ollister monroe.

Mar 27 Fév - 9:31

ollister monroe.
ft. stephen james - moon.

trigger warnings // négligence, délits divers, décès, famille monoparentale, foyer d’accueil, grossièreté, mention de drogue et d’alcool.

âge, naissance dès le début, ollister n’a pas eu d’chance, premier cri il y a vingt-neuf ans, regrette tous les jours sa venue au monde le gamin. Le dispensaire d’Harlem, c’est tout ce que sa mère a pu s’offrir pour le mettre au monde.

origines, nationalité a n’en pas douter et en étant né à New-York, le garçon ne peut être qu’américain pourtant, il a des origines qu’il n’explique pas, ou très peu, suspecte son géniteur de lui avoir refilé des origines juives & anglaises, à moins que ce ne soit sa mère et qu’il ne s’en souvienne plus. De toute façon, c'était pas la plus loquace.

genre homme.

occupation fut un temps où il aurait dit emmerdeur en herbe, créateur de problèmes. Seulement, il s’est rangé. pompier, depuis quelques années, à la fire house 51.

situation financière $$$$$, s’il s’en sort, c’est surtout grâce à la maison laissée en héritage par sa grand-mère, celle qui l’a remis sur le droit chemin. Pas de loyer, juste les factures à payer.

statut civil il est clairement pas fait pour l’amour, éternel célibataire volage bien qu’il y a une femme depuis quelques temps qui lui fait tourner la tête plus que de raison, taire son prénom reste une préférence des deux.

orientation sexuelle il a beau avoir essayé, une fois seulement, les hommes ça fonctionne pas et c’est pas faute d’avoir vraiment essayé. Il revient au classique, se préoccupe des courbes féminines, hétérosexuel dans l’âme et dans la tête. C’est dans cette même tête qu’il y a cette blondinette qui ondule contre lui.

situation familiale il n’y a franchement pas grand chose à en dire, un géniteur absent, le pauvre ne sait peut-être même pas qu’il a un rejeton du nom d’Ollister, une mère continuellement défoncée, au crack en principe, qui le délaissait quand c’était qu’un môme, l’oubliait même parfois. Pas de frère ou de sœur connus ou dans le paysage, sauf si on compte la station 51, qu’il considère un peu comme une famille. Et puis il y a elle. Adé, sa grand-mère qui est partie bien trop tôt mais qui a su, à force de patience et de persévérance, le remettre que les rails avant qu’il ne finisse comme celle qui l’a mis au monde. Celle qui lui manque toujours un peu plus au fil des jours, même après un peu plus de huit ans.

à oceanside depuis des années déjà, c’était qu’un ado rebel quand il est arrivé ici, au bout de quinze ans, des hauts et des bas, il se sent enfin comme étant chez lui.

Du fait qu’il n’ai pas eu beaucoup de chance dans la vie, Ollister est du genre terre à terre. Pas le temps d’avoir la tête dans les nuages, pas le temps de rêver, pas le temps. Le garçon, du genre solitaire, est plutôt fidèle à ses amis. Fidèle tant qu’on ne lui chie pas dans les bottes. Il est bourru le gaillard, parfois même contre sa propre volonté. Il lui arrive souvent d’avoir des mots qui dépassent sa pensée. Des fois encore de vieux réflexes, sur le coup de l’énervement il peut facilement s’emporter mais pour ça, il compte sur ses quelques rares amis pour le tempéré parce qu’il n’a plus sa grand-mère pour le faire. S’estime mauvais pour les autres, ça le rend casanier, à préférer une soirée avec un ami à la fois plutôt que les grosses soirées à boire jusqu’à rouler au sol. Fuyard de ses vieux démons, il connaît ses limites même s’il peut avoir tendance à jouer avec. Mauvais au point de s’interdire pas mal de bonheur, comme celui de se réveiller aux côtés d’une femme qui rendrait sa vie plus douce, moins amère, se limite à l’essentiel, aux besoins primaires. Manque de bol, il y en a une qui ne quitte pas sa tête. Et avec elle, il serait du genre possessif. Jaloux, territorial, même s’il ne font que s’amuser au coin de l’oreiller. La blondinette avec qui il aime se perdre dans les draps.

perso irl

I want you to hold out the palm of your hand

— Pauvre gamin, t’as vu ça ? La mère est accro à je-ne-sais quelle drogue. Ils iront pas loin.
En salle des infirmières, dans le dispensaire d’Harlem, faut dire que ça parle sec. Le pire ? C’est qu’elles ont presque raison. Presque. Et n’importe quel point de vue extérieur aurait dit la même chose. Quoi que, même Ollister n’aurait jamais cru s’en sortir. Retour à la maison rapide et violent. Gamin envoyé dans son berceau pour que maman puisse aller chercher sa dose au coin de la rue. Elle l’oublie pas son mioche, elle en a juste besoin et se voyait mal débarquer avec la marmaille qui hurle. Et puis de toute façon, elle en avait pour cinq minutes seulement. Juste cette fois-ci, parce qu’elle en a vraiment besoin qu’elle dit. Le truc c’est qu’elle a continué et c’était de pire en pire. Jusqu’au cinq ans du gamin, elle profitait de sa sieste et quand il dormait le soir pour aller se procurer ce dont elle avait besoin. Puis après, il lui suffisait de l’enfermer à double tour dans sa chambre pour être sûr qu’il ne fasse pas de conneries quand il n’était pas à l’école. Aussi simple que ça, non ? Et puis, parfois, dans les quelques rares moments de lucidité, elle revenait avec un petit jouet qu’elle avait volé à la supérette du coin de la rue. Après tout, c’est sa mère et il l’aime sa maman. Même s’il lui arrive d’être trop lamentable pour lui préparer à manger, d’être en plein bad-trip au lieu de le récupérer à l’école. Une fois, deux fois, Ollis a vite appris à mentir pour que l’école ne se doute de rien. Protéger sa maman parce qu’il aime. Même si elle est pas parfaite, il l’aime et ne veut pas être séparé d’elle.

Pas d’bol. L’enfance ne s’est pas améliorée. Pas vraiment les bons amis, pas du tout le bon exemple à la maison. Et s'il était déjà du genre casanier, les conneries, il les a vite enchaînées. À la maison, toujours dans sa chambre, sous sa couverture crasseuse pour jouer avec ses quelques jouets dont ses tous premiers : Donatello et Michelangelo, deux tortues ninja qu’il balade depuis des années, de poche en poche, dans chaque coins et recoins de l’appartement miteux au cœur d’Harlem. Puis à dix ans, à traîner dans la rue, avec ses mauvaises fréquentations qui lui montrer encore les mauvais choix, voler, dealer, même consommer de temps en temps. Mère en piteux état qui vient sans cesse le récupérer au commissariat. Casier qui s’allonge comme le nez de Pinocchio, le gamin semble inarretable. Incontrôlable. Très vite, les années passent et la première fois qu’il en vient aux mains, l’ado n’a pas plus de treize ans. Oui, c’est tôt. Oui, un élément supplémentaire à ajouter à son casier. S’en moque le gamin. Il n'en a rien à faire. Le pire, c’est que ça monte en puissance. En violence. Pendant un moment, il se pense même capable de s’envoler. Ah non. Pas l’courage.

— Putain qu’est-ce que t’as encore foutu, m’man ? Y a une lettre d’un cabinet d’avocat.
L’hôpital qui se fout de la charité. Quinze années se sont écoulées depuis son premier cri. S’estime pas mieux que sa mère mais il l’aime. Veut pas qu’il lui arrive quelque chose. Et lecture faite, sa mère prend sa veste et claque la porte pour aller chercher sa dose. Il savait pas. Il ne pouvait pas savoir. Dans la vie on a deux choix : bouffer ou se faire bouffer. Ollister l’a appris très vite et très tôt. Alors il a choisi de bouffer. De bouffer quiconque voudrait le séparer de sa mère. Même cette vieille chouette s’il le faut. Cette vieille chouette qui s’annonce grand-mère mais qui n’a jamais su être là. L’ado s’en fou de savoir que la folle ne connaissait pas son existence. Pour lui c’est pas une excuse. Pour lui, on veut juste le séparer de sa mère. Mais il l’aime sa mère. Il est prêt à tout subir, même une vie d’misères si ça lui permet de rester à ses côtés. Chienne de vie. Mère toxico traînée en justice, des mois de bataille contre la vieille folle, des mois à faire les cents pas dans sa chambre en l’insultant dans tous les noms d’oiseaux possibles, Ollister ne l’a jamais vu, mais il ne l’aime pas. Il s’en fait la promesse : il ne l’aimera jamais.

Baluchon sur l’dos, sa mère l’a presque trainé de force dans ce putain d’aéroport. Pourquoi ? L’autre vieille folle est là et… Bonjour les présentations.
— Bonjour mon garçon. Je m’appelle Adélaïde, je suis ta grand-mère.
— La ferme, vieille chouette. T’es personne. un demi-tour et un regard noir vers sa mère qui a son éternelle posture de toxico. Et toi… Comment t’as osé !! Et regarde toi en plus !! Putain fais chier !
Au moins, le ton a vite été donné. Encore aujourd’hui, Ollis est incapable de dire ce qui lui fait le plus de mal dans ce souvenir. Le fait qu’il ait osé parler à sa grand-mère ou le fait que sa mère l’a presque pousser pour qu’il s’en aille ? Franchement ? Sûrement la première option. Parce que le décès d’Adé à été la pire épreuve qu’il ait pu connaître d’après lui. Cul vissé dans la carlingue, poings serrés sur les genoux, il se sert contre le hublot puis… Salut, New-York. Salut, Harlem. Adieu, Maman. Ollis est peut-être con parfois, mais il n’est pas naïf. Pas à ce point. Il a bien compris qu’il ne remettrait pas de sitôt les pieds à New-York. Il a bien compris que le jour où il reviendrait, sa mère sera sûrement morte d’une overdose. Atterrissage : San Diego, Californie puis direction Oceanside où une toute nouvelle vie commence.

Solitude, casanier. Se referme sur lui-même et déteste tout le monde. Oiseau de nuit, ses quelques connaissances le font replonger aussitôt dans les problèmes. Pire encore, ils le poussent à les créer. Cherche à se battre de plus en plus souvent mais bretelles toujours remonter par la vieille folle qui l’attends de pied ferme à la maison. N’hésite pas à lui tirer l’oreille pour lui rabâcher à quel point il a bon fond.
— Ne fait pas ça, mon garçon. Rien ne t’oblige à suivre l’exemple qu’elle t'a toujours donné. T’es un bon garçon, Ollister.
— La ferme. Si j’te fais honte t’as qu’à m’renvoyer chez ma mère.
— Ollister ! C’est parce que je t’aime que je fais ça.
— C’est faux alors ferme la.
Pas joli joli dans la maison Monroe. Les voisins et amis d’Adélaïde lui racontent souvent les problèmes que son petit-fils créés sur son passage. Pourtant les paroles de la vieille femme font leur petit bonhomme de chemin. Se glisse doucement dans sa tête puis dans son cœur. Et si elle avait raison ? Et si j’étais capable de faire quelque chose de ma vie ? Je pourrais peut-être essayer… Alors il essaye. Vraiment. Il tente de se tenir à carreau. Il tente de s’éloigner des mauvaise fréquentations, il tente d’étudier pour obtenir ne serait-ce qu’un diplôme. Ne pas avoir un cv complètement vierge qui l’handicaperait professionnellement parlant. Les mauvaises habitudes ne sont jamais bien loin, mais Adélaïde non plus.

— Jeune homme, d’où reviens-tu comme ça ? Attention, ne mens pas à ta grand-mère !
— Adélaïde, je sais que tu sais et j’ai pas envie d’en parler. J’vais me pieuter.
Il n’a jamais vu le sourire de vainqueur qui à illuminé le visage de la vieille dame. Déjà deux ans qu’il vit chez elle et c’est fini. Terminé le « vieille folle ou vieille chouette. » elle est enfin devenue « Adélaïde ». Si ça lui fait quelque chose à elle, ça en fait tout autant au jeune homme. Il avait pourtant réussi à tenir quelque temps sans revenir avec des égratignures aux poings. Mais pas ce soir-là. Pourtant, pas de remontrances. Pas d’oreille tirée. La leçon est apprise. Et le petit train de la vie redémarre. Ollister essaie tant bien que mal de se trouver un petit boulot pour aider sa grand-mère, de se ranger une bonne fois pour toute. Mais les vieilles habitudes ne sont jamais bien loin, tapis dans l’ombre à attendre le bon moment pour surgir. Boulot trouvé mais rien de glorieux, ramasser la merde des autres, éboueur c’est pas une fierté. Pour Adélaïde pourtant c’en est une. Pour elle, le jeune homme trouve enfin la voie de la raison. Même s’il est comme un funambule perché sur un fil à des mètres de hauteur.

— Te voilà enfin. Jacinthe m’a appelé.
— Toujours la même mégère à sa fenêtre, hein ? Donc tu sais et y a rien à en dire.
— Je pensais que tu avais enfin compris, Ollister. Tu as un bon fond. Ne replonge pas maintenant, tu t’en sors si bien.
— Ouais, ouais. Bonne nuit, Adélaïde.
Il sait bien qu’elle a raison. Il essaye, il donne tout. Mais impossible de canaliser cette colère. Au fond de lui, il sait d’où elle sort cette colère. Il refuse de l’admettre, c’est tout. Il ne compte plus les mois qui le sépare de sa mère. Il ne se précipite plus sur le tas mélangé de publicités, de journaux et de factures pour vérifier si elle lui a écrit. On pourrait croire qu’il l’a oublié. C’est pourtant contre elle qu’il est en colère. À elle que le garçon en veut. Sa mère. Son point faible.

En tout cas c’est ce qu’il pensait. Jusqu’à ce jour. Celui où il a compris que sa mère n’était pas si importante. Le jour où Adélaïde est devenue mamie. Une connerie supplémentaire, pourtant, aujourd’hui, il est prêt. Prêt à faire face, prêt à avouer qu’il a encore fauté avant même qu’elle ne l’apprenne.
Serre les poings, Ollis. Ne t’arrête pas. C’est juste un mec qui fait chier une nana. QUOI ? Quelle pourriture ! Il pile au milieu de la route. Ollister serre et desserre les poings dans l’espoir de calmer sa fureur qui fait rage. Impossible. Il sort de la voiture et s’empresse d’aller vers cette rue calme où, pourtant, le pire n’est pas loin d’arriver. Plus rien ne fonctionne dans sa tête. Plus rien ne tourne rond. Il voit rouge. Il en a fait des conneries mais il n’a jamais touché à un cheveu d’une femme. Pas une seule fois il n'y a songé. Son poing s’abat sur la mâchoire du connard. Une fois. Deux fois. Il ne s’arrête plus. Les coups tombent, il est incapable de dire si c’est les dents de l’agresseur qui tombe ou ses phalanges qui cassent une à une. Laissé là, tout juste conscient, agresseur au sol, Ollister tremble. De rage, de haine. Merde ! Qu’est-ce que j’ai foutu ? Tapis dans l’ombre, il appelle une ambulance et s’enfuit avant même qu’elle n’arrive. Il faut qu’il parle à Adé. Tout de suite. Il rentre, poings ensanglantés. Le petit matin n’est plus très loin mais il tient à être décent avant de la voir. Il la respecte trop. Refuse de lui montrer l’état de ses mains. Une douche. Froide de préférence pour calmer l’horreur qui bouillonne dans ses veines. Il descend, s’arrête au milieu de l’escalier pour prendre une grande bouffée d’air.
— Adé ?
Seul le silence lui répond. Pas de radio. Pas de télé. Pas un bruit. Pas même le grincement de son rocking-chair.
— T’es là ?
Il se remet à trembler. Le pressentiment. Là, dans le salon, Adélaïde semble dormir, paisible. Une main sur son épaule froide et l’horreur fait à nouveau des ravage.
— Non… Non, non, non, non ! Adé ?? Putain non !! Mamie !!
Il a bien compris. Il est pas con, Ollister. Il met un temps fou à réussir à composer le 911. Les doigts tremblants, crispés sur l’appareil. Il ne parle pas Ollister, il hurle. Il ordonne. Ils doivent venir. Elle doit se réveiller. Il ne peut pas rester seul, il n’en est pas capable.

Il a plongé. Pas longtemps mais profondément. Devenu oiseau de nuit, volets constamment fermés. Lui en veut à elle, à eux, à la terre entière. À elle de l’avoir laissé tomber. Eux parce que personne n’a bougé le petit doigts. À la terre entière parce qu’il se sent minable de n’avoir pas profiter de sa grand-mère avant qu’il ne soit trop tard. Mais il se réveille. Décidé d’arrêter d’être con. Stoppe les conneries pour mûrir, plus qu’il ne l’est déjà. Passe les diplômes et les concours nécessaires. Décidé de lâcher son boulot qu’il juge minable pour devenir pompier. Parce qu’il a bien vu qu’ils ont donné tout ce qu’ils avaient ce jour-là. Les seuls qui se sont bougés. Les seuls qui ont eu un geste, un mot pour Ollister sans le connaître. Alors il veut en être. Il veut tout donner de lui comme ils ont donnés d’eux pour lui. Alors comme le Phénix qui renaît de ses cendres, Ollister donne ce que la vie lui a constamment repris : le bon sens. Il se relève, plus grand, plus fort. Moins con. Moins naïf. N’espère plus rien de la vie. Joue avec comme dans une partie d’échec : un jour, la vie criera échec et mat et ce jour-là, il s’écroulera. En attendant, il fait le nécessaire pour que sa grand-mère soit fière de lui depuis les étoiles.

22 octobre 2023. Finis le gamin, finis le jeune homme. Ollister est devenu un homme. Taciturne, le regard mauvais à quiconque le regarde mais pourtant, tend la main à ceux qui en ont besoin. Comme ce soir-là. Assise sur ce tabouret, accoudé au bar, l’homme fait tournoyer le liquide ambré dans son verre. Un an de plus, mamie. Santé. D’un coup sec, le liquide coule dans sa gorge, réchauffe son âme en peine. Un regard par-dessus son épaule, iris qu’il croise, hypnotisent. Il y a bien un truc qui se passe, mais il ne saurait pas dire quoi. Un signe de tête pour saluer la blonde, un signe au barman pour lui demander de lui offrir son premier verre. Puis tout s’enchaîne. Les corps s’emmêlent, les cœurs se déchaînent, les pensées d’embrouilles et les soufflent s’essoufflent. Touffe blonde dans ses bras, se sent terriblement… bien. Serein. Instant trop court, volé au temps et à la vie. Se promettent de se revoir bientôt, très vite. Une visite surprise à la caserne suffit à comprendre : Stella n’est pas n’importe qui. Stella connaît quelqu’un d’autre à la caserne. Oui, sa mère. Encore un coup de la vie qu’il se dit le grand gaillard. Promesse faite sur l’oreiller : personne ne doit savoir. Personne ne doit se douter ce qu’il se passe entre eux. Entre caresses et baisers, faire semblant d’être de simples connaissances.

ADVIENNE QUE POURRA.

prénom, pseudo brenda (vanity). âge 29 ans. pays France. type de personnage pré-lien de @stella mayers & pré-lien de @miles hawkins origine‧s de la célébrité juives & anglaises de ce que j’ai trouvé. d'où viens-tu aaaah les mc… crédits tumblr pour les gif, atlantas pour l’avatar. autre du love pinky

i don't wanna talk about the way that it was

bottin des avatars

Code:: <aa2>stephen james</aa2> @"ollister monroe"

registre des emplois et logements
quartier peacock.
lieu fire station 51.

Code:: <aa2>pompier camion échelle</aa2> @"ollister monroe"

quartier peacock.
type d'habitation maison mitoyennes.
autres habitants aucun.

Code:: <aa2>#1811</aa2> @"ollister monroe"

répertoire des personnages

Code:: <ac>@"ollister monroe"</ac> <aa>29 ans, célibataire, hétérosexuel, pompier.</aa>

multicomptes
Merci d'indiquer via un astérisque (*) votre compte gratuit et vos comptes faciles.

Code:: <ac>@"kinaï aguila"</ac> @"hestia scott"*, @"freyja hartley", @"ollister monroe"

Mar 27 Fév - 11:02

Ça se dédouble vite par ici ollister monroe. 3116843944

Rebienvenue à toi et bon courage pour la suite de ta fiche ollister monroe. 3513915865

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stucked in a golden cage

One day, i will be free and myself

by anaëlle.

Mar 27 Fév - 11:54

*Pousse tout le monde*

Qu’on s’éloigne de ce beau brun célibataire (paraît-il ) même si ce n'est pas ce qu'on lui a dit ollister monroe. 1381766960

Et même, si ça ne va pas plaire à tout le monde… ollister monroe. 1741478404

Re-bienvenue à toi coeur

Je suis tellement contente que tu aies craqué pour mon pré-lien aon

J’ai hâte de connaître la suite de leur histoire, de savoir où ça va les mener, même si ça ne va pas toujours être joli joli parce que son coeur est aussi pris par @Gabin Wheeler. ollister monroe. 3513915865

Mais ça va être trèsss intéressant à jouer, puis, je sens que je vais stalker du côtés de vos rps eyes

Trop hâte de lancer en jeu coeur

Mar 27 Fév - 12:24

re-bienvenue avec ce bg coeur

Mar 27 Fév - 12:55

mais les pompiers ça va on vous dérange pas d'être tous.tes beaux/belles comme ça ??
svp va falloir faire le calendrier du oceanside f.d. 2024

bref rebienvenue ollister monroe. 3116843944

amuses toi bien avec tout le drama qui se prépare si j'ai bien compris lool

je te réserve stephen james pour 7 jours coeur

Mar 27 Fév - 13:12

On peut supprimer le compte ? Comment ça non ? Bon tant pis ollister monroe. 1741478404

Va chercher ton épée @Ollister Monroe le combat va commencer et il ne pourra en rester qu'un (not sorry à ceux qui ont la musique d'Highlander en tête)

Re bienvenue quand même avec cette tête de noeud ollister monroe. 1206067913

@Choi Nakyum le calendrier des pompiers il existe, Tyler est sur le mois de mai

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flashlight

I see the shadows long beneath the mountain top, I'm not afraid when the rain won't stop 'Cause you light the way.

Stella Baker aime ce message

Mar 27 Fév - 20:08

Re-bienvenue avec ce beau gosse tatoué ollister monroe. 1491900633

Je plussoie l'idée de calendrier des pompiers, juste pour nous réchauffer durant l'hiver !
Courage pour la suite de la fiche heart1

Mer 28 Fév - 0:57

@Hope Charpman Mercii ! C’est la faute aux PL aussi… ollister monroe. 3320956457

@Stella Mayers *réceptionne Stella*
Merci ! pinky

je suis vraiment très pressée de jouer notre lien !! Et tant pis pour le pas content ollister monroe. 3116843944

@Easton Colbeck Merciii ollister monroe. 1491900633

@Choi Nakyum Merci pour la réservation pinky

Et je suis 100% d’accord avec toi ! Les pompiers d’Oceanside sont à croquer ollister monroe. 3116843944

dommage qu’on ai pas autant de chance IRL. mdr

@Gabin Wheeler *fait un croche-patte à Gabin*
Ça t’apprendra à vouloir me supprimer. ollister monroe. 1371498538

Vas y vient avec ton épée en plastique ollister monroe. 843937383

@Anton Lowe Merciii ! ollister monroe. 3116843944

Anton Lowe et Choi Nakyum aiment ce message

Mer 28 Fév - 2:26

@Ollister Monroe un ancien collègue qui est proche de ma petite étoile, il va nous falloir un lien de la mort qui tue ollister monroe. 1491900633

.
Rebienvenue avec ce petit coeur

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Bonne chance pour cette nouvelle fiche et bon choix de scénario soit dit en passant. Il est trop top coeur

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Apologize to myself for putting me here. Thought it’d be nice to find love and to feel. But it seems this world’s cruel to me. I Sweet dream-like moments.
(c)mars.

Stella Baker aime ce message

Mer 28 Fév - 2:28

@Rama Ratanaporn Évidemment !! N’hésite pas à venir papoter c’est avec grand plaisir ! pinky

& merciiii ! ollister monroe. 3116843944

Rama Ratanaporn aime ce message

Mer 28 Fév - 2:42

@Ollister Monroe je te mpote a mon retour du boulot ce soir ollister monroe. 3116843944

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Apologize to myself for putting me here. Thought it’d be nice to find love and to feel. But it seems this world’s cruel to me. I Sweet dream-like moments.
(c)mars.

Ollister Monroe aime ce message

Mer 28 Fév - 5:14

re-bienvenue parmi nous ollister monroe. 3827413925

_________________

Don't wanna stop, don't wanna run away, taking a shot, just let it ricochet. I just wanna be in the fire.

Mer 28 Fév - 17:16

c'est tout ce que j'aurais à dire ollister monroe. 3116843944

en tout cas, j'ai tellement hâte de vous suivre. Rebienvenue flower

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on the edge

If you should ever leave me, well, life would still go on, believe me the world could show nothing to me. So what good would living do me?

Mer 28 Fév - 17:26

drama is coming on dirait ollister monroe. 3116843944

re-bienvenue (et bon courage à Gabin alors) ollister monroe. 3827413925

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--- every time you come my way wanna hear you whisper my name.

Mer 28 Fév - 17:36

rebienvenue à la maison. luuv

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lee minjae

내 숙명아, come and kiss me, I just keep on chasing that feeling. 망가진 나여도 leave me. I just keep on chasing.

Jeu 29 Fév - 2:20

@Nate Pembrocke @Lee Minjae merci vous deux pinky

@Wolf Baxton Je t’en prie, n’hésite surtout pas à stalk mdr

& merci

@Bran Higgins il a pas besoin de courage Gabin, juste d’aller chercher le bonheur ailleurs ollister monroe. 3116843944

& merci !

Wolf Baxton aime ce message

Jeu 29 Fév - 15:14

re-welcome par ici luuv

Ven 1 Mar - 2:59

Tes persos sont toujours cool drama

Rebienvenue chat heeart

Sam 2 Mar - 4:23

Gabin Wheeler a écrit:@Choi Nakyum le calendrier des pompiers il existe, Tyler est sur le mois de mai

(re)bienvenue avec ton mec et bon courage pour la fin. muscle

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vill du gå på dejt med mig?

Sam 2 Mar - 9:37

pas la même caserne mais y a moyen de trouver quelque chose pourquoi pas coeur

Dim 3 Mar - 7:15

rebienvenue. I love you

Dim 3 Mar - 14:44

Re-bienvenue coeur

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Girl, you'll see the world and you'll come to learn that falling in love is a strange work of art. All of your battles will shape who you are, and know that your scars are my favorite part. I want you to know this

Lun 4 Mar - 5:27

rebienvenue sur le forum 1998006903

le beau stephen , et cette histoire toute tristoune, j'espère qu'il trouvera un peu de bonheur sur le forum !

Lun 4 Mar - 8:13

(re)bienvenuuue à la maison cutie

Lun 4 Mar - 11:30

Merci à tous !! 1998006903

N’hésitez pas à me mp, ici ou sur discord pour des liens c’est avec plaisir.

Pour les admin, ça serait possible d’avoir un délai ? (Juste par précaution, je devrais réussir à finir demain mais dans le doute… Merci ollister monroe. 1491900633

)