qu’ils ne se dirigent vers le rayon peinture. Ils ne savent pas trop encore quelle couleur ils veulent pour leur chambre mais il se disent que cela pourrait leur donner une idée. Même si avant tout ils doivent finir de nettoyer les murs avant d’envisager quoi que ce soit. C’est surtout pour ça, pour acheter ce qu’il faut pour y parvenir qu’ils sont là. Ils ont terminé d’arracher le papier peint, trop dans son jus, trop abîmé par les années qui ont défilé, ces derniers jours.

Arrivés devant les pots de peinture et aussi les échantillons, Louise grimace un peu alors que Jamie a lâché sa main pour regarder avec enthousiasme les échantillons de plus prêt. Elle repose sa main sous son ventre et attend que ça passe, ce petit tiraillement qui lui serre le ventre. Ce n’est pas la première fois ce matin. Elle s’avance à son tour, se rendant compte que l’effet bénéfique de la clim à l’entrée ne semble plus avoir aucun effet. « Ça c’est beau ! » lance-t-elle en pointant son dos sur l’un des échantillons que Jamie tient entre ses doigts, alors qu’elle se trouve à présent juste derrière lui. Ils en regardent quelques-uns, en assemblent certains entre eux pour voir ce que ça donne. « Tu sais qu’on a encore du travail avant la peinture ? » Elle lui sourit et embrasse sa joue. « Allé.» Elle attrape sa main et tire dessus pour se tourner et revenir sur leurs pas mais elle s’arrête en chemin et pose à nouveau sa main sous son ventre et l’autre contre le mur près d’elle. « C’est rien.» Le visage un peu pincé, elle attend une nouvelle fois que ça passe. Sans doute que la chaleur de cette journée ne l’aide pas. « Je me suis juste retourné trop vite.» Elle ouvre à nouveau les yeux, relâche ses muscles et sourit de nouveau à Jamie, prête à avancer à nouveau.

Ils avancent à nouveau, un peu plus lentement qu'à leur arrivée et à mesure qu’ils avancent, Louise à l’impression de se rendre compte d’une différence. Ce ne sont pas les douleurs ligamentaires qu’elle ressent depuis ce matin, non c’est autre chose. Elle pense qu’il s’agit de contractions. Mais elle ne veut pas affoler Jamie pour rien. A ce stade de la grossesse c’est normal d’en ressentir d’après ce que la sage femme à put leur expliquer au dernier rendez-vous. En rentrant, elle se reposera et ça passera. Pourtant elle s’arrête encore en chemin et attrape le bras de son mari. « Jamie ? » Cette fois, son ventre se serre tellement qu’elle grimace, non pas que cela soit vraiment douloureux mais c’est une drôle de sensation. Comme si tout son corps se contractait. « Je crois que…» Elle se rend compte que les contractions sont de plus en plus fortes et se décide finalement à lui dire quand elle sent quelque chose couler le long de ses jambes. Elle baisse la tête et met un instant avant de comprendre ce qu’il est en train de se passer. « Je…je crois que je viens de perdre les eaux. » Elle porte aussitôt une main à sa bouche, ayant du mal elle-même à croire ce qu’elle vient de dire.
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If there is a light
If there is a dark within and without
And there is a light
Don't let it go out
And this is a song,
A song for someone.
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Jamie Williams
Jamie Williams
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présence : Présente
You are the future (ft jamie) PzkFVYf0_o
âge : il a fêté sa trente-cinquième année, né le 1er juin 1989 de l'autre côté de l'océan, à Manchester (UK).
occupation : après avoir tenu le Maxdon's Pub pendant quatre ans, d'en avoir été le barman depuis ses débuts de vie active, il est aujourd'hui agent artistique dans le domaine musical, notamment de sa femme, Louise.
statut civil : marié depuis le 20 mai 2020 à Louise, la femme de sa vie, pour le meilleur et pour le pire. ils vivent tout intensément, chaque moment chéri, inséparables. Leur petite fille, Aurora, est née le 15 juin 2024, avec un peu d'avance, faisant le bonheur de ses parents.
orientation : hétérosexuel, il n'a jamais été attiré par les hommes.
habitation : s'est installé avec Louise au #1117 dans le quartier de San Luis Rey, une maison plain-pied qu'ils ont achetée dans ce quartier cher à leur coeur. Ils espèrent en faire leur petit havre de paix.
pronom ig : il
disponibilités : full, petite pause.

en cours
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→ à venir
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Louise ; Nash ; Edward ; Hestia ; Tyler ; Anna ; Jennifer ; Joe

infos rp : 500 - +1000 mots en général en fonction de l'inspiration du moment.
— rp à la troisième personne
— dialogues en français principalement

dialogues : [#d4824a]

en vrac :
You are the future (ft jamie) MuDsIWFO_o
I am the luckiest ♡

And in a white sea of eyes
I see one pair that I recognize
And I know
That I am
The luckiest
I love you more than I have ever found a way to say to you

   
 
You are the future
「 feat.  @Louise Williams  ; 15 juin 2024 」
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Ils commencent enfin à préparer leur propre chambre, occupés jusque-là à rendre celle de leur petite fille la plus accueillante possible. Il reste encore quelques petits éléments qu’ils rajouteront au fur et à mesure, mais cette chambre a déjà quelque chose de particulier, une aura apaisante après tout ce qu’ils ont vécu cette année. Le berceau qu’il a fabriqué de ses mains trône dans la pièce, et il en est fier, son prénom incrusté au niveau de la tête du petit lit. Bien sûr, ils savent pertinemment que le petit lit ne restera pas à cette place les premiers temps, mais l’avoir placé là donne le ton de la pièce. S’il y a quelques mois, ils étaient très réticents à se lancer dans ces travaux, les mener à bien les a soulagés. Déjà parce qu’il fallait bien que cette petite ait une chambre, mais aussi parce que ce sont leurs espoirs et leurs rêves qui deviennent réalité, un peu plus à chaque coup de peinture.

Ils naviguent dans le magasin, la liste qu’ils se sont finalement décidés à faire sous les yeux. Il aurait préféré qu’elle reste à la maison, un peu plus angoissé à mesure que le temps passe de la voir debout trop longtemps. On leur a dit qu’à présent, la petite pourrait arriver à n’importe quel moment, et même s’il se dit prêt, même s’il a l’impression d’avoir attendu ça toute sa vie, ça ne l’empêche pas de stresser un peu plus. Il lui tient fermement la main en avançant dans les rayons, n’allant pas trop vite pour respecter son rythme, bien que les couleurs des peintures exposées lui attirent l’oeil. Ils n’ont pas encore décidé ce qu’ils feront de cette chambre, une envie d’un petit havre de paix qui paraît évident, mais les teintes sont si nombreuses, et il a un peu de mal avec tout cet aspect décoratif. Quelle que soit la couleur qu’elle choisisse, ça lui ira. Il lui lâche finalement la main pour récupérer quelques échantillons de couleurs, en sélectionnant certains qui lui plaisent. « Tu en penses quoi ? » Il se retourne vers elle pour lui montrer les échantillons tandis qu’elle s’avance, pointant l’un d’eux du doigt avec enthousiasme. « Tu aimes ? » Il a bien l’intention de garder ça en mémoire, tentant d’assembler quelques couleurs entre elles et trouver ce qui conviendrait le mieux à l’ambiance qu’ils recherchent. « Hm… Oui je sais, mais ça ne fait pas de mal d’imaginer, non ? » Il lui sourit, ses lunettes noires toujours sur le nez, puis elle lui embrasse la joue avant de l’entraîner ailleurs.

Elle s’arrête pourtant, une expression de douleur sur le visage, plaçant sa main sur son ventre en s’appuyant contre le mur. Son sang ne fait qu’un tour alors qu’il se rapproche vivement d’elle, une main dans son dos pour la soutenir, l’autre sur son ventre. « Louise ?! » La voilà, l’inquiétude. Il savait que ça faisait trop pour elle, qu’il fait trop chaud, qu’ils marchent trop, qu’elle aurait dû rester à la maison. « Ca a pas l’air d’être rien, Louise. Viens, on va s’asseoir… » Son coeur tambourine à l’intérieur de sa poitrine, alors qu’elle lui indique s’être simplement retournée trop vite, comme s’il était idiot, comme s’il ne voyait pas ses petites mimiques de douleur, la manière qu’elle a de passer sa main sur son ventre de manière un peu plus insistante. Il aurait dû persister à la faire rester tranquillement à la maison. Mais en même temps, Louise n’aurait de toute façon rien voulu savoir. Elle se redresse, lui souriant presque comme si de rien n’était comme si ce n’était pas une alerte, et il se met à observer sa montre, comme ça, juste pour vérifier, au cas où, avant de rattraper sa main en soupirant légèrement. « On aurait dû rester à la maison… on rentre. » Et au ton de sa voix, ce n’est pas négociable. Ils pourront s’occuper de la chambre plus tard, rien ne presse après tout, et il voit bien, qu’elle a mal, quand bien même elle tente de le lui cacher. Sa main se serre un peu plus fermement autour de la sienne, et s’ils y vont doucement, il compte bien quitter ce magasin pour la ramener chez eux.

Il s’avancent, puis elle s’arrête à nouveau, agrippant son bras, et il sait. Il en a des sueurs froides à l’entendre l’appeler. Son rythme cardiaque accélère alors qu’il se retourne pour l’observer, regrettant définitivement qu’ils se soient rendus dans ce magasin aujourd’hui. « Hm ? » fait-il innocemment, la gorge serrée en espérant presque que ce soit une nouvelle fausse alerte. Il a pourtant du mal à respirer, à la limite de la tachycardie, en la voyant se contracter, une grimace de douleur déformant son visage. Et puis, c’est le moment. Ce moment qu’on ne voit que dans les films alors que tout est censé se prévoir autrement, et pourtant, voilà qu’ils y sont. Il suit son regard jusqu’au sol et remarque la petite flaque qui commence à s’y former. Une nouvelle sueur froide lui vient et il lui attrape les bras, cherchant à la soutenir malgré toute son impuissance. « Ok. » Il ne sait pas quoi dire, une veine de nervosité qui se dresse sur son front, la panique qui lui agrippe le cœur. La liste est lâchée, abandonnée au milieu de l’allée, il place sa main sur son ventre comme si ça changeait quelque chose, essayant de faire sens de ce qui est en train de se jouer.

« Ok, ok, ok, ok ! Euh… » Une main qu’il passe sur son front comme pour l’aider à réfléchir une seconde avant de se reposer sur elle. « Tu peux marcher ?! » La panique est là, cette impression de ne pas être prêt, de ne pas savoir comment faire, presque une envie de fuir qui lui vient alors que ça ne lui ressemble pas. Ils s’apprêtent à devenir parents alors qu’il a encore cette impression d’être un enfant, soudainement. Il déglutit difficilement, accrochant le regard de Louise, puis inspire, un souffle, comme pour l’encourager à en faire de même. « Ok. » Les idées sont claires à présent. Pas entièrement, mais suffisamment pour retrouver le fil. « Tout va bien se passer, ok ? Ça va aller. » Il acquiesce nerveusement, les mains toujours autour de ses bras, pressant un peu plus sur sa peau pour appuyer ses mots. « On va sortir. Tu vas t’asseoir sur un banc, le temps que je rapproche la voiture, ok ? Et on file à l’hôpital. » Un besoin d’élaborer un plan pour la rassurer, se rassurer un peu, lui aussi, savoir la marche à suivre alors qu’à partir de maintenant, tout va changer. Il lui embrasse le front avec insistance, plaçant sa main contre sa nuque avant d’entourer ses épaules de son bras. « Tout va bien se passer, Louise, je te le promets ! »

Ils s’empressent de sortir du magasin, aussi rapidement que le rythme de Louise le permet, et une fois dehors, il repère bien vite un banc sur lequel elle peut s’asseoir le temps pour lui de rapprocher la voiture, préférant éviter de la faire marcher plus. « Je reviens tout de suite. Faut croire qu’elle est pressée d’arriver, hein ? » Il rit un peu, malgré l’urgence de la situation, et cette angoisse qui ne le lâche pas. Il lui embrasse à nouveau le front et court pour rejoindre sa voiture, manquant une demi-seconde de se faire renverser alors qu’il traverse la route, un coup de stress supplémentaire alors que son coeur est prêt à lâcher. Devant la voiture, il fouille ses poches, pestant contre son jean qui refuse de libérer ses clés, pestant ensuite contre celles-ci qui tombent sur le sol, pestant contre lui-même d’être toujours aussi maladroit. Il tremble un peu trop en déverrouillant la voiture, se blesse en ouvrant la portière, et s’engouffre enfin à l’intérieur. Au volant, son regard glisse sur le rétroviseur intérieur tandis qu’il prend la mesure de ce qui est en train d’arriver. Il souffle à nouveau, puis démarre le contact et s’empresse de faire le tour du parking pour arriver à la hauteur de Louise. Il sort de la même manière qu’il y est entré, tout aussi maladroitement, le myocarde encore affolé, retrouvant bien vite sa femme pour l’amener devant la voiture, lui ouvrant la portière côté passager pour qu’elle puisse s’y installer. Il recule le siège au maximum, referme la portière et fait à nouveau le tour de la voiture pour reprendre place au volant. Il s’attache, referme sa portière, puis redémarre en trombe direction l’hôpital. Quelques secondes après avoir démarré, il attrape sa main pour la serrer fort, la portant à sa bouche pour y déposer un baiser, avant de mêler ses doigts aux siens. « Ça y est, mon amour. C’est le moment. Tout va bien se passer. Tu vas y arriver. Et je suis là. Je t’aime. » Une affirmation simple qui lui paraît pourtant essentielle, au milieu de tout ça.

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