-- dommages nocturnes. { a a r o n }

27 ans · 20 novembre
t'a frôlé ce terre prête à t’enterrer bien plus souvent que tu veuilles l’dire, tu l’aimes ce goût de liberté, l’refus d’atteindre le monde trop adulte de la crainte qui arrive à grand pas, t'en crève l'idée que la trentaine fait de toi ce que tu n'es n'es pas, ça t’effraie parce que tu refuse de lâcher le gamin encore en toi devant cette liberté à tes pieds où tu exploites à chaque secondes les expériences jusqu’à l’éclate avec des mots qui résonne en toi : carpe diem, car tu le sais que la vie est trop courte pour ne pas profiter et parce que tu sais que tu fais partie de ces gosses de riches chanceux qui assument la cuillère en or dans la gueule, les billets qui pleuvent à ne pas finir. Pourquoi pas assumer quand t'as rien demandé à personne ? Tu profites et tu vis parce que tu sais que demain tout peut changer.

Français · Italien · Américain
T'es né à Oceanside là où ton père est né et comme ce fut le cas de ton frère aîné et de ta jeune sœur. L'héritage laissé par tes ancêtres presqu'un hymne que ton paternel à refusé de jeter aux oubliettes, le rappel constant que t'es pas qu'un gosse lambda dans une vie où t'as rien demandé à personne. T'as suivi l'chemin éclairé d'un homme qui avait déjà tracé ta vie sans que t'es ton mot à dire que ta accepté la gueule fermée pendant un temps avant de tirer ta révérence sans oublier tes racines ancrées en toi. Américain qui coulent dans tes veines comme le sang français que ta mère porte en elle et de la beauté qu'elle possède toujours, le glamour qu'elle ta offert et que t'as accepté parce que finalement, c'est peut-être la seule chose de bon que t'es vu en elle. Le sang trop chaud et le charme italien que ton père t'a donné et auquel t'en a souvent joué, t'es fier de tes racines et de cet héritage offert, t'as toujours été amoureux de l'Italie et lorsqu'on voit le charme que tu dégages profitant de tes atours offert par mère nature nul doute que t'es un italien né.

homme cisengenre
Tu t'es jamais posé une seule fois la question, t'as toujours été bien dans ton corps, bien dans l'appartenance d'être un homme sans que l'hésitation te frôle.

mixologue · organisateur événementiels
t'as lâché tes études devant les obligations d'un paternel qui te voyait plus comme un pion sur son échiquier, t'as suivi avant de tout envoyer balader pour devenir l'barman celui qu'on remarque devant le mixologue que t'es devenu dans ce club sélect, t'aimes préparer ces cocktails devant les jolies filles et les beaux mecs qui te suivent du regard et surtout de celle qui se prône à être ta reine devant le sourire qu'elle t'offre crève coeur qui te rappelle que bon sang tu l'aimes cette emmerdeuse et quand t'es pas derrière l'bar, tu deviens le roi des soirées pro événementielles, t'es devenu un nom par toi-même et non par ton putain d'paternel qui résonne bien trop souvent à te prouver que t'es rien sans lui , t'aimerais vouloir te détacher de c'monde sans y parvenir parce qu'au fond t'as beau l'nier, mais t'aimes la facilité du luxe et de l'argent qui fructifie entre tes mains et même si tu veux pas l'crier trop fort, au fond tu l'aimes ce monde superficiel.

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Tu fais partie de l'Élite, famille l'une des plus riches de la côte comme t'as souvent entendu les gens te l'aboyer à la gueule, le sourire narquois que tu leur a souvent offert à ces vautours de jaloux, t'as jamais eu honte du statut que t'as toujours eu. Gosse de riche, gosse qui a jamais eu à se soucier du fric qui coulent sans pouvoir les compter. T'as toujours vécu dans le luxe et t'as jamais songé à en sortir, t'es conscient de la chance que t'as. Tu manquerais pas à cracher devant l'rappel de ces gens qui hurlent à tout-va et bien que l'argent ne fait pas l'bonheur ça te fait marrer quand tu sais qu'au final sans argent y a rien derrière. T'as profité de l'argent de ta famille même si t'admets volontiers que t'aimes l'gagner à ta façon sans devoir rien à tes parents et surtout devant ton père que t'as trop longtemps été dépendant où aujourd'hui c'est toi qui tires les ficelles. Tu voles enfin de tes propres ailes lui prouvant que t'es bien meilleur à gagner autant de dollars que lui.

En couple avec Eden · relation libre
Tu l'avais pu venir bordel quand t'as pointé ton regard vers elle. T'as compris que l'aurais dans la peau, cette nana d'un trop grand niveau. Elle te fascine autant qu'elle peut te foutre dans une haine phénoménale. Huit putain d’années depuis que tes yeux sont posés sur elle, ta divinité Edene, elle te fascine comme elle t’emmerde comme jamais cette nana, mais tu sais que t'es foutu depuis que tu l'as vu et tu l’as dans la peau. T’as beau l’aimer à ta manière parce que viscéralement, tu sais que tu peux pas vivre sans elle, car tu crèverais sans ta reine, vous êtes aussi incapable d’être l’genre de couple à vous imaginer suivre les règles d'une société que vous envoyez chier vous l'savez tous les deux pour être le couple libre qui vous possèdent où tu te laisses guider devant l'envie, la passion et le désir qui t'animent et des corps et silhouette qui s'offrent à toi l'temps bien défini parce que le monde est à tes pieds et que tu veux l'exploiter autant que possible pour ne jamais rien regretter avant de retourner vers l'âme qui hurle le seul nom dans la nuit, Eden, ta muse qui te déchaine comme te fais enrager devant la passion parce que tu l'sais que c’est elle et que tes bras, ton corps réclameront toujours à vouloir ce qu'elle devienne à jamais tienne. Parce qu'Edene, pour l'meilleur comme l'pire, c'est elle qui est resté à chaque fois près de toi mon gars.

Bisexuel assumé
bisexuel que t'as jamais rechigné devant l'cri de l'appel du désir qui se glisse dans tes veines, t'aimes les muses qui se glissent autour de toi, leur silhouette devant leur chant de sirène qui te fait vriller comme jamais autant que les apollons qui se guident devant tes prunelles, t'es incapable de résister aux muscles qui se fondent dans ton bas ventre. t'aimes te laisser aller devant le moment qui s'offre à toi, le temps d'une nuit où t'oublie l'reste sans devoir rendre de comptes à personne hormis à toi-même.

reine du coeur des garces Roxane Dumas Campbell la voilà la madré comme t'aimes l'appeler, le refus de porter le surnom que tu n'oses même pas imaginé employé auprès d'elle maman le mot inconnu qui doit s'être dissipé autour d'elle pour le rappelle qu'elle est toujours trop jeune pour porter ce nom, et cela, même si elle a donné naissance à trois gosses qui y long laissés les marques du temps se faire sur corps, caché par le botox et les chirurgies qui sont clairement les enfants qu'elle chérit le plus dans cette vie si superficielle, mais dont elle doit remercier le ciel de lui avoir offert sans être capable d'y songer à la perdre jusqu'à y vendre son âme devant le nom qu'elle porte et pour l'y définir elle, la femme qui se refuse à vieillir, trop jeune, trop belle, elle, celle qui a longtemps porté le titre de la reine de beauté, mannequin célèbre pour tomber dans l'oublie, l'artifice qui s'est laissé porter dans les antidépresseurs pour devenir la reine des soirées mondains qu'elle organise, la seule chose au fond qu'Aaron a reçu d'elle. roi de carreau de misogyne Nolan Campbell Le paternel celui dont le nom résonne devant l'homme d'affaires à succès devenu, l'homme à la popularité sans limite, le contrôle d'une vie entière où ses gosses sont autant que les dollars qui glissent entre ses doigts un investissement bien défini et pourtant son ainé, il l'aurait presque pleuré, apparence qui le guette le refus de voir son nom s'entrevoir dans les journaux à scandale devant son autre gamin, ce fils ingrat qu'il résigne à rappeler et dont il a évité la taule parce qu'au fond, ça faisait pas beau sur les cartes de vœux, l'homme idéal, le parfait gentleman, l'homme de l'année qui a souvent entendu pour le faire marrer quand tout au fond n'est qu'image et faux semblants. valet de trèfle la mort Asher Campbell † Le grand frère, celui que t'as longtemps vu comme le modèle de ta vie avant de te prendre une gifle en pleine gueule. Pendant longtemps, tu l'as jamais quitté ou presque, tu l'as vu te protéger quand t'étais pas haut que trois pommes devant l'refus qu'on s'en prenne à son petit frère, les mots qui résonnent devant la fierté de lui dire que c'était ton grand frère, tu l'as même protégé devant des frasques, tu l'as vu s'autodétruire sans pourtant réussir à l'en sortir devant la pression de votre paternel, devant le besoin de se parfaire dans cette perfection qui l'a détruit, l'alcool et la drogue qui coulent à flot pour en devenir son nouveau sang. Tu l'as souvent ramené quand tu l'as vu incapable de tenir à la limite du coma éthylique. Toutefois, t'as pris sur toi quand on a découvert les bouteilles d'alcool, les seringues éparpillées parce que tu savais que devant sa faiblesse, il n'en aurait pas été pardonné. T'étais le parfait p'tit connard, celui qui foutait toujours le bordel, le parfait futur criminel pour que ta famille et surtout ton paternel puisse y croire que tu l'as trop entraîné sur les rivages alors que c'est toi devant le frère que t'as vu comme ton idéal, celui qui t'a fait goûté au vertigineux de la poudre blanche qui aujourd'hui se délecte comme un poison incapable de t'en séparer. Tu l'as vu le regretté vouloir t'aider en vain le grand-frère prêt à le redevenir sans pouvoir y parvenir parce que tu l'as pas laissé faire te plongeant dans l'orgueil ou la déchéance d'une vie qui te semblait parfois vide. Aujourd'hui le regret est encore plus fort depuis de décès de Asher la culpabilité qui te ronge et la colère de t'avoir laissé dans ce merdier. as de pique Alba Campbell, petite princesse ou petit trésor que tu l'as souvent surnommée, la rose qui ne manquerait pas à piquer, celle qui dans un regard pourrait songer à y être ton double, celle qui s'octroie à voir au-delà des apparences, à te voir réellement toi. Elle et toi ? Vous, ne formez qu'un, le double de chacun, elle qui connait le secret de cet accident et que t'as fait promettre de garder, mais ronger de te voir porté ce fardeau sans s'imaginer t'enfoncer dans ta propre perte. Elle qui se retrouve face à la culpabilité parce qu'elle te voit te battre contre tes démons devant les sourires qui te lancent et pourtant le duo parfait, toujours présent. Tu l'as vu bien trop fréquemment se détruire, elle aussi, devant sa maladie, la boulimie, la pression face aux mots de votre mère qui ont souvent éclaté et eu raison d'elle, à ne pas être assez parfaite. Une mère incapable de la voir elle, cette fille si fragile, mais à la fois si forte que tu surprotèges bien trop. Vous êtes continuellement les opposés d'une seule pièce, l'incompréhension qui se lit souvent devant ta relation avec Edene quand elle sait que tu l'aimes, elle qui croit bien trop aux contes de fées tandis que toi, tu es un homme des temps moderne et pourtant, malgré tout ça, tu le sais qu'elle sera toujours celle qui répondra présente, elle, la petite princesse à qui tu lui as montré qu'il y avait bien plus qu'un monde d'artifice à vivre.

Toujours, une vie entière
T'as parcouru l'monde, tu l'as vu les artifices d'une vie à laquelle les sourires, les flashs t'ont souvent traversé, la vie rêvée que tout le monde ne cesse de te répéter alors que toi les sourires forcés, au fond, t'aurais aimé cette liberté devant la cage dorée. Le monde à tes pieds que t'a couramment entendu, incapable de comprendre la vraie vie parce que t'es qu'un petit gosse de riche qui a tout eu en un claquement de doigts, les mots qui survolent qui se répètent quand finalement, tu t'es retrouvé longtemps dans la solitude à jouir d'une vie bien trop parfaite le masque bien trop ficelé sans qu'on soupçonne tout ce qui est brisé devant des règles à suivre que t'as envoyé balader pour t'offrir dans les journaux le surnom du gamin trop ingrat qui n'a jamais su quand dire merci. T'as beau avoir vu presque la terre entière, ici, c'est ton terrain de jeu, ici, c'est chez toi et ça même si celle-ci a tendance à te dévorer le reste de ton âme, elle demeure ancrée en toi éternellement.

On te voit souvent comme quelqu'un d'immature, impossible pour toi dira-t-on de pouvoir prendre une véritable décision, le refus de grandir ou de comprendre la vraie vie parce que t'as toujours eu tout sur un plateau d'argent, l'image funeste qui t'a souvent fait grincer des dents parce que loin de ce que l'on croit t'as pas eu la vie si facile, t'as dû apprendre à vivre tout seul devant des parents jamais présent et qui se fignole à cette image marque de fabrique où t'es devenu plus souvent un produit à faire vendre, les flashs dans la gueule qui t'a fréquemment sorti de tes gonds où parfois colérique tu t'es laissé entrainer incapable de garder tout en toi comme on aurait souhaité que tu le fasses. Tu les entends encore les voix à te répéter indéniablement de ne pas trop te tenir droit, de sourire quand il le faut, de ne pas croire que tu pourrais t'en sortir de cette vie parce que finalement, si t'aimes le luxe, jamais tu ne seras plus aux yeux de tous même de Edene un simple putain de gosse de riche qui ne sait pas ce que ça fait de galéré. Conneries que t'as généralement entendues, le rebelle qui a toujours préféré être au cœur du scandale, le petit cancre qui a besoin d'attention, la main trop facile, bien trop agressif, trop jaloux, des trop un peu partout, quant au fond t'es jute un gamin qui veut profiter de la vie et loin de ce qui est établi, tu utilises ton propre argent celui que t'as gagné à la sueur de ton front et même si ça personne ne semble pouvoir le soupçonner. Protecteur dans l'âme, tu l'es avec ta petite sœur, ce petit joyau, la raison pour laquelle tu gardes malgré toi le contact avec tes parents. Des parents qui ont toujours tout fait pour te borner à leur image devant le refus de te voir voler de tes propres ailes. Impossible que t'as souvent entendu parce que t'es bien encore une fois trop accro autant à l'adrénaline qu'au fric, dépendant quant au fond, t'aimes parfois cette solitude funeste qui te permet enfin d'être toi le visage inconnu qui pourrait assurément en surprendre plus d'un si seulement t'étais capable de faire confiance quand tu sais que tu l'as perdu, brisé plus qu'il n'y paraitrait.