on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb)

Jeu 14 Sep - 14:11

caleb moriarty
ft. garrett hedlund - sun

trigger warnings // confrontation à la mort, à la violence de guerre. langage cru. troubles post-traumatiques refoulés.

âge, naissance 2 AVRIL 1988, à San Diego. impulsivité qui court. impatience du démon sans détour. gueule d'ange né d'un trop bel amour. de ce qu'on n'fait plus, qui vous brûle sans finir déchu. jour de printemps, cerisiers fleurissants. trente cinq ans que le deux avril rend ce père fébrile. l'amour parti, le laissant avec les yeux d'un fils pour seul supplice.

origines, nationalité ancêtres lointains surement faits de haches tranchantes et de boucliers effroyables. longues lignées de guerriers prétendants au valhalla. mélanges d'européens en pays conquis s'abreuvant au sang suédois, souches germaniques et sèves norvégiennes. pour finalement finir américain, seulement, sur l'ID valeureuse. comme si ça justifiait tout. moriarty qui est venu se juxtaposer à la tendance pour contrebalancer. te faire fils de l'oncle Sam, héritier du sol depuis bien des années.

genre masculin.

occupation journaliste/reporter de guerre. un brin trop curieux. le verbe trop dangereux. l'oeil aux aguets. la fierté de dénoncer. ta came c'est l'écrit, l'information sans le déni. incorrigible questionneur, tu pourrais t'cramer en dénonciateur. journaliste de terrain, prêt à tout pour les gros titres du lendemain.

situation financière $$$$$, modeste, sans grande fortune, tu joins les deux bouts facilement. la plume poignante sait calmer les rentes.

statut civil célibataire convaincu et convaincant.

orientation sexuelle hétéro. indicible admirateur des filles d'Eve. les femmes, le charme et les cambrures qui appellent au rêve.

situation familiale un père. une soeur. et une mère qui vous a quitté il y a quelques années. la nonchalance qui transpire par tous tes pores n'ont pourtant jamais ternis la loyauté que tu voues aux tiens. la famille, c'est sacré.

à oceanside depuis quasiment toujours. avec des départs incessants pendant des mois, voir quelques années consécutives pour tes envies de liberté. pour ne jamais déroger à c'qui t'a toujours fait vibré : l'aventure.

(moqueur) t’as toujours eu la critique facile. l’acidité au bord des lèvres, donnant trop de place à cette arrogance qui saigne par tous les pores. si ton entourage s’y est fait, il n’est pas rare de soulever quelques réactions chez certaines personnes que tu rencontres. (vagabond) l’envie de voir de l’inconnu. partout. Tout le temps. ce sentiment qui fait éclater chaque bulle au son du mot ‘liberté’. tu l’as comblé pour voir du pays et en brisant les routines de ce cœur qui n’aspire qu’à fuguer. (bourreau de travail) la nuance réside seulement dans ce que toi tu t’imposes. Et ceux depuis toujours. t’es objectifs, ta vision des choses. ambitieux certes, mais seulement dans le but de défendre le monde. tu peux parfois rester des heures devant un page word tant que tu n’arrives pas être satisfait. (altruiste) des années d’humanitaires qui t’ont forgé il est vrai. mais des fois ça va bien plus loin. tu n’comprends pas cette richesse maladive qui rend les gens dépensiers. l’attachement au matériel, tu ne l'envisages pas et c’est souvent bien pour ça que tu peux pas te fondre dans la masse d’cette société d’assistés. (sociable) T’as une bonne gueule, mec. le sourire facile, la bravade qui fleurit, toujours partant pour éloigner l’ennui. jouant des coudes, la banane aux lèvres et la blague comme seule ritournelle. toujours pleins d’amitiés, d’amours effrénés, une jeunesse façonnée par des êtres choyés. alors la fête créée ta parade, les néons n’éclairent que l’essentiel et les vraies peurs se déguisent de plus belle. tu t’rassures vers les autres, histoire d’faire battre tes (curieux) avide de tout. t’aimes l’aventure autant que les émotions qu’elle te procure mais le besoin de savoir rattrape tout autour de toi. cette soif de connaissance qui te nargue chaque jour un peu plus. (égocentrisme, oui parfois) l’ambivalence du philanthrope revendiqué plus haut. ouai… parce que t’as pas l’temps pour les pleurnicheries abusives des autres. tu sais c’que tu vaux. tu connais tes défauts aussi bien que tes qualités, et t’as pas l’intention de changer juste parce qu’on aime pas ce que tu vends.

perso irl

I want you to hold out the palm of your hand

ces gravitations indiscrètes. tu les réfutes depuis si longtemps. tu les ignores et pourtant tu ne sens qu’elles. accolées le long des fibres nerveuses. dormeuses. tueuses. petit à petit, elles grappillent toujours plus de terrain. à chaque fois que les sombres heures te coiffent au compteur. tu l’sais, Caleb, tu l’sens. sur ces années devenues des heures. pourtant, tu continues. persuadés que rien ne peut t’atteindre, abimer la carrure robuste de celui qui a toujours l’mot de la fin. combien d’temps encore tu t’croiras maitre de ton destin. tous ces contraires adoptés pour continuer à avancer. le rire acerbe face à ces larmes tranchantes. l’ignorance totale plutôt que le vide perpétuel de savoir aimer. le déni intéressant en concurrence de la douleur de se rappeler.

cris sur larmes.
feu sur arme.
mort sur vie.
encore, tu survis...

***

( UNE ) la seule est unique gifle que tu as reçue de ta mère. Celles de ton père tu ne les comptes plus. Mais la claque de la génitrice tu l’as bien trop suscité pour qu’elle ne vienne pas faire rougir ta jolie pommette saillante. T’étais déjà grand, plus vraiment un ado et carrément moins un homme. Pourtant encore très con avec tes idées de jeune premier. C’était une broutille, juste un débat sur ton essai de fumer un joint. Ta mère t’a chopé, t’as essayé de lui tenir tête du haut de ton mètre quatre-vingt-dix mais son revers n’en a eu que faire des quelques mètres de hauteur et de ta bouche déjà sans scrupule que tu pensais lui imposer tout bas.

( DEUX ) comme le nombre de petites copines que tu as présenté officiellement à ton père. en comptant Ronnie de la maternelle, c'est pour dire. pourtant t’accumules pas les nanas comme si tu voulais battre un record, mais tu résistes difficilement à des yeux de biches, Caleb. Ca n’a jamais été ton truc les histoires longues durées. comme si t’étais pas fait pour ça à la base. comme si y’avait plusieurs moules, et bien toi t’étais fait dans celui qui n’savait pas comprendre les femmes et leurs besoins existentielles. ou tout simplement tu réfutais quelque chose. la peur d'être fragilisé ? ou simplement parce que tu cherches, sans l'avouer, celle qui ne vient jamais ?

( 3 ) mai 2012, jane moriarty-morrison décède, laissant derrière elle un mari en fin de carrière et deux grands gamins qu’on bouscule. fort. les repères qui s’ébranlent, la voix douce qui s’essouffle. c’est apprendre à vivre sans ton premier souffle. à sa mort, tu changes le nom de ton père pour le sien. y soulignant que celui-ci est plus favorable pour ta vie professionnelle. et pour ne pas avouer qu’en vrai c’est un hommage dont tu veux rafistoler les ailes. comme si on t'guettait, là en haut du ciel.

( QUATRE ) comme le chiffre qui symbolisait autrefois cette famille parfaite. si au départ, tu es fils unique, Maya viendra sept ans plus tard faire fleurir ton rôle d’aîné avec ferveur. tu n’as jamais aimé être seul. enfant bien heureux de voir débarquer ton alliée quelques années après. la cadette, fougue de cette jeunesse imprégnée que tu devras protéger. le caractère de feu semblable à une Moriarty. devenue bien vite ta meilleure associée dans c’tableau idéal qu’avait promis papa.

( cinquième ) interventions chirurgicales sur ta carcasse mon gars. jusqu’à maintenant tu t’en sortais plutôt bien. sauf que les précédentes opérations s’accumulent sur ce genou touché à nouveau. tu viens de rentrer d’Afrique Centrale. et c’est pas beau à voir. résultats, béquille en sortant de l’aéroport, réduit à devoir te taper la résidence forcée sur l’sol américain. enfin chez toi, et pourtant si loin d’ta foi.

( SIX ) années en tout que tu as passé loin de Oceanside, ponctuant des prompts retours par intermittence. à voyager. à explorer. à écrire pour de grands périodiques. à côtoyer des populations ravies de vous accueillir, de vous offrir l’eau et le pain en échange d’un peu d’aides manuelles. à juste coucher sur un papier des décisions militaires infâmes qui détruisent les sourires de l’innocence. le mal jusque dans sa plus belle délivrance. mais lorsque tu reviens au port, c’est comme une drogue que seule la mort rappelle dès l’aurore. qui t'fait toujours reprendre le nord.

( 7 ) Clayton Street. la belle maison, le porche et la palissade blanche. ton enfance a l’odeur du popcorn et du jasmin. l’image enfantine d’un jeu de billes. un sourire malin. une main rassurante. un genou ensanglanté et une cabane dans l’arbre qui t’a fait suer. putain que c’était bon. l’innocence sans conséquence. fils prodigue, longtemps attendu de parents qui n’y croyaient plus. la belle vie. une soeur qui enfin est arrivée pour compléter. l’amour inconditionnel, rien ne peut trahir autant de souvenirs quand ils ont été choyés pour y inscrire l’avenir.

( 8h ) c’est l’heure la plus tardive à laquelle tu puisses te lever. T’as jamais été un gros dormeur. C’est ton truc d’être sur le pied de guerre aux aurores, avant tout le monde. Avant le marchand de beignets ou le mec qui va ramasser les merdes sur l'trottoir. T’enfiles ta paire de baskets et tu pars courir pendant une demie-heure comme si on t’foutait continuellement le diable au cul. et parce que pour suivre un peloton surentrainé de la milice, y'a pas vraiment l'choix que d'avoir le cardio effréné.

( 09 ).11.2015. vingt-quatre heures qui enflamment le chrono avant d'l'éteindre. si tu feins aujourd'hui d'être passé à autre chose, tu les collectionnes ces fantômes, la concurrence rude de tes décalcomanies enfantines aux joueurs attitrés. vieux albums insouciants ternis par ce jour où la douleur s'est conjugué sur ta peau pour la connaitre par coeur. tu revois encore les visages en sang. tu les entends encore les bombes qui taisent le silence. tu n'oublies pas vraiment cette soirée que tu voulais héroïque mais qui n'est venue que confirmer ton utopie extatique. fini les rêves du petit, les champs de la douleur au prix de tes articles de malheurs. ces clés que tu n'aurais pas du laissé à Gale parce que l'alcool est le premier traitre. ces vies qui t'appelaient sans que tu ne puisses accorder plus qu'un brin de plume dans un cahier. l'insouciance avortée de ces les démons du désert qui t'avaient enfin rattrapé. trou noir et lumière aveuglante. crissements de pneus, derniers souffles poussiéreux. le gout métallique sur la bouche qui compriment tes mots si souvent excédés, te voilà sans voix au milieu de l'asphalte calcinée. payant ce prix où l'autre dimension t'appelle, cette nuit qui te fait démon apeuré, mais aussi sauveur d'une nouvelle âme morcelée.

( 10 ) le numéro fétiche d’un joueur ayant fait rêver un gamin qui adorait déjà le basketball. Vieux joueur adulé, ce Walt Frazier. Certes, t’es né à San Diego, mais ton cœur appartient forcément au Knicks de New York depuis que t’a adoubé ce joueur légendaire, toi le petit gars pas très haut à cet âge-là qui rêvait déjà de dunker en maitre.

( 11 ) minutes. les plus longues d’une vie. dernières pulsations que l'aiguille du temps a choisi d'étrangler. oui, le voilà encore ce chrono qui dégringole attendant patiemment ces flammes qui t’enrôlent. léchant le corps inerte, où la voix acerbe était le seul intermède. tes deux amis endormis totalement pour les années à venir, le silence mortuaire que l’habitacle te pousse à t’extraire. vive volonté du survivant qui souhaite se pincer pour retrouver un semblant d’réalité. loin du cauchemar qui est venu te pourchasser. tu n’veux pas comprendre. sonné et à dix mille lieux où tu voudrais être alors que ton jeans puent l’essens et le sang. putain. qu’est-ce qui s’est passé ? mais tu n’veux pas savoir, car ce n’est pas la réalité. pourtant tu l’entends ce gémissement. entre les pots qui explosent et les cheminées de feu qui s’arrosent. ça et là. autour de vos corps carabinés. tu n’es pas seul dans c’dédale. comment est-ce possible ? pire que ces champs d’bataille près de Damas, le spectacle des ferrailles entrechoqués crève ton battant sclérosé. tu bouges, ce pantin effroyable dans la nuit. ta voix s’anime lorsque tes pupilles s’entrechoquent aux billes noires que la mort a édenté. jeune et captive, sous les desseins de la mort qui vient d’prendre son coeur en dérive. putain. bientôt l’aide arrivée, mais pour le moment seule ta voix tente d’affronter son cauchemar éveillé. Debra. seule son prénom qu’elle laisse échapper, seule vivifiance qui la fait souffler. seule vérité que tu vis dans cette réalité emplie de faussetés.

( douze ) cette tension bien trop haute qui frappe chez toi. T’as toujours été un petit sanguin même si avec le temps t’apprend à mesurer les mots et les gestes, les rechutes font que t'es ce mec qui ne vit que l'instant présent. sans toutefois devancer ces foutues années. la soif du vide et de l'adrénaline sont compères pour animer les journées ennuyées.

( 13ème ) connerie, excuse ou tromperie que tu vas devoir broder pour éviter ces rendez-vous offerts amoureusement par ton gouvernement chéri. la cervelle atrophiée par les dégâts de la milice engagée, tu t’considères comme un mec qui va bien. très bien même. il le faut. psy, médecin et autres connards qui semblent tout savoir sur un enfer lu dans les livres de la bien-pensence. t’es pas un soldat, t’emmerdes ces malins qui croient que t’es chargé d’séquelles depuis que t’as humé le macabre du terrain. persuadé que le temps apaise les contusions, tu n’avoues pas les plaies encore rougeoyantes. le feu danse silencieusement, attendant sa plus belle cadence.

( quatorze ) fois que tu recommences cette merde romantique de 'n'oublie jamais' en essayant de pas t'endormir. pour une Cooper dont l'moteur t'fait vrombir à vue d'oeil. et tu comprends pas c'qui t'arrives. car dans tes dires c'est l'inverse que tu revendiques. peut-être que si t'arrives à capter une de ces conneries mièvres des films à l'eau d'rose, tu pourras enfin réussir à surprendre Charlie dans une lettre anonyme que t'aurais écrit sur un tarpé d'trop. qui en dirait surement trop. ou pas assez aussi. fais chier, Caleb. même ton genou est moins handicapé que ton battant défectueux.

prénom, pseudo jobijoba. âge trentaine dépassée. pays franceuh. type de personnage inventé. origine‧s de la célébrité suédoises, germaniques, norvégiennes.d'où viens-tu on m'l'a chuchoté. en vrai j'suis déjà venu, je retente 1998006903

crédits tumblr. dinos. a-devious-route@tumblr. autre bibbidi-bobbidi-bobbidi-boo.

i don't wanna talk about the way that it was

bottin des avatars

Code:: <aa2>garrett hedlund</aa2> @"Caleb Moriarty"

registre des emplois et logements
quartier peacock
lieu autre.

Code:: <aa2>reporter de guerre</aa2> @"Caleb Moriarty"

quartier south oceanside.
type d'habitation appartement
autres habitants non.

Code:: <aa2>#91</aa2> @"Caleb Moriarty"

répertoire des personnages

Code:: <ac>@"Caleb Moriarty"</ac> <aa>35 ans, célibataire, hétérosexuel, reporter de guerre.</aa>

Jeu 14 Sep - 14:32

on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 767149718

on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 382148997

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on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 476565250

Tant de joie en moi rolala on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 1491900633

Je suis pas peu fière de t'avoir fait craquer on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 1198334161

Je savais que tu pourrais pas résister à Chacha on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 1381766960

J'aime Caleb très fort tu le sais et ça fait tellement plaisir de le revoir joué hoo

Hâte de te retrouver mon rocher, mon petit carapuce adoré, mon emmerdeur préféré on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 3116843944

Bienvenue parmi nous coeur

Jeu 14 Sep - 15:39

Charlie Cooper a écrit:
Hâte de te retrouver mon rocher, mon petit carapuce adoré, mon emmerdeur préféré

didonc, tant d'amour là. j'dois m'méfier ?
merci ma p'tite Sacha du Bourg Palette on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 1307173070

j'fais vite. j'suis pressé on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 1706034852

Jeu 14 Sep - 15:54

Garrett

(Le pauv' papa Moriarty avec un fils reporter de guerre s'il a déjà plus sa femme on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 1108443507

)
Re-bienvenue on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 3827413925

_________________

--- every time you come my way wanna hear you whisper my name.

Jeu 14 Sep - 16:04

@Caleb Moriarty Arrête j'vais passer pour un tyran mdr

Alors qu'on sait tous les deux que je suis un véritable petit amour avec toi Rolling Eyes

Oui termine vite, on a de belles choses à faire ensemble coeur

Jeu 14 Sep - 16:40

Oh mister sexy ! drama

Bienvenue sur le forum ! happylove

Jeu 14 Sep - 17:39

bienvenue par ici !! on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 2866837749

on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 3513915865

Jeu 14 Sep - 18:25

L'avatar + le métier, vraiment un excellent choix.
Bienvenue sur le forum coeur

Jeu 14 Sep - 19:24

Bienvenue à toi on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 3513915865

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stucked in a golden cage

One day, i will be free and myself

by anaëlle.

Jeu 14 Sep - 20:30

merci à tous, votre accueil est parfait I love you

Jeu 14 Sep - 20:40

c'est bien de craquer et de céder à la tentation. on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 1253600179

breeef, bienvenue parmi nous! on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 3320956457

Jeu 14 Sep - 20:59

mais toutafay.
faut rajouter du sel à sa vie voyons !
et merci à toi on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 1706034852

Jeu 14 Sep - 21:44

le fc + le pseudo chefskiss

bienvenuuuue coeur

Jeu 14 Sep - 22:34

(re)bienvenuuuue. flower

on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 1915553615

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we’re not star-crossed, but we can still wrap ourselves in the seams of a quilted universe that we didn’t stitch, bathe in the glow of the sun that doesn’t shine for us.

Ven 15 Sep - 0:14

félicitations, te voilà validé·e

Je suis très heureuse de voir que tu as cédé et que tu es parmi nous.
Lire cette fiche a été un véritable plaisir. Ce FC + ce pseudo + ce choix de métier. Je m'avoue sous le charme. J'ai bien hâte de plus en découvrir sur Caleb in RP.

Te voilà maintenant validé·e et prêt·e à rentrer dans le jeu. Afin de t'y retrouver au mieux, tu trouveras ci-dessous les divers registres (tu peux également vérifier si tu y as bien été ajouté·e). coeur

bottin des avatars emploi/logement répertoire des personnages

Mais également d'autres sujets importants pour le bon lancement de ton personnage et pour décompresse et t'amuser grâce à la zone flood et jeux. flower

poster ses pré-liens liens en vrac poster sa fiche de liens

trouver des rps flood et jeux voter pour le forum

Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter quelqu'un de l'équipe administrative. bee

Nous te souhaitons un très bon jeu parmi nous. heart2

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Girl, you'll see the world and you'll come to learn that falling in love is a strange work of art. All of your battles will shape who you are, and know that your scars are my favorite part. I want you to know this

Ven 15 Sep - 9:43

Speedy gonzalez celui là !! J'ai même pas eu le temps de passer par là.
A ce qu'il parait, y'a une idée de lien qui traine ? on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 1910345601

on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 1910345601

bienvenue par ici et bon courage pour supporter la p'tite chacha on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 2607692337

Ven 15 Sep - 10:08

@Caleb Moriarty Merci, avec ton pseudo, j'ai la chanson des Gipsy Kings dans la tête on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 3943799615

Bienvenue et have fun 1998006903

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. ❝ Live like Jay ❞

Ven 15 Sep - 10:53

@Keeley Kane oh merci pour les mots et cette validation express ! on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 3827413925

@Sören Blomberg hey merci toi.
La petite Cooper parle trop on dirait on s'déteste et on s'aime, de façon calamiteuse. (caleb) 665095378

mais j’suis toujours ok pour des liens !

@Tyler Kane-Sheperd c’était l’effet voulu haha merci à toi !!