⋆ . ✫ stars around my scars.

Savoir d'où l'on vient c'est connaitre la richesse de notre culture et l'identité d'une âme qui perdura à tout jamais . Les mots de sa mère qui résonne toujours et si souvent répété dans son esprit pour qu'ils ne dissipent jamais leur origine ancré au plus profond d'eux-mêmes. C'est à Istanbul en Turquie, ce pays qui a toujours été le sien qu'elle a donné naissance à Aylin. Elle s'en souvient encore de la naissance de sa seconde où elle su en posant le regard sur ses prunelles que ce prénom signification poussière de lune lui était parfaitement désigné. Caractère d'une lionne au coeur pur et rêveuse, mais parsemé d'épines autour d'un myocarde battant à vive allure loin d'avoir sa langue dans sa poche et qui en trente années de parcours aura survécu a bien des tempêtes. Elle a appris des années plus tard que sa naissance fut bien loin de la scène féérique qu'on a tant voulu lui faire croire, loin du père modèle qu'elle a aimé plus que tout avant que la désillusion la foudroie face à la vérité et de savoir qu'il n'avait pas pris la peine d'être là. Un mari absent voilà ce qu'il était avant tout prétextant un soit disant nouveau voyage d'affaire, artifice quand la réalité se fit apprendre et qui en laissera plus tard des séquelles loin de s'être effacé dans le coeur meurtrie d'une gamine de cinq ans qui a compris à cet instant à quel point la vie pouvait parfois être très cruelle.

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Terre de ses ancêtres qui coulent dans ses veines, un héritage dont elle est fière d’en porter les origines. Pays de l’indépendance bien loin des mœurs de ses grands-parents. Derya a élevé ses enfants dans une vie plus libérale bien loin de tout ce qu’on lui apprit. Une modernité qui colle parfaitement au caractère d'Aylin qui vit sa vie comme bon lui semble, elle a beau parler turque auprès des siens et avoir séjourné plusieurs fois dans la ville d’Istanbul pour s’imprégner de ses racines, elle n’en demeure pas qu’elle reste également américaine. Univers presque a l’opposé, mais à laquelle elle se sent à l’aise et dont elle a toujours appartenu. Peut-être la seule chose qu’elle partage encore aujourd’hui avec son père : celui d’être américaine et ça même si elle refuse d'en évoquer davantage. Elle qui est a vécu presque toute sa vie entre San Diego puis New-York pour enfin revenir dans cette ville qui a fait d’elle ce qu’elle est et auquel à présent elle ne se voit pas vivre ailleurs parce qu'au fond c'est  cet endroit qu'elle considère comme sa maison. Turco-américaine comme elle le répète a ceux et celle qui lui posent souvent la question. Aylin a toujours aimé préciser ses deux nationalités qui font d’elle ce qu'elle est aujourd'hui : une femme forte de l’occident prouvant que derrière les coutumes, une nouvelle génération est née.

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Le doute n'a jamais existé dans son esprit qu'elle était parfaitement bien dans son corps de femme, une femme pas des plus faciles avec un caractère loin d'être évident et en est très fière et cela malgré les dire d'une certaine personne dont elle s'en serait bien passé. Une nana à vous rendre complètement barge. Elle ne sait pas combien de fois elle a soupirer d'agacement à ce genre de parole encore plus prononcé par lui. Elle n'était pas dupe Aylin se doutant du ton plein de sarcasme et qu'il s'agissait surtout et avant tout d'une provocation dans la bouche de celui-ci.  Kemal, son maudit voisin véritable gamin qui a oublié de grandir lui assurant et ça même si elle ne lui avait rien demandé à quel point elle n'avait pas besoin de douter sur le genre qu'elle était, preuve à l'appui :  Trop lunatique, passant du rire à la névrose au risque d'en devenir la violente telle une vraie psychopathe, incapable de parler sans hurler, colérique à se transformer à la limite de hulk (sans se retrouver la chemise déchirée évidemment), parle beaucoup trop à la limite d'un roman avant d'arriver à l'essentielle qui s'avère souvent à faire une phrase très courte, chieuse à souhait et le mot est faible qu'il ne doit pas encore exister, des humeurs qui changent à la vitesse de la lumière et à vous rendre complètement fou, à la limite elle passerait facilement pour docteur jekyll et mister hyde et ça quelques seconde, indécise face au temps à prendre pour une décision même minime... et il en passe. Agacement réussit lorsqu'elle n'a pas pu se retenir de lui prouver ô combien elle pouvait être bien pire quand elle lui a envoyé sa main dans la gueule ajoutant à la liste, la "folle dingue" qu'il lui a jeté au visage et au fait qu'Aylin lui prouve une nouvelle qu'elle avait tout les traits d'une femme à ne pas énerver.

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Et toi, tu veux faire quoi plus tard ? Question qui résonne d'un haussement d'épaules en guise de réponse et ça même si depuis gamine, c'est le crayon à la main qui ne l'a jamais quitté. Artiste serait ce qui l'a décrit face à ses dessins et peinture qui lui ont permis de laisser ses émotions se libérer à la manière d'un journal intime, et même si on lui a souvent rétorqué qu'elle avait un talent indéniable et qu'elle y gagnerait beaucoup, elle n'a jamais pu laisser quelqu'un voir ses œuvres qui restent enfermées à double tour dans ce bureau où à l'heure actuelle, elle y retourne lorsqu'elle en a besoin. Très jeune, et pour aider sa mère, elle a les petits boulots passants de baby-sitter à serveuse dans le petit café du coin. Elle n'a pas hésité non plus lorsqu'il le fallait à faire le ménage chez des inconnus. C'est certainement parce qu'elle vivait dans la précarité qui lui a permis de trouver cette voie à laquelle elle n'aurait jamais imaginé emprunté. Face au peu de moyens que sa mère possédait, elle a utilisé ses talents pour créer ses propres fringues qui ont vite eu écho auprès de ses proches. Elle n'avait jamais pensé une seconde que ses copines lui demanderaient de lui faire une tenue, une manière de se faire de l'argent tout en se faisant plaisir et qui l'a aidé sans le savoir à découvrir sa propre voie pour des années plus tard. Si elle n'a pas tenu la promesse qu'elle avait faites gamine d'aller à Harvard, elle ne regrette pas ses choix. Université bien trop coûteuse quand on lui a fait une offre bourse obtenue pour rejoindre une école de stylisme à l'étranger. Nouveau rêves pleins les yeux, promesse d'un avenir plus beau auquel elle n'a pas pu refuser. Aujourd'hui, et après des années d'acharnement, elle est devenue l'une des plus grandes stylistes d'un succès qui dure et à laquelle elle se passionne toujours autant. Depuis son retour à San Diego, à la tête de sa propre société, elle a choisi d'ouvrir une boutique qui permettrait aux femmes de porter ses tenues à petits prix refusant d'oublier son passé. Nouvelle aventure qui lui tend les bras quand elle a accepté de se lancer dans l'organisation événementielle au côté de sa meilleure amie où elle s'occupe principalement de l'organisation des mariages, et même si le sien n'est pas allé au bout, elle veut offrir ce rêve à d'autres ce qu'elle n'a pas pu avoir.

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$$$$$, N'oublie jamais de continuer à sourire et même si la vie te met à terre relève toi, car un jour tu en deviendras la grande gagnantes Ces mots se sont répétés encore et encore. Les paroles de sa mère qui l'accompagne toujours et l'ont aidés à devenir la femme qu'elle est aujourd'hui. La pauvreté ? Elle l'a connu lorsqu'elle a vu sa mère accumulée plusieurs boulots pour offrir à son frère et à elle. Une vie aussi descente que possible et sans jamais se plaindre. Elle ne compte pas le nombre de fois où cacher, elle a pu entendre sa mère pleurait loin d'eux épuisés avec la peur de ne jamais s'en sortir sans jamais rien leur montrer si ce n'est son amour. Un modèle où Aylin a vite appris à se débrouiller seule, indépendante, elle a tenté dès qu'elle le pouvait d'aider sa mère. Gamine, elle vendait de la limonade rien de bien extravagant, mais assez pour garder l'argent de côté et le donner à sa mère. Elle n'a jamais demandé quoi que ce soit préférant plutôt l'aider avec les petits boulots après ses cours quand sa mère bossait aussi de nuit. C'est aussi la raison pour laquelle elle a abandonné l'idée de partir à l'université. Les petits boulots même dégradants, elle les a faites. On dit que la vie tourne, qu'un jour ou l'autre à force de se battre elle finit par payer. Si Aylin a failli baisser les bras, elle a continué à avancer, la force décuplée de sa famille et cette rage pour prouver que même si la vie ne vous faits pas de cadeaux, la dureté du travail ne lui a jamais fait peur. Aujourd'hui, plus que jamais, elle profite d'une vie dorée, elle sait facilement que du jour au lendemain tout peut s'arrêter assez pour avoir pris ses précautions devant les actions qu'elle a investies et offrir à sa mère cette maison dont elle a tant rêvé et une vie décente. Une manière à elle de la remercier pour tous les sacrifices qu'elle a faits. Si à présent, elle est devenue une femme riche, elle n'a jamais oublié d'où elle vient et prétendre savoir qu'à force d'acharnement et se battre certain rêve finissent par devenir réalité si on s'en donne les moyens..

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Elle a connu le premier amour innocent que l'on a enfant, son petit amoureux qui selon elle, en restera son plus beau souvenir gravé dans son âme à tout jamais et ça même si à force des années, les souvenirs en deviennent flou. Elle sait qu'une partie d'elle en a été heureuse. Toutefois, elle a bien grandi la petite fille de cinq ans rêveuses de croire que l'amour était beau fort et si intense. Du moins, c'est l'image qu'elle avait de ses parents avant que la réalité ne lui éclate au visage et qu'elle comprenne plus tard la vérité. L'amour est éphémère, c'est un sentiment beau comme mensonger et qui finit par vous briser. Une définition terne et pessimiste qu'elle a eue de longues années laissée par les cicatrices d'un homme, d'un père face au secret qu'il a gardé et dont elle n'a jamais pu lui pardonner, plus encore d'avoir détruit une partie de sa mère. Si au fil des années, elle a longtemps scandé qu'elle était le genre de femme indépendante et a aimé sa liberté refusant qu'on s'approche de trop près d'elle ou de son myocarde. Malgré elle, elle l'a vu battre à toute vitesse quand elle a croisé le regard de Roman grâce à la soirée d'une amie. Elle a mis longtemps à l'accepter dans sa vie avant de se laisser complètement plongé la tête la première parce qu'au fond elle aussi voulait aimer et l'être en retour et cela malgré tous ses dires. Deux années à s'aimer et qu'elle finisse par dire oui à sa demande. Fiancée à Roman Harlow, elle y a cru jusqu'à trouvé la parfaite robe blanche qu'elle allait porter avant que tout ne lui éclate au visage. Une tromperie qui a brisé tous ses rêves pour lui prouver que l'amour était un vaste tissu de mensonges avec le sentiment de vivre à sa façon la trahison qu'avait éprouvée sa mère. Cicatrices qui ont mis longtemps à guérir et même si aujourd'hui elle avance. Son cœur s'est fermé à double tour refusant d'aimer à nouveau, pas quand cela en est trop douloureux. Elle n'a jamais voulu entendre ses explications davantage lorsqu'elle est partie loin de tout. Fuite en avant où elle est revenue, plus forte que jamais et se contenter de l'amour des autres en organisation le plus beau jour de leur vie. Célibataire endurci, elle refuse l'attachement où le fuit dès lors qu'elle voit un certain attachement à son égard. Elle répète souvent qu'elle finira vieille fille, mais au fond les marques laissées de son passé et de sa dernière relation sont loin d'être effacés répétant à qui veut l'entendre qu'elle est mariée à son travail et que cela lui suffit amplement, à force de se le répéter elle a fini par y croire et accepter qu'elle n'était peut-être pas fait pour l'amour refusant de répéter le schéma de sa mère.

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Elle a toujours su ce qu'elle désirait et voulait dans sa vie. Elle a toujours aimé les silhouettes des hommes qui l'ont souvent frémir, qu'elle a regardé un peu trop avec intensité pour savoir que son palpitant n'est pas capable de battre autre que pour eux. Toutefois, si elle aime la musculature qu'ils peuvent posséder, elle ne supporte pas les types imbus d'eux-mêmes avec un ego sur-dimensionné n'en parlons pas des machos qu'elle rejette systématiquement. Une véritable horreur pour elle ! Si elle aime les hommes, elle aime ceux qui n'ont pas peur de montrer leur vrai visage ainsi que leur émotion lorsqu’il le fallait sans en faire trop et d’une franchise ainsi que loyauté sans égal. Une image qu'elle a longtemps espéré trouver, mais comme certaines choses, elle sait que cette partie reste un rêve qui existe que dans son subconscient. Cependant, cela n’en change pas que même si  la gent masculine l’a fait souffrir, elle est incapable de se défaire d’eux et de leur regard qu’elle pose sur eux et uniquement eux.

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Les souvenirs qui remontent doucement face à l’époque de la famille qu’ils furent. Une famille heureuse et joyeuse composée de quatre personnes qui malgré les moments difficiles semblaient plus fortes que tout et plus encore lorsqu’ils étaient ensemble. Elle y a cru aux paroles de son père Orhan qu’elle a aimé si fort, modèle qu’il a été et ça même si souvent, elle en a eu le visage attristé à ses nombreuses absences dû à son boulot. Elle a cru réellement à ses dires, que c’était pour eux, leur famille qu’il travaillait autant, pour leur offrir une vie qu’il n’avait pas eu lui. Des paroles qui lui donneraient à présent la nausée quand la vérité lui a éclaté au visage. Elle se souvient encore de cette nuit-là, de la rage de sa mère Derya qui a traversé son regard, les larmes coulant le long de son visage pour y laisser les traces épaisses de son eye-liner où sans comprendre du jour au lendemain, elle avait choisi de fuir la ville sans aucune explication et plus encore devant les mensonges d’un père qui n’a plus existé dans leur vie. Longtemps, elle a refusé de parler de cet homme avant que la vérité n'éclate. Double vie, autre famille, les paroles ont résonné comme l’effet d’une bombe qui explose devant elle. Déni qu’elle n’a pas voulu entendre avant de se rendre de la vérité douloureuse. Il n’avait jamais tenté de les retrouver, pire encore, si sa mère avait fui cette nuit-là, c’est parce qu’il avait fait le choix de les choisir, eux, son autre famille, cette autre femme et cet autre enfant. Pas de mot pour eux, rien juste une absence laissée par le goût amer d’un homme que finalement, ils ne connaissaient pas. Si elle a cru à une mauvaise blague, elle a vit compris que tout était réel. Une vie chamboulée et brisée, voilà ce qu’il avait laissé en héritage à ses autres enfants. Traces d’une blessure qui n’a jamais su se cicatriser où des années après, elle a refusé toujours d’entendre parler de lui et surtout prononcer le prénom de cet homme qu’elle haït plus que tout. Elle a surtout pu compter sur l’amour et la force d’une mère qui a été un véritable force pour elle et cela même si elle a aussi souffert de ses relations des hommes en voyant sa mère avec les années en devenir instable incapable de pouvoir resté avec un homme ou encore lui faire confiance, un point commun qu'Aylin partage avec elle à la différence qu'Aylin est loin de prôner relation sur relation comme le fait Derya. Quant à son frère aîné. Kerem. Très proches, ils ont beau être l’opposé l’un de l'autre. Il n’en reste pas moins son plus grand confident et certainement le seul homme qui ne l’a jamais déçu, et cela, malgré ses nombreuses frasques qu’il a commis. Elle l’a souvent vu se rebeller jusqu’à s’autodétruire, si elle a choisi d’avancer dans la lumière, elle l’a vu lui se détruire refusant d’effacer ses années de douleur et pourtant, même s’ils ne se comprendront jamais sur ce sujet, elle ne l’a jamais lâché et puis il y aussi sa petite soeur Elif, drama queen qui excelle et pourtant, derrière cette assurance désinvolte, Aylin sait qu'elle cache avant tout sa souffrance. Elle avait à peine un an quand leur père les a quitter. Un homme qu'elle ne connait pas, mais qu'elle sait en a longtemps souffert assez pour se douter que ses frasques notamment son instabilité dans ses relations avec les hommes et  à ne jamais garder un boulot n'est pas anodin et si parfois, elles ont dû mal à se comprendre. Elles s'aiment malgré tout, Elif, le sait aussi qu'elle peut compter sur Aylin surtout lorsqu'elle a besoin d'aide financière, c'est toujours elle qui s'assure qu'elle a toujours un toit au-dessus de sa tête et à qui elle peut se confier les yeux fermés sans jugement. Des caractères à l'opposé, mais avant tout le reste, une famille unie dans les bons comme les mauvais jours, ils savent qu'ils pourront toujours compter l’un sur l’autre. Une donne qui pourrait changer surtout si Aylin fini par accepter de rencontrer ce demi-frère que sa famille se refuse à envisager.

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Aylin a toujours eu le sentiment d'appartenir à cette ville et cela même si elle y a vécu seulement ses premières années à Oceanside situé a San Diego qui la bercée et fait tant de fois rêvée. Une ville qu’elle doit bien l’avouer par moment aimée comme détester face à nombreux souvenirs qui la transporte, un en particulier auquel elle ne peut oublier tandis que d’autres sont de nombreux souffrances qu’elle aurait sans douter amener à fuir cette ville pour ne jamais y revenir. Toutefois, elle apprit que dans la vie, ce sont grâce à ses événements bons comme mauvais qui ont fait d’elle la femme qu’elle ait aujourd’hui raison pour laquelle elle a choisi d’y revenir et cette fois pour de bons. Parfois, elle a le sentiment de ne jamais avoir quitté la ville parce qu’au fond, elle le sait très bien,  que c’est ici à San Diego et particulièrement à Oceanside qu’est sa place et surtout l’endroit où se sent enfin chez elle.

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