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got royalty inside my DNA (omari)
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Sanguin, buté, caractériel, impulsif, méfiant, compétiteur, fonceur, discipliné, fouineur, rancunier, n'aimant pas le travail en équipe, orgueilleux, protecteur, meneur, fier, grossier, loyal envers les siens.
né d'une mère trop jeune, Omari Reed est condamné dès sa naissance à être un fardeau inattendu, une erreur de parcours qu'elle ne peut accepter. L'amour brille dans les yeux de sa mère quand elle regarde Amani, mais s'éteint comme une flamme asphyxiée dès qu'Omari apparaît. Il est l'enfant en trop, l'éternel dérangeur qui n'a pas sa place. L'indifférence dans les yeux de cette femme le transperce, comme une lame glacée, à chaque regard posé sur lui. Ses souvenirs d'enfance se teintent d'une froideur impitoyable, marqués par des silences assourdissants et des remarques désobligeantes qui le déchirent comme des coups de poignard.
Dans cette famille faussement parfaite, Omari est l'éternel intrus, l'enfant en trop qui dérange leur jeu bien orchestré. Le père d'Amani, complice de cette indifférence, le rejette avec la même cruauté que sa mère. Une hostilité palpable règne dans cette maison, où l'amour est une denrée rare et l'indifférence, une plaie béante qui ne cicatrise jamais.
Alors, pour échapper à cet étouffement insupportable, Omari fuit dans les rues inhospitalières. Il y découvre une famille de substitution, des âmes perdues comme lui, des survivants d'un monde brutal qui le reconnaissent enfin. Dans cette jungle urbaine, il se forge un nouveau chemin, trouvant enfin un sentiment d'importance et de valeur personnelle, accompagnés d’une dette dont il devra s’acquitter. Ces liens forgés dans l'adversité lui offrent un semblant de stabilité qu'il n'avait jamais connu auprès de sa mère.
Cependant, le gouffre émotionnel ne se referme pas. La disparition de sa sœur participe à nourrir la rancœur béante dans son cœur, Omari s’embrase de colère, la haine dévore ses entrailles alors qu'il lui déverse sa bile, corrosive, l'accuse sans retenue de son incapacité à protéger les siens. Les épaules tremblantes de cette femme le poussent à se demander si elle avait toujours aussi petite, si fragile mais le ressentiment est tel qu’il s’arme d’austérité.
Le temps s'écoule, mais les cicatrices restent à vif. Omari, beaucoup mature et conscient que la voix du sang parle toujours plus fort, décide de prendre soin de sa mère à distance en découvrant son nouveau statut de sdf, l’internant dans un hôpital spécialisé sous conseil des médecins et lui rendant visite une fois par mois. Des silences pesants alors qu’il l’observe, ne sachant que faire de cette rancune tenance alors qu’elle regarde dans le vide, mémoire abimée par les traumatismes. Il lui en veut bordel, mais elle sourit simplement, Amani va aimer cette fleur… tu pourras venir avec Amani la prochaine fois ? Elle penche la tête sur le côté, agrippant son bras alors qu’il se lève, retenant son besoin de hurler. Merci, un bref éclair de lucidité dans les prunelles et il se demande s’il a rêvé, bientôt l’attention de cette femme est happée par le vide. Le pardon, un acte de clémence qu'il ne comprend pas, devient son échappatoire pour ne pas sombrer lui-même dans la folie, pourtant il s’en sent incapable.
La relation mère-fils reste un champ de bataille émotionnel, où la colère et la rancœur se côtoient toujours. Omari se bat chaque jour pour trouver l'apaisement, déchiré entre les blessures du passé et l'urgence de se libérer de cette haine corrosive qui le dévore de l'intérieur. Dans ce tourbillon de sentiments tranchants, il sait qu'il ne peut laisser cette haine le dévorer complètement, car c'est alors qu'il deviendrait le monstre qu'il a toujours voulu éviter d'être. bordel d'injustice !
Dans ce monde cruel, Omari Reed émerge tel un brasier incontrôlable, portant le fardeau de son amour pour sa sœur Amani. Dès sa tendre enfance, il a reçu l'injonction de veiller sur elle, un commandement qu'il a embrassé de tout son être. Aucun sentiment de jalousie à déplorer, seulement une affection ardente, prête à consumer toute l'obscurité qui se dresserait sur leur chemin. Adopté par la rue, Omari arpente le macadam hostile, teinté de rouge par la violence et l'injustice, les poings prêts à en découdre avec le chaos qui l'entoure. Mais, l'éclat des yeux d'Amani l'apaise, l'illumine d'une lueur d'espoir au milieu de cette obscurité étouffante qu’est devenu son quotidien. Elle est le point d'ancrage de sa vie, l'unique oasis de sens dans ce désert insensé. Riri, tu es le meilleur.
Et puis, un jour maudit, Amani disparaît, engloutie par l'abîme de l'inconnu. La colère, incontrôlable, ravage Omari. Il refuse de croire à la fatalité, combat l'indifférence aveugle des autorités et des médias. L'amertume l'envahit face à la disparité de traitement entre les victimes blanches et noires. Entrailles qui hurlent de destruction pour retrouver celle qui donne un sens à sa vie. Les jours s’enchaînent, enfer personnel fait de désespoir alors que le silence est érigé en réponse. L’injustice écorche son âme, poussant ses limites à l’extrême. Le voici, prêt à sacrifier sa propre liberté pour obtenir la vérité. Amani, se perd dans l'oubli de l'indifférence générale et armé de sa rage, Omari défie les pouvoirs établis, même lorsque les menottes lui enserrant les poignets le rappellent à la dure réalité.
Obsession dévorante dans laquelle il se perd, côtoyant les ténèbres, s’y confondant pour ne faire qu’un avec eux. Pas de repos, la quête de la vérité, de cette vérité que l'on refuse de voir, de reconnaître. Une rencontre le mène à considérer le combat autrement, une télé réalité durement gagnée, qui le projette sous les feux de la rampe. Il se sert de cette plateforme, de ces projecteurs aveuglants, pour révéler les ténèbres qui enrobent l'histoire de sa sœur. Sa voix résonne avec la force d'un ouragan, dénonçant l'indifférence et envoyant un message à sa cadette si elle le regarde, je pense à toi. Cette victoire est pour elle, pour les sans-voix, pour les laissés-pour-compte pour qui il œuvre en tant que détective privé.
Omari, le cœur en flammes, croise le chemin d'Abraham, ce flic à l'époque, dans une rencontre déterminante. La haine et le dégoût s'entrechoquent en lui face à cet homme qu'il considère comme un traître, un Noir en uniforme bleu, le symbole de l'oppression de sa propre communauté. Sa rage, incandescente, dévore ses entrailles, et il crache sa bile acerbe sans relâche sur ce policier qui tente, avec une patience infinie, de contenir la tempête qui gronde en lui.
Leur destin s'entrelace, encore et encore, comme si le sort lui-même se jouait d'eux. Omari, barricadé dans ses croyances, persuadé que personne ne peut saisir sa réalité, surtout pas ce flic privilégié des beaux quartiers. Ses mots sont des lames tranchantes qui déchirent tout sur leur passage, emportant avec eux amertume et dédain. Mais Abraham, impassible face à cette tornade, persiste à vouloir comprendre et guider ce jeune homme égaré, débordant d'amertume envers le monde entier, tel un cocktail Molotov prêt à exploser. Et dans cette confrontation avec Abraham, les fondations de l'univers étriqué d'Omari vacillent, révélant une fissure dans son armure, une faille par laquelle s'infiltre l'humanité d'Abraham.
L'apprentissage est une épreuve douloureuse, une lutte intérieure acharnée. Omari doit affronter ses démons à plusieurs reprises pour intégrer cette nouvelle vision de lui-même et du monde qui l'entoure. Le confort des anciennes habitudes le rappelle, la peur du changement le hante, mais Abraham reste là, solide, tenace, inébranlable. Une relation improbable se tisse, celle d'un mentor, puis d'une figure paternelle inattendue. Omari goûte, presque par effraction, à la chaleur d'un foyer, celui qu'Abraham partage avec sa femme et ses enfants. Une famille où il est accueilli à bras ouverts, où le terme "mon fils" est prononcé par Madame King avec tendresse. Les murs de ses certitudes s'effritent, laissant place à un monde nouveau, dépassant les limites qu'il s'était imposées.
Mais quand le destin frappe de son tragique poing et arrache Abraham à la vie, tout bascule. La douleur d'un nouveau déchirement s'ajoute aux chaînes de son passé tourmenté, aux boulets de forçat qu'est devenue la disparition de sa sœur. Pourtant, cette fois, il n'est pas seul. Une nouvelle sensation émerge, celle d'être soutenu. Une promesse murmurée devant la tombe d'Abraham scelle son destin. Omari choisit de vivre différemment, de briser les chaînes de sa propre fureur qui menace de tout détruire.
La colère persiste, un démon tapi dans l'ombre, menaçant de le faire rompre cette promesse sacrée. Pour l'apaiser, il se livre à des combats clandestins, laissant sa rage s'exprimer sur un ring plutôt que dans les rues. Omari combat les démons intérieurs qui menacent de le consumer, cherchant à trouver un équilibre entre la colère qui brûle en lui et l'engagement d'homme auprès d'Abraham.
a un passif dans l'illégalité, entre gangs et trafic de voiture ; très attaché au second amendement de la constitution qui lui permet d'avoir une arme ; s'est engagé auprès de foyers avec les fils King, suivant les pas de leur père ; le bracelet que lui avait offert sa soeur ne le quitte jamais ; a du mal avec les démonstrations d'affection ; a eu une idée arrêtée de ce que devrait être un homme, un vrai ; n'a toujours pas fait la paix avec les flics, même si ça va mieux ; quand il tient un os, il ne ne lâche pas ; bientôt père et à des années lumière d'être prêt ; ses poings s'expriment plus rapidement que sa bouche, les combats l'aident à canaliser tout ça ; guilty pleasure musical pour Taylor Swift ; très actif sur les réseaux, il a d'ailleurs engagé quelqu'un pour l'aider avec la gestion de tout ça ; attirance marquée pour les femmes plus âgées que lui ; est certainement celui qui écoute le plus Tupac sur Spotify ; a consulté une voyante pour l'aider dans la recherche de sa soeur ; oubli régulier de verrouiller son appartement, persuadé qu'il est celui dont on devrait se méfier, madame King l'a fait investir dans une serrure à code ; aversion pour les drogués ; a conservé son logement à SF, récupérant la maison familiale, au cas où ; découvre actuellement les podcasts et prend plaisir à y participer ; peut ingurgiter un nombre impressionnant de nourriture, avoisinant les 5000 kcal lorsqu’il est en préparation physique ;
- Code:
<aa2>Michael B. Jordan</aa2> @"Omari Reed"
- Code:
<aa2>détective privé</aa2> @"Omari Reed"
- Code:
<aa2>#46</aa2> @"Omari Reed"
- Code:
<ac>@"Omari Reed"</ac> <aa>39 ans, célibataire, hétéro, détective privé.</aa>
Merci d'indiquer via un astérisque (*) votre compte gratuit et vos comptes faciles.
- Code:
<ac>@"Elea Williams"</ac> @"Omari Reed", @"troisième compte", ...
@Robyn Kaplan J’ai tellement hâte ! Merciiiiii 
@Rhys Cornell merci ! 
@Lena Sheperd-Kane thaaanks! 
messages : 6744
pseudo : Plum (elle)
id card : Sam Claflin ;
(c) : (av, sign, gif profil) moi même ; (song) billy joel she's got a way
(c) : (av, sign, gif profil) moi même ; (song) billy joel she's got a way
à contacter : ici-même
triggers : à discuter en mp
warnings : fausse couche, alcoolisme, infertilité, deuil
présence : Présente
âge : il a fêté sa trente-cinquième année, né le 1er juin 1989 de l'autre côté de l'océan, à Manchester (UK).
occupation : après avoir tenu le Maxdon's Pub pendant quatre ans, d'en avoir été le barman depuis ses débuts de vie active, il est aujourd'hui agent artistique dans le domaine musical, notamment de sa femme, Louise.
statut civil : marié depuis le 20 mai 2020 à Louise, la femme de sa vie, pour le meilleur et pour le pire. ils vivent tout intensément, chaque moment chéri, inséparables. Leur petite fille, Aurora, est née le 15 juin 2024, avec un peu d'avance, faisant le bonheur de ses parents.
orientation : hétérosexuel, il n'a jamais été attiré par les hommes.
habitation : s'est installé avec Louise au #1117 dans le quartier de San Luis Rey, une maison plain-pied qu'ils ont achetée dans ce quartier cher à leur coeur. Ils espèrent en faire leur petit havre de paix.
pronom ig : il
infos rp : — 500 - +1000 mots en général en fonction de l'inspiration du moment.
— rp à la troisième personne
— dialogues en français principalement
dialogues : [#d4824a]
— rp à la troisième personne
— dialogues en français principalement
dialogues : [#d4824a]
en vrac : 
I am the luckiest ♡
And in a white sea of eyes
I see one pair that I recognize
And I know
That I am
The luckiest
I love you more than I have ever found a way to say to you
I am the luckiest ♡
And in a white sea of eyes
I see one pair that I recognize
And I know
That I am
The luckiest
I love you more than I have ever found a way to say to you
messages : 1663
pseudo : spf (elle).
id card : ojc by atlantis (avatar & gif), waldosia. -ex old money (sign), Adi Oasis (lyrics)
à contacter : well, Bran.
triggers : la romanisation de certains sujets (maladies graves, relations toxiques, violences ect).
warnings : age gap (10 ans), conso d'alcool, mentions de perte d'un proche et d'infertilité.
présence : absente
âge : 36 ans (24 octobre 1987). Il a grandi trop vite, ou peut-être est-il de ces êtres qui, dit-on, ont une vieille âme.
occupation : Ancien inspecteur aux cold cases. Auteur true crime à ses heures perdues, il s’est remis à écrire depuis sa démission. Ghostwriter, prête-plume, il écrit la vie des autres à défaut de vivre la sienne.
statut civil : (é)pris mais un peu lâche, restent les stigmates de son divorce.
orientation : Hétéro.
habitation : au #30 South Oceanside, appartement avec vue sur la mer, seul luxe dont il ne peut se passer.
pronom ig : il, lui (he, him).
infos rp : 700-1000⁺ mots (je m'adapte au mieux) ー délai variable selon l'irl et le mood (j'essaie de pas abuser) ー troisième personne, au présent et en français (l'anglais s'invite parfois) ー chill, venez comme vous êtes 
en vrac : 
{ moodboard }
{ moodboard }
icons ethereal, little edits.
Michael, quel choix cool !
(il va coacher @Robyn Kaplan pour la prochaine saison de ninja warrior ?
)
Re-bienvenue
(il va coacher @Robyn Kaplan pour la prochaine saison de ninja warrior ?
)Re-bienvenue
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--- every time you come my way wanna hear you whisper my name.
@Jamie Williams merciiiii ! de toute façon, on se captera bientôt
@Bran Higgins merciiiii !
et pour te répondre, @Robyn Kaplan est trop fragile, faut la laisser courir après ses petits voleurs zéro respect 
@Bran Higgins merciiiii !
et pour te répondre, @Robyn Kaplan est trop fragile, faut la laisser courir après ses petits voleurs @Eleanor Pierce merci
@leif sundström see you soon
messages : 652
pseudo : winter solstice (elle).
id card : adria arjona / dripping alchemy@av, ethereal@header.
multicomptes : nailea, yeliz, oliva, noa & nell.
triggers : inceste, cruauté animale, violences et agressions sexuelles, maltraitance, automutilations, sang, age gap +15.
warnings : accident de voiture, deuil, tromperie.
présence : présente
âge : 32 ans, coup dur dans les dents.
occupation : galeriste, propriétaire de sa propre galerie, grâce à l'argent de son mari.
statut civil : mariée.
orientation : bisexuelle.
habitation : north valley, villa #3028.
pronom ig : elle.
infos rp : 500-1000 mots / dialogues en français (ok pour l'anglais) / 3ème personne du singulier au présent / réponse en 2 semaines en moyenne ou max 3 / présente plutôt le week-end / selon mon temps irl, je peux aussi mettre plus de temps à répondre aux rps/mps/liens mais ça ne veut pas dire que je vous ghoste, les soirées sont juste courtes. ♡
mais en plus en détective privé ? 
Re bienvenue chez toi !
J'espérais aussi voir un coaching de @Robyn Kaplan pour la voir dans la prochaine saison de Ninja Warriors
Amuse-toi bien avec celui-ci
J'espérais aussi voir un coaching de @Robyn Kaplan pour la voir dans la prochaine saison de Ninja Warriors
Amuse-toi bien avec celui-ci
messages : 1246
pseudo : sweet poison (anaïs).
id card : felix mallard (sweet poison@avatar)
multicomptes : bashir, ozan, jake, avràn, felix, basil.
triggers : cruauté animale, inceste, viol + pas de rp sexe.
warnings : violence conjugale, homicide par légitime défense.
âge : vingt-trois ans, la vie qui débute à peine ; né le 20 avril.
occupation : guitariste, chanteur dans un groupe assez populaire ; il écrit et compose les chansons, avec l'aide des autres membres du groupe.
statut civil : en couple, depuis deux ans maintenant, il vit avec son compagnon, tout semble aller pour le mieux.
orientation : pansexuel il s'attache aux gens, sans vraiment s'intéresser à leur genre, le brun.
habitation : un appartement à south oceanside, qu'il partage avec son petit-ami.
pronom ig : il
infos rp : 600 mots en moyenne ; dialogues fr ; réponse régulière (sauf période de rush irl).
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