( que dios me libre ) - javi
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( que dios me libre ) - javi

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javier rojas
ft. diego luna - [stars ✧]
trigger warnings // accident grave, noyade, hôpital, coma, anxiété/phobie (mention de trigger), conflits familiaux (dissociation émotionnelle, isolement), rébellion adolescente, adultère.
âge, naissance 41 △ 17/02/82 - uppercut dans la gueule, années écoulées lézardent la face. au derme froissé, s'oppose quelque brin d'malice immature brillant encore aux pupilles. l'enfant d'hiver a écumé la vie comme série d'opportunités à saisir. s'écharpe à l'indépendance: au croisement d'existence, elle a plus trait à solitude.
origines, nationalité bambin américain à l'identité farouchement mexicaine. renie oncle sam pour l'accent d'la familia imbibé sur la langue. retroussent les lippes, cyniques critiques de la terre d'accueil. ne s'y sent qu'à peine y appartenir. dans les veines, ichor maternel aux arômes british, demi-teinte d'histoire aux errances jusque-là.
genre il | cis m - fils et frère.
occupation passé est reflet d'opportunités perdues. voies hasardeuses, séquelles douloureuses. sagesse martelée dans le crâne, s'essaye à la transmettre. casquette d'éducateur. guide jeunesse dérive. force d'expériences, ancre la main sur l'épaule d'gosses paumés qui pourraient finir pire.
se sont envolés des rêves d'une gloire sur océan bleu. l'écume en abysse, rendue canevas d'phobies qui l'contrôlent tout entier. à 14 ans, promis à l'avenir glorieux d'un jeune surfeur. passions usées aux désillusions. peur assassine dans l'bide, abhorre sans s'l'avouer la ville berceau des affres noires.
situation financière $$$$$, cigale n'connait pas l'hiver. écume le monde et les coups d'poker à la fois. l'compte en banque séries d'nombres en dents de scie. lubies parfois l'mettent dans le rouge. carpe diem a pesé sur l'portefeuille dès qu'il a acquis quelque indépendance. parfois, a emprunté du fric. quelques dettes d'honneur même pas épanchées. s'engage souvent à faire mieux, s'rattraper. et les mots flétrissent dans des intentions et promesses élimées.
statut civil désespère, célibataire: famille l'aurait imaginé dans la norme. les histoires s'délitent d'elles-même, myocarde imperméable aux émois d'romances mielleuses. sème désastres, subsiste sur les lippes des amantes comme nom maudit. inévitable déception au tournant, vend comme prétexte qu'il a pas l'temps.
sur le papier, d'ailleurs, s'affiche divorcé dans d'vieux dossiers d'avocat. décision à la déraison, s'est soldée d'esclandres devant médiateurs et d'revanches corrosives.
orientation sexuelle simple, invariable hétérosexualité. rares donzelles ont dicté caprices. pas d'place pour des hommes en plus. s'il n'se met aucun label, a tous les symptômes de l'indomptable, imperméable aux romances: pas l'temps, pas la place, pas l'envie. trop compliqué.
n'a jamais su tenir une relation bien longtemps. marque aux erreurs indélébiles son passage dans les vies des autres.
situation familiale famille est nuances d'différences. personne qui s'ressemble, personne qui s'appartient vraiment. on chante louanges d'une générosité incluse aux rojas: dès l'enfance, le devoir d'aider les autres imbibé dans l'crâne. et parents ont voulu à tout prix qu'ça raisonne jusqu'au myocarde du fils. mais ici et là égoïste, revêche, rebelle, s'est effrité de quelques refus capricieux. a vu la déception teinter les regards, trop d'jugements dans les pupilles pour celui qui s'proclamait vrai fils.
gamin adoré au mexique natal, grand-maman qui lui pince les joues et lui réserve toujours plus d'attentions, fruit d'une mixité culturelle qui a déjà existé dans le mariage d'ses géniteurs. lui, n'a pas été ouaille ramassée à la p'tite cuillère, mais bébé amené dans c'monde avec amour. poupon choyé, enfant par l'adn: l'unique s'est retrouvé gosse du milieu, balloté entre des univers opposés, des dégueulis d'souffrance et peines qui ont rythmé sa vie. à chaque tournant d'existence, une nouvelle cause, un nouvel orphelin recueilli par les cœurs mièvres des parents. tant d'affection à revendre, et dans l'enfance déjà, une baraque qui débordait de gosses. frères et sœurs en bataille, des guerres à l'attention. javi, pour longtemps discret, le chouchou d'mamie, ça suffisait. et puis l'accident, l'explosion, la rébellion.
à oceanside depuis bon gré mal gré, bébé du coin, avait été encore dans l'ventre d'sa mère quand ils ont posé bagages.
s'est depuis épanché, évadé dans mille occasions d'partir. mille voyages, mille aventures, mille vagues réponses quand on lui demandait quand est-c'qu'il comptait revenir. toujours, filin d'destin le ramène là.
△△△
vertigo
                                       

suinte des clichés d'antan, un gamin sensible et timide, quelques discrétions bloquant un sourire sans dent sur le visage. on lui attribue toujours des moments avec des animaux, quelque coccinelle ou fourmi au creux de la paume, délicatement préservé, comme un trésor adoré. et puis un jour, un chaton qui deviendra le compagnon d'la famille. on le dit perceptif bien que discret. il y a les tempêtes, et les eaux troubles, comme lui. depuis toujours quelque indépendance qui tire à l'entêtement quand tous les jours d'l'été, il veut aller à la mer. court vers l'eau avec quelque imprudence, s'fait gicler par les vagues. pendant d'longues années d'enfance, l'océan est passion démesurée. il fait d'la plongée avec quelques autres mômes, devient d'plus en plus téméraire avec les expériences. saute de plus en plus haut depuis les roches amassées sur les plages azurées. repousse ses limites et s'révèle naturel sur une planche de surf. bravoure lui fait avoir les yeux plus gros qu'le ventre. il est tout juste adolescent qu'il croit sa vie toute tracée, s'enivre d'à quel point il impressionne les autres. d'au combien ses parents croient en son rêve. la douche froide est celle donnée par mer adorée. des relents d'une nature violente, s'déferlant sur le corps d'un gamin. et marqués au fer rouge dans la mémoire, l'jour où il a failli crever. aurait peut-être dû pendant si longtemps, la gravité de c'songe pèse sur l'être. n'est plus candide et les désillusions s'distillent en rage. ça surprend tout l'monde, quand il saute à la gorge d'un gosse qui s'était amusé à l'provoquer toute l'année durant. qu'il balance ses premiers poings d'colère dans la gueule d'un bully qui ne s'y reprendra pas à deux fois.
et s'il a laissé quelques plaies derrière, n'sait, adulte comment les réparer. s'râpe la langue aux mots jamais dits, grand amateur des opportunités manquées, d'faux départs et fins trop rapides. peur et cynisme ont créé l'homme qui n's'est jamais posé. expertise d'aller de l'avant, de compter sur l'eau qui a coulé sous les ponts, plutôt que d'affronter quoique c'soit, vraiment. demeure imprévisible même pour lui, quelque lâcheté au tournant, quand ça devient compliqué, prise de tête. s'défile des liens sociaux, ne reste toujours que la famille, celle à qui il donne l'impression de n'appartenir qu'à moitié. ni l'plus démonstratif, ni le plus loyal, est l'être peu expansif que quelques ont appris à accepter. font avec. parfois, s'ramasse quelques piques. se dit même à lui-même qu'il pourrait faire mieux. mais devant l'fait accompli, reste toujours le même.
un flegme d'acier, l'rend plus attentif qu'on ne l'imagine: s'montre amour aux actes, à l'intuitivité avec laquelle il connait ceux qui l'ont apprivoisé. et pour toutes ses défaillances, s'montre fiable quand il le faut: aux pieds du mur un ultime retranchement qui dicte lois de l'âme.


I want you to hold out the palm of your hand
1. sa naissance s'fait sur un lit d'hôpital. linceul rougeâtre, les entrailles de la mère quittées. et dans l'bonheur effervescent, le patronyme 'rojas' est celui qui sera sien toute sa vie.
il est progéniture biologique, fruit d'amour de ses parents. dans le ventre rebondi de sa mère il a grandi, on lui voit une vie plus heureuse que ses frères. la destinée, écrite même dans son être, d'appartenir parmi les siens.
pendant trois ans et quelques, le p'tit dernier. jusqu'à frankie.
et sam. et puis luisa.
famille est tumulte sans repos.
des cris, des rires, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept.
six gosses qui rythment quotidien.  
les parents qui clament haut et fort qu'ils n'y changeraient jamais rien. qu'leur famille patchwork est à leur image, parfaite-imparfaite. à oceanside, tout l'monde les remarque.
pèsent parfois, certaines œillades.

tw: mention d'accident, noyade, hospitalisation, coma, anxiété
août 96, fin d'vie avait des airs de tous les jours.
sous brasier californien, on l'a repêché juste à temps. gamin n'se souvient pas avoir ouvert les yeux, s'faire percer la rétine par le soleil. sa peau grignotée par le sel de l'assassine: il avait laissé quelques parcelles d'âme dans les abysses de l'océan. on lui avait tout juste fait recracher l'eau dans ses poumons, que les corps partout autour s'agitaient à nouveau. souffles suspendus sur l'agonie du gamin pendant d'longues secondes, la réalité était revenue en flots, avec les embruns marins.
△ javier sur ses derniers instants d'conscience, ses premiers déchaînements d'peur, de vraie peur, est seul. passe dans les couloirs de l'hôpital à la vitesse de l'éclair. la faute à pas d'chance. a glissé le souvenir de la voix des parents, la promesse d'essayer d'être là pour sa compétition. l'évidence, qu'il y avait toujours à faire dans l'foyer rojas. habituellement si débrouillard, personne n'aurait pu deviner la tragédie que le destin avait préparé.
quand les parents arrivent, il est déjà dans le coma. stase artificielle destinée à lui sauver la vie. pourtant, mots s'évaporent sur les bouches, quand il est question d'parler de son sort. certains profilent l'horizon optimiste. d'autres réservent les cruels jugements des heures les plus sombres. personne n'veut envisager qu'il ne se réveille pas. et personne non plus, n'pense à ce qui se passera quand il se réveillera.
deux semaines en suspens, égrainent les doutes et images désastre à l'imagination. dans l'abîme, le fils s'oublie. au réveil, n'est qu'ombre de ce qu'la passion avait fait de lui. s'étiolent les rêves, et s'insinue la peur. autour, on l'baigne de la culpabilité de n'pas avoir fait assez, pas avoir fait comme il fallait. parents l'abreuvent de leurs souhaits d'un autre monde, des 'on aurait dû', 'si on avait su': la réalité reste inchangée, et les jours, semaines, mois s'allongent aux battements réguliers de douleurs lancinantes dans un corps qui s'répare lentement.
le cosme d'amour autour fait avancer l'temps, enterre les mauvais souvenirs du collectif familial. insidieusement, javier reste seul, imprégné d'cette mélancolique amertume. si les procédures de rééducation s'étalent de plus en plus dans le temps, se raréfient jusqu'à disparaître comme les médocs, l'anxiété assassine dans les entrailles.
et pour une certaine durée, c'est juste fermer les yeux qui fait peur. peur d'pas se réveiller. plus tard, fermer les yeux l'ramène sous les vagues furies.

l'ado s'rebelle, indiscipline frustration rage à l'éther.
trouble l'enfant paisible des rojas.
devient un peu comme cette mauvaise graine.

3. s'pourrit lui-même quand l'école n'fait plus sens. qu'il n'tient plus en place à faire des maths ou d'l'histoire. qu'il voudrait retourner vers l'océan, vers ce qui a toujours fait sens. mais que l'entêtement s'écorche contre les peurs maîtresses qu'il n'arrive pas à dompter.
et aux souvenirs encore frais d'autrefois, rien d'autre ne trouve grâce.
ni le tennis, ni le baseball, ni le skateboard.
ni le dessin, ni la musique, ni même la lecture.
rances sont même les quelques loisirs d'avant. un beau jour, à un vide-grenier, javier balance tous ses bouquins sur l'océan, les posters qui avaient été collés aux murs d'sa chambre, les quelques instruments de pseudo-science qui l'avaient tant fasciné au bord d'la plage. avant. le changement n'va à personne, et les mots d'réconfort sont comme des couteaux remués dans la plaie. et c'est contre les parents finalement, qu'la colère s'affute le plus ardemment. hurle l'plus fort et librement.

il a quelques quinze ans quand il fume son premier joint.
découche toute une nuit après avoir fait l'mur.
fait agoniser d'inquiétude les parents.
à seize ans, plante même la bagnole familiale dans un arbre après avoir trop bu à une soirée. s'traîne un dossier disciplinaire long comme le bras.
et puis un jour, même un avertissement d'un juge, après une bagarre en pleine rue. des menottes aux poignets, des flics qui l'ramènent chez lui. il est mineur, on n'veut pas lui pourrir la vie. l'fait très bien tout seul.

4. c'est une mi-demande d'sa part, et à moitié l'acte désespéré de ses parents. l'exil de quelques mois à tijuana, sous l'aura de la grand-mère paternelle. de soi-même, ça en devient presque un an.
solitude le fait respirer plus facilement.
mais dans les bas-fonds de la ville mexicaine, les rencontres désastres s'enchaînent et s'déchaînent. en fin d'compte, passe plus de temps à échapper à l'attention d'abuela qu'à vraiment guérir.
n'grandit pas vraiment, égraine le temps.
a vingt ans quand il la rencontre.
a toujours vingt ans, quand elle sort d'sa vie avec esclandres.
qu'il lui brise le cœur, parle d'retourner aux états-unis.

2002s commence des études sur le tard.
au community college, n'tiendra que trois mois et quelques, avant d'tout lâcher. un cursus de lettres modernes qui tourne en rond, existence vaporeuse, de canapés squattés après des fêtes endiablées, en quelques retours dans sa chambre de toujours.
à la maison. chez papa-maman.
toujours ses passages s'font remarquer.
restent des prises de tête, incompréhensions chargées d'électricité: si on essaye d'l'éduquer, c'est trop tard.
fils n'est pas adulte, aborde pourtant sa majorité légale.

il a 21 ans quand il bosse sur un chantier pour la première fois.
s'fait jeter au bout de deux semaines pour son absentéisme récurrent.
21 ans toujours, quand il stagne derrière un bar à servir des verres.
s'fait virer pour s'être tapé une collègue dans la salle de pause.
21 ans quand il se fait prendre à piquer du cash dans la caisse du fast food qui l'avait embauché par générosité.
quelques 22 ans quand c'est lui qui envoie bouler le système.

6. vingt-trois ans il décide de plier bagages.
part avec ses quelques économies pour la première fois, grand saut vers l'inconnu.
pointe au pif l'endroit d'ses rêves, embarque direction l'asie du sud.
s'y perd complètement, jusqu'à la rencontrer, elle. une autre.
deuxième nixe marquante à l'existence, capture myocarde avec ses quelques quinze ans d'plus dans les ailes. porte l'expérience en armure, s'soulève contre les horreurs du monde en voyant la beauté de l'humain.
avec son appareil photo, a capturé sur pellicule les histoires du partout autour. déterminée, ambitieuse, américaine engagée sur tous les fronts. l'inspiration qui a fait vibrer l'âme. s'est enflammé si vite, si fort, qu'ça a duré un an tout au plus. le bordel échevelé, en un rien d'temps à redéfini l'univers.

et après elle, des années d'va et vient.
décade et quelques, écoulée à n'jamais rester en place, quelques temps à oceanside, s'épanchait d'aventures de tous les horizons.
mirage inévitablement disparaissait.
jamais n'restait, jamais ne s'arrêtait pour prendre l'air de la maison.
mais les causes étaient bonnes, cette fois. javier, finalement, fils d'ses parents, a trouvé sens quand il a aidé les autres. creusé des puits dans des pays arides, éduqué quelques gamins à savoir compter, lire. a aidé à réhabiliter des bestioles quasi-disparues. parfois, s'est fondu aux populations autochtones, caméléon d'expériences nouvelles.
mémoire en collections d'images, commémorées à l'encéphale.
a longtemps navigué avec tout l'monde et seul à la fois.

tw: adultère
7. et encore une l'arrête, le retient.
l'ancre au foyer, contre toute attente. californienne au sourire soleil. il a trente-cinq ans quand il s'pose. vague et divague avec elle surtout. s'disent oui, s'disent non. s'attirent, s'repoussent. à ne pas s'avouer ce qu'ils sont, ce qu'ils ne sont pas, elle devient l'histoire longue de sa vie. se cherchent sans se trouver. tantôt amant dans un couple qu'elle décrit à à la dérive. l'envoie chier quand elle décide d'essayer encore, avec son gars. devient l'inatteignable auquel il s'accroche rien que par orgueil.
cœur brisé, s'exile de nouveau, pour la fuir.
revient trop vite pour la retrouver.
l'histoire dure trois ans comme ça. et sûrement qu'elle est pas vraiment officiellement séparée encore, quand ils s'enfuient à leur façon. hawaï en arrière-plan de décor, pour un mariage sur le tas. peut-être un peu trop d'alcool dans le sang, surtout des promesses qu'une part d'eux, sait qu'ils n'tiendront pas. trop compliqué.
pourtant, c'est elle qui part en premier. brise les quatre jours d'bonheur qui ont suivi. parle d'retomber les pieds par terre.
de retourner à oceanside. avec son mec. avec sa fille.
de toute façon, y a même pas de vraie bague.

8. à la maison, famille est solidité réconfortante.
un cocon où il stagne quelques temps. abandonne de nouveau.
y revient par la force des choses. rallonge les arrêts. erre à oceanside, presque malgré lui. règle un divorce bordélique, qui fait jaillir mille secrets. expose au grand jour les décisions pitoyables qu'il a prises. sent peser les regards sur lui, réprime culpabilité d'faire exploser une famille de quelques quartiers plus loin. dans cette nouvelle dynamique, de haine mutuelle qu'ils s'créent, sèment venin et poison. corrodent l'amour d'autrefois, s'accrochent pourtant à des combats vains, fierté contre fierté.
s'détruisent pour ne plus s'aimer. se consument d'une autre façon: ne laissent brasier que comme un charnier de vieux sentiments meurtriers.
(...)

religion est précepte moral plus que réelle croyance occulte, un repère inculqué principalement par pieuse abuelita △△ anglais et mexicain sont langages courants qu'il maîtrise l'un comme l'autre comme un natif. élevé au croisement de deux univers, d'un côté et de l'autre d'une frontière, considérait, enfant, oceanside et tijuana la maison tout autant △△ thalassophobie aussi puissante que sournoise, persiste depuis l'accident de ses 14 ans. maintes fois pendant quelques années flottantes, il a essayé de se forcer, présente tous les signes phobiques dès que l'eau atteint sa taille. anxieux sans se l'être avoué pendant longtemps, le bruit même de la mer à oceanside est trigger d'émois qui l'ont toujours fait préférer ailleurs. △△ frère a amassé de nombreux manquements, sans doute responsable de plus de distensions avec sa fratrie qu'il ne l'assume. s'est longtemps isolé de lui-même, ne cueillant l'attention que si on prenait le temps de la lui donner. au sein des siens, joue pourtant le rôle clé du confident inopiné, souvent. celui dont on n'craint pas le jugement, oreille attentive, quelques conseils pragmatiques sans réelle insistance. javier est cloître des secrets, gardien des confiances et ce, depuis toujours △△ à oceanside, a trouvé ses causes, une volonté d'aider les quartiers branlants de la ville. s'est engagé récemment en figure d'éducateur dans un centre jeunesse de quartier, mi-job, mi-bénévolat, cette générosité de son temps n'met pas beaucoup de beurre dans les épinards, mais javier sait à qui rendre des services. apprend occasionnellement l'espagnol et le mexicain à ces mêmes jeunes. et aide également au refuge animalier. le chien qu'il a, est de tijuana, solana, bête errante pour laquelle il a fait une tonne de paperasse avant d'la ramener sur la côte américaine △△ a toujours été plus manuel qu'intellect. subissait l'école pendant longtemps, pour faire plaisir aux parents. qu'ils n'aillent pas à l'encontre des désirs d'grandeur d'un surfeur en devenir. mais une fois c'rêve perdu, rester sur les bancs n'a plus eu aucune importance. dossier disciplinaire long comme le bras, accablant, d'ses quinze à dix-huit ans, on lui a promis un avenir où aucune université ne l'accepterait. s'est forgé expérience aux p'tits jobs amassés, d'apprenti plombier à mécano, des savoirs un peu comme le vélo, des trucs qui reviennent en réflexe quand il en a besoin. mais sur son cv pour les patrons, surtout la preuve qu'il n'a jamais su garder un job plus de quelques mois △△ son œuvre, est l'engagement caritatif de ces quelques quinze dernières années: décisions l'ont fait voyager à travers le monde. des mois entiers loin du confort américain ou d'la familiarité mexicaine. est sorti des sentiers battus sans peur au ventre, l'envie d'connaître, découvrir, appartenir. esquisse horizons, immortalise visages à sa mémoire uniquement. s'est découvert sur le tard, des causes et valeurs à défendre. a vu depuis le premier rang, les dommages de c'monde. c'est le partout ailleurs qui l'a fait grandir.
△△ amateur de café noir, d'vieux rock, collectionneur de vinyles. colle au derme, odeur du tabac froid. ado, joueur de guitare. aujourd'hui, n'reste que quelques airs vaguement familiers sur les doigts. personne, personne ne fait de meilleurs horchata qu'abuela, jusque sur sa tombe il le jurera. boisson est sa faiblesse, le remède à tous ses maux. tous les ans se rend au mexique pour el día de los muertos (novembre) et guelaguetza (juillet), au moins. appartement sommaire, n'est que rarement chez lui, porté nomade, aime l'extérieur et les rencontres. couche-tard, vie nocturne. peu d'heures de sommeil au compteur d'une nuit. frigo souvent vide, vit au jour le jour. a cultivé habitudes et concentré p'tites adresses pour vivre local et saisonnier. mange plus de légumes que moyenne amerloque. cuisine, par habitude inculquée à chaque génération. apprécie le fait main, derrière les fourneaux et partout ailleurs. écolo et engagé 'à sa façon', il est végétarien, anti-capitaliste, consomme très peu et l’opulence typique américaine le met profondément inconfortable. s'retrouve souvent avec des vêtements à trous ou délavés, plus vieux qu'il ne devrait l'avouer. n'vote pas, manifeste souvent. n'a pas de voiture, mais un permis deux roues et un permis de pilote d'avions monomoteurs. pas allergique aux expériences, se plait quand exsude l'adrénaline: a déjà testé de nombreux sports extrêmes, comme le saut à l'élastique, le saut en parachute, les descentes en rappel, le parapente, le cross bike et la spéléologie. téléphone à l'écran craquelé, pas de télé, un ordinateur qui garde précieusement toute sa vie. imperméable à la pop culture. très rares possessions auxquelles il voue une valeur sentimentale réelle: une bague en argent dans un tiroir, un appareil photo argentique, un tee-shirt qui ressemble à tous les autres.
prénom, pseudo muze. âge génération coupe du monde, 98. pays bleu blanc rouge. type de personnage pré-lien de @diego rojas. promis j'lui ai demandé si ça dérangeait pas que je stalke tous ses persos. ( que dios me libre ) - javi 1146212288  origine‧s de la célébrité mexicain, anglais/écossais. d'où viens-tu par prd. crédits kidd (avatar), olympia (ic 1&2). autre catou .

i don't wanna talk about the way that it was
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statut civil : Mariée à son meilleur ami : Austin. Avec qui elle a une fille de un an, Aria, et dont elle est enceinte d'un deuxième enfant, Layla, qui doit naitre en juillet.
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en plus un rojas, ça se termine quand cette invasion? mdr
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je pourrais déjà tout quote de ce début de fiche tellement ta plume est belle hiiiii
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( que dios me libre ) - javi 684b341e37bf01ea25c61eb2a724fbe043378d4b
âge : vingt-cinq ans ༶ le quart de siècle qui se termine dans quelques mois, tu profites pourtant d'être encore dans la fleur de l'âge et à quelques années de tes trente-ans.
occupation : pompier volontaire à la 118ème & dj ༶ tu bosses au Pandora Nightclub depuis cinq mois maintenant, mettant tout ton coeur dans tes sets. Un job que tu combines avec celui de pompier volontaire, un métier qui te passionne et te pousse à dépasser tes limites.
statut civil : en couple ༶ tu l'as rencontrée à l'hôpital, elle, celle qui fait chavirer ton coeur, même si le doute parfois, rode autour de toi.
orientation : hétérosexuel ༶ t'es attiré par les femmes et uniquement elles depuis que t'es en âge de comprendre ce choses-là.
habitation : #02, south oceanside ༶ appartement dans un petit établissement d'oceanside.
pronom ig : il.
disponibilités : 「 free ; 2/3 」

⌜en cours⌟

www ༶ hestia.
www ༶ prénom.

⌜terminés⌟

www ༶ prénom.
www ༶ prénom.
www ༶ prénom.

infos rp : mots ༶ entre 300 et 800 mots généralement. langue ༶ français. fréquence ༶ ça varie entre 1 à 3 semaines selon l'inspiration et la disponibilité.
   
 
diego, je valide totalement. drama ( que dios me libre ) - javi 1491900633
bienvenue et bon courage pour ta fiche. I love you
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diego, le choix de la famille = la perfection drama youpie
rien que les premiers mots, ça envoie !! ( que dios me libre ) - javi 1253600179
je te souhaite la bienvenue chez toi ( que dios me libre ) - javi 3827413925
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Invité
   
 
super choix d'avatar et de famille, eh puis le métier est grave cool aussi
bienvenue par ici !!!!!!
MOON up all night
Bashir Rojas
Bashir Rojas
messages : 658
pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : taz skylar (eyesome@avatar, obriy@gif profil)
multicomptes : ashton, ozan, jake, avràn, felix, basil.
triggers : cruauté animale, inceste, viol + je ne joue pas de scène de sexe explicite.
warnings : décès, alcool, drogue, noyade.
( que dios me libre ) - javi 4197a65d7c4fd533882c72cfcf73ac5dbef7cb33
âge : 28 ans, la trentaine en vue.
occupation : illustrateur, spécialisé dans les livres pour enfants, même s'il prend tout ce qu'on lui propose en ce moment, besoin de payer les factures. il est également auteur de bandes dessinées, depuis qu'il a publié sa première bd, il y a quelques mois.
statut civil : célibataire, peu enclin à croire en l'amour.
orientation : pansexuel sexualité assumée depuis longtemps.
habitation : uc, uc.
pronom ig : il.
disponibilités : disponible.
noa
yeliz
julian
blaise

infos rp : 600 mots en moyenne ; dialogue en fr.
   
 
DIEGO + MON FRERE + TOI 1998006903 ( que dios me libre ) - javi 3827413925 I love you
JE SUIS TELLEMENT HEUREUSE ( que dios me libre ) - javi 1491900633
rebienvenue et bon courage pour ta fiche 1998006903
( que dios me libre ) - javi 124d3f24768cf038e593a470bb5c1fef2042fa63
(j'arrête, mais ils ont plein de gif et crackship ensemble mdr)

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Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
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Bienvenue !
SUN wildest dreams
Noela Barnes
Noela Barnes
messages : 642
pseudo : winter solstice (elle).
id card : adria arjona / murdock@av, ethereal@header.
multicomptes : nailea, yeliz, oliva, noa & nell.
à contacter : noela
triggers : inceste, cruauté animale, violences et agressions sexuelles, maltraitance, automutilations, sang, age gap +15.
warnings : accident de voiture, deuil, tromperie.
présence : présente
( que dios me libre ) - javi Dm4mdmqE_o
âge : 32 ans, coup dur dans les dents.
occupation : galeriste, propriétaire de sa propre galerie, grâce à l'argent de son mari.
statut civil : mariée.
orientation : bisexuelle.
habitation : north valley, villa #3028.
pronom ig : elle.
disponibilités : dispo (2/5).

— rps en cours.
www › aldwin,, 2
www › joan,, 3
www › majolica,, 2 (à venir)

— rps en cours.
www › joan,, 1
www › aldwin,, 1
www › majolica,, 1
www › joan,, 2


infos rp : 500-1000 mots / dialogues en français (ok pour l'anglais) / 3ème personne du singulier au présent / réponse en 2 semaines en moyenne ou max 3 / présente plutôt le week-end / selon mon temps irl, je peux aussi mettre plus de temps à répondre aux rps/mps/liens mais ça ne veut pas dire que je vous ghoste, les soirées sont juste courtes. ♡
   
 
le bro de diegoooo. excited luuv
avec diego. drama ( que dios me libre ) - javi 1381766960
rebienvenue. 1998006903
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le fc + le pl, perfection fullove
bienvenue parmi nous coeur
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omg qu'il est beau, quelle famille de bg franchement jpp là arrêtez pfiou pfiou
et puis en tant qu'éducateur y'a forcément moyen de s'trouver un lien ( que dios me libre ) - javi 1771243718 ( que dios me libre ) - javi 1706034852
rebienvenue avec ce perso qui promet déjà de fou. ( que dios me libre ) - javi 1915553615
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@jillian rojas merci, belle-sœur ( que dios me libre ) - javi 1381766960
1998006903

@phoebe keating un oncle super sympa, i swear ( que dios me libre ) - javi 2866837749
merci pour le message coeur

@majolica vargas mdr j'ai rejoint le mouvement de masse, l'invasion-domination des rojas est en place ( que dios me libre ) - javi 3513915865 merci pour l'accueil, et la résa heearty

@wolf blackthorn merci! ( que dios me libre ) - javi 908615483
contente que le début du perso plaise, la suite arrive vite, promis 1998006903

@adrian cox blblblbl luuv trop gentil! coeur
merci à toi pls coeur

@oliver weiss merci! hiiiii heeart
contente que diego plaise, even if, c'est tout à fait normal, quel homme drama heart1

@soren barlow oh merci! ( que dios me libre ) - javi 908615483
j'ai pas encore écrit grand-chose, mais vraiment contente que les débuts plaisent! heart2

@mateo carbajal merciii ( que dios me libre ) - javi 1491900633

@diego rojas  ( que dios me libre ) - javi 1491900633  ( que dios me libre ) - javi 3689532771 mon frère!  ( que dios me libre ) - javi 908615483
1998006903 ça me fait plaisir que ça t'ait tenté que je prenne le bro, et puis aahhh j'avais aucune idée qu'ils avaient des crackships, mais qu'est c'qu'ils sont beaux là  ( que dios me libre ) - javi 2866837749 on en fera des supers frères huhu  coeur merci d'avoir bien voulu de moi!

@sacha lopes merci à toi hiiiii

@noela barnes i had to ( que dios me libre ) - javi 908615483
merci pour l'accueil! 1998006903
(en plus adria uh heeart je l'aime tout autant que diego après mon binge watch de ander luuv)

@robert sandberg merci beaucoup ( que dios me libre ) - javi 908615483

@dan anderson je ne choisis que des familles bg ( que dios me libre ) - javi 1381766960
et c'est vrai, j'avais pas pensé, mais un lien pourra se négocier, pour le boulot! ( que dios me libre ) - javi 3513915865 on en parlera très vite. merci pour l'accueil, et le compliment sur le perso, j'espère qu'il plaira ( que dios me libre ) - javi 908615483
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Bienvenue keur
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@nina sheapman merci à toi! ( que dios me libre ) - javi 1491900633
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Bienvenue ! kikou
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un rojas avec diego, ce combo parfait !!
bienvenuuuue ( que dios me libre ) - javi 1915553615 flower
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diego pour mon tonton, alors là, OUI drama ( que dios me libre ) - javi 1491900633
décidément on va avoir tout plein de liens à causer, je suis hype là ( que dios me libre ) - javi 1381766960 (j'arrive bientôt héhé)
rebienvenue à la maison littleheart
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Kemal Solak
Kemal Solak
messages : 152
pseudo : same.
id card : Tütüncü. (sweetpoison)
multicomptes : al (niney) - lip (keery) - blaise (carter).
à contacter : le compte concerné
triggers : cruauté animale, inceste, viol + je ne joue pas de scène de sexe explicite.
présence : (+/-) présente, l'irl avant tout.
( que dios me libre ) - javi Looney-tunes
âge : trente ans sinon rien. Est-ce que tu les assumes ? Moyennement. As-tu le choix ? Pas vraiment. Tu ne cesses de dire que l'âge qui compte le plus c'est celui dans la tête et toi dans la tienne tu as l'âge de bugs bunny.
occupation : clown, est le mot qui te définit le mieux, malheureusement ça ne paye pas des masses. Tu es animateur dans des centres, bénévole dans les hôpitaux, donner du bonheur aux enfants, c'est ça qui t'enrichit le plus.
statut civil : 404. error.
orientation : les courbes féminines t'ont toujours émoustillés. (hétéro)
habitation : au dernier étage, sans ascenseur, ayant une vue improbable et ça te plaît. moins quand il s'agit d'héberger ton poto de toujours.
disponibilités :


yelizhavenozanasenaavràn

infos rp : ⇝ les mots varient en fonction de mon inspi, mini 500 ⇝ dialogues en français, ⇝ rps à la 2ème personne du singulier, au présent ⇝ fréquence de réponse variable ⇝ code couleur : #9966ff.
   
 
on envoie du lourd dans cette famille. ( que dios me libre ) - javi 908615483 ( que dios me libre ) - javi 635457577
va falloir qu'on cause lien ( que dios me libre ) - javi 3237392058 en tout cas tu fais un très bon choix. ( que dios me libre ) - javi 3827413925
(re) bienvenue mermaid loovely cacarun

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— I see how this is gonna go. Touch me, and you'll never be alone. Island breeze and lights down low. No one has to know
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bienvenue parmi nous. 1998006903 luuv
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@blake martin, @james halstead merci à vous deux I love you

@aika tsuji merci beaucoup ( que dios me libre ) - javi 908615483
on pourra peut-être se trouver un lien, vu son passage chez les rojas coeur

@ziggy rojas blblblblblbl drama merci!
et oui, on va avoir du pain sur la planche, plein d'liens en perspective ( que dios me libre ) - javi 1381766960

@frankie rojas frangine 1998006903 oui faudra qu'on parle lien, c'est sûr!
merci pour le message luuv
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